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John & Jane

Chapitre 12

Jane est de service

Travesti / Trans
Voici venu le week-end du 1er mai et ce soir je suis de service. Les propriétaires de ma chambre m’ont engagée comme soubrette pour faire le service des apéritifs et garnir le buffet lors d’une soirée qu’ils organisent.
Pour ce, Germaine m’a habillée de pieds en cape : jupette, blouse, tablier, escarpins et sous-vêtements dont un corset qui me donne une taille de guêpe.Ce matin j’ai rendez-vous au salon de coiffure et à l’institut de beauté. L’expérience du coiffeur pour dame est une première. Depuis presque 8 mois je me laisse pousser les cheveux et me coiffe tant bien que mal à la Claude François. C’est Monique, la coiffeuse briffée par Germaine, qui me reçoit. Elle a reçu des instructions précises. Tout d’abord elle me rase au coupe-chou en préparation du maquillage puis me shampouine, me coupe en dégradé les cheveux mi-longs et me fait un brushing, avec une raie sur le côté et une frange qui couvre le front. En même temps que Monique s’occupe de ma tête, une jeune fille me fait une manucure très soignée. C’est plus d’une heure de soins pour transformer ma chevelure hirsute et sauvage en une belle coupe féminine.
Je cours à présent vers l’institut de beauté et retrouve Claudine qui n’en revient pas :
— Bonjour Jane, ta coiffure te magnifie, elle t’arrondit le visage, j’aime beaucoup le dégradé dans le cou et cette mèche sur le front, très féminine... Oh ! Fais voir tes mains, Waouh ! superbes, le vernis est parfait, ce rouge te va à merveille, tu as de très belles mains tu sais ?. Ben dis donc... sacré challenge pour moi je dois rester au même niveau d’excellence. Donc aujourd’hui la totale, épilation, gommage et maquillage. Le maquillage comment ?— C’est pour ce soir, je suis de service, ma patronne me veut très distinguée et la soirée se prolongera, j’aurai un beau décolleté. — D’accord, donc un peu soutenu mais avec tes cheveux clairs sans être trop charbonneux, je l’harmoniserai aussi avec ton vernis à ongle. Bien installe-toi dans le salon et j’arrive.
Les soins se succèdent, avec des crèmes, des lotions, des massages, ce n’est que détente et bonheur, même l’épilation à la cire est agréable. J’aime comme on s’occupe de moi, j’ai l’impression de changer de peau. Puis Claudine équipée comme un peintre de crayons, de palettes de couleurs de brosses et de pinceaux s’affaire à mon visage. Après deux heures :
— Voilà ma chérie, regarde-toi !— …. (je reste bouche-bée)— Ça te plaît ? — C’est superbe, méconnaissable, trop beau, c’est une autre Jane... — Parfait, je suis contente. Je t’offre ce blush pour d’éventuelles retouches sur tes lèvres et cette petite palette de couleurs pour ton décolleté, tu appliqueras légèrement avec ton doigt un peu de couleur sur ta poitrine découverte pour l’harmoniser à ton maquillage.— Tu es adorable Claudine.— Allez file ma belle !
C’est le cas de le dire, je paie, un bisou et je file, il est déjà midi passé et Germaine m’attend à 15 heures. L’après-midi c’est habillage. Tout d’abord une vaporisation de mon parfum préféré puis mon corset, ma brassière dans laquelle je glisse mes prothèses, je mets mon sexe en cage. Le simple fait d’enfiler la verge et les testicules me fait bander de sorte que je doive attendre que la bestiole se calme avant de l’enfermer. Pour me distraire, j’applique un peu de fond de teint sur la poitrine pour maquiller le décolleté, j’enfile avec attention mes bas couture et prépare mes autres habits. Le détournement de mon attention provoque ma perte de virilité... et CLAC ! mon sexe est en cage, c’est soirée cul nu, donc pas de culotte. La coiffure, le maquillage, la manucure, le corset, les prothèses, la cage... je ne me suis jamais sentie aussi féminine.
Il ne me reste qu’à enfiler blouse, jupe et escarpins, ajuster mon tablier, je descends au 4ème.
Ding-dong, de l’intérieur de l’appartement on peut entendre Germaine :
— Oui, oui, j’arrive... la porte s’ouvre, elle est là en peignoir : Jane !... Incroyable, entre, tu es superbe. Ta coiffure et ton maquillage te transforment. Ça s’est bien passé avec Monique ? d’un signe de tête je réponds par l’affirmative. Ton maquillage est parfait, il faudra que tu me donnes les coordonnées de ton esthéticienne.— Merci madame !— Bien Jane, tu vas d’abord m’aider à me préparer, allons derrière s’il te plaît.
Le plus naturellement du monde comme avec sa femme de chambre, sur le chemin elle abandonne son peignoir et entre nue dans sa chambre.
— Jane, occupe-toi d’abord de ma touffe, voilà les ciseaux, tu égalises en coupant tous les poils disgracieux et tu soignes bien le triangle.— Oui madame !
La coquine se met debout jambes écartées dans la salle-de-bains face à un grand miroir et moi à genoux, assise sur mes talons, je me transforme en barbier... Avec attention je coupe, par-ci, par-là, régulièrement elle passe sa main dans sa toison et me demande encore quelques coups de ciseaux, je dois dire que je suis assez contente du résultat et elle encore plus.
— Tiens prend la brosse... oui comme ça. Oh pas trop fort... Hummm, encore sur le clito c’est bon... Suffit, parfume-moi maintenant...
Je couvre la toison et le ventre d’une vaporisation de« Chalimer », son parfum si capiteux, si sensuel.
— Passons dans la chambre tu vas m’habiller.— Oui madame !
Comme pour s’assurer que tout aille bien, d’un doigt elle se caresse le sexe en revenant dans la pièce. Je trouve sur le lit le corset anglais, les bas et une robe. Elle se plante face au miroir au pied de son lit et attend mes services. Je place son corset sans trop de difficulté :
— C’est bien Jane, tu as vite appris de Lison mais tu peux serrer encore... Voilà parfait, et tu dégages la voilette qui couvre les seins dans les coques s’il te plaît.— Oui, bien sûr madame !
La coquine me fera la totale, avec attention je soulève les seins pour ranger la voilette dessous et positionne les tétons juste au dessus de la coque, je me permets un bisou sur la pointe.
— Hum ! C’est bon, encore... C’est très bien, j’aime comme mes bouts de seins se dressent. Aide-moi pour les bas s’il te plaît.
Elle ne m’épargnera rien, je suis empêchée de bander avec ma cage, la contrainte est terrible, je ne peux que discrètement la tirer pour allonger la peau à la base du pénis et soulager la pression. Assise sur le lit elle me tend une jambe en s’appliquant à ouvrir un peu le compas de ses cuisses pour me mettre à nouveau sous le nez son sexe, une jolie crête épaisse et sombre au milieu d’un gazon bien taillé, puis tend l’autre, j’attache les trois jarretelles de chaque côté. Elle se lève :
— Assure-toi de la position de la couture sur mes cuisses...
A genoux derrière, j’ai ses fesses sous mes yeux, j’ajuste un bas dont la ligne de couture n’était pas parfaitement droite :
— Voilà madame, tout en déposant un baiser sur chaque fesse.— C’est parfait, dépêche-toi de me passer la robe.
Une jolie robe bleue, de cocktail avec un décolleté arrivant à la limite du soutien-gorge. Une large ceinture du même tissu souligne la finesse de la taille et une jupe évasée qui se soulève au moindre mouvement. Elle est toute simple à passer et fermée par un zip dans le dos. Elle enfile les escarpins à talons aiguilles.
— C’est bien Jane, tu est parfaite.— Merci madame, à votre service.— Tu vas m’aider à préparer la maison. Ce soir nous avons deux autres couples. Tu connais Dany elle sera avec Eric et il y aura aussi Christiane, Cricri et Raymond. Ils sont charmants. On va tout d’abord s’occuper de la chambre d’amis puis du salon et du buffet dans la salle à manger, le traiteur passe dans une heure environ.
…..............................Tout se passe comme prévu, l’appartement est en ordre. Il est 19 heures lorsque j’accueille les premiers invités. Ding-dong, se présentent Christiane (la seule femme que je ne connaisse pas) et Raymond. Lui un beau brun max 40 ans, costume bleu cravate, elle rousse flamboyante aux yeux verts, grande, filiforme, peut-être plus jeune que lui, habillée d’une cape de velours noir :
— Bonsoir madame, bonsoir monsieur, Madame puis-je vous débarrasser ?
Elle me tend sa cape et se présente en robe longue de soie noire très fluide, le décolleté cache mal une petite poitrine nue. Au premier pas, la jambe se dégage jusqu’au haut de cuisse, par la fente latérale de la jupe, sa peau est blanche comme la neige sans la moindre tâche de rousseur.
— Bonsoir... (d’une voix très voluptueuse) Nous ne nous connaissons pas !— Non madame, je suis Jane (Djène) pour vous servir. Voulez-vous entrer, madame est dans le salon.— Merci... Vous êtes ravissante !

