Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 57 J'aime
  • 4 Commentaires

John & Jane

Chapitre 5

Visite d'Eve - 2

Travesti / Trans
On marche depuis un moment. Je m’habitue à la situation : nue sous la jupe, mon service trois pièces mis en cage est semblable à une balle de tennis posée sur mon pubis. L’air est coquin, sans cesse il caresse le bas de mes fesses et circule dans mon entrejambe féminin, c’est excitant et délicieux. Ah messieurs ! engoncés dans vos pantalons si vous connaissiez le plaisir du kilt, être nu sous une jupe . Par contre la marche en escarpins a rapidement ses limites et nous terminons notre rentrée en métro. Sur le chemin on parle beaucoup de notre passage au sex-shop, de mon ressenti de cul nu et c’est toutes guillerettes comme éméchées que nous arrivons rue Galande à la nuit tombante.

Nous montons les escaliers en se tenant par le bras, nos talons claquent sur les marches en bois, nous parlons fort, rions. Notre montée est pour le moins bruyante. Nous avons déjà gravi la moitié des marches quand je lève les yeux et vois Madame Gérard à l’entrée de son appartement.

Pendant un dixième de seconde, une éternité, nos regards se croisent, elle m’a reconnue, c’est sûr. Je baisse la tête, fais silence et me serre contre Eve qui continue de rire jusqu’à ce qu’elle voie également sur le palier la dame aux cheveux blancs, souriante. Arrivées à sa hauteur nous lui disons « Bonsoir Madame » et elle répond le plus naturellement du monde « Bonsoir mesdemoiselles ». Après un moment de silence, tout en continuant la montée Eve reprend la conversation comme si de rien n’était.

Nous arrivons dans ma chambre, sans attendre elle m’embrasse à pleine bouche... je réponds sans enthousiasme

— Qu’y a-t-il petite sœur ?
— On vient de croiser la proprio, madame Gérard ! Sûr elle m’a reconnue !
— OH ! Et alors ?... de toute manière ma chérie il fallait que ça arrive.
— Elle connaît ma mère.
— Oui... bien sûr ! Tu penses qu’elle va lui en parler ?
— J’en sais rien !
— Elle me semble assez large d’esprit, elle m’a souri en me regardant et semblait amusée en nous disant mesdemoiselles, sinon elle t’aurait interpellée. Son regard me semble coquin, je pense que c’est une chaudasse, je l’ai bien regardée, en plus son parfum capiteux ne laisse pas de doute quant à sa sensualité. A mon avis elle viendra te voir dès qu’elle pourra et une amitié particulière pourrait se nouer entre vous. Ne t’inquiète pas.


Fatiguées de la journée on s’allonge toutes deux habillées, moi sur le dos, elle recroquevillée de côté dans mes bras... On ne dit rien, je ferme les yeux, j’apprécie ce moment de repos, de bonheur. Ma relation avec Eve s’intensifie, je ressens de plus en plus une attache sincère et fraternelle. Outre sa joie de vivre, elle a un ascendant naturel sur moi, elle est réfléchie et de bon conseil, comme par exemple à l’instant, son analyse du comportement de la proprio.

Germaine ? Si c’était vrai, si elle était libertine ? C’est vrai qu’elle est accueillante voire caressante. Je me rappelle sa manière de me toucher quand elle m’a invité à entrer dans la chambre, comme elle m’a embrassé à la commissure des lèvres en me quittant, son explication du miroir comme pour cacher une autre raison. Toujours bien habillée, bien maquillée, toujours parfumée comme ce soir, une fragrance orientale et voluptueuse l’entoure. Je repense à la remarque d’Eve lors de mon travestissement : même nue ton parfum ne te quitte jamais, il définit ta personnalité, signe tes habits. Depuis cette remarque parfum et sexualité sont liés.

Eve s’endort dans mes bras, je m’assoupis également...

