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John & Jane

Chapitre 7

John rencontre un coach de gym

Gay
Mon installation dans une petite chambre de bonne proche de la fac, me facilite ma vie d’étudiant et libère ma vie sexuelle qui sans être débridée comme l’été dernier avec ma tante et mon oncle, est un peu folle et pleine de surprises avec la cohabitation de John et Jane.
Ma propriétaire, une charmante dame d’une soixantaine d’années, amie de mes parents, habite en dessous de chez moi. Elle a découvert mon goût pour le travestissement et connaît tout de ma bisexualité. Libérée, voire libertine, elle ne manque pas une occasion pour m’inviter à prendre un verre. Peut-être par crainte de chantage, pour m’assurer de son silence et surtout pour mon plaisir, j’ai cédé à sa pression et suis devenu son amant. Ainsi régulièrement nous faisons comme elle dit « un rinçage des conduits ».
Outre cette relation, j’ai gardé un contact avec Gaby, rencontré dans un train de banlieue il m’a partagé dans un ciné porno avec 6 autres partenaires.
Ce soir-là, dans ma chambre, je révise mes cours en préparation des prochains partiels. Alors que je suis en survêtement, on toque à ma porte, rien d’exceptionnel en cette fin d’après-midi.
— Oui, oui j’arrive ! … et je reste bouche bée à la porte en voyant qui vient me rendre visite.—  Bonsoir Jane, je ne te dérange pas ? — Gaby !!!… Bonsoir... Euh, je travaillais !
Ma surprise est telle que je ne l’invite pas à entrer et le laisse forcer le passage. La porte refermée, il se débarrasse de sa veste et me plaque à lui en faisant ressortir, sa force, sa virilité et sa domination.
— Alors ma p’tite pute on travaillait ?
Son étreinte me met le feu au ventre, ses deux mains glissent sur mes fesses nues sous mon survêtement. Il m’embrasse dans le cou, et me murmure :
— Hum ! T’es toute chaude, (un de ses doigts glisse sur ma raie et touche mon petit trou)... chaude et humide, tu es toute tendue ma chérie.— Gaby ! S’il te plaît il faut...
Il est dans la place, il s’impose... j’en ai envie, je l’accueille. Ses lèvres me bâillonnent, ses deux mains abaissent mon survêtement, dans le mouvement il se met à genoux et se retrouve le visage sur mon pubis protégé par le voile de mon string. Mon pantalon sur les chevilles, il est déjà trop tard, d’un geste j’abandonne ma veste et suis nu. Lui habillé, assis sur ses talons, écarte sur le côté le voile et dégage mon sexe qu’il commence à pomper avec force, tout en me malaxant les fesses à deux mains comme ferait un boulanger avec son pétrin. Je crois que c’est la première fois qu’il me suce et c’est un gourmand, comme pour la baise c’est un laborieux... putain qu’est-ce qu’il suce bien :
— Hum ! T’es bien montée, longue et dure, je comprends que le mec du ciné qui t’a pompée se soit régalé, t’es comme la cochonne, en toi tout est bon.
Pendant ces compliments il se déshabille. C’est aussi la première fois que je le vois nu. Un corps musclé, poilu sans excès sur les pectoraux, le ventre et les jambes. Au milieu des poils noirs, frisés et doux, pointent deux tétons sombres, le sexe forme un bel arrondi en reposant sur les bourses couvertes de poils soyeux. Hormis nos sexes, le mien étant un peu plus petit, nous sommes les opposés de poil et de peau clairs ou sombres, au ventre glabre ou velu, ou les complémentaires de corps frêle ou musclé, efféminé ou viril.
Nu, il s’allonge au milieu du lit jambes légèrement écartées et me sourit, une main sous la tête l’autre agitant un pieu bien raide. Je m’installe entre ses cuisses en chien de fusil contre son ventre. J’ai envie de lui, ma main remplace la sienne et au lieu d’agiter le manche je l’astique doucement en tirant le prépuce un maximum avant de lui rappeler mes talents de pompier. Rapidement son bassin accentue mes va-et-vient. Incapable de le prendre totalement en bouche je le lèche sur toute la longueur du tronc jusqu’aux soies de ses testicules, j’enfonce mon nez dans sa broussaille noire, j’aime son odeur boisée, j’aime la douceur de son poil frisé :
— Hum ! Salope arrête, tu ne vas pas t’en tirer à si bon compte, lâche moi la grappe, et allonge-toi sur le dos.
