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John & Jane

Chapitre 2

John s'installe.

Travesti / Trans
A la sortie du cinéma où pendant presque deux heures j’ai été  au centre de l’attention de 7 messieurs, il fait nuit. Je découvre émerveillé le quartier de Pigalle illuminé de 1000 néons colorés. Gaby s’en rend compte :
— Tu ne connais pas ?— Non ! Je n’habite pas Paris depuis longtemps et mes études ne me laissent pas le temps.— Viens, on va prendre un pot avant de se balader.
Par mes habits j’ai retrouvé la physionomie de John et dans notre attitude rien ne laisse imaginer ce qui vient de se passer. Comme deux copains on s’assoit à une terrasse de café, chacun avec une bière, on fait un peu plus connaissance et comme par pudeur nous ne parlons pas de la séance de cinéma. Ensuite toujours entre mecs on se fait un aller-retour sur le boulevard de Clichy où ce n’est qu’une succession de sex-shops et de boîtes de strip-tease. On se fait racoler devant les boîtes de strip-tease et  il me fait quelques allusions sur les tenues présentées dans les vitrines de sex-shop. Puis on descend la rue Pigalle bordée sur les 500 premiers mètres de putes et de bars. La lumière, le bruit, le monde du haut de la rue font place progressivement au silence, à l’isolement et la pénombre en descendant. A peine sorti du brouhaha, Gaby me prend par le bras, ralentit le pas et m’embrasse dans le cou :
— Tu as été superbe Jane au cinéma, tu as assurée, des trois types que tu as sucés, l’un était particulièrement bien monté, un sacré maghrébin et les deux papys qui te caressaient les fesses s’en sont foutu plein les mirettes, jamais ils ont dû voir d’aussi près une bite à la manœuvre et ton cul est une vraie chatte.

On discute tranquillement de notre rencontre,  il redevient très entreprenant, son bras autour de ma taille, sa hanche contre la mienne, il me murmure à l’oreille :
— Jane, t’es une sacrée chaudasse et moi je vais t’en fournir de la bite à sucer, des litres de sperme à boire.

Brusquement il me pousse dans l’encoignure d’une porte cochère. En une fraction de seconde, il ouvre mon manteau en tirant sur les pans et les deux mains sur les fesses me plaquent contre son ventre...
Merde il bande dur ! Dans la même seconde, il m’embrasse à pleine bouche. Il est brutal, il me donne des grands coups de bassin dans le ventre. Il me lâche les fesses, m’appuie sur les épaules et m’oblige à me mettre à genoux entre les pans de son manteau qui me mettent à l’abri des regards. Sans une parole, il sort son sexe de sa braguette, le tire et dégage complètement les couilles du pantalon. Il est tout poilu et de belle taille, je l’ai eu en main, dans les fesses mais jamais face à moi, il a une forte odeur de foutre, il est dur, tout veiné, l’urètre est saillante, j’ai l’impression de le découvrir, mes doigts n’en font pas le tour avec précaution je le décalotte, le gland est un champignon rouge brillant, le prépuce retient encore un peu de sperme mais il veut tout, tout de suite.
— SUCE !
L’ordre claque dans la nuit, dans la rue déserte. Je m’attèle à la tâche, à entendre ses gémissement je le fais bien... Quand j’entends des pas, des talons, au moins deux personnes descendent la rue. Je m’arrête, m’apprête à me relever, ses mains sur mes épaules me bloquent et son bassin prend le relais de ma bouche. Contraint je continue à le sucer, je ne vois rien, les pas s’approchent, sont juste à côté, ralentissent, passent lentement , j’entends un murmure suivi d’un rire puis les pas s’éloignent. Gaby continue à me baiser la bouche, ma langue redevient active, je suce, je pompe. Il explose, l’éjaculation n’est pas trop importante, j’avale tout. Il attend que je le lèche bien, le nettoie. Satisfait de ma prestation il me relève :
— Toi, t’es vraiment une bonne bouffeuse de bites !