Quelques temps plus tard, Notre Dame sonne 9 coups.
Ma grande sœur bouge un peu se retourne, la coquine ne perd pas le nord, une main dans mes cheveux, l’autre sous la jupe s’empare de la cage et de l’animal enfermé. Elle tire le paquet, le tourne d’un quart de tour et force, elle réveille le rat sans patte qui du coup se trouve à l’étroit dans sa demeure. Je constate l’exiguïté des lieux et plus je  me réveille plus ça devient étroit, contraignant. Elle cesse d’agiter le grelot, ses yeux brillent de malice :

— Tu découvres les bienfaits de mon cadeau, tu penseras à moi quand tu banderas ou plus exactement quand je t’empêcherai de bander... La cage comprime ton gros rat et va s’imprimer sur les chairs, c’est hyper excitant à toucher.
— Et hyper gênant à porter.
— Tu la porteras nue sous ta robe ou dans ton pantalon en pensant à moi, Joyce m’a dit que j’étais un peu sadique et m’a confessé que toi et Jade étiez un peu maso... Nous sommes faites pour nous entendre petite sœur.

Elle masse le paquet, c’est le cas de le dire et me roule une pelle, j’y réponds amoureusement. D’une main je relève sa jupe et vais chercher son œillet dans la vallée, l’autre se glisse sous le corsage et la coque du soutien gorge pour exciter le téton.
On reste ainsi à s’embrasser, à se câliner, à se tourmenter. Eve devient sadique dans sa manière de me tordre le paquet et moi maso en avançant le pubis pour mieux m’offrir. Par ailleurs j’accentue la pression sur le téton et avec deux doigts dans le cul en forme de crochet je l’oblige à cambrer le dos et bomber la poitrine. Elle gémit et arrête le jeu en me mordant la langue d’un coup sec et lâchant la cage.

— Tu as gagné, je te libère et tu me fais l’amour !

Avec un sourire je relâche mon étreinte. En peu de temps nous sommes nues, ma tige libérée se développe comme un papillon à la sortie de sa chrysalide, extraire les bourses et la verge n’est pas une mince affaire,  tout le sexe est marqué des fers de la cage. La vue de sa silhouette féminine aux tétons disproportionnés sur ses deux petits cônes et au clito semblable à un petit escargot me foutent le feu au jonc.

Après une toilette, allongé je l’attends. La lumière éteinte, la chambre est juste éclairée par la luminescence de la ville. Elle se place entre mes cuisses et me fait une fellation très gourmande. Les marques de la cage sur le tronc et les fruits s’estompent. Elle suce en associant la force masculine et la délicatesse féminine. C’est divin elle joue de toutes les taquineries, de la langue, des lèvres, des dents, de ses doigts de fée ou ses griffes de félin, elle excite, irrite ou adoucit.

Mon excitation devient presque douloureuse au moment où elle me chevauche et s’empale d’un coup. Le pieu bien planté, elle apprécie le moment, se couche sur moi, nos lèvres s’unissent. Le bassin calé sur mon pubis, elle est immobile, seuls ses muscles se contractent en rythme et me massent, me sucent, me pompent. Elle sait qu’elle peut me faire jouir ainsi mais elle en veut plus.

Elle se relève, se positionne à la verticale sur mon ventre, le corps part légèrement en arrière, les mains appuyées sur mes cuisses. Bien en place, je la laisse aller sur mon membre. Je la tiens par les hanches. Elle monte et descend et en rythme, son vermisseau bat la mesure, les deux petites noisettes se rassemblent en l’air et s’écartent en tombant sur mon pubis. Sa tête renversée en arrière, elle cherche l’air bouche grande ouverte, sa respiration est bruyante. Elle conduit la danse je ne fais que l’accompagner.

Son ventre se liquéfie, ses sucs coulent sur mon ventre. Un Clap ! Clap ! sonore suit le rythme de la danse comme les palmas pour le flamenco. Son ventre s’anime, il lèche et suce le dard, il est comme aspiré par une ventouse , la danse s’accélère. Les jambes appuyées sur mes cuisses sont prises de tremblements. La respiration devient haletante, les doux gémissements deviennent râles sonores.

— Ha ! Ha ! Ha ! Haaaaaa !... Ha ! Ha ! Ha ! Haaaaaa !...

Le jus bouillonne au fonds de mes testicules, je suis un piètre danseur, un cavalier qui lâche sa cavalière au dernier tourbillon, je ne peux plus rien, je lâche tout.

— Oui ! Oui ! OUIIIII !

