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John étudiant libertin

Chapitre 3

Rentrée universitaire

Hétéro
Depuis un mois je suis rentré de vacances de chez ma tante.

A mon retour, après ma nuit avec Dany, j’ai retrouvé avec plaisir ma petite chambre et sa proprio, Germaine qui régulièrement me demande outre mes services de soubrette, d’être sa demoiselle de compagnie. Je ne m’en plains pas, elle sait être généreuse.

Bien sûr j’ai retrouvé mes parents, ma mère égale à elle-même, un peu rabat-joie, par contre mon père enjoué et très différent à son habitude, soigné, élégant, habillé dernier cri... Il ne cesse de parler de la famille Gérard, mes logeurs, souligne leur amabilité et ma mère y ajoute une couche vantant leur gentillesse à mon égard, elle ne se rend compte de rien et lui... quel coquin ! Si elle savait, si il savait...

Depuis mon retour je bosse sur mon rapport de stage pour la fac. Tous les jours je retrouve Mélina, une copine de fac avec laquelle j’ai fait avant les vacances un stage de deux mois chez un expert-comptable.

Mélina est grecque, elle a un adorable petit accent. C’est une fille plutôt jolie sans être un canon de beauté. Brune aux cheveux courts, un visage souriant aux traits fins, des yeux noirs. Sans être grande, elle est élancée et a de très jolies formes. Ses habits comme sa coupe de cheveux lui donnent une allure de garçonne d’autant plus remarquable qu’elle fréquente surtout des nanas.

A l’université, c’est une étudiante bien classée et plutôt sympa. En stage, nous avons formé un super tandem, on travaillait aussi bien qu’on rigolait. C’est au cours de ces huit semaines nous nous sommes liés d’amitié. Au retour des vacances, naturellement nous avons décidé de préparer ensemble notre rapport de stage. Ainsi nous nous retrouvons régulièrement chez elle pour travailler et... pour flirter un peu.

Ce soir, les parents de Mélina reçoivent du monde et nous avons convenu de nous retrouver dans ma chambre.
Aujourd’hui Germaine a voulu que je l’accompagne chez la corsetière pour me commander un ensemble pour une de ses prochaines soirées. Elle aime que nous sortions entre filles. Ainsi elle m’a demandé que je mette mon pantalon et ma veste cintrée noirs avec une petite blouse blanche. Ça me creuse la taille, arrondit les hanches, exagère la poitrine, bref ça me donne une ligne très sexy. On a tardé un peu dans l’après-midi et nous arrivons bras dessus-dessous à peine un quart d’heure avant mon rendez-vous avec Mélina.

— Jane, excuse-moi je dois passer chez le boulanger, je te laisse, bonne soirée et à très bientôt.

Elle m’embrasse à la commissure des lèvres et s’éloigne.
A peine arrivé dans ma chambre j’ai juste le temps de retirer veste, blouse, brassière et prothèses mammaires qu’on frappe à ma porte. J’enfile, rapidement un tee-shirt blanc et ouvre sans précaution en pensant que Germaine a oublié quelque chose :

— Oui, oui !

Mélina est là devant moi !... je suis pétrifié.

— John ! Bonsoir, je suis un peu en avance... C’est toi qui vient d’arriver ?

Elle me fait un petit bisou du bout des lèvres et me pousse en arrière pour entrer dans ma chambre. Mon cœur bat la chamade

— Euh...
— Oui la jolie fille en tailleur noir hyper sexy avec une femme, pas mal non plus... Oui bien sûr que c’était toi, ta veste est sur le lit !
— Mél …

Le monde s’écroule, elle découvre mon double personnage, elle va tout dire, je vais être la risée de tous à la fac... Je vais tout arrêter, mes études, tout s’écroule autour de moi.

— T’es un trav !...
— NON ! (je l’interromps comme choqué, c’est tellement moqueur) Non ! Mais j’aime séduire comme une femme et aimer comme un homme.

