- Histoire érotique écrite par zooph34
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Voici la suite de « la ballade en campagne »
John
Nous passons la nuit Marie et moi-même chez Brice et Elodie. Le lendemain, nous rejoignons son studio. Nous passons trois jours à faire l’amour dans toutes les positions possibles. Nous finissons de nous découvrir. Plus le temps passe, plus nous faisons l’amour et plus notre amour réciproque est grand. Je ne peux plus me passer d’elle, elle ne peut plus se passer de moi. Nous sommes heureux et épanouis comme jamais nous ne l’avons été. Un matin de bonne heure Marie réalise qu’elle doit rentrer à Paris.
— Chéri, il faut que je rentre, le devoir m’appelle, mon congé maladie s’arrête dimanche, je reprends lundi. Je sais que tu déteste Paris mais j’aimerai tant que tu m’y accompagnes.
— Ok chérie, mais il faudra me trouver une activité.
— je crois que je sais ce qui va te plaire.
— Oui, quoi?
— Tu verras, rangeons et nettoyons tout pour pouvoir rendre les clefs. Nous avons quatre jours devant nous, profitons-en.
Après avoir récupéré ses affaires et rendu les clefs du studio, nous rangeons grossièrement la caravane, je reviens obligatoirement dans moins d’un mois. Tout est prêt pour le départ. Nous partons vers neuf heures.
Arrivé à Paris vers vingt deux heures, je découvre l’appartement que Marie possède avenue Marceau dans le huitième arrondissement. C’est un très grand appartement, cinq pièces, un immense salon salle à manger, trois chambres et un bureau. Deux salles de bain et deux WC, sans compter l’imposante cuisine. Le tout décoré avec beaucoup de goût. Cet appartement donne envie de s’y installer, il est chaud et accueillant.
— C’est immense et superbe, avec en plus une vue sur l’arc de triomphe.
— Oui, c’est une folie de mon père dont j’ai hérité, Brice a l’équivalent dans le septième, boulevard des invalides. Mon père était très riche et ne jurait que par la pierre. Nous possédons à tous les deux huit autres appartements dans Paris que nous louons en commun au travers d’un GIE. Il y a deux T3, trois T4 et trois T5 tous de grand standing et dans de très beaux quartiers. Cela fait un très bon revenu, mais le GIE doit acquérir un autre appartement, un T3 de luxe avenue Georges V, à côté.
— Tu es bien jeune pour avoir hérité.
— Mes parents se sont tués en voiture il y a cinq ans, j’étais encore jeune, c’est Brice qui a prit le relai.
Nous nous installons. Marie m’entraîne dans sa chambre, me déshabille, se déshabille et me pousse sur son lit. Elle se jette sur ma bite et ne tarde pas à la faire se dresser bien droite. Elle me chevauche et s’empale dessus en fermant les yeux. Je sens son sexe humide m’envelopper le mien dans une gaine douce et chaude. Elle est face à moi, les mains appuyées sur mon torse et bouge son bas ventre en cadence. Nous jouissons presque en même temps. Elle se met sur le dos, me met sur elle pour me caresser, mais le voyage en voiture de sport nous a fatigué, huit cent kilomètres en une journée, ça laisse des traces, même en conduisant chacun notre tour. Tant et si bien que nous nous endormons sur le lit enlacés.
Le lendemain, je suis réveillé par l’odeur du café. C’est assez inhabituel que je ne sois pas le premier debout. Je me lève et me dirige vers la cuisine. Marie est là, nue, entrain de préparer le petit déjeuner.
-Bonjour chéri, tu as bien dormi ? J’ais fini dans une minute.
Je l’enlace par derrière et l’embrasse dans le cou. Elle se retourne et me colle sa bouche sur la mienne. Nos langues dansent la samba un bon moment, elle en profite pour me caresser les fesses, ce en quoi je l’imite. Ses seins sont comprimés sur ma poitrine, je commence à bander sérieusement et elle s’en rend compte.
-Je crois que le petit déjeuner va attendre, je vais prendre un en cas.
Elle s’accroupi lentement, embrasse mon corps au fur et à mesure de la descente et me gobe la bite. Sa langue excite mon gland, elle me mordille le bout du gland, l’aspire, le lèche, le suce et fini par me faire jouir. Je me vide dans sa bouche, elle avale tout et me nettoie le sexe en le léchant. Elle se redresse et m’embrasse fougueusement. Je la repousse, descend le long de son corps, embrasse son menton, son cou, ses seins longuement, son nombril, son ventre et je pose mes lèvres sur son sexe trempé. Ma langue s’active sur ses lèvres, excite le clitoris et la fait partir dans ce que j’espère être son premier orgasme de la journée. Je me redresse, l’embrasse et la prend dans mes bras. Je la porte jusqu’à une chaise, l’assoie, lui pose un léger baiser sur les lèvres.
