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Un jogging qui dérape… pour le mieux

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Un jogging qui dérape… pour le mieux.
L’aventure que je vais vous raconter a eu lieu pendant mes dernières vacances d’été. Comme tous les ans, je suis allé passé quelques jours avec ma compagne, Sarah, chez les parents de celle-ci, en Provence. Sarah est originaire de cette région, et c’est quand elle est venue à Paris pour faire ses études il y a dix ans que je l’ai rencontré. Nous sommes ensemble depuis maintenant 9 ans. Si j’aime bien passer quelques jours dans la maison située dans un petit village à l’orée de la garrigue et de la forêt provençale, je dois avouer qu’une chose me déplaît quand on va là bas, à savoir que c’est abstinence assurée. Sarah ne veut pas qu’on ait de rapports sexuels durant notre séjour, et ce même quand la maison est vide et rien qu’à nous. Elle met un point d’honneur à cette ligne de conduite et après quelques essais infructueux, j’ai renoncé à essayer de la convaincre. Heureusement, nous ne passons jamais là bas plus que quelques jours d’affilés, et nous nous rattrapons bien après. Lorsqu’en ce dimanche matin, nous nous préparons pour aller faire un footing, cela fait près d’une semaine que nous sommes arrivés, et donc que nous n’avons pas fait l’amour. Je dois avouer que je tiens difficilement le coup, mais quelques lectures de récits érotiques sur ce site m’aident à patienter en me fournissant une bonne dose d’excitation.Il est 10h ce matin quand nous nous mettons en route, chacun avec nos écouteurs de lecteur mp3 sur les oreilles. Nous sommes tous les deux en tenues de sports : Sarah porte un haut bleu en lycra et un legging noir. Je porte un short bleu marine et un t-shirt blanc. Nous avons décidé de suivre le parcours que nous avons déjà fait deux fois depuis notre arrivée, une boucle de 6 km qui quitte très vite le village pour aller vers les collines boisées et les vignes alentours. C’est un trajet agréable : peu de voitures sur la route d’accès, et un sentier piétonnier ombragé à l’orée de la forêt bien utile dans cette Provence ou le soleil tape déjà fort dès le matin.Pendant que nous quittons le village, je ne peux m’empêcher de regarder Sarah courir. Petite brune d’1m62, elle a des formes particulièrement généreuses que j’aime voir secouées au rythme de la course. Sa poitrine (95 E) rebondit généreusement à chaque foulée, et son fessier assez imposant roule magnifiquement de gauche à droite à chaque impulsion. Ce matin là, j’avoue que son décolleté que je peux admirer du haut de mon mètre 90 m’excite particulièrement. Mais je sais qu’il m’est interdit en ce moment, alors, je me concentre dans ma course et accélérant doucement l’allure, je mets quelques mètres entre moi et Sarah pour éviter la tentation. Nous sommes partis depuis dix minutes quand nous quittons la route goudronnée pour emprunter le chemin de terre qui longe les vignes pour continuer dans les sous bois. En passant le premier rideau d’arbres, on arrive à une petite clairière aménagée en espace de pique-nique par l’installation de deux ensembles tables et banc en bois. Mais alors que les deux fois précédentes, cet endroit, invisible du chemin emprunté pour y accéder, était désert, je remarque tout de suite la présence d’un scooter de l’autre côté de la clairière, à environ 50 mètres. En fait, j’ai à peine le temps de remarquer le deux-roues que je suis stupéfait par le spectacle qui se donne juste à coté : un homme et une femme sont en train de faire l’amour. Allongée sur une serviette posée à même le sol, , la fille est sur le dos, les jambes écartées, les pieds dirigés vers le ciel, pendant que l’on peut voir les fesses du garçon monter et descendre consciencieusement dans son entrejambe. Je ne distingue pas leurs visages, à peine leur physionomie générale. Stupéfait, je ralentis l’allure me retourne vers Sarah qui vient d’arriver à ma hauteur. Concentré sur sa course, elle n’a pas encore remarqué le couple. Je la fixe alors dans les yeux et lui indique de la tête la direction du scooter. En voyant le spectacle de ces deux corps nus en train de s’emboiter, elle écarquille les yeux, puis tournant son regard vers le mien, nous pouffons de rire. Tomber sur ce genre de scène un dimanche matin pendant un footing est assez incongru. Nous continuons à courir tout en rigolant silencieusement. Un dernier coup d’œil par-dessus mon épaule m’informe que le couple ne nous a pas remarqués : je vois toujours le bassin du type continuer ses va et vient. Au bout de quelques centaines de mètres, une fois les deux baiseurs hors de vus, Nous sommes obligés de nous arrêter, notre fou rire ayant coupé notre souffle.« - Dis-donc, il s’en passe des choses dans ta campagne ! » dis-je.« - Arrête, c’est dingue, un dimanche matin en plus. Franchement, ils sont pas si bien cachés, n’importe quel promeneur qui passe sur le chemin peut les voir. — C’est sûr. Ils avaient qu’à faire 50 mètres de plus dans le sous bois pour être complètement invisibles. — A croire qu’ils veulent être vus.— C’est peut-être ça, ils doivent êtres exhibos, et ça les excite de risquer d’être surpris. En tous les cas, ils se la donnaient pas mal, ils nous ont même pas entendus.— Ouais apparemment. J’ai pas trop vu non plus, on est passé vite. » Cette remarque de Sarah m’intrigue. Je sens comme une pointe de regret dans son intonation.« - Tu veux pas qu’on y retourne quand même ? ». Sarah semble hésiter, puis se lance : « - Et pourquoi pas ? S’ils ne voulaient pas être vus, ils seraient allés plus loin. Et si on y retourne sans bruit, en passant par le sous bois, je suis sûr que nous, on leur sera invisible. — Ca peut être marrant. — Mais on s’approche pas trop, faudrait pas qu’on se fasse choper. Tomber sur un couple qui fait l’amour en courant au détour d’un chemin, c’est pas pareil que de les regarder faire depuis une cachette.— Et alors, ils vont nous faire quoi ? » je réponds, « Tu penses pas que c’est surtout à eux de s’inquiéter de se faire choper ? »A cette remarque, Sarah acquiesce sans rien dire. Je m’engage alors dans les sous bois en direction de la clairière, en faisant le moins de bruit possible. Ca n’est pas évident, compte tenu de la quantité de bois et d’herbes sèches sur le sol. Cependant, au bout de deux minutes, nous sommes en vus de la clairière. En arrivant par le sous bois, nous sommes plus proches du couple que lors de notre premier passage. Une trentaine de mètres nous séparent d’eux, dont une vingtaine sous les frondaisons de la forêt. Nous avons trouvés refuge derrière le tronc d’un eucalyptus, le plus gros à notre disposition, mais qui est bien insuffisamment large pour nous masquer complètement. Heureusement, les vingt mètres de forêt qui nous sépare de la clairière contribuent également à notre camouflage.
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