Il se rhabille rapidement et nous reprenons le chemin de la gare. Dans le train, personne, le salaud me pousse dans un coin et commence à me peloter sauvagement le sexe et les tétons, jamais le parcours ne m’a semblé si court. Arrivé, je descends du train, on se quitte avec un simple sourire…J’ai revu Gaby tous les jours de la semaine avec le gentil papa, tous les soirs c’était séance de tripotage. Quelques temps après, il me propose de nous retrouver le samedi.
— Non, Gaby je ne peux pas ! Ma tante arrive ce soir.
…........................................Jade a tenu sa promesse faite à la fin des vacances, de venir voir la famille. Dès la connaissance de sa venue j’ai commencé un décompte de jours, puis d’heures, le temps semblait une éternité, mon impatience devenait insupportable, enfin elle est arrivée. Au coup de sonnette à la porte, mon cœur s’est mis à battre plus fort, plus vite. La première vague d’émotion a été la rencontre des deux sœurs après plusieurs années de séparation puis nos regards se sont croisés, tout était dit, un tsunami m’emporta, j’étais sur le point de l’embrasser, la fougue de ma jeunesse se brisa sur la sagesse de sa maturité, mes lèvres rencontrèrent les commissures de sa bouche, ses mains évitèrent la rencontre de nos corps, mon amante était ma tante, une tante très affectueuse mais distante :
— Bonjour John mon chéri... tu es de plus en plus charmant ! Dis-moi,...il y a quelque chose de changer dans ton physique ?.... Oui tes cheveux !— Ne m’en parle pas Jade, intervient ma mère, il veut avoir une coiffure comme Claude François !— Ben c’est très bien, ça lui va superbement bien, ça adoucit son visage.— Tu l’as dit, ajouté à ses traits allongés, ça lui donne un visage de fille.

Les retrouvailles sont chaleureuses, mais Jade reste distante de moi et maintient le rapprochement avec sa sœur aînée. Entre elles ça s’embrasse, ça murmure, ce sont des chatouilles, on s’assoit côte-côte. Assis face à elles je me sens rejeté bien que... ses yeux, ses lèvres expriment tout autre chose. Papa sert le champagne et je m’occupe des salés et des  toasts, j’ai beau apporter une attention particulière à ma tante, rien n’y fait. La soirées est très gai, on parle beaucoup, bien sûr des dernières vacances, de la famille, des occupations des uns et des autres, de la fac quand maman annonce :
— J’ai une bonne nouvelle pour toi John ! Face à tes demandes répétées et grâce à ta tante qui a travaillé dans l’ombre, avec papa nous avons décidé de te louer une petite chambre en bas du Quartier Latin, rue Galande !— … Tellement surpris, je reste bouche-bée , — Une chambre sous les toits en plein Paris comme celle de Mimi dans la Bohême, c’est super ! Jade continue en entonnant l’air de l’opéra : « mi chiamano Mimi ma il mio nome è Lucia »— Oui, nous pensons que c’est plus simple pour t’organiser et espérons que tu nous décevras pas.— OH ! Merciiiiiiiiiiii Pa’ merci Man’— John, demain tu m’emmèneras demain voir ton quartier, (tout sourire, j’approuve de la tête) il faut que tu me fasses visiter la capitale....
La soirée se passe trop rapidement, à peine le dîner terminé que ma tante nous quitte :
— Monique ma chérie, il se fait tard, le voyage a été fatiguant je vais vous quitter pour rejoindre mon hôtel.— D’accord p’tite sœur, on se retrouve demain matin pour le café ?— OK ! Bonne nuit à tous.

On s’embrasse, chacun va dormir. La visite de Jade me laisse dans un état d’excitation, elle aussi a changé de coiffure, semblable à celle d’Eve, ce mélange de personne me trouble. Ma nuit est très agitée, je ne cesse de penser aux jours passés à Montpellier et à la journée du lendemain. Ceci étant l’attitude de Jade me laisse perplexe, vais-je retrouver mon amante ?