— Ne bouges pas, je m’occupe de tout.
— Tu ne sais même pas ou sont les ustensiles.
— Si c’est rangé avec logique, je trouverais.
Je retourne à la cuisine et fini le petit déjeuner que j’apporte sur un plateau. En fait tout était disposé logiquement. Nous déjeunons et Marie se lève pour aller faire sa toilette. Je débarrasse tout dans le lave vaisselle et je la rejoins sous la douche. Nous nous lavons mutuellement, mais j’ai envie de sentir son sexe sur ma langue. J’adore son goût, son odeur. Je m’accroupi, lèche son corps en descendant vers son sexe. J’écarte les lèvres et je m’empare de son clitoris, l’aspire, le mordille, le suce. Ma langue entre dans son vagin, s’insinue le plus profondément possible, elle passe par l’anus, titille la rondelle pour revenir au clitoris et la faire exploser de plaisir. Ses mains plaquent ma tête sur son sexe, elle s’accroupie légèrement pour ouvrir un peu plus ses jambes, elle est secouée de spasmes.
— On ne va tout de même pas passer notre journée à se faire jouir ?
— Et pourquoi pas ?
— Parce que j’ai d’autres projets mon chéri adoré.
Elle me redresse en tirant sur ma tête, me pose un baiser sur la bouche, fini de se laver, s’essuie et va choisir des affaires pour s’habiller. Sa garde robe est disposée dans un dressing immense qui la contient tout juste.
N’ayant amené que le stricte minimum, je n’ai pas ce problème. Marie fini par choisir une jupe courte moulante beige, un corsage blanc assez transparent et des escarpins, et rien d’autre, aucun sous vêtement. Elle est splendide. Moi je suis entièrement en blanc, pantalon, chemisette, chaussette et chaussures. J’adore être en blanc. Nous sortons dans la rue, il fait assez chaud et elle ne passe pas inaperçue. Nous prenons un taxi qui nous mène aux champs. Pendant le chemin, le chauffeur a remarqué que Marie était nue sous sa jupe et a réglé le rétroviseur en conséquence. Il regarde plus la chatte de Marie que la rue à tel point qu’elle est obligée de changer de position sur le siège pour éviter un accident.
-J’ai téléphoné ce matin à une amie, nous avons rendez-vous avec elle dans dix minutes. Je pense que j’ai trouvé de quoi t’occuper pendant mon absence quand je travaillerais, tu vas voir.
Nous arrivons au Fouquet, il y a une femme d’une bonne quarantaine d’années qui se lève dès que nous entrons. Elle est vêtue d’une robe moulante assez courte et fendue sur les deux côtés. Un décolleté plongeant sur une poitrine libre.
-Bonjour ma chérie, alors, c’est le dresseur ?
— Si il accepte. Jean, je te présente Elisa, elle a quelque chose à te présenter.
-Bonjour Jean.
Nous nous asseyons, ce qui a pour effet de faire remonter la robe d’Elisa jusqu’à son entrecuisse, ça ne la dérange pas du tout. J’ai une vue plongeante sur son string. Nous commandons des boissons et la discussion commence.
-Mon cher Jean, j’ai quelque chose à vous proposer. Je possède un chenil et je suis éleveuse de berger allemand. J’ai parfois, disons une fois par trimestre en moyenne, des demandes spéciales. Je suis connu du milieu zoophile par l’intermédiaire de Brice et Eric, et certaines personnes veulent un chien pour satisfaire leurs besoins. Or, si on veut pratiquer sans risques, il faut les dresser et tout le monde ne peut pas le faire. Je vous propose d’être ce dresseur à chaque fois que j’ai une demande. Sachez que le dressage d’un chien demande deux à trois mois, ce qui fait en moyenne quatre à cinq par an maximum, et qu’il doit être essayé et accepté par les propriétaires. C’était Eric et Valérie qui le faisaient mais maintenant ils sont dans le sud et c’est trop compliqué. Est-ce que cela peut vous intéresser ?
Je regarde Marie, elle est toute excitée à l’idée d’avoir un chien baiseur chez elle, et ça se voit.
-Pourquoi pas. J’accepte d’essayer.
-Très bien, allons tout de suite voir l’animal que l’on nous a amené. Les propriétaires les gardent entre dix huit et vingt quatre mois avant de les faire dresser. Hier, j’ai réceptionné un mâle de vingt mois pour le dressage, je vais vous le confier. Venez avec moi, j’ai ma voiture au parking.
