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John étudiant libertin

Chapitre 6

Jane et trois filles - 2

Orgie / Partouze
6– Jane et trois filles – 2.
Avec Mélina nous venons de rencontrer, dans un cabaret, un couple de femmes Claude et Irène.Lui, c’est Claude d’allure très masculine, italien d’une quarantaine d’années, râblé, au visage rond et aux cheveux courts coiffés en arrière.Elle, c’est Irène, une ravissante jeune femme élancée, la petite trentaine, sa chevelure auburn jusqu’aux épaules encadre un visage ovale illuminé par des yeux verts et une petite bouche, très bien maquillés.
Nous sommes dans leur superbe appartement de la butte Montmartre. La nuit est déjà bien avancée.Mélina et Irène se gougnottent dans un coin, elles sont seules sur leur île : Lesbos.Claude me détache du canapé où écartelée il m’a longuement sodomisée à l’aide d’un gode-ceinture hors normes. Il m’empoigne par le bras et m’entraîne dans sa chambre pour d’autres jeux.La chambre surprend par son lit rond au centre, quelques fauteuils et deux commodes complètent le mobilier. Trois murs sont décorés de tableaux de nus le quatrième est couvert d’un rideau de velours bleu-nuit.
Il s’installe au milieu du lit et en me prenant par une jambe il m’attire au-dessus lui :
— Viens ma chérie, viens, on va se faire minette.
J’ai sa toison noire sous les yeux, elle est naturelle et très fournie. Son odeur de fauve est très forte. Avec délicatesse, j’écarte les poils et découvre le sexe, aussi sombre que ses mamelons, des lèvres larges et flasques, une tige raide et longue comme mon auriculaire plantée d’un gros bouton. Impatient, il relève les genoux et les écarte sur le côté et commence à s’astiquer le clito comme une bistouquette :
— Vas-y ! suce-moi la bite.
En même temps il me lèche la raie des fesses avant de pointer la langue dans mon anus éclaté par le gode. Il atteint des chairs qu’on ne m’a jamais léchées. Son clito est impressionnant, je le tiens avec trois doigts, son capuchon glisse sur le bourgeon comme un prépuce. Il me paraît encore plus gros que celui de Eve construit lors de sa vaginoplastie (voir Jane... ou John - Chap.2) .
Je titille le bouton semblable à une grosse fraise des bois d’un doigt puis de la pointe de la langue. Enfin je gobe la tige, la suce de tout son long, elle gonfle encore, s’allonge, durcit comme un pénis. Claude amplifie mes va-et-vient de son bassin, ses mains font basculer mes hanches pour qu’il puisse mieux aspirer mon œillet et le faire grossir comme un bouton.
Je continue à le sucer, sa toison pleine de salive se couche comme les blés après la pluie et dénude le sexe. J’étale les lèvres sur les poils et dégage le vagin. La carnation sombre du bord des grandes lèvres passe au rose clair vers celles ouvrant sur le vagin, je le lèche longuement avant d’y plonger deux doigts, je m’applique d’exciter en douceur le point G et d’ouvrir les vannes de l’élixir :