La tête au pied du lit, je m’offre à lui. Il y va direct, me plie en deux, les genoux sur ma poitrine et me fait une feuille de rose comme un chien qui se lustre le poil. Sa langue couvre une large surface de ma raie et me lèche à grands coups comme une sucette avant de se fixer sur le petit trou. Elle est pointue et raide, comme un doigt par petits coups elle me pénètre. Avec la même énergie il me branle comme s’il voulait me faire cracher rapidement la sauce, mais non, il maîtrise et s’arrête :
— Allez, sale chienne en position, tout en accompagnant son ordre d’une claque sur les fesses.
Je fais volte-face, à quatre pattes, tourné vers le miroir, je découvre probablement la vraie raison de ce miroir pour soit-disant les exercices d’un petit rat de l’opéra. Je vois et je sens tout. Il est viril, j’aime son torse velu aux tétons turgescents, son sourire, il connaît ma voie l’a parcourue à deux reprises. Il ne s’embarrasse pas, il pointe, il me tire à lui et pousse simultanément, il est en moi, encore un coup de reins je l’avale entièrement :
— Ah putain ! Un cul de geisha, un fourreau de soie.
Et là je subis, ses mains se crispent sur mes hanches, il me baise, il m’utilise comme un manchon, je le vois concentré, le regard vissé sur l’action, ses doigts dans mes chairs, c’est une furie, enfin il se calme, relève la tête et nous voit dans le miroir :
— Hum ! T’es vraiment une pute, avec une chambre de pute, il y a même le miroir pour exciter le client.— Nooooon ! C’est la proprio qui l’avait installé pour un petit rat de l’opéra.— Ouais, et pour voir les gros rats qui te courent dans le ventre...
Il me prend par les épaules, me relève contre sa poitrine,
— Regarde comme t’es belle, regarde comme j’te baise !
Je creuse les reins pour mieux le sentir, mes mains partent en arrière, mes doigts se plantent dans ses fesses musclées. Lui m’entoure la poitrine d’un bras en attrapant un de mes tétons, son autre main me masturbe doucement. Je suis impressionné par ce gars tout en muscle qui a probablement plus de 40 ans, vu les tempes grisonnantes et qui pourrait être mon père. Bien arrimés l’un à l’autre il commence à m’enculer, me branler, me tripoter tout à la fois... Sa force, sa brutalité me font mal, me font du bien... l’image est d’un érotisme fou. Il est plus grand, plus large que moi, son corps à la peau sombre forme comme une ombre du mien. Ses coups de reins puissants me soulèvent, tout mon corps vibre.
Il me besogne longtemps, je ne sens plus mon téton tellement martyrisé, je ne retiens plus rien et jute longuement, je ne sais combien de fois. Je gémis, je râle, je hurle... et lui continue à me branler et à me faire danser au bout de son glaive. Je crois n’avoir jamais vécu ça, je jouis une nouvelle fois sans avoir débandé, un coup violent et c’est l’apothéose, je sens son membre se contracter dans mon ventre. Il semble perdre l’équilibre, tombe sur le côté et m’entraîne dans sa chute sans déculer. Tout mon corps se love dans le bac qu’il m’offre, l’un comme l’autre reprenons notre respiration, sa force devient tendresse, il me caresse le téton qui vraisemblablement a doublé de volume, le sexe qui est devenu vermisseau.
— Merci Gaby, on ne m’a jamais pris comme ça.— Ouais, c’était vachement bon… tu t’exprimes comme une gonzesse quand tu jouis !
Je sens dans mon dos, son torse velu, ses tétons bandés, je suis bien, je me laisse aller...
— C’est la première fois que je trouve un homme beau.— Oooooh ! Tu deviens gay !— Non, je ne crois pas mais tu es musclé, ton corps est beau, athlétique.— Ben tu sais j’ m’entretiens, j’ t’ai dit, j’ travaille dans une salle de sport, muscu, souplesse... tous les genres de gym …
Je repense à la recommandation du docteur Juste : esthéticienne et coach de sport.