Nous la suivons, montons dans son 4X4 de luxe et, après trois quarts d’heure de route, arrivons dans son chenil. Un homme du même âge que la femme nous accueille, c’est son mari Louis. Nous sommes présentés au chien, John, qui a l’air de tout de suite nous adopter. C’est un chien impressionnant, c’est une belle bête. Il est doux, affectueux et cherche toujours à se faire caresser. Nous l’emmenons chez nous avec Elisa. Tout est fourni, tapis pour dormir, gamelle, nourriture.
Le soir même, Marie veut savoir ce que peut faire le chien. Elle l’appelle, il arrive tout de suite pour se faire caresser. Elle est toujours en jupe sans culotte. Le chien ne remarque rien de particulier, il reste à côté de Marie en appréciant ses caresses. Marie se lève, se déshabille entièrement et va dans la salle de bain pour prendre une serviette qu’elle étale sur le dallage du salon, elle va dans la cuisine, prend un pot de confiture et retourne au salon. Elle se couche sur le dos, étale un peu de confiture sur son sexe et appelle John. Celui-ci avance vers elle, il se dirige vers le haut de son corps pour se faire caresser. Marie écarte les jambes.
— Chéri, amène-le vers mon sexe.
Je le prends par le collier et le dirige, entre les jambes de Marie, vers son sexe. John se penche, renifle la confiture et commence à la lécher. Marie se cabre, le chien a l’air d’aimer ce qu’il lèche mais une fois la confiture finie, il se redresse et semble vouloir quitter les lieux. Je rajoute de la confiture et John se remet à lécher le sexe de Marie. Elle ferme les yeux, reste sur le dos les bras en croix et fait bouger son ventre. Je sens que son plaisir monte, mais le chien se détourne d’elle une fois la confiture finie et va se coucher.
-Ce n’est pas gagné, il a été trop rapide, je n’ai pas eu le temps de mouiller suffisamment pour qu’il sente mon odeur.
-Ne t’en fait pas ma chérie, ce n’est que le premier jour et il ne sait pas encore ce que l’on veut de lui, ses propriétaire l’on juste dressé à l’obéissance, surtout qu’Elisa leur avait bien dit de ne rien faire de sexuel avant le dressage.
Je m’allonge entre ses jambes et je remplace John. Marie se cabre de nouveau, pose ses mains sur ma tête et fait onduler son bas ventre. Je lui aspire les lèvres, les écarte, les mordille, j’évite au maximum son clitoris, je ne veux pas qu’elle jouisse trop vite. Je sens sa cyprine commencer à couler, son odeur caractéristique chatouille mes narines. Je la suce, la lèche, la mordille quand tout à coup je sens la tête de John à côté de la mienne. Il a senti l’odeur de Marie et vient voir. Je m’écarte un peu pour lui laisser suffisamment d’espace. Son museau plonge dans l’entre cuisse de Marie et sa langue se pose sur son sexe.
-Oh là, oui, il comprend vite.
John lèche de plus en plus vite le sexe de Marie, sa langue va de l’anus au clitoris et Marie explose dans un violent orgasme. John est surpris par la réaction de Marie et abandonne son sexe. Je lui caresse la tête, et je regarde du côté de son sexe. Rien, il n’a pas de réaction sexuelle. Pour lui ce n’est qu’une gourmandise comme une autre. Il va falloir travailler sec. John retourne à son tapis et se couche. J’aide Marie à se lever, et nous allons dans la chambre.
-Il a une langue d’enfer, c’est déjà bien, mais il faut lui faire comprendre que nous attendons autre chose de lui.
-Ne t’en fait pas, nous avons trois mois pour ça.
Je couche Marie et retourne au salon pour ranger la serviette et le pot de confiture. John est debout devant le pot, il a envie de finir la confiture, mais il est bien dressé et attend mon accord. Je lui en donne un peu et range le tout dans la cuisine. Je rejoins Marie et nous dormons.
Le lendemain, Elisa nous téléphone pour nous prévenir de son arrivée imminente. Elle arrive dix minutes plus tard et nous dépose un chiffon imbibé de l’odeur d’une chienne en chaleur.
-C’est pour lui faire assimiler l’odeur de la cyprine à celle d’une chienne en chaleur. Une fois qu’il aura comprit, vous pourrez vous en passer.
Après quelques minutes de conversation sur le dressage, Elisa nous quitte. Marie toujours aussi pressée de se faire prendre par John, se déshabille et se masturbe. Elle se met en levrette et je viens lui lécher la fente. Elle se masturbe en même temps et je sens son odeur de cyprine si caractéristique. Je lui badigeonne les lèvres avec le chiffon d’Elisa et j’appelle John. Celui-ci arrive, commence à lécher la vulve de Marie en allant des lèvres à l’anus. Je remarque qu’il commence à bander, je mets une serviette sur le bas du dos de Marie, on ne sait jamais. John s’excite de plus en plus, sa bite sort de sa gaine et prend des proportions intéressantes. Il commence à donner des coups de rein et d’un seul coup, saute sur le dos de Marie.