— Putain quelle salope, elle aime la moule celle-là !
La cyprine coule abondante,visqueuse et légèrement colorée, au goût très puissant.Ma langue passe du vagin au clito comme une abeille pollinisant le pistil des étamines.Claude rugit « Roaaaar » son bassin simule le coït, sa main plaque ma tête à son sexe. Depuis un moment il me doigte, il connaît tout de mes sensations, il exite mon point Q, et en même temps sa langue titille au travers de ma cage le méat. Mon ventre bouillonne et ma semence s’échappe sans que je puisse rien faire.
— La salope elle coule comme une fontaine... Hummm j’adore ce goût moins acide que la cyprine...
On reste un moment à ne pas bouger, mon sexe contre sa bouche, mon ventre et ma poitrine appuyés sur ses pectoraux et son corset, ma langue sur sa vulve lape sa jouissance. Après s’être abreuvé, il me repousse sur le côté :
— Va chercher les filles et apporte-moi les clés que je te bouffe l’escargot, tu vas voir comme une tribade peut aimer la queue aussi !
Je file au salon où je retrouve les deux filles emmanchées sur un dong.
— Venez, Claude nous attend dans la chambre,
A contre-coeur elles se déboitent l’une de l’autre et emporte leur jouet, je prends mon sac avec mes clés et toutes les trois revenons dans la chambre :
— Venez les filles qu’on s’amuse tous les quatre !
Irène retrouve sur le lit son "homme" et je demande à Mélina de défaire ma cage. Comme pour exciter nos hôtes, debout, elle se plaque contre moi et simule une danse du ventre. On se frotte l’une à l’autre, ce sont de tendres caresses, des suçons et tripotages réciproques. Enfin elle délivre mon animal, fait sa prière devant lui, astique le manche, suce le nœud, pompe les dernières gouttes de sperme tout en marmonnant :
— T’es une vraie fontaine !
Elle continue de s’occuper de mes bijoux de famille et rapidement les fait reluire. Claude satisfait du résultat l’écarte :
— Laisse-la moi !
En souriant Mélina me fait un bisou puis nous nous allongeons sur le lit, elle retrouve Irène qui préfère les jeux saphiques. Claude renverse notre situation précédente en se mettant sur moi, mon dard en bouche et sa broussaille dans mon nez. Son odeur sauvage est grisante, la fraise rouge dans le sombre des poils est provocante ! Le couple de femmes à notre côté, notre union, les gémissements créent une ambiance de débauche et une envie d’aller encore plus loin dans l’érotisme. On se suce, on se lèche, on se caresse... longtemps. Je suis une poupée de chiffon qu’il manipule :
— C’est vrai que de temps en temps une bonne bite ça fait du bien !
Il fait volte-face, s’emmanche sur ma verge et passe ses genoux entre mes cuisses ; automatiquement mes jambes l’enserrent comme deux lianes. Là encore je suis la femme, il est l’homme. Allongé sur moi, il pèse de tout son poids, me fait sentir tellement faible, tellement disponible. Il me prend en missionnaire, son vagin se resserre, se contracte sur ma queue, peu à peu nos sexes s’ajustent, s’accordent, je le laisse faire, son bassin trouve le rythme. C’est lui qui me fait l’amour !
En appui sur ses coudes il se redresse comme un sphinx, ses doigts me broient les tétons, les étirent comme pour les arracher. Il me fait terriblement mal, je gémis, je me mords les lèvres pour ne pas crier, mon visage se crispe de douleur et surprenant la douleur me fait bander encore plus fort.
En réponse, de la bergère au berger, je repousse à deux mains sa poitrine. Je roule entre mes doigts les mamelons. La pénétration du bassin est encore plus intense, il se laboure ainsi un moment puis s’affale à nouveau sur moi :
— Tète-moi ma chérie, mes seins me font mal, nourris-toi mon bébé !
Il s’étire sur moi, ses coudes encadrent mes épaules, au contraire je rentre la tête dans les épaules jusqu’à avoir son sein en bouche, je suce son téton gros comme celui d’une femme qui allaite. Il me couvre, nous faisons l’amour, nos sexes sont en accord parfait. Je suis en lui, son vagin me masse, je le tète, je le mords, il gémit. Il respire par saccade de plus en plus rapidement, de plus en plus bruyamment :
— Oui salope, mords-moi … plus fort !
Les dents d’un côté, les doigts de l’autre, je continue à lui martyriser les seins.Les deux filles couchées à présent en cuiller tout à côté de nous, nous regardent, Mélina caresse Irène qui ouvre le compas de ses cuisses au maximum en passant sa jambe derrière celle de Mél.
Ma main est sur la cuisse allongée d’Irène, je frôle sa peau, elle frissonne.
— Hum ! Comme tu sais bien caresser !— L’homme, est planté sur mon mandrin et continue à se ramoner le vagin. Sa toison humide brosse mon pubis épilé, le clapotis de nos ventres s’entend de mieux en mieux. Il se redresse d’un coup et à califourchon me cloue au lit.
Il s’amuse de voir ma main courir sur sa femme. Irène me laisse faire, me laisse venir, je m’enhardis, masse la cuisse avant d’aller sur le sexe maintenu ouvert par Mélina. Mon majeur plonge directement dans le vagin mes autres doigts couvrent ceux de Mèl. Irène se cambre brutalement :
— Hum ! Oui viens, plus profond.

Mon index plonge également dans le vagin, mes deux doigts s’activent sur son point G. Entre deux gémissements on peut entendre :
— Oh oui Jane, branle-moi, fais-moi jouir.
Pour être mieux prise, elle vire sur le côté, ma main est sous son ventre, elle m’entoure le visage de ses mains et m’embrasse goulument. Il y a un échange incompréhensible avec Claude et avant que je ne comprenne Irène me chevauche le visage. Je perds la vue mais trouve le goût et l’odorat. Son ventre nu sent fort, l’entrejambe est trempé, de la raie des fesses au pubis d’un subtil cocktail de cyprine, de salive, de sueur... probablement d’urine. Son sexe épilé est délicat, tout l’opposé de celui de Claude. Elle est douceur, il est force. Elle est femme, il est homme.Les deux coordonnent leur chevauchée sur mon ventre et sur ma bouche. Mes gémissements sont étouffés, Claude me veut, il accélère,se contracte, je ne peux plus, j’explose, me libère, je lui envoie toute la sauce, il me reçoit, part en arrière. Entre les aigües, les mezzo et les basses nos gémissements, nos râles de plaisirs forment un chœurC’est Irène la première qui me libère :
— Jane, tu fais l’amour comme une fille, tu es douce et attentionnée comme une femme.
Puis c’est Claude qui m’essore la queue de ses contractions avant de tomber dans les bras de sa femme
— Jane, tu baises comme un homme plein de ressource et d’énergie.
On reste un moment tous les quatre mélangés puis les couples se reforment, Irène dans les bras de Claude, alors que Mélina se love dans mes bras. Chacun avec sa chacune. La lumière s’éteint, on s’endort sur le lit rond.
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