— T’es prof de sport ?— Excuse, je suis COACH, je m’occupe de particuliers, de groupes de personne adulte.— Pour les mecs ? Avec des appareils, faire de la muscu... de la gonflette ?— Si tu veux mais pas qu’eux, des nanas aussi.— Les fessiers, les formes, leur féminité ?— Ouais bien sûr.— Je pourrais venir ?— Quoi ? Avec les nanas ou pour la gonflette ?— Avec les nanas, pour me donner un beau petit cul, affiner mes lignes.— Ah ! Ouais … bien sûr, ça s’rait super sympa.— Et comment ça se passerait ?— C’est très simple, tu t’incorporerais à un groupe de filles et deux fois par semaine le mardi et le vendredi par exemple de 18 à 19 heures on m’occuperait de toi, la salle ne se situe pas loin du Châtelet, juste de l’autre côté de la Seine. Ce seront surtout des exercices au sol pour les cuisses et les fesses, on te ferait travailler les abdominaux. Tiens, contracte un peu tes abdominaux pour voir...
Pour voir comme il dit, je contracte une dizaine de fois et... je sens dans mes fesses sa présence se réveiller, à tel point qu’il bande à nouveau comme un cerf :
— Ouais c’est pas mal mais on peut raffermir tout ça... laisse-moi faire !
Sans beaucoup de difficulté, il vire de côté, lui sur le dos et m’entraîne sur lui. Je me retrouve à genoux, à califourchon sur son ventre, planté sur son tuteur. Je m’appuie à l’avant sur ses genoux pour garder mon équilibre et là tout me faisant sauter il chantonne « A dada sur mon bidet ». Immédiatement mon sphincter rempli de sperme lui répond en rythme, le chuintement est bruyant et indécent. Après trois, quatre minutes de cette cavalcade :
— Hum ! Que t’es bonne, et tout en me soulevant par les hanches il me demande de faire demi-tour..
Je me démanche, fais une volte-face et me replante sur son braquemart, face à lui et face au miroir. L’image renvoyée est d’une brutalité semblable à celle du ciné porno. Je me vois monter et descendre, j’entends le chuintement de mon cul, je sens sous mes mains ses pectoraux puissants et couverts de poil. J’accélère la danse avant de m’affaler sur son torse, la tête au creux de son cou. Lui continue encore avant d’exploser et de rugir « ROAAAaaaaar ,raaaaah ! »On reste un moment ainsi enlacés.
— C’était bon Jane?— Trop bon !— Ouais pas mal ! qu’il ajoute tout en riant, mais effectivement il faut venir au club pour arrondir tes fesses et renforcer tes abdos.— Ouais d’accord mais tu sais un étudiant à un petit budget.— Mais aux étudiantes je fais des conditions très particulières si celles-ci offrent quelques gâteries et permettent de vérifier régulièrement les améliorations.— OK, j’ai compris, comment veux-tu que je vienne ?— Les filles sont en leggins et débardeurs, adopte cette tenue. En fin de séance tu pourras te doucher, c’est collectif, t’inquiète c’est décontracte, hyper cool.— Merci pour la douche que je ne peux t’offrir ici.— Je vois, pas grave je vais y aller, ta chambre est sympa.
Il regarde par la fenêtre, puis se lave au lavabo. En s’habillant il découvre sur ma table l’empreinte du sexe de ma tante, le plug et la cage que j’ai enlevés en rentrant de la fac, puis les photos de mon anniversaire et de ma tante avec Eve.
— Dis donc … toi en peignoir au milieu de ces gens, et les deux nanas. Le doigt posé sur l’empreinte, c’est le sexe de.... la plus âgée ?— Oui, ma tante !— Et tous ces gens... les invités à ton anniversaire ? — Oui !— J’imagine la soirée !... et ces petits joujoux ?— Des cadeaux de mon cousin et de ma sœur.— Ils sont gentils dans ta famille ! L’empreinte pour penser à ta tante, le plug pour entretenir ta féminité et la cage pour enfermer ta masculinité... Bon je vais rentrer, je t’attends mardi 18 heures.— Non pas cette semaine, j’ai des exams à la fac !— Alors à bientôt.— OK ! Dans 15 jours.
Et il me quitte en me laissant nu, avec sa double dose de sperme dans les fesses qui coule sur mes cuisses, vite je me lave avant de reprendre mes révisions..
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