Ma jouissance se mêle aux sucs dans le manchon gorgé de jouissance, le sphincter déborde, le cocktail s’étale sur mon pubis. Eve essoufflée de sa chevauché se couche sur ma poitrine, ses bras au dessus de ma tête, sa tête calée au creux de mon épaule. Comme après une course elle reprend sa respiration, son cœur bat fort. Je la caresse doucement sur tout le long du dos jusqu’à ce que tout se calme

— Eve, tu es une divinité, tu es une diablesse, tu fais l’amour comme une femme, avec la force masculine, ton cul est un vagin, une bouche, une main.
— Ça fait longtemps que je n’ai pas fait l’amour comme maintenant, comme depuis hier. Avec ta tante je suis devenue lesbienne. Elle dit vrai tu es un délicieux amant.

On reste encore un moment... La pénombre, le silence, on apprécie cette quiétude mais la faim nous ramène à la réalité, Notre Dame sonne... 11 heures.

— N’aurais-tu pas faim ?
— Si !

En un claquement de doigt tout change : on se sépare, lumière, bruit d’assiettes, de couverts, portes de placard, emballages qu’on déchire, la table est mise, je vais pour m’asseoir :

— John tu vas manger nu ?
— Euh...
— Couvre-moi ces tétons que je ne saurais voir....

Avec un sourire moqueur, elle prend le sac du sex-shop et en sors les deux pompes... et les installe vite fait.

— Voilà monsieur, c’est tout de même beaucoup plus correct pour dîner avec une dame et une excellente préparation pour porter… LES PINCES !

Le repas se passe à reparler de cette soirée d’anniversaire. Les pompes aux tétons ne sont pas désagréables à porter et leur effet est spectaculaire, les mamelons aspirés doublent de volume, les aréoles deviennent rouges et toute gonflées. Eve toute contente :

— Voila ma chérie de vrais tétons de fillette, tous les jours un peu de pompage et dans 3 mois ils seront comme les miens, en plus on va les faire souffrir un peu. Allez Jane donne-moi ta chaîne !

Je sors du tiroir la chaîne avec les 2 pinces crocodile et l’anneau et lui laisse la poser. Je ne l’ai pas portée depuis qu’on me l’a offerte pour mes 19 ans. Elle voit dans mon tiroir tous mes jouets et prend l’énorme gode aux 4 œufs superposés également offert à cette occasion.

— Oh ma chérie voilà un superbe tabouret pour après...

La chaîne en main, elle me prend par le cou et m’embrasse à pleine bouche. Je sens ses tétons sur ma poitrine, les yeux rieurs elle me mord à nouveau d’un coup sec. Elle s’en prend d’abord au sexe qui endormi se laisse annelé facilement à la base du pénis puis s’attaque aux tétons. Je ne peux empêcher un gémissement de douleur qu’elle bâillonne de sa bouche. Il faut au moins 5 minutes pour que la morsure soit anesthésiée.
Je retrouve un certain plaisir à être ainsi, c’est la première fois depuis cette folle soirée !

— On va jouer à la fermière qui traie sa biquette, tu vas t’installer sur ce tabouret, (le fameux gode) et tu vas me traire !!!

Tout est clair mais d’abord il faut que je m’empale... J’ai une lointaine expérience du soir où Joyce m’a mis un gode similaire avec deux des quatre œufs, ce sont tout de même 20 cm dans le cul avec 6 cm de diamètre pour le plus gros de deux œufs. A l’aide de lubrifiant et de patience, Eve m’enfile l’objet dans le fondement sur lequel à genoux je m’assois.

La biquette se place debout, devant moi pour la traite. Son pis est à peine plus long qu’un doigt et tout mou. Je tiens ma belle par une hanche et l’autre main lui chatouille les cacahuètes. Enfin j’avale l’appendice tellement mou que je peux tout juste le suçoter. Elle m’encourage en me prenant la tête à deux mains. Avec patience, je mordille la base du gland, avale la tige et la fais coulisser entre mes lèvres, progressivement le pis devient plus ferme et mes lèvres peuvent enfin l’astiquer et jouer avec le prépuce sur le bourgeon. Les doigts massent les noisettes, la bouche branle le pis, le tout devient bien ferme, prend du volume et se redresse, la traite peut commencer.

Eve s’assied au ras du bord du lit et tombe sur le dos, le compas des cuisses grand ouvert et la colonnette dressée. Toujours assis sur mon gode, je lui suce les noisettes et du bout des doigts lui astique délicatement la tige qui devient un bout de bois.