-Oui, il va me la mettre, jean chéri, guide le s’il te plait.
Je me penche sous le ventre de John, mais je constate que sa queue est juste sur les lèvres de Marie. Il donne un grand coup de rein et s’enfonce d’un seul trait dans le sexe de marie.
-OOOOOOOHHHHHHHHHHH oui, il me baise, oui, c’est parti, il va me défoncer.
John s’active de plus en plus vite dans la chatte de Marie, elle commence à avoir des spasmes de plaisir, le chien se donne à fond. Marie est secouée de spasmes violents et a son premier orgasme.
-Oui, il me rempli, il éjacule en moi, que c’est bon, que c’est bon, vas y John, vas y, AAAAAHHHHH.
Je vois la boule de John grossir et après un coup plus fort que les autres, elle pénètre dans la chatte de marie.
-Oui, il me possède entièrement, il se vide de plus en plus fort, c’est trop bon, oohhhhhhh je repars.
Elle part dans un second orgasme, son corps est secoué de violentes spasmes, elle a du mal à respirer, elle cherche de l’air en ouvrant la bouche. Je lui caresse les seins, elle me souri mais je sens que ce n’est pas ce qu’elle désire en ce moment, elle veut se concentrer sur la queue qui la possède.
John veut se retourner mais je l’en empêche et le maintient sur le dos de Marie. Les propriétaires ont exigés que le chien reste en place après sa pénétration jusqu’à ce que sa boule sorte. Il a l’air de comprendre et reste immobile sur Marie. Celle-ci commence à fatiguer car John n’est pas particulièrement léger. Marie replie les bras et reste de cul en l’air avec John bien planté dans sa vulve, elle est toujours secouée par des spasmes de plaisir. Au bout d’un quart d’heures, John libère Marie et lui lèche le sexe. Cette langue sur son sexe et son cul fait bondir Marie et elle repart dans un nouvel orgasme.
John se retire et va dans son coin pour se lécher la bite qui entre dans son fourreau petit à petit. Marie se redresse et me regarde.
-Je crois que pour ce qui est de baiser une femme il ne devrait pas y avoir de gros problème, il faut maintenant que l’on s’occupe de lui faire sodomiser des femmes et des hommes. Tu veux essayer tout de suite ?
-Non car Elisa nous a dit qu’il fallait y aller mollo au début, il ne faut pas en faire une bête de sexe. Il doit rester un chien normal quand on ne lui demande pas de baiser. Nous recommencerons cet après midi.
-Ok, mais moi j’ai besoin d’une douche, tu m’accompagnes ?
-Demande à un aveugle s’il veut voir.
Je la suis sous la douche, elle marche devant moi et je ne peux m’empêcher de focaliser sur ses fesses qui ondulent devant moi, j’en bande. Arrivé dans la salle de bain, elle se retourne, s’aperçoit de mon état et en me souriant, s’accroupie et me fait une fellation d’enfer. Je me lâche dans sa bouche, elle avale et me sourit. Une fois sous la douche, je l’embrasse, sur la bouche, le menton, le cou, les épaules, les seins longuement, le nombril, le ventre, le pubis et j’arrive sur ses lèvres. Ma langue les écarte et plonge dans son antre qui ruisselle de cyprine. Son ventre a des mouvements d’aller retour, elle plie légèrement les jambes pour faciliter le passage à ma langue. Je lui aspire le clitoris et elle me plaque la tête sur son sexe en criant sa jouissance.
-Oui, j’aime quand tu m’aimes comme ça. Continu chéri, continu.
Son sexe est parcourue de soubresauts, elle se crispe et se détend d’un seul coup. Je la retourne pour lui lécher l’anus, elle se penche pour me faciliter la tâche. J’enfonce ma langue dans sa rondelle, elle apprécie et me le fait savoir.
-Oui, comme ça, oui j’aime, continu je vais jouir encore.
Je sens son sphincter se contracter, elle joui de nouveau. Elle fini par se calmer, se retourne, attrape ma tête et la fait remonter jusqu’à sa bouche. Elle me donne un baiser passionné. Elle me regarde, se penche vers mon oreille.
-Je t’aime, Jean, je t’aime.
— Moi, aussi je t’aime Marie, je t’aime.
Nous sortons de la douche et une fois essuyés, nous nous allongeons nus sur le lit enlacés sans bouger pendant une bonne heure. C’est le bonheur.
Le dressage a continué, mais ceci est une autre histoire
Zooph34@gmail.com