Ma tante arrive assez tôt à la maison, le déjeuner terminé elle précipite le départ :
— Monique je crois qu’on va y aller je suis impatiente de retrouver l’île Saint Louis, le Quartier Latin et que John me fasse voir sa fac.— Oui, allez-y, ne rentrez pas trop tard !— T’inquiète pas grande sœur, je veille sur ton fils. Allez John ! on y va.— Ar’voir Man, ar’voir Pa … on revient vers 20 heures.— OK ! Pas plus tard !
On quitte la maison pour filer à la gare, sitôt le coin de la rue passé, Jade me prend par le bras qu’elle presse contre elle, nos yeux expriment nos sentiments, nos lèvres nos désirs. A ce moment je sais que c’est l’amante que j’ai au bras.
— Mon chéri, tu as la fougue et l’impatience de la jeunesse et j’ai la sagesse et la prudence de la maturité mais nous avons le même feu qui nous dévore... et c’est difficile de résister à tes attentes face à tes parents, il faut que tu sois plus prudent.
Par chance, le train arrive tout de suite. Le samedi en début d’après-midi il y a du monde, nous restons debout face à face. Toujours avec la même prudence elle me tient un peu à distance par les épaules, ma main passe sous son manteau et se pose directement sur son chemisier. Mon simple contact la fait frémir, nos lèvres se joignent d’un simple bisou. Elle me caresse les cheveux et me murmure:
— Tu es beau, mon chéri, j’aime ta coupe de cheveu et ton visage d’ange.— Toi aussi tu as changé, tu t’es coupé les cheveux un peu à la garçonne, ça te va très bien.— Je l’ai fait à la demande de Eve. Tu sais nous avons beaucoup sympathisé, nous partageons beaucoup de choses ensemble… (le sous-entendu ne laisse aucun doute, d’autant moins accompagné d’un bisou), elle me dit que ça me rajeunit. Avec la même coiffure et toutes les deux blondes, les gens nous prennent pour deux sœurs.
Elle devient très câline, s’approche de moi, nos corps se soudent, son pubis s’appuie au mien, son bisou se prolonge, elle me murmure à l’oreille :
— ... John ! J’ai envie de toi... Allons à l’hôtel !— Passons rue Galande juste voir le quartier et pouvoir en parler éventuellement ce soir.— Tu as raison, dépêchons-nous !
Même en se dépêchant passer par le quartier Latin et aller ensuite gare de Lyon où se situe l’hôtel c’est beaucoup trop de temps perdu pour libérer nos désirs. Dès notre arrivée à l’hôtel Jade demande sa clé au concierge. Avec un grand sourire il lui donne, notre passage précipité en milieu d’après-midi ne laisse aucun doute quant à notre relation. Dans la chambre, ce sont baisers amoureux et vêtements arrachés, en un instant toute retenue est submergée par notre désir dévastateur. Le manque, le sevrage ont été tels que le bestial emporte tout..
Nos langues, nos lèvres, nos mains retrouvent le goût, la sensibilité, la douceur de l’autre. Nos sexes assoiffés se retrouvent et s’unissent immédiatement le plus naturellement du monde. A peine pénétré son vagin libère un flot de cyprine. Nous faisons l’amour simplement mais avec une telle intensité. Ses jambes, ses bras m’enlacent, m’enserrent comme des boas un arbre.
Qu’elle est belle mon amante, avec ses seins fermes, son ventre et ses jambes musclés.On veut tout, tout de suite, nos corps impatients entrent en furie, ils en veulent plus, plus fort, plus profond. Je suis sur elle avant d’être sous elle, les rôles s’inversent, nous faisons une révision du Kama-sutra, du Missionnaire à l’Andromaque. Nos sexes ne cessent de copuler, nos bouches ne cessent de s’embrasser, nos langues, nos mains, nos ventres. Nos gémissements montent en gamme, deviennent cris, nous nous abandonnons, l’orgasme nous envahit et je l’inonde... Son corps se tend, se crispe, forme un arc, son étreinte se resserre, elle me mord.
Elle reste allongée sur moi, nos jambes s’entrecroisent, les mains redeviennent douces, les baisers tendres... Lentement caresses, baisers, massages réveillent ma virilité...
Nous refaisons l’amour mais de manière moins traditionnelle, c’est elle qui décide en se mettant en levrette et en m’offrant son œillet. Je le touche, le caresse, du doigt, de la langue... Il est aussi sensible que son clito, il se contracte, les stries se resserrent. Je présente mon pieu au petit trou et c’est Jade qui vient à lui, qui s’empale, qui gémit, qui se branle, qui lèche et suce la tige. Elle le fait si bien... Je ne résiste pas longtemps et entre en action, je l’usine, je la besogne, j’accélère, j’allonge le pas... je deviens grossier, elle répond de même:
— OUI, ENCULE-MOI … plus profond.... Oui, ui, ui, uiiiiiiiii.
Nos jouissances n’en font qu’une, je me déverse dans ses intestins. Elle s’écroule et je l’entraîne sur le côté tout en restant en elle.Je la câline, l’embrasse dans le cou, suce le lobe de l’oreille, elle ronronne. On reste longtemps ainsi même peut-être qu’on somnole un peu. Le temps passe trop vite, il faut déjà se préparer à partir. Sous la douche ce sont à nouveau caresses et baisers. La coquine sait me réveiller debout on s’aime à nouveau. Comme une liane elle s’arrime à moi sur une jambe et me ceinture la taille de l’autre. Je la soutiens d’une main sur la fesse et l’autre sur la cuisse, elle m’enlace les épaules de ses bras et repose sa tête au creux de mon cou. Nos sexe sont en contact, elle se laisse aller et on s’accouple, notre danse reprend encore un moment avant que je lui donne une dernière jouissance.
— John ! Tu es l’amant qui me correspond !
Comme elle me l’a dit la première fois cet été chez elle après avoir fait l’amour. On se sépare, on se lave l’un, l’autre, on se caresse encore une fois...Vite il faut filer, séchoir, serviette... on s’habille, elle m’offre sa culotte et reste nue sous sa robe. Cette tenue impudique retiendra mon attention et m’excitera toute la soirée. On quitte l’hôtel précipitamment avec le sourire et le souhait de bonne soirée de l’hôtelier...