Ding-dong, arrivent Dany et Eric, même cérémonial, bonsoir madame, bonsoir monsieur. Elle joue parfaitement le jeu et fait celle qui ne me connaît pas. Me reconnaît-elle vraiment ?
Tout le monde est installé, je commence mon service, champagne, petits fours et sandwichs. Au début les conversations sont très mondaines, on parle exposition, cinéma, prochaines sorties... Ce que je découvrirai plus tard c’est qu’en me baissant pour servir le champagne je découvre la peau nue de mes cuisses au dessus de mes bas.
Durant tout le service je continue à jouer le rôle de la soubrette, en vouvoyant en donnant du monsieur, madame à tous.Peut-être que ma tenue ajoutée aux premiers effets de l’alcool font que les discussions évoluent vers les souvenirs, les soirées passées, les rencontres et... ma présence. C’est Eric le premier qui s’autorise à me caresser la jambe jusqu’à la limite du bas. Comme les discussions, l’ambiance s’échauffe, les couples deviennent câlins, les mains plus entreprenantes jusqu’au moment où Dany franchit la ligne noire de mes bas et caresse ma peau nue.
Germaine pour calmer l’atmosphère propose de passer à table. Chacun abandonne sa chacune pour favoriser de nouveaux échanges. Au cours du repas, pris au buffet, les attitudes des invités se libèrent, vrais baisers, caresses appuyées, bavardages libertins, le décolleté de Cricri la flamboyante, avec l’aide de Bernard et de Raymond, s’ouvre et dégage deux petits seins à la peau laiteuse et aux mamelons rose tendre. Je poursuis le service des boissons comme si de rien n’était, les deux mains tenant des bouteilles je n’ai aucun moyen d’éviter à ce que les mains explorent à présent mes fesses nues.
Germaine, aidée par Raymond, fait tomber le haut de sa robe de cocktail et se présente en corset seins nus. A voir la maîtresse de maison se dévêtir Cricri et Dany passent sous la table. Au moment de servir Eric, le coquin soulève la nappe et me fait voir comment Dany à genoux s’occupe de lui et d’un coup passe sa main sous ma jupe. Pas surpris de me trouver cul nu il place le pouce dans la raie des fesses et les autres doigts entre mes cuisses. Probablement surpris à ce moment de ne pas sentir de vulve, les doigts remontent vers le pubis et touche la cage. Très discrètement tout en revenant entre mes fesses, il murmure :
— Tu es magnifique Jane, j’aime beaucoup ton genre.— Pour vous servir monsieur !

