Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 22 J'aime
  • 7 Commentaires

Job d'été, jeu d'été

Chapitre 6

Avec plusieurs hommes
J’ai un gros défaut. Je culpabilise facilement. Ni l’un ni l’autre n’a l’air ennuyé de manquer le match mais, moi, ça m’ennuie pour eux. Taquine, je leur dis :
— Vous savez, vous devriez regarder le match. On sera toujours disponibles après ; par contre, vous ne pouvez pas différer le programme de plus d’une heure et si vous me lancez... Ne croyez pas être de retour devant la télé dans l’heure à venir.
Et ponctue cette phrase d’un clin d’œil à Didier, que je suis en train de masturber. David cesse le cunni qu’il est train de me faire, me dit d’arrêter de m’en faire et s’apprête à replacer sa tête entre mes cuisses, alors que je lui réponds :
— Je veux bien, mais...
Il m’interrompt en posant son index sur ma bouche. Je fais une tête boudeuse. Didier dit alors à David :
— Ne t’en fais pas, je connais un moyen de la faire taire.
Je devine son idée, me lève du canapé, m’agenouille entre le canapé et la table basse en bois et ouvre la bouche, prête à recevoir son sexe. Il ne se fait pas prier. Je commence à la sucer, doucement. Du bout de la langue, je joue avec son gland puis je fais glisser ma bouche le long de son sexe. A chaque fois que ma bouche est presque entièrement enfoncée sur son sexe, je le sens frémir d’excitation et d’impatience à l’idée que je le prenne à pleine bouche. David est à genoux derrière moi. Il me caresse le cou, le dos, les seins et descend, descend, descend. Il place sa main à la verticale, le long de mon sexe, et ne bouge pas. Il me laisse venir onduler sur sa main, pour stimuler mon clitoris et mon sexe. Parfois, il incline légèrement sa main, de telle sorte que, sur la fin du mouvement d’ondulation, sa main vient également caresser mon anus, que je sens s’écarter. Il replie son pouce, comme s’il voulait tester sa souplesse et le préparer. Il glisse son sexe, dur, entre mes cuisses, et le laisse glisser comme il le faisait précédemment avec sa main.
Je suis toujours en train de sucer Didier et je m’applique à la tâche. Je lui jette un regard plein de défi, prends l’une de ses mains et la place derrière ma tête, pour l’encourager à enfoncer son sexe le plus loin possible dans ma bouche, dans ma gorge. Il a un instant d’hésitation, alors je prends son autre main, la place également derrière ma tête et le regarde, déterminée et incitative. Je continue les va-et-vient sans que rien ne se passe. Bon, il n’osera pas. Tant pis. Je le masturbe d’une main et imprime le même rythme à ma main et à ma bouche. Tout à coup, sans prévenir, il pousse sur ses mains et enfonce son sexe au fond de ma bouche. Je réprime un haut de cœur. Les larmes me montent aux yeux ; ce n’est qu’une réponse physiologique. J’adore ça. Je retire ma bouche de son sexe pour respirer un peu et me contente de le masturber, langue tendue. Puis j’y retourne et il m’enfonce son sexe au fond de la gorge à plusieurs reprises, puis se retire en me disant que, s’il ne s’arrête pas là, je vais le faire venir de suite et qu’il préfère attendre.
Il se dirige vers la cuisine pour boire une gorgée d’eau. David retire son sexe d’entre mes cuisses.Je ne me suis pas beaucoup occupée de David. Il n’a pas l’air de s’en plaindre, mais tout de même. Je me retourne vers lui, avec l’idée de me rattraper en lui procurant une sacrée fellation mais, quand je le vois un préservatif à la main (d’où le sort-il ? Il doit vraiment avoir bien prévu son coup pour en avoir un dans l’instant !), je comprends qu’il a envie d’autre chose. Ça tombe bien, moi aussi. Je lui propose de me positionner en levrette, mais il me dit qu’il a une autre idée. Il m’invite à me mettre « comme en levrette », mais le corps sur la robuste table basse, et les bras dans le dos. Pourquoi pas. Je m’installe. Il se glisse dans mon sexe et se laisse aller à un soupir/gémissement d’aise. Il y va doucement d’abord, puis accélère. Il me dit qu’il est jouissif de se gaver dans ma chatte toute serrée. Il me fait mouiller encore plus. Il tient mes mains, dans le dos, imprimant une légère tension, très agréable, dans l’ensemble de mon corps. Cette contrainte me plaît beaucoup. J’aime sentir, que d’une seule de ses mains, il est capable de maintenir bloqués mes deux poignets.