Elle s’assied sur le lit, écarte en souriant mes prothèses et comme pour justifier aimer comme un homme, je m’assoie près d’elle, la prends par les épaules, la renverse sur le lit et l’embrasse. Elle me répond en passant sa langue sur mes lèvres, mon simple baiser devient un vrai baiser d’amant.
C’est notre vrai premier baiser avec la langue, les langues se caressent, virevoltent, passent d’une bouche à l’autre. Ma main s’appuie sur un sein avec délicatesse, le caresse avant de le palper doucement. Elle me répond en me caressant le dos, la main sous mon tee-shirt... Je m’enhardis en passant sous son débardeur, je saisis le sein à pleine main en accentuant la pression enfin je le dégage du tissus de soie qui le protège...
En deux minutes, sans un mot, tout en s’embrassant, nous abandonnons nos hauts et restons en pantalon allongés l’un contre l’autre, les jambes enchevêtrées. Elle me regarde en souriant et me murmure :

— C’est vrai, tu aimes comme un homme mais avec la délicatesse d’une femme, j’adore ! (tout en me donnant un bisou du bout des lèvres) Tu peux m’expliquer ?
— Je vais tout te dire. C’est vrai je fréquente la dame que tu as vu avant, c’est ma proprio, comme beaucoup d’autres de mes relations, elle est beaucoup plus âgée que nous. Tu es la première jeune fille que je fréquente !
— Première jeune femme !

Une réaction comme pour affirmer : "Non je ne suis pas une petite fille". Effectivement, même si elle a juste 20 ans, son baiser, ses caresses sont ceux d’une femme expérimentée.
Je lui raconte tout, depuis mon dépucelage par mon cousin, mes soirées avec mes oncle et tante, ma rencontre avec Eve jusqu’à ma relation avec ma proprio, ses soirées fines et mon jeu de soubrette.
Elle m’écoute attentivement, religieusement comme en recevant une confession. En 10 minutes elle sait l’essentiel de mon histoire, en 10 minutes elle me connaît comme peu d’autres personnes, en 10 minutes nous sommes passés d’une relation de simple flirt à celle d’amants :

— John, Jane qui que tu sois, aime-moi !

En un coup de rein, elle se débarrasse de son pantalon et de son slip. Elle est nue sur le lit. En un saut je me lève et abandonne mon pantalon à plastron et mon slip. Je suis debout, en bas et jarretelles, face à elle, le sexe bandé.

— John, Waouh ! Tout beau, tout bronzé, tu as un sacré morceau planté sur une silhouette de femme. Viens ! Baise-moi comme un homme et fais-moi l’amour comme une femme.

Genoux relevés et ouverts, bras tendus elle m’attend.
Elle est également intégralement bronzée avec un petit gazon pubien. Visiblement elle pratique le naturisme comme moi. Ses habits masculins ne mettent pas sa silhouette en valeur, une magnifique amphore supportant une jolie poitrine avec deux seins dignes des plus beaux marbres antiques. Ses chairs intimes sont discrètes et leur carnation claire tranche avec sa pilosité noire. La contraction des mamelons et l’humidité de la vulve signent l’intensité de son désir.

Je la couvre, c’est elle-même qui pointe mon sexe sur ses lèvres. D’un coup je suis en elle, brûlante. Ma verge est un glaive qui se glisse dans son fourreau. Ils se sont trouvés, ils sont unis. Nous nous embrassons. Les pubis se soudent pour assurer une pénétration plus profonde puis seuls nos bassins se mettent en mouvement à peine, très lentement.

Notre baiser est à l’image de notre accouplement tendre, amoureux. Les langues jouent ensemble, dansent, vont et viennent. Notre désir s’intensifie, les mains se crispent sur les fesses, les épaules. Je la suis dans ses réactions. Oui maintenant plus fort, plus long, plus rapide, nos poitrines collées, c’est tout le bas du corps fait l’amour. Ma verge coulisse dans le vagin sur toute sa longueur. Mon ventre se couvre de sueur , de jouissance et on entend le clapotis des sécrétions vaginales.

— Oh oui ! John viens !

C’est sûr c’est John qui te fait l’amour. A genoux entre ses cuisses, je relève les jambes sur mes épaules, la plie en deux. Couché sur elle, je lui masse les seins, fais rouler ses tétons turgescents entre les pouces et index. Je la regarde, observe ses traits de visage, ses crispations, son sourire. C’est à nouveau par le mouvement du bassin que je la pilonne. Couché en accent circonflexe sur elle, la frappe de mon ventre, le bruit de sa mouille s’intensifient. Je la besogne ainsi un moment avant de me relever et de tenir en l’air ses jambes droites en V. Maintenant c’est à grands coups de rein que je la culbute. Mon regard fixé sur notre coït, je vois mon tronc luisant coulisser entre les lèvres couvertes d’une écume blanchâtre.

