Camille est la fille avec qui je sors depuis mes 14-15 ans, on se connaît depuis l’enfance. Fille de médecins, ma mère est ravie de me voir sortir avec une fille de si bonne famille. Ses parents, des gens qui voyagent beaucoup, lui ont permis, à l’âge de 18 ans d’avoir mis le pied sur chacun des continents du globe. Elle a grandi avec ses trois frères et sœurs entre la France et les Etats-Unis où elle a vécu quatre ans, elle parle un anglais impeccable qui me fait beaucoup d’effet. C’est sans doute la fille de ma vie mais bon il y a tellement de femmes dans la vie c’est con d’avoir d’yeux que pour l’une d’elles. Été 2016: J’ai décroché un petit boulot saisonnier dans un camping familial de la côte grâce à la longue amitié qui unit ma mère et Sarah la gérante du camping. J’ai même réussi à y faire embaucher Camille, on va donc devoir être autonome sans nos parents sur le dos toute la journée. Nous arrivons à la gare de Saint-Nazaire où Sarah nous attend, elle porte une tenue très légère comme à son habitude. Elle nous laisse notre première demi-journée pour nous installer: nous plantons notre tente, traînons nos valises à l’intérieur et elle me tire par la main dans un tour du camping improvisé. Je ne peux m’empêcher de regarder ses cheveux qui tombent gracieusement dans son dos jusqu’à ses petites fesses très rebondies. Arrivés aux sanitaires, je la prends par surprise et lui offre un baiser plein d’audace qu’elle me rend bien. Je lui propose alors de récupérer une serviette à la tente et d’aller prendre une douche aux sanitaires.Nous nous déshabillons dans la même cabine étroite, je la regarde se pencher pour faire glisser son petit short en jean à ses chevilles et plonge mon regard dans son petit décolleté qui met bien en valeur sa maigre poitrine. Elle se redresse, m’embrasse et me glisse à l’oreille : « Arrête de mater et enlève ton tee-shirt ». Je m’exécute et je dévoile mon torse, victime d’un ou deux suçons. Elle m’embrasse avec fougue et je passe mes mains sur ses hanches, ses fesses et ses seins. Je la fais se retourner et je passe ma main dans son dos nu avant de frotter mon boxer contre ses fesses. Ma bite est alors bien tendue, elle l’attrape d’une main, enlève mon dernier vêtement en s’agenouillant et entreprend une longue fellation, elle tient fermement mon sexe et passe sa langue successivement de mes couilles rasées à mon manche. Elle s’essaie ensuite à la gober tout entière, elle n’y arrive pas complètement. Mon sexe frotte contre sa gorge ce qui lui provoque un petit mouvement de recul, sa bouche et mon sexe sont maintenant luisants de salive, de petits filets de bave les relient même. Elle retente de loger toute ma bite dans sa gorge et y arrive qu’après deux ou trois essais. Je prends un grand plaisir que je m’apprête à lui rendre. Elle se relève, prend ma tête et la dirige vers sa culotte que j’enlève rapidement. Elle m’intime l’ordre de lécher sa chatte déjà bien mouillée, je n’ai pas l’aplomb de refuser. Je commence à effectuer de petit mouvement de la langue. Elle garde ses deux mains accrochées à ma tête, qu’elle tient très proche de son entrejambe. Je ne vois plus que ça, son pubis assez poilu, et l’entrée de son vagin. Mes mouvements se font de plus en plus rapides pendant que son souffle est toujours plus saccadé. Je me concentre alors sur son clitoris, ses mains qui immobilisaient ma tête se détachent et elle jouit avec peu de considération pour les membres d’une famille qui prenaient leur douche à côté. Je dégrafe le soutif de ma copine et ses deux seins libérés pointent très fort, je les palpe et les lèche comme s’il s’agissait de l’objet le plus précieux au monde. Je lui glisse ensuite deux doigts dans la bouche, et elle devine à quoi je pense. Je fais rentrer mes deux doigts humidifiés dans sa chatte et les fais tourner à l’intérieur. On se regarde droit dans les yeux pendant que je lui glisse des grossièretés « petite salope » « t’aimes ça hein ? ». Elle ne cache pas son plaisir, d’une main, je sens son cœur battre très vite sous ses seins, et elle commence à beaucoup transpirer. Puis, je vois sortir un puissant filet de sécrétions de son vagin. Je lui ordonne de lécher le sol qu’elle vient de souiller. Pendant qu’elle obéit, les fesses en l’air, j’enfile rapidement un préservatif et glisse mon pénis droit dans son vagin. D’un petit cri étouffé, elle manifeste sa surprise, puis elle fait glisser sa petite chatte étroite le long de mon sexe. Elle soutient le rythme rapide que je lui fais tenir et je la sens se frotter le clitoris d’une main. Puisqu’elle souhaite de multiples stimulations, je crache puis fais rentrer deux doigts dans son anus. Je conserve le rythme très soutenu de la levrette. Je la sens prendre beaucoup de plaisir, elle est prise de légères convulsions et son souffle est très saccadé. Moi aussi je prends beaucoup de plaisir à la voir mienne, pouvoir lui faire ce que je veux. Elle m’attrape les bourses mais je continue cette levrette, je fais même rentrer un troisième puis un quatrième doigt dans son anus, elle jouit de plaisir et moi aussi, je sens que je ne vais plus tenir beaucoup plus longtemps. Je me relève en la portant puis la laissant reposer sur ses pieds, pendant cette opération, je suis resté dans son vagin et elle a continué de me tenir fermement les couilles. De la main droite, je continue à stimuler son anus et de l’autre, je m’accroche très fermement à ses seins. Je lui fais sans doute mal, mais elle me laisse faire et je sens venir le sperme. Je la mets à genoux, enlève ma capote et éjacule de plusieurs jets sur son visage, elle en a même reçu dans les cheveux. Puis lentement, elle fait glisser toute ma semence vers sa bouche avant de la recracher sur mon sexe, qu’elle lèche quelques instants avant d’avaler le tout et de me tirer la langue l’air goguenard pour me montrer qu’elle a tout avalé. Nous sommes tout transpirants et nous prenons une douche sans trop nous toucher, épuisé par nos ébats.
