Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 35 J'aime
  • 4 Commentaires

Johan

Chapitre 1

Le boxer était plein à craquer

Gay
Tout commença par un rêve.

Ce même rêve, entêtant, qui revenait encore et encore. Ce rêve qui m’avait assailli, s’était imposé à moi, à mes convictions, il y a quelques semaines, et depuis, ne cessait de revenir bousculer les fondations, ronger mes défenses jusqu’à les faire tomber, inexorablement.
Johan en était l’image principale. Johan, c’est le père de mon meilleur ami, que je connais depuis que je suis gosse. Quinquagénaire des plus charismatiques, Johan vit encore dans le village qui m’a vu grandir. Dans ce rêve, toujours identique en tous points, je me retrouve dans une grande pièce sombre. Comme une grande salle de sport, un terrain de basket, ou bien un vieux hangar désaffecté. La pénombre règne. Un brouillard léger, vert sombre, semble napper la pièce entière. Étrangement, l’ensemble est très apaisant, aucune angoisse ne se dégage de ce décor de film de série B. Johan est là, en face de moi, quoiqu’un peu sur ma droite, grand, puissant, altier. Du haut de son mètre 90, et de sa carrure virile et carrée, musclé comme un garde du corps, il me dévisage avec beaucoup de tendresse.
Il ne porte pour habit qu’un t-shirt bleu marine, moulant sans vulgarité son buste bombé, sculpté avec un art du détail affolant, ses pectoraux gonflés, ses épaules bien charpentées, et un boxer, petit, ridiculement petit, qui peine à contenir son gros paquet. Un paquet, oui. Son appareil génital y apparaît comme un paquet, une grosse boule, qui aimante le regard, mon regard, et attire irraisonnablement le toucher...
Le toucher de mes doigts...
Et moi, là devant lui, minuscule, impressionné, je masse son entrejambe. Et j’y prends un plaisir insondable. Je caresse exclusivement ses bourses, lourdes, pleines, débordantes d’un nectar que j’imagine épais et parfumé. Blanc, profondément blanc, gluant... oui, gluant...
De mes ongles naissants, j’alterne caresses appuyées et gratouilles sensuelles. Par caresses, il faut en fait y voir une main avide, des doigts bien accrochés à ses bourses, en train de les malaxer, les palper, avec une envie frémissante. Lui reste immobile, mais apprécie énormément cela. Moi de même d’ailleurs. Je suis à la fois pétrifié et hypnotisé par cette situation qui m’excite énormément. Sentir ses énormes couilles rouler dans la paume de ma main droite me fait vriller. Situation rendue encore plus excitante que Johan sourit et gémit. Des gémissements virils, bruts, rauques, signes d’encouragement. Et j’adore ça. J’adore tenir ses bourses et sentir que je procure du plaisir à cet homme si beau, élégant et fort.
C’est en général après quelques trop courtes minutes de massage que, sans comprendre comment - mais souvenez-vous qu’il s’agit d’un rêve -, la couture de son boxer craque, libérant ses bourses. Seulement ses bourses. Qui m’apparaissent alors encore plus massives, royalement bombées, la peau épaisse contenant fièrement toute sa masculinité. Le contact avec son scrotum qui le fait frissonner de bonheur, surtout quand mes ongles s’affairent. Je sens ses couilles s’agiter, s’affoler. J’ai une envie folle de m’accroupir pour les gober... sauf qu’à ce moment, il me dit cette sempiternelle phrase : "J’ai craqué pour toi à cause de ton énorme queue". Etrange.
Et aussitôt dit, nous voilà tous deux nus, chacun tenant la queue extrêmement bandée de l’autre dans sa main, la soupesant avec fierté, la fierté d’avoir un partenaire bien membré, avec un sexe taillé comme dans ses fantasmes, dur avec le soupçon d’élasticité et de souplesse qu’il faut, nervuré, avec un gland boursouflé, turgescent, doux, extrêmement doux, brillant d’envie, l’œil humide d’attendre... Et chose étrange, ma verge est bien plus imposante que la sienne, qui pourtant est déjà colossale. Même si mon sexe est de belle taille, il apparaît dans mon rêve bien plus gros. Chose étonnante, car les projecteurs sont braqués sur Johan, non sur moi.
J’ai donc sa verge dans ma main. Je m’en saisis, fermant les doigts pour m’en faire le maître, tester sa puissance, ressentir sa force, et surtout procurer à Johan, l’homme de mes rêves, cette sensation si unique et divine d’être désiré et touché par un autre.