Mél les yeux fermés, est partie très loin, elle ne cesse de râler, émet de temps en temps un mot en grec « Nai … Kalo...Synéchise ».
Je la retrouve « Oui..oui...je viens... AAAAAH ! » Elle jouit et je la rejoins. Je lui lance tout, trois, quatre giclées au fond de son ventre. Je me vide lentement, lâche les jambes, tombe, vire sur le côté, on se retrouve en sueur allongés l’un contre l’autre. C’est elle qui m’embrasse du bout des lèvres.

— John baise aussi bien que Jane fait l’amour... j’ai trouvé celui, celle que je cherchais. Oh, rassure-toi, je ne dirai jamais rien, tu es un trésor, JE TE GARDE.

On se câline un moment et puis :

— Tu sais John... confidence pour confidence, j’ai une vie sexuelle intense. Ce n’est pas pour rien qu’on dit « Va te faire voir chez les grecs » et comme toi j’aime autant l’amour au féminin qu’au masculin avec un petit faible pour les femmes, c’est difficile d’être satisfaite par un homme. Ils pensent trop à eux, ils font leur affaire sans s’occuper du plaisir de l’autre, ils te prennent pour un trou et te jette comme un kleenex. " J’ai commencé très jeune à connaître le plaisir sexuel. Dès 10 ans j’avais trouvé mon petit bouton et instinctivement le soir je le faisais vibrer. Les gamins de mon âge avec leurs bistouquettes ne m’intéressaient pas vraiment. C’est beaucoup plus tard qu’un homme d’une quarantaine d’années m’a déflorée, trop vite, pas très bien. C’est une femme qui m’a consolée et m’a fait découvrir l’amour. J’ai eu beaucoup d’amoureux, quelques amants mais c’est souvent avec les filles que j’étais le mieux." Aujourd’hui en fac, j’ai essayé avec trois, quatre gars mais là encore c’est avec deux nanas que je me fais plaisir... Dommage elles sont exclusivement lesbiennes. Moi j’ai autant besoin d’un homme que d’une femme. C’est de toi dont j’ai besoin !

On est resté un moment ainsi, on a refait l’amour jusqu’au moment où le sérieux de Mélina a repris le dessus :

— John, il faut qu’on travaille, dans une semaine il faut rendre le rapport, je vais téléphoner à mes parents pour leur dire que je dors chez toi, comme ça on avancera bien.

Effectivement on a bien avancé, on est resté ensemble trois jours complets, on a beaucoup travaillé, on a beaucoup fait l’amour. On a revu l’expert-comptable pour ajuster nos textes. Elle est retournée chez ses parents mais presque tous les jours on s’est vu chez moi ou chez elle. Puis est arrivé le jour de la rentrée universitaire.

Avec Mél nous avons décidé de ne pas afficher notre relation à l’université. Ça fait plus de quatre mois, entre le stage et les vacances que je n’ai pas mis les pieds à la fac. Comme d’habitude je dissimule par mes vêtements la transformation de mon corps entre corset, gym et pompes ; par contre pour mes cheveux, qu’elle ne veut pas que je coupe, en réponse aux critiques ou moqueries, je m’amuse en faisant un chignon dans le cou à la mode révolutionnaire.

Sans aucun doute à l’université je suis un étudiant presque comme les autres.
Je suis un garçon en surface, une fille en dessous féminins et toujours avec la cage qui m’impose de pisser comme une fille et m’interdit toute érection. Mél s’en amuse en cours lorsque discrètement elle passe sa main dans ma braguette, sur mon shorty de soie.

Le jour de la soutenance du rapport de stage est arrivé.
Ensemble, nous présentons notre rapport au Jury composé de notre directeur d’études, notre professeur d’économie privée, l’expert comptable et un directeur d’une société de transport. La présentation du rapport ne pose aucune difficulté, on me demande des explications quant à l’organisation du cabinet, et Mél répond au transporteur avec brio à une question un peu technique d’amortissements. Nous recevons les félicitations du Jury et même des applaudissements.

En sortant de la salle, les copains nous attendent et nous félicitent. Deux filles viennent à la rencontre de Mél pour lui faire un bisou sur les lèvres, il est vrai que ses tendances homo sont connues de tous, ce qui la protège des harcèlements des mecs.

— John, attends-moi, je vais téléphoner à mes parents pour leur annoncer la mention.

Dix minutes plus tard :
— John, mes parents te remercie pour ton aide, ils voudraient t’inviter. Par contre ce soir c’est moi qui t’invite (et en aparté elle me murmure) J’invite Jane dans une boîte de nuit pour filles, fais-toi belle, je te veux en robe, je serai ton homme !
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