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Johannah

Chapitre 2

Premiers jeux

Trash
Ils arrivèrent à la sortie du lycée où Mathilde les attendait.
— Que penses-tu de Mathilde ? Demanda Johannah.— Honnêtement ? Je ne lui ai jamais vraiment parlé…— A moi non plus avant aujourd’hui, mais c’est pas le propos ! Physiquement, comment tu la trouves ?
Shawn hésita et dit finalement :
— Plutôt banale, quoi.
Il fallait dire que ce terme caractérisait bien Mathilde, elle était ni belle ni laide, avec ses cheveux blonds, ses lunettes qui lui donnaient un air intello, et sa jupe grise qui laissait voir les longs poils noirs qu’elle avait aux pattes. Les garçons ne l’approchaient pas non plus. Avec une telle dégaine, elle s’était fait une réputation de fille frigide. Certains disaient même qu’elle avait des champignons à la chatte, ou encore qu’elle avait des morpions.Là, Johannah le prit de court :
— Tu la baiserais ?— Comment ? Demanda-t-il surpris.— Je t’explique : toutes les deux, les garçons ne veulent pas de nous, alors ça nous a rapprochés. Et on a signé un pacte.— Lequel ? Demanda Shawn, curieux.— Partager notre première fois pour connaître ensemble l’effet d’être désirée, même en tant que pur objet sexuel.— Mais ce n’est pas comme ça que je te vois, tu es ma…— Ta guenon, oui ! Dit-elle satisfaite. Mais Mathilde se contentera d’être un vagin sur pattes.— C’est pas sympa, ce que tu dis, Johannah. Au moment où il disait ça, ils arrivaient à la hauteur de Mathilde. Celle-ci dit timidement :— Shawn MacAllister ? Sérieusement ?
Ce dernier était de plus en plus gêné par la situation. Comme pour le rassurer (ou l’inverse ?), Johannah demanda alors :
— C’est pas bon ? Tu fais ta difficile, maintenant ?— Non, non…
Ils entrèrent dans la voiture de Mathilde qui prit le volant.
— Ca va, Mathilde ? Demanda Shawn sur le trajet, qui n’était animé que par la voix de Johannah, trépignant d’impatience.— Oui… répondit-elle simplement. Ils arrivèrent devant une petite maison, dans un quartier tranquille.— Les parents de Mathilde ne sont jamais là ! Toujours à bosser quelque part. Et sa sœur est en pension. Le château est à nous !
Ils entrèrent, prirent chacun une bière, à l’exception de Mathilde, qui ne tenait pas l’alcool.Ils se mirent tous trois sur le canapé, le garçon entre les deux filles, devant un film porno, histoire de se mettre dans l’ambiance. Petit-à-petit, Johannah se mit à mouiller abondement. Elle jeta un œil à son amie, qui semblait aussi gênée qu’émoustillée. Johannah se pencha à l’oreille de Shawn :
— Doigte-nous. Chuchota-t-elle avec malice.
Shawn glissa alors ses mains dans le pantalon de Johannah à sa droite, et la jupe de Mathilde à gauche. « Sa culotte est inondée » se dit-il. Il remarqua que Johannah était sensiblement plus velue. Il inséra deux doigts dans chacune des chattes. Mathilde étouffa un gémissement. Elle était rouge vif. Shawn se tourna alors vers Johannah. Elle avait commencé à se caresser les seins.
— Caresse-toi les tétons ! Ordonna Shawn. Johannah obéit. Il accéléra la cadence. Elles plissèrent les yeux. Leur respiration s’accéléra. Il mit un troisième doigt. Mathilde poussa un grand cri. Il n’y avait plus aucune douceur dans son mouvement, il allait et venait très vite.— Il m’a semblé que tu avais de gros tétons, tout à l’heure.— Oui, ils sont gros… Répondit timidement Johannah.— Montre-moi !
Sans retirer son débardeur, Johannah en prit les bretelles, et en fit sortir ses deux seins, aux larges aréoles cernées de quelques poils, des mamelons volumineux et longs se dressaient fièrement en leur centre.
— Punaise ! Ils sont énormes ! Et ces poils autour des tétons, c’est tellement vulgaire !— Pourquoi tu ne demandes pas à Mathilde de te montrer ses seins, elle aussi ? Demanda Johannah, intimidée.— Mais…— Tu la possèdes aussi ! Tu peux exiger d’elle ce que tu veux !— C’est bizarre, ça me perturbe…— Mais elle…— Si Joe est ta guenon, moi, je suis ta chienne ! Cria enfin Mathilde, clouant les deux autres sur place.
