AVERTISSEMENT : CETTE HISTOIRE EST PARTICULIÈREMENT VIOLENTE
Ils se jetèrent sur elle, et, l’empoignant par les chevilles, la tirèrent à travers la pièce. Ankylosée par la douleur qu’elle ressentait à l’entrejambe, Mathilde ne put se débattre. Ils la traînèrent jusqu’à la barre de traction, à l’orée de l’escalier menant au sous-sol. A l’aide d’une corde, ils lui attachèrent les mains et les pieds, puis la suspendirent à la barre, la tête à l’envers les jambes écartées, le sexe vers le plafond. Le piment était encore à demi-enfoncé dedans. Shawn le retira, pour permettre à Mathilde de souffler un peu. Il commença à lui caresser la tête pour la calmer.C’est alors que Johannah arriva avec d’autres piments. Toute excitée, elle était sur le point d’en insérer un autre dans la vulve de son amie,lorsque celle-ci l’arrêta :-Attends... mets-le dans le cul !-Quoi ? Demanda Johannah surprise.-Le piment... mets-le moi dans le cul plutôt ! Dit-elle avec insistance.Les deux autres parurent hésiter. Soudain, Mathilde s’énerva :-Après tout ce que vous avez fait, c’est que maintenant que vous avez des états d’âme ? Vous n’allez même pas aller au bout ? Je sais ce que je veux ! Je suis majeure et vaccinée ! Je suis assez grande pour prendre mes décisions toute seule et en assumer les conséquences ! Alors maintenant, vous allez arrêter de tergiverser,vous allez prendre ce putain de piment, et vous allez me l’enfoncer dans le fion ! Et que ça saute !Shawn et Johannah, se lancèrent un regard, autant charmés que stupéfaits par cette tirade de la pourtant si timide Mathilde. Puis ils s’exécutèrent.Johannah prit un piment tout neuf, et, commençant par la tête du légume,commença à entrer ce dernier dans le rectum de sa partenaire soumise. Très lentement. Plus pour faire durer le plaisir que pour ménager la blondinette.Le cri survint presque instantanément. Tout en tirant la langue et en bavant partout, Mathilde hurlait sa douleur et son plaisir.-Ooh, Ouais ! Encore, ça fait tellement mal ! Encore !Shawn, pendant ce temps, n’avait pas chômé ; tout en insérant son index dans la vulve de sa soumise, il lui mordait les mamelons, l’un après l’autre, en y laissant des traces de dents. Puis il les suçait de manière étonnamment douce, avant de surprendre sa propriétaire avec une nouvelle morsure sauvage. Puis il suçait de nouveau. Mathilde en devenait complètement folle. Elle ne parvenait même plus à articuler ses demandes de continuer à l’attention de ses amis.-Aah ! Eeuh !
* Lorsque le piment fut entièrement rentré, les deux tortionnaires deux minutes accélérèrent la cadence de leurs caresses, si bien que très vite, Mathilde jouit en hurlant. Alors ils la détachèrent etla portèrent sur le canapé, pour lui accorder un repos plus que nécessaire.Shawn et Johannah se regardèrent d’un air très complice avant de s’étendre l’un contre l’autre par terre. Ils commencèrent à s’enlacer puis s’embrassèrent longuement. -Parle-moi mal. Demanda Johannah.-A tes ordres, sale chienne ! Prononça son partenaire en guise de réponse.
Il se redressa, sortit son pénis, et intima l’ordre à sa compagne de se retourner. Elle s’exécuta. Shawn empoigna alors les énormes fesses de Johannah, et introduisit sa verge dans son cul par surprise.-Oh ! S’écria-t-elle de plaisir. Shawn entama des allers-retours frénétiques, tout en donnant d’énormes claques sur le postérieur de sa partenaire, qui couinait en bavant.Puis il prit un piment et s’enfonça dans la chatte crémeuse sans prévenir. Johannah poussa un cri. -Ta gueule ! Ordonna Shawn en donnant un grand coup sur le sexe de la jeune femme avec sa main.-Pardon. Répondit-elle excitée par ce traitement.-Je t’ai dit de fermer ta gueule ! Hurla Shawn en la retournant sur le dos.Il se leva alors pour venir s’accroupir près du visage de Johannah afin de mettre son pénis dans sa bouche et prit sa tête pour la secouer d’avant en arrière. Sa partenaire, qui s’attendait à une punition,était aux anges que la sanction soit aussi violente. Cela dura jusqu’à ce que Johannah fût sur le point de s’étouffer. Là, Son homme la lâcha pour quelques instants, histoire de la laisser reprendre son souffle.Ils s’installèrent alors sur le canapé pour se détendre en matant un bon film. Shawn caressait délicatement les cheveux d’une Mathilde endormie, tandis que de l’autre côté, Johannah lui triturait la chatte.-Laisse-la tranquille, veux-tu ? Dit Shawn, moitié agacé, moitié amusé.-Oh... Se contenta-t-elle de rouspéter alors que le film commençait. * Le film s’ouvrit sur une base militaire russe durant la guerre froide.Deux gardes étaient postés devant un coffre fort, l’air très antipathique. Une jeune femme blonde, très belle, dans un uniforme impeccable s’approchait des deux hommes. Lorsqu’elle arriva à leur niveau, ils demandèrent dans leur langue un matricule d’identification. La blonde leur tendit une carte. Celle-ci ne semblait pas leur convenir car l’un d’eux lui intima l’ordre de le suivre.Tout à coup, la femme le frappa violemment à la gorge, enchaîna l’autre avec une prise de judo, puis l’assomma d’un coup de botte. Enfin, elle exécuta le premier, qui s’étouffait encore, en lui brisant les cervicales. Elle allait taper le code pour ouvrir le coffre lorsqu’un canon de pistolet se posa sur sa nuque, la menaçant de son feu meurtrier. Une voix d’homme, suave et au fort accent russe, se fit alors entendre :-Jane Link. Quelle surprise pour moi de vous revoir ici, en Mère Russie. Et pendant qu’il disait ces mots, il retira la perruque de l’espionne, dévoilant sa belle chevelure rousse, coiffée en un chignon.-Ivan Ruskovitch...Je ne vous avait pas revu depuis notre mission spéciale à Berlin en quarante-quatre.-Cela fait donc seulement six ans ? Répondit Ivan en rangeant son arme dans son étui. Il poursuivit :-Nous allons enfin pouvoir finir ce que nous avons commencé en Allemagne...-Je ne vous laisserai pas me supplier, j’étais déchirée de devoir rentrer si tôt en Angleterre... Dit-elle d’une voix charmeuse. Et ils s’enlacèrent. Jane tapa négligemment le code à l’aveuglette,puis ouvrit le coffre fort du pied. Ils s’enfermèrent dedans et commencèrent à faire l’amour. Ivan dévoila les seins de l’espionne, qui commença à lui griffer le dos. Ses tétons étaient érigés au maximum. Jane criait au rythme des coups de reins de son russe.
Alors que les gémissement de l’espionne retentissaient dans le salon, Shawn jeta un œil à ses compagnes. Toutes deux dormaient à point fermés. En esquissant un sourire, le footballeur s’affala de tout son poids sur le canapé, avant de s’assoupir à son tour, bercé par les couinements de Jane et de son amant.