Comme dans un film, la scène s’interrompt et je me retrouve à ses pieds, sa queue dans ma bouche, même dans ma gorge. Bouche, puis gorge, puis bouche, encore la gorge. Les va-et-vient s’enchaînent bruyamment, et mon cerveau imagine avec brio les sensations, les goûts, les textures. Pour moi qui n’ai jamais sucé, ni même été attiré par un homme, me voilà en rêve totalement accro à cet homme que je suce avec passion, et surtout un goût prononcé pour les gorges profondes. Mon cerveau - cet ami ou ennemi ? - me fait donc vivre avec un réalisme jouissif ce que pourrait être cette fellation paradisiaque. Par moments, je lève les yeux et, en contre-plongée, je suis ébahi par la vue de chacun de ses muscles, sa peau tendue, superbement bronzée, presque huilée, sûrement un début de sueur suave, et je tombe sur ses yeux qui me regardent avec bonheur. Ma main droite enserre la base de son engin, enserrant couilles et queue. Ses couilles semblent compressées, prêtes à exploser.
Ma main gauche branle son gros engin, tandis que ma bouche va-et-vient le long de sa tige, qui petit à petit est couverte de ma bave moussante. J’aimerais avoir deux mains supplémentaires pour lui agripper les fesses, les tenir fermement, m’amarrer à son cul, pour l’attirer encore plus loin en moi, au fond de ma gorge.
Je le suce, suce, suce, suce, suce. C’est si bon ! Mon sexe me fait mal tant il est dur.
Je bave sur son énorme chibre. Son goût inonde ma bouche. Je suis pris entre l’envie de continuer encore et encore à bouffer sa bite, et l’envie de le sentir exploser dans ma bouche, qu’il jouisse sans retenue sur ma langue pendue, sur mon visage, qu’il me recouvre de son sperme comme dans un bukkake, qu’il se lâche dans ma gorge pendant que je le suce avidement. J’aimerais tout ça, tout en même temps. Alors je prends une pause.
Je prends conscience de ma mâchoire, qui n’a pas l’habitude d’être autant stimulée. Elle est mise à rude épreuve, car la verge de Johan est vraiment d’une épaisseur qui menacerait de vous déchausser quelques dents. Je prends une pause donc, me recule un peu pour l’admirer, mes mains quittant temporairement son sexe, pour s’abandonner dans ses poils pubiens, tâter ses cuisses fermes et compactes, honorer sa ceinture abdominale, glisser sur ses flancs pour tomber sur deux fesses légèrement bombées, rebondies, divinement douces. Son gros gland sous le nez, qui s’agite de temps en temps, se balançant de haut en bas, commence à pleurer. Je vois que du liquide préseminal commence à poindre...
Alors je ramène mes deux mains moites de bave épaisse sur sa tige et reprends avec tendresse et langueur sa masturbation. Le liquide s’accumule. Voilà pourquoi on compare le jus au nectar, car il s’accumule et se densifie jusqu’à former une goutte sur laquelle mes lèvres avides viennent se poser. J’en fais un délicieux baume pour mes lèvres, qui sont maintenant huilées, comme si j’avais utilisé un gloss.
C’est donc les lèvres maculées de son liquide préseminal sucré que je reprends ma fellation. Tout en continuant de le branler, mes doigts écrasant sa tige, le branlant énergiquement, lentement, mais en pressant son gros et long sexe, dans l’espoir de lui provoquer un orgasme détonnant, explosif, paroxystique. Je respire fort, je surventile et ma bouche suce cet homme, qui pourrait être mon père, avec l’avidité d’un ours léchant un miel sucré, d’un chien trouvant une tartine de confiture abandonnée par terre, ou d’une jeune femme affamée à qui on tend une banane...
Je le suce, je le mange, je le goûte, je le teste. Mes lèvres compressées sur sa matraque, ma langue folle l’entourant, le serrant, asphyxiant son gland en enlaçant suavement son frein, comme le ferait un serpent sur sa proie. Je deviens fou, je perds le contrôle. Ma conscience se focalise sur ma bouche et mes mains. Mes va-et-vient se font rapides, insistants, ma gorge aspire son sexe au fond de moi. Je le presse de jouir en moi. Je veux sa jouissance. Je veux l’obtenir, la lui voler. JOUIS ! tente de lui signifier mes bruits de succion et d’asphyxie alors que toute sa verge est dans ma gorge et que mon nez embrasse ses poils pubiens, que de mes lèvres sortent des torrents de bave chaude et gluante, que mes yeux pleurent de bonheur, que l’atmosphère est saturée de "gloak ! gloak ! gloak !", hymne sonore de ma soumission à Johan. JOUIS JOHAN, JOUIS JE T’EN SUPPLIE !
JOUUUUIS !!!

Malheureusement, le rêve s’interrompt toujours là, alors que je mange Johan. Jamais il ne jouit, à mon grand regret.Alors chaque réveil suivant ce rêve est le même : je fais glisser mes mains sous mon drap pour me faire jouir. L’orgasme est à chaque fois rapide, mais intense, et je m’inonde le torse de sperme liquide et brûlant.
Au fil des semaines, au fil des successions de ce rêve, qui me fait me remettre en question sur ma sexualité, un plan s’impose à moi. Un plan en plusieurs étapes, auquel je suis soumis.La première de ces étapes : me procurer un godemiché en forme de bite, et reprendre, sans que cela ne paraisse étrange, contact avec mon Johan...
Diffuse en direct !
Regarder son live