Maintenant c’est un garçon qui me donne son petit sexe glabre. Je le branle de trois doigts tout en suçant le bonbon. Ses coucougnettes se raffermissent, Ma gâterie lui plaît et il en veut plus. Ses pieds posés au bord du lit, le torse bombé, les cuisses ouvertes comme les ailes d’un papillon, il projette son bâton dans ma bouche.

Il devient maître du jeu et me baise la bouche, son petit sexe glisse entre mes lèvres jusqu’à toucher la glotte. Le garçon veut contrôler totalement sa jouissance, il me prend à deux mains la tête pour accompagner le mouvement de son bassin. Ma bouche est un manchon, un sex-toy dans lequel il se branle... jusqu’à exploser.

Son ronronnement continu devient râle bruyant et saccadé alarmant probablement le voisinage ; en même temps ma langue sent l’urètre se gonfler, le sperme jaillit contre mon palais une, deux fois, puis coule comme une rivière. J’avale son nectar, il me laisse faire, mes dents essorent la baguette qui abandonne ses dernières gouttes de sève et redevient tige souple.

Eve revient, se redresse, une fois bien assise elle se penche et me roule un patin :

— John tu réveilles ma racine masculine, ça fait bien longtemps que je n’ai pas éjaculé... peut-être depuis les dernières vacances avec toi.
— J’adore ta féminité et réveiller ton masculin.

Alors que je suis toujours assis sur le gode, elle sur le lit, la coquine commence à jouer avec la chaîne fixée à mon sexe et aux tétons par des pinces crocodile. D’un coup sec elle me tire à elle, la douleur est fulgurante tant au niveau des tétons qu’elle arrache que de l’anus qui se distend en soulevant le gode géant de presque 4 kilos. Mes cris sont tels qu’elle cesse immédiatement et me bâillonne de ses lèvres :

— Chuuuuuuut, on va croire... tu vas alarmer tout l’immeuble 
— Oh nooooooooon ça fait terriblement mal !
— Je t’ai dit que j’étais sadique !... Ok j’arrête, enlève le gode, fais attention de ne pas en mettre partout !

Un moment après mettre lavé je vois dans le miroir Eve au fond du lit sous les couvertures :

— Viens te coucher.
— Je vais retirer la chaîne d’abord !

D’un sourire elle approuve mon choix. Comme la première fois avec Jade j’ouvre simultanément les deux pinces, c’est horrible, la brûlure est telle que j’en lâche la chaîne qui tombe et se balance entre mes jambes retenue par l’anneau qui encercle mon sexe. Mes mains massent mes pectoraux comme des seins, mes doigts pressent et frottent les tétons. Tout mon visage se crispe, j’inspire profondément avant que ma respiration se bloque... Je me mords les lèvres pour ne pas crier au milieu de la nuit. Une, deux minutes ? Je masse, le sang irrigue les chairs écrasées. Tout redevient normal.

Eve s’est relevée, prés de moi elle me prend par les épaules et me suce les tétons, sa bouche me fait tout oublier. Ma respiration redevient normale, elle me conduit au lit. Placé dans l’angle du mur je me glisse au fond, elle vient dans mes bras.... Tout est calme, il est tard, après un long baiser, elle se pelotonne le dos contre mon ventre, l’élancement de mes tétons se calme, on s’endort

….......................
Ce matin, on sait c’est bientôt l’heure du départ, on reste un moment à s’embrasser, se câliner, elle s’en prend à mon sexe, le temps manque elle le fait vite et bien, je lui donne tout.

— Je vais le mettre en cage... Tu penseras à moi une fois partie.
— …

Je n’ai pas le cœur à parler, un baiser est ma réponse... Il faut faire vite dans une heure elle a son train, le déjeuner pris, elle en fille moi en garçon avec ma cage, nous quittons la chambre.
Je l’amène à son train, un baiser, au moment de se quitter

— John ! Tu m’écriras, tu me diras tout !
— Oui, grande sœur, je te promets je te dirai tout.

Long coup de sifflet, la porte se ferme, un baiser envoyé de la main. Je marche pour l’accompagner le long du train... elle est partie je rentre chez moi ce dimanche matin le cœur triste..
Diffuse en direct !
Regarder son live