Elle leva, se posta devant eux, et retira sa culotte : sa chatte dégoulinait de mouille.
— J’en ai marre d’être la frigide de service ! Je veux être débauchée, je veux être abusée, je veux être maltraitée ! Lâche-toi, Shawn, je veux être l’objet de tous tes fantasmes les plus délirants ! Je suis ta chienne!
Après une réflexion de quelques secondes, Shawn dit finalement, encore un peu hésitant :
— Tu es sûre ?
En guise de réponse, Mathilde enfonça ses deux index et majeurs dans sa vulve, et entreprit de l’ouvrir en grand. Elle y parvint étonnamment bien.
— Mathilde et moi avons déjà fait des choses ensemble. On a commencé par se masturber ensemble, puis nous avons essayé de mettre des trucs dedans, sans aller trop profondément, histoire de ne pas abîmer nos hymens. — Donc tu es mon esclave, Mathilde ? Demanda Shawn.— Je suis ta chienne ! Contrairement à une esclave, je ne bénéficie pas du statut d’être humain !— Tu es vraiment sûre ?
Elle acquiesça.Un sourire carnassier se dessina sur les lèvres du garçon.
— Okay ! Tu as des piments rouges ?— Oui, des piments California Ripper, très forts, pourquoi ?— Si tu es ma chienne, tu vas aller en chercher dans la cuisine, et tu vas te les foutre dans la chatte.
Mathilde eut un petit moment d’appréhension :
— Mais, et si je perce mon hymen avec ?— Je me contre-branle de ta virginité, je veux te voir avoir très mal !
Mathilde se reprit, hocha la tête et fila vers la cuisine. Elle ne pouvait pas se dégonfler au premier ordre de son maître !
— Pendant qu’elle cherche, je vais m’occuper de toi, ma guenon ! Dit Shawn en se tournant vers l’intéressée. Retire tout mais garde ton débardeur ! Mets-toi sur le dos, et écarte bien les cuisses !
Elle obéit.Shawn se plaça alors devant elle, et commença à la butiner. C’est là qu’il vit toute l’ampleur de sa pilosité. L’odeur également était présente, elle lui agressait les narines, comme de l’acide. Mais il adorait cela. Il embrassa son nombril, descendit lentement en suivant la ligne de poils qui partait de ce dernier pour se fondre dans son pubis. Puis sa langue atteignit son bouton d’amour. Il s’appliqua à le gâter pour offrir le plus de plaisir possible à sa partenaire. Celle-ci mouillait tellement que Shawn aurait pu boire sa cyprine pour se désaltérer.Au moment où Mathilde revint avec les trois piments, Shawn retira sa langue de la vulve détrempée de Johannah. Il retira alors son pantalon et son caleçon, exhibant alors une fort bonne queue de 18 cm sur 3 cm. La jeune fille écarta ses chairs, afin de pouvoir être dépucelée par le footballeur.
— Mets-toi un piment au moment où je pénètre Johannah. Ordonna-t-il à Mathilde.
Soumise, Mathilde acquiesça.Shawn entra doucement en Johannah, avec la ferme intention de ne pas lui faire mal. Celle-ci poussa quelques gémissements. Shawn lança un regard sévère à Mathilde, qui commença à insérer le légume dans son vagin. Instantanément, elle sentit des flammes brûler ses chairs. Une brûlure intense et lancinante. Elle ne put contenir un gémissement de douleur. Celui-ci excita davantage Shawn qui commença à accélérer les allers-retours à l’intérieur de Johannah. Celle se mit aussi à gémir, mais de plaisir. Malgré la douleur de la première fois, elle sentait le sexe de son partenaire s’enfoncer au plus profond de son être. C’était divin ! Pendant ce temps, Mathilde glapissait de plus en plus fort. Elle avait déjà inséré la moitié du poivron dans son sexe. Elle se forçait, malgré la douleur épouvantable que cela lui infligeait, à continuer. Cela continua ainsi pendant plusieurs bonnes minutes, jusqu’à ce que Shawn et Johannah jouissent ensemble dans une explosion. La fille arrosa le parquet de son jus, tandis que le garçon lui repeignit l’utérus. Ils reprirent leur souffle, comblés, quelques secondes durant, avant de se souvenir de la blondinette, qui, quelques centimètres à côté d’eux, supportait seule son calvaire.Il leur vint alors une idée des plus cruelles… A suivre...
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