De l’autre main, il caresse mon anus, sans tenter la pénétration. Je le laisse faire et gémit de plaisir. Didier a raison ; il est temps que mon chéri rentre, j’ai terriblement envie de me faire enculer.
Didier est revenu. Il s’installe de façon à ce que je puisse recommencer à le sucer, dans la position dans laquelle je suis. David, très excité, étouffe des grognements.
— Tu es vraiment bonne, tu sais ?
Avec le sexe de Didier dans ma bouche – que le bougre ne se prive pas de fourrer aussi loin que possible dans ma gorge –, je n’ai l’opportunité de lui dire que je n’apprécie pas beaucoup le terme, même si je comprends le compliment qu’il cache. Il grogne et gémit. Il ralentit et souffle. Je comprends qu’il se concentre pour ne pas venir. Joueuse, je décide d’onduler le bassin davantage, pour le pousser dans ses retranchements. Il se retire prestement. Je suppose que mon stratagème était sur le point de fonctionner mais qu’il l’a ainsi déjoué. C’est en l’entendant grogner et en sentant son sperme chaud gicler dans mon dos que je comprends que je lui ai fait l’effet escompté. Je continue à sucer Didier. David soupire à de multiples reprises puis se lève, va chercher des mouchoirs et m’essuie le dos. Il me dit :
— Tu es vraiment, vraiment bonne.
Didier, le sourire dans la voix, lui répond qu’il l’avait bien prévenu... Tandis que David rit en admettant qu’il n’eût pas menti, j’interromps la fellation en cours et regarde Didier fixement, un sourire en coin. Il pense d’abord que je veux passer à autre chose mais mon immobilité le frappe. Il me demande si tout va bien. Je réponds que oui. Je me lève, enfile ma robe. Je demande à David un verre de soda. Il nous regarde l’un et l’autre, alternativement, à plusieurs reprises. Il ne perce pas le mystère de ce qui vient d’arriver donc nous quitte, avec un haussement d’épaules, pour aller chercher le verre demandé. Didier émerge de son état de surprise et me demande :
— Tu veux arrêter là ?
Je réponds, sans plus de détail :
— Oui.
Il me demande s’il a fait quelque chose de mal. Ma réponse le fait pâlir :
— Oui. Tu avais accepté, à ma demande, d’être discret vis-à-vis de notre plan cul, du moins jusqu’à ce que j’ai fini de bosser au garage, et tu ne l’as pas été. Alors c’est tout ce que tu auras. Pour ce soir, en tous cas.
Sa mine dépitée manque de faire flancher. Heureusement, nous sommes interrompus par David qui, en me tendant mon verre, se contente de commenter :
— Dur. Mais juste.
Et de taper amicalement l’épaule de son collègue ; ce qui me laisse le temps de raffermir ma volonté. Didier, hésitant, demande :
— Mais... Quand tu dis pour ce soir, tu veux dire... ? — Je veux dire que si tu te rachètes, ce soir ne sera pas notre dernier coup ensemble.— Me racheter ?— Si tu es intéressé, fais-le-moi savoir à l’occasion. Et, à mon tour, je saurai te faire savoir comment, le moment venu.
Je lui jette un sourire mi-ange mi-démon. Il ne sait pas franchement sur quel pied danser. Je m’en veux un peu mais, mince, ce n’était quand même pas bien difficile de tenir sa parole.Nous regardons le match ensemble, nous mangeons et – avec modération, il faut conduire ensuite – picolons. L’ambiance est bon enfant. Didier et moi repartons tous deux juste après le match. Didier m’accompagne jusqu’à ma voiture, garée à quelques mètres de la sienne. Il me souhaite bonne soirée. Il profite de me faire la bise pour me chuchoter :
— Avec le cul que tu as, je suis prêt à tout pour me racheter.
Parfait.
Diffuse en direct !
Regarder son live