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John & Jane

Chapitre 3

Etre ou Paraître

Travesti / Trans
Je suis installé dans une petite chambre de bonne près de la faculté où je suis en deuxième année. Loin de la tutelle des parents j’ai plus de liberté et plus de contraintes ménagères mais je trouve que je m’en sors plutôt bien. Un soir en rentrant je trouve une lettre glissée sous ma porte :

Coucou ma petite sœur chérie

Jade à son retour m’a donné de tes nouvelles. Ainsi j’ai appris que tu t’es offerte une séance de cinéma X très hot, 4 types se sont occupés de tes fesses et 3 autres t’ont régalé de leur jus, sans parler de ton exhib dans la rue. Tu es pire que moi, tu suces tout ceux qui se présentent. Tu es une chaudasse. Ce qui est certain, c’est que tu nous manques, depuis ta fête d’anniversaire on n’a jamais refait une telle orgie.

Je ne sais si elle t’en a parlé, nous sommes devenues inséparables, Adam regrette mes absences répétées. De temps en temps nous nous faisons des petites soirées SM avec Joyce. Quelle salope celle-là, c’est la reine du fist, on se la prend en double dans tous les sens, vaginal, anal ou chacune dans sa chambre comme dit Jade. Bref on s’amuse bien entre filles.

Tu as vu ta tante a adopté ma coiffure, c’est hyper sympa, qu’est-ce qu’on rigole, on nous prend pour deux sœurs, elle est ravie, ça la rajeunit.

Bien ! Autre chose, elle m’a parlé de ton désir de te féminiser. C’est une question très importante, physique et mentale, il faut bien réfléchir et être bien conseillé. Le choix de l’endocrinologue est fondamental. J’en ai parlé avec la mienne et elle recommande une confrère sur Paris madame Juste, tu trouveras son téléphone, appelle-la.

De toute manière avec ou sans hormones tu dois soigner ta féminité, les soins de l’esthéticienne s’imposeront toujours.

Je pense qu’on pourrait en parler toutes les deux et je te propose de venir dans deux semaines pour le week-end du 23/24 mars. J’espère que c’est Jane qui viendra me chercher à la gare !

Je t’embrasse de partout.


Ta grande sœur qui t’aime. Eve.

Peu de temps après avoir reçu cette lettre, je rencontrai le docteur Juste. Il me fit comprendre que «Paraître» femme n’était pas «Être» femme. Ma silhouette longiligne, les traits de mon visage, ma coiffure, mon travestissement, me faisaient paraître femme mais mon état d’esprit et mon sexe étaient fondamentalement masculins. La prise d’hormones pour devenir transgenre était un engagement à priori sans retour et aux résultats lents et progressifs, il fallait au moins 6/12 mois pour obtenir une transformation qui de toutes manières restait fragile en cas d’arrêt du traitement, rien de miraculeux, de définitivement acquis. Par contre institut de beauté et salle de gym. me permettraient de paraître plus féminine. Cette consultation qui allait dans le sens des idées de Jade et Eve, me permit de faire la part des choses quant à ma féminisation. J’avais alors deux priorités, trouver une esthéticienne et un coach de gym.

En me promenant dans le quartier après un peu de recherche je trouvai un Institut qui me parut sympathique. C’est ainsi que  je fis la connaissance de Claudine une jeune femme d’une trentaine d’années. Elle me reçut dans un petit salon où je lui expliquai mon désir de me féminiser, elle m’écouta avec beaucoup d’attention et comprit mes besoins. Un bon feeling s’installa entre nous, du monsieur, madame du début de l’entretien nous arrivâmes à Jane et Claudine au moment de prendre rendez-vous pour la semaine suivante. J’étais définitivement Jane pour l’Institut.

Une semaine plus tard...
Jusqu’à maintenant le temps m’a paru interminable mais à présent tout s’accélère. Ce matin j’ai rendez-vous avec Claudine et demain je vais chercher Eve à la gare.

— Bonjour... Claudine.

— Bonjour Jane, comment allez-vous ? Vous permettez que je vous embrasse ? (Après un échange de bisous sur les joues). Vous venez pour votre épilation ? (je réponds juste d’un signe de tête et d’un sourire). Si vous voulez vous installer dans ce salon, mettez-vous à l’aise, je reviens tout de suite.

