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John étudiant libertin

Chapitre 5

Jane et trois filles

Orgie / Partouze
A la sortie du cabaret le voiturier nous attend avec la Jaguar de Claude et Irène. En cinq minutes nous arrivons chez eux, rue Lamarck.Ils habitent un splendide rez-de-chaussée, le salon ouvre sur le jardin. Irène nous y installe alors que Claude revient de la cuisine avec le champagne :
— Mes amis, buvons à notre rencontre !.
Irène et mon "homme" Mélina s’installent sur un canapé et poursuivent leur câlin débuté dans la voiture.Claude, s’assoit à mon côté et m’enlace de son bras. Je me sens bien avec lui, sa force, son autorité masculine me plaisent. Il m’embrasse à pleine bouche, sa langue force mes lèvres, me pénètre profondément, occupe tout l’espace comme trois doigts. Je la suce telle une gourmandise.Dans une ambiance très cosy, lumière tamisée et musique en sourdine, entre deux câlins, on parle de la soirée, du strip-tease ce qui donne une idée à Claude :
— Dites-nous les filles vous nous offrez un petit spectacle ?
C’est Irène qui, tout sourire, vient me chercher. Je la découvre vraiment à ce moment, une jolie femme élancée, de moins 30 ans, auburn, les traits fins, des yeux verts, une bouche fine et bien dessinée avec un blush rouge vermillon. Très élégante, en talons aiguilles, bas couleur chair, jupe et chemiser rouge de grand couturier.Notre étreinte est tout de suite langoureuse et sensuelle. Elle commence par quelques pas de slow en m’embrassant du bout des lèvres. Ses mains me caressent de la nuque aux fesses, d’un frôlement superficiel à un attouchement appuyé. Elle murmure :
— Tu portes un corset ?... Tu vas plaire à Claude !
D’une main elle déboutonne mon chemisier, je l’aide à m’en débarrasser et me retrouve en brassière. Elle découvre mes prothèses et de son ventre, mon escargot dans sa coquille. Après la surprise et une brève réaction de recul, elle accentue sa pression en me mordillant l’oreille :
— Tu n’es pas celle qu’on croit !— Non mais...— Plus douce que bien des femmes et tellement féminine dans ton allure. Je n’aime pas les hommes mais j’aime ton genre et ta délicatesse.— Oui mais...— C’est sympa votre inversion de rôles avec Mélina.
Tout en murmurant, je lui ouvre son chemisier qu’elle rejette à l’arrière et sous lequel elle arbore un soutien-gorge de dentelle noire bien rempli qui dévoile presque la moitié des seins. Elle dirige la danse, se frotte à mon ventre et s’amuse à me taquiner l’escargot. J’ouvre sa jupe qu’elle fait tomber d’un recul du bassin et écarte d’un pied. Elle fait de même pour moi et je me trouve cul nu, en bas et corset.
Les deux "hommes" sont ravis de notre jeu. Collées l’une à l’autre, nous nous débarrassons de nos soutien-gorge, nous dansons encore un moment, nous nous embrassons dans le cou tout en continuant de murmurer :
— Pas de seins mais des tétons de fille !— ... Résultat des traitements quotidiens, pompes, pinces, étirements.— En plus, un peu maso ?... Claude va vraiment beaucoup aimer !
J’ouvre les clips de son string qui glisse sur les cuisses et en nous tenant par la main nous nous séparons pour saluer le public.
— C’est bien les filles, Jane tu caches merveilleusement ton jeu, viens me voir !
Le coquin ne fait pas que regarder, il m’embrasse le pubis nu, respire ma fragrance, lèche ma coquille mais surtout me pelote les fesses et trifouille l’œillet.
— Hummm ! Dis-moi Mél, vachement souple et humide ta copine !— Ouais crois-moi Claude, c’est un sacré bon coup, c’est sa tante qui l’a formée, quand elle suce c’est orgasme sur orgasme !— Fais-nous voir ça Jane !... Allez les nanas, on se gamahuche un peu !
Irène m’attend à moitié allongée sur le canapé, tout sourire, un pied au sol et l’autre posé sur le dossier du canapé. Elle a son pubis glabre et un sexe tout mignon. D’un doigt elle se caresse délicatement la fente, me regarde avec concupiscence et une bouche mutine.
A genoux à ses pieds, mes mains à l’intérieur de ses cuisses j’écarte ses lèvres. D’un doigt elle tire la base du clito. Je pointe ma langue sur son méat bien dégagé puis titille son bouton. Je la lèche par petits coups avant de lui faire une léchouille sur toute la chatte. Ses lèvres largement ouvertes reçoivent ma salive qui file directement dans le vagin, alors que mes doigts la pénètrent, la fouillent, excitent son point G et ma bouche suce la tige.
Elle se cabre, ses pieds se rejoignent sur mon dos. Au rythme de son orgasme, elle me donne des coups de talon et ses mains m’appuient la tête sur son ventre. Son ronronnement de jouissance devient un râle incohérent :
— OHHH Oui, oui !... Arrête, c’est trop fort. Je jouiiiiis, ui, ui... Continue, OUI, ui, ui ! Mords-le plus fort !!!
Elle s’agite en tous sens. J’ai des difficultés à maintenir le contact avec sa vulve, pour mieux la sucer je change de position. Debout sur le côté du canapé, le ventre appuyé sur l’accoudoir, je l’immobilise, mes coudes contre son bassin, ma bouche sur son ventre et mes mains sur ses seins. A peine apaisée, ma langue la fait vibrer de nouveau, mes mains la font chanter et elle repart en trémolos ! Le spectacle offert met le feu au ventre de ces "messieurs" qui viennent à nous.