Sur le chemin du retour vers la maison je me confie à Jade quant à mes doutes et mes envies de me féminiser. Je lui raconte ma séance de cinéma avec Gaby. Après une demi-heure de discussion elle me dit qu’elle va en parler avec Eve, son expérience peut m’être utile, une telle décision est très délicate. Être travesti est une chose, devenir transgenre en est une autre. Hormones, intervention chirurgicale... seul un endocrinologue peut conseiller et m’accompagner. Par contre elle m’offre un abonnement chez une esthéticienne pour l’épilation du corps, le soin de peau et le maquillage pour m’accompagner dans mon travestissement.
De retour à la maison, la sagesse de Jane prend à nouveau le dessus et le week-end se termine en parfaite relation entre un neveu et sa tante. Puis les habitudes à la fac, le train et la maison ont reprises. Un soir j’ai annoncé à Gaby mon prochain déménagement et lui ai donné mon adresse.…..........................................................Aujourd’hui, 1er mars j’emménage « Chez moi », une petite chambre de 10 m2 sous les toits, en plein quartier Latin, chargé de deux grosses valises.Je sonne à la propriétaire qui habite l’immeuble. Une dame aux cheveux blancs bien de sa personne me conduit directement au dernier étage. Dans un long couloir il y a une dizaine de chambres, elle me conduit jusqu’à l’une d’elles marquée J. LENORD :
— Voilà jeune homme votre paradis avec les toilettes au fond du couloir. Comme sur le tableau du hall d’entrée, pour les visiteurs, j’y ai indiqué votre nom.
Sa voix est sensuelle, son regard coquin, son sourire malicieux, la main sur l’épaule elle m’invite à entrer. Sur la droite il y a une armoire et un buffet sur lequel est posée une plaque chauffante, dans le coin un lavabo et un seau hygiénique, pratique vu les toilettes communes. En face de l’entrée une petite fenêtre placée dans un chien assis offre une superbe vue sur les toits de Paris et les tours de Notre Dame. Derrière la porte, dans le coin un lit pour deux personnes, à coté une grande table avec deux chaises et au mur un grand miroir.
— Vous avez une jolie vue et le miroir a été installé pour un petit rat de l’Opéra, je trouve qu’il agrandit la pièce.
Ce miroir ravive des souvenirs bretons avec mon cousin...
— Si vous voulez descendons à l’appartement que nous fassions connaissance !
Au 4ème étage nous rentrons chez madame Gérard. Après s’être présentée, j’apprends qu’elle connaît maman, que d’une manière générale elle est très proche de ses jeunes locataires et que son mari voyage beaucoup.
— Si tu veux John... tu veux bien que je te tutoie ? D’un grand sourire et d’un signe de tête j’accepte volontiers. Alors dans ces conditions, moi c’est Germaine. John je vais te faire découvrir le quartier et te présenter à quelques commerçants pour qu’ils te soignent bien.
Je trouve le quartier super sympa, je suis à 10 minutes de la fac, la chambre me permet de recevoir qui je veux. Germaine est très gentille presque câline, au moment de se quitter elle me fait deux tendres bisous à la commissure des lèvres :
— Bonne installation John, et si tu as besoin de quoi que ce soit, viens me voir, Bernard mon mari passera probablement te dire bonsoir tout à l’heure.— Merci Germaine, je ne manquerai de vous faire signe.
Je défais mes valises, range les vêtements de Jane à côté des miens. Dans le tiroir près de mon lit j’ai mes plugs, le gode avec les 4 œufs superposés, le lubrifiant de Trespatas et la chaîne avec les pinces crocodile. Au mur, j’affiche la photo prise le soir de mon anniversaire tout de suite après mon strip-tease sur laquelle je suis en peignoir et un portait de ma tante en compagnie de Eve. Sur la table se trouve bien visible l’empreinte en résine du sexe de Jade qu’elle m’a offerte pour mes 19 ans.Alors que je termine de faire mon lit, on frappe à la porte, j’ouvre et un monsieur entre :
— Bonsoir John, je suis Bernard, le propriétaire, je viens voir si tout va bien …
D’un coup d’œil il fait le tour de la pièce, voit les photos, s’en approche, et voit sur la table l’empreinte en résine. Je deviens rouge comme une pivoine au moment où d’un doigt il la caresse et tout en souriant puis observe avec attention les portraits
— Souvenir de rencontres... deux sœurs ? Elle sont jolies. En fixant la photo, un doigt sur l’empreinte et un autre sur le portrait de Jade... peut-être celle-ci... Chuuut ! Je te taquine ! Comme t’a dit Germaine descends quand tu veux, il n’y a pas de douche à l’étage, tu viendras la prendre dans notre salle-de-bain, on sera en famille.
On sera en famille … tout un programme.
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