Le cabinet est petit mais confortable. Je m’allonge, nu sur le ventre, sur le lit de soins. Claudine revient avec bandelettes, lotions, et bol chauffant plein de cire.

— Bien ! Jane vous connaissez le processus... (et tout en me caressant le dos) vous avez une peau magnifique, une pilosité à peine visible, un peu plus marquée sur le pli inter-fessier... bien sûr les jambes... mais c’est normal. Bien je commence.

Et trente minutes après,

— Voilà Jane, comment ça va ? (et après un simple sourire de ma part). Si vous voulez je vais m’occuper de l’autre face.

Un peu gêné tout de même je me mets sur le dos, heureusement je ne bande pas vraiment et j’allonge mon sexe sur le ventre, mais rien que le toucher le fait grossir. Claudine me murmure :

— Jane, ne sois pas gênée, si tu permets qu’on se tutoie, (avec un petit sourire elle me fait une caresse similaire à celle du dos). Tu es magnifique Jane, l’endroit vaut l’envers et de plus tu t’entretiens parfaitement, (en même temps elle me caresse le pubis et me met le feu au sexe qui se dresse d’un coup). Voilà je préfère ainsi, c’est plus honorable pour moi. Bien je continue...

Claudine semble une sacrée coquine. Je bande comme un âne, ce qui ne la gêne nullement même quand elle s’occupe avec beaucoup d’attention de mes deux boules.

— Eh bien voilà Jane j’ai fini. te voilà comme au jour de ta naissance. C’est très agréable de travailler avec toi. Donc aujourd’hui tu ne souhaites ni gommage, ni maquillage ?

— Non Claudine mais on le fera la prochaine fois.

— Avec plaisir, tu es très jolie ma chérie, un visage d’ange, pas de pomme d’Adam, un menton étroit, une bouche pulpeuse, une pilosité peu visible. Sans parler de maquillage quand tu voudras accentuer ta féminité, après un bon rasage applique légèrement ce fond de teint et mets juste ce blush beige-rosé sur les lèvres, un cadeau de bienvenue. A bientôt Jane tu es belle. On s’embrasse en se quittant, heureuses de notre rencontre.

…............................

Il est déjà midi, le temps passe trop vite. Je me dépêche de monter dans ma chambre, j’ai beaucoup à faire, l’indépendance a ses contraintes de bouffe, de linge, de mise en ordre qui occupent. En arrivant je trouve par terre, glissé sous ma porte, un papier griffonné :

Salut Jane, je repasserai en soirée, je compte sur toi, Gaby .

Gaby veut me revoir... Ça fait plus de 15 jours qu’on ne s’est vu, j’ai envie de sexe mais son invitation tombe mal à la veille de l’arrivée de Eve qui m’a demandé de ne pas faire d’excès.

Après avoir fait mes tâches ménagères, j’ai juste le temps de m’habiller avec bas, serre-taille, string et mini débardeur pour retrouver Gaby. J’applique le fond de teint et le blush de Claudine, j’ajoute une vaporisation de «Terre d’Hector» et je termine avec un jean et un pull au moment où on toque à ma porte. C’est lui :

— Salut Jane ! T’es toute belle ainsi à peine maquillée, une vraie gonzesse. Allez, je t’emmène dîner au restaurant mais tu vas encore avoir trop chaud !

— Chuuut ! On entend tout à côté, parle moins fort.

— D’accord ma chérie, tout en murmurant, mais enlève-moi ce pull !

Comme l’autre jour au cinéma en le faisant passer par dessus la tête mon débardeur découvre la moitié du torse. Gaby excité comme une puce, me pelote le jean et me martyrise un téton entre son pouce et l’index.

— Toujours aussi bandante toi, Ah !... tes tétons. Sous ton manteau tu n’as pas besoin de jean, une femme est en bas.

— Oui mais en jupe ! et ça je n’en ai pas.

— Super je t’en offre une ! Allez, désape-toi et emmène-moi dans une boutique du coin.

Il a réponse à tout, ainsi je pars juste en manteau et sous-vêtements avec mes chaussures à talon de mon anniversaire... Maintenant c’est l’épreuve de vérité, coiffée à la garçonne et à peine maquillée… En entrant dans la boutique le doute est levé :

— Bonsoir messieurs-dame que puis-je faire pour vous ?