Mélina à genoux au pied du canapé embrasse Irène et lui caresse les seins. Je sens la respiration puissante de Claude sur mon postérieur. Ma tenue doit être totalement indécente, d’autant plus qu’il m’écarte les fesses, en me mettant un pied sur le côté du canapé et de ses deux mains, sépare mes globes. Sa bouche est sur moi, sa langue file à la vitesse de l’éclair quatre, cinq fois sur le périnée avant de pointer mon œillet. Il me fait un anulingus très profond, il lèche, embrasse, aspire la rosette, je sens ses dents. Quatre doigts se crispent sur les bords de l’anneau, le distendent comme pour le déchirer :
— Tu vas ouvrir ton cul, sinon ça va faire mal !
Malgré ses efforts et ma bonne volonté il n’arrive pas à ses fins. Pas content il ordonne :
— Irène ! Prépare-la moi !!!
Le ton est cinglant, autoritaire. Il me prend par les cheveux et m’amène vers l’arrière du canapé. La fille me bascule sur le dossier, attache mes poignets et mes chevilles aux quatre pieds du canapé. Je suis écartelée, posée en accent circonflexe sur le canapé, seuls mes orteils touchent le sol.
Mélina est nue à côté de Claude qui est en corset, je ne sais quand ils se sont déshabillés. Claude est en fait une femme mais si peu féminine, si dominante qu’elle reste à mes yeux un homme avec un peu d’embonpoint. Ses seins sont deux pectoraux de culturiste avec des mamelons sombres et gros comme mon pouce. Son ventre est rebondi sans être gros, le bas est couvert d’un large triangle de broussaille épaisse et noire qui cache son intimité.
Irène revient avec une mallette de cuir noir. Je ne vois pas grand-chose, des chaînes, un fouet, elle sort un plug de taille raisonnable et un gode ceinture de taille déraisonnable qui me rappelle le membre de Trespatas (voir Ma tante, mon oncle... et tous les autres. Chapitre 13). Avec beaucoup de douceur, elle me caresse l’arrière train avant de me faire une feuille de rose délicate, tout est douceur dans son baiser, son léchage :
— Je t’avais dit qu’il va aimer. Il t’a bien sucé, ça va aller tout seul !
Effectivement sans difficulté elle m’enfile un plug de trois, quatre centimètres mais l’homme s’impatiente :
— Ça suffit Irène ! Viens me mettre la ceinture... Parfait comme ça. A nous deux maintenant, je vais te faire voir de quel bois je me chauffe.
Je comprends à présent l’expression se chauffer "au bois et au charbon". La manière et le ton changent,
— Suce, juste pour voir si ta bouche est aussi large que ton cul !
Il me tire les cheveux, redresse ma tête, lui debout face à moi, un pied sur le canapé, il me présente le gode, j’ai le gland gros comme une balle de tennis devant mes lèvres :
— Ouvre la bouche !... mieux que ça.
En forme d’œuf la pointe me pénètre, me force, mes lèvres s’ouvrent, les dents s’écartent, il est énorme, ça y est je l’ai en entier, ma bouche est pleine, obstruée comme un goulot de bouteille par un bouchon.
— Oui ! Grande gueule, allez en position !
Il me claque violemment une fesse. Ma position fait que je n’ai aucune réaction. D’un geste brusque il retire le plug, le jette au sol et me met deux doigts dans l’anus, il va directement sur mon point Q (ma prostate si vous préférez). Il s’y active comme sur un point G, me branle comme une femme, rapidement je mouille, tortille des fesses, miaule, il termine en me donnant deux claques sur les fesses :
— Tu vois quand tu veux, tu sais t’ouvrir !
Une main sur ma hanche il se positionne. Je sens la tête du gode. La forme oblongue fait qu’il se pointe facilement dans l’anus. Commence un combat entre lui et moi, je sais d’avance que je perdrais alors je me décontracte au maximum, je pousse comme je sais faire, mon anneau se détend, se dilate, un cri bref signe ma reddition :
— AH !!!— Ouais tu l’as bien, c’est vrai que t’es souple, ça va glisser tout seul maintenant.
Oui je’l sais bien. Ses deux mains me prennent les hanches comme un étau, il s’enfonce lentement. Mes chairs se déchirent, il est long mais n’atteint pas les intestins. Il est vrai que depuis le temps mon fourreau a dû s’allonger.
— Putain, Mél, ta meuf est terrible, elle se le prend en entier. Je vais lui faire un ramonage, après tu pourras t’en servir comme un gant.
Sur l’autre canapé, Mélina semble "partie" avec Irène, je l’entends à nouveau gémir en grec, toutes deux s’envoient en l’air, deux cochonnes le groin dans l’auge de l’autre.Je suis totalement disponible à présent, Claude me laboure en me tapant régulièrement et de plus en plus fort sur le côté des fesses, sans se préoccuper de mes geignements. Il se couche sur mon dos et me tripote durement les mamelons
— T’as de vrais tétons de femme, tu aimes comme je te les tourne... et comme ça en les tirant.— Aïïïeee.— Ah oui, plus fort !... Et tu entends comme ta chatte mouille, t’es une drôle de femelle. Et avec les mecs c’est pareil ? Tu t’en prends souvent ?... Dis- moi, réponds... REPONDS, je’t ai dit !— Oui... quelquefois.— Et tu suces ?... TU SUCES ???— Oui... quelquefois.— T’as déjà vu un vrai clito ?... certainement pas comme le mien. Tu vas voir, viens dans la chambre !.
Il se retire de mes fesses et se débarrasse de la ceinture. Il m’empoigne par le bras et m’entraîne dans sa chambre.
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