— Nous voudrions pour madame une jupe ample et une blouse dans les couleurs pastels.

— Oui bien sûr suivez-moi.

Plusieurs articles sont proposés, Gaby choisit, on file tous les deux en cabine, je quitte mon manteau, en sous-vêtements il en profite naturellement pour me peloter. Après quelques essais, je sors avec une jupe bleue pervenche ayant une ceinture de presque 10 centimètres et un chemisier gris perle transparent. Je garde les habits sur moi ce qui ne surprend pas particulièrement la vendeuse.

— Je t’emmène dîner et après nous verrons...

Pour la première fois je sors travesti dans les rues de Paris. Gaby est galant, il me tend son bras pour que je l’accompagne et me traite comme une dame. Au restaurant il veille sur moi, l’effet est réussi. Il me complimente pour ma tenue, il aime mon chemisier sous lequel mes tétons sont visibles et la ceinture de la jupe qui m’affine la taille. Au moment de m’asseoir il exige que je relève ma jupe pour être nue sur le velours de la chaise. J’aime ce double personnage autoritaire comme l’autre jour rue de Pigalle, et galant comme à présent. A la fin du dîner :

— Bien Jane, je t’emmène en boîte ce soir?

— Non Gaby pas ce soir, je suis fatiguée et demain je reçois mes parents.

— T’es une salope, tu aurais pu le dire dès mon arrivée... Je te ramène à la maison.

— Excuse-moi Gaby, je te promets la prochaine fois...

Il m’empoigne par le bras et maugrée tout le long du chemin du retour. Arrivé devant chez moi je vais pour lui dire au revoir quand furieux il me dit :

— Entrons, tu dois passer à la caisse d’abord !

Il me pousse dans l’immeuble, au fond du hall sous l’escalier il y a un espace caché. Le galant devient autoritaire comme j’aime, il me pousse dans le coin, se plaque à moi. D’une main il ouvre mon manteau et ma blouse, s’en prend immédiatement à mon téton très vite endolori, l’autre me soulève la jupe et se crispe sur ma fesse. Je sens son sexe contre mon ventre et dans sa furie il m’embrasse à pleine bouche.

— Hein, p’tite pute tu pensais te faire régaler gratuitement.

Il me maltraite un moment. La minuterie s’est éteinte, nous sommes dans le noir total. Il murmure :

— Donne-moi ton cul... Je ne réagis pas assez vite, à haute voie il m’ordonne : Donne-moi ton cul salope !

Ses mains me guident, je me tourne dans le coin, m’appuie au mur et debout m’offre en levrette, jambes largement écartées. Il relève ma jupe sur le dos, écarte la ficelle de mon string, mouille sommairement mon petit trou et sans plus il pointe son sexe. D’un coup son gland me pénètre brutalement, d’un deuxième son ventre est contre mes fesses. Sans autre précaution, il s’empare de mes tétons et me besogne sauvagement. Il me laboure, je suis sa pute, il en a rien à faire de mes gémissements, ses coups violents me font aller d’avant en arrière...

Brusquement la porte du hall s’ouvre, la lumière s’allume, quelqu’un entre dans l’immeuble. Mon cœur bat la chamade, il arrête sa fornication, immobile, sans bruit, je retiens ma respiration. Deux personnes parlent dans le hall à moins de deux mètres de nous, enfin elles montent l’escalier. Les marches en bois grincent, les pas s’éloignent.... on entend une porte claquer, la lumière s’éteint, le silence redevient total. Gaby n’a pas cessé de me tripoter un téton et le sexe alors que l’inquiétude m’a fait débander, avec la reprise de la branlette il retrouve sa vigueur. Maintenant il me baise et me branle en rythme. Je ne voudrais pas jouir, me réserver pour Eve qui arrive demain, heureusement il a de l’avance et m’inonde les fesses. Il n’attend pas longtemps, sort de mes entrailles, remet son froc, me donne une grande claque sur les fesses qui résonne dans le hall et sans attendre me quitte :

— Bonne nuit Jane et ce n’est qu’un acompte !

Sans allumer, il est déjà sorti. Un peu abasourdi, je rabaisse ma jupe sur mon postérieur couvert de sperme, ferme mon manteau et monte mes 7 étages pour arriver à ma chambre. Je me lave comme une pute après le départ de son client, me couche.
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