et d’un coup deux doigts me pénètrent profondément. Un rictus de mon visage informe Germaine de la prise en main, je laisse faire comme toute bonne soubrette soumise. Il fouille, se régale de mes dispositions, me libère en me donnant une tape sur les fesses.
Elle me fait signe de venir à elle. Raymond ne cesse de butiner sa poitrine dénudée. Dans l’état actuel elle est la seule femme à table avec trois hommes très occupés. Je m’approche pour recevoir ses instructions :
— Aide-moi à enlever ta jupe et ton chemisier et garde ton tablier (en une minute c’est chose faite)... Mes amis si vous voulez bien Jane va nous servir les desserts.
Les deux dames réapparaissent et tous me découvrent en corset, brassière et tablier. Eric intervient :
— Comme dessert je prends la soubrette !
Et tous de réagir « AH NON, C’EST MOI ! » sachant que ma vérité reste inconnue de Raymond et Christiane.Il est certain que l’élégante soubrette, en blouse blanche et jupette noire, est toute autre en sous-vêtements noirs, cul nu et tablier en guise de cache sexe. On me laisse assurer le service du dessert : une magnifique bavaroise aux fraises. Dany fait avec brio quelques pas de danse pour abandonner sa robe pendant que ni vu, ni connu, Christiane et Germaine quittent leurs jupes de telle sorte que les 3 femmes sont en bas et sous-vêtements, alors que les hommes restent en costume. Nous sommes semblables à 4 catins offertes à ces gens de la ville.Je continue le service en offrant un peu de coulis de fraise. Chacun me flatte l’arrière train jusqu’à ce que Cricri qui n’a qu’un string laisse tomber volontairement une cuillerée de coulis sur sa poitrine :
— Oh Jane ! Regarde petite sotte, ce que tu m’as fait faire, heureusement que je n’ai plus ma robe !— Que t’es maladroite, commente Eric... tu n’as plus qu’à nettoyer !— Excusez-moi madame, je vais chercher de quoi essuyer.
Alors que je me retire vers l’office, elle me retient d’une main, s’écarte de la table et presque allongée sur sa chaise :
— Non, non Jane !, ne gâche pas cette sauce, elle est si bonne, lèche-moi.
Je me mets à genoux à ses pieds, l’oblige à écarter un peu plus ses jambes pour m’allonger sur elle et commencer à lécher le coulis qui est descendu entre ses seins jusqu’à son nombril. Tout d’abord par petits coups de langue comme un chien qui lape puis par de longues traînées. J’adore cette peau immaculée, si blanche et elle adore comme je fais. Elle se verse une nouvelle cuillerée de coulis sur un sein et dirige ma tête à deux mains sur sa poitrine. Le rose du téton est couvert de sauce rouge, je le prends en bouche, le suce, il grossit, durcit, s’assombrit, devient celui d’une mère qui allaite puis je lèche l’aréole et tout le sein par grandes traînées avant de revenir au centre. Je reprends le téton, le pince entre mes dents, le titille de la pointe de la langue, le suce, l’aspire... fort, il s’allonge, je le mordille avant de le mordre en tirant dessus. Cricri gémit :
— Oh Jane comme tu suces bien.
Je ne sais pas ce qui se passe autour de moi. Je suis accaparée par cette peau blanche, par ce téton et je m’en prends au string, le baisse, elle m’aide à s’en défaire. Par petits bisous je reviens en arrière sur le nombril et descends jusqu’au gazon couleur de feu et coupé ras. Son sexe rose effleure tout juste. Je me retrouve presque assise sur mes talons, les fesses écartées. Quelqu’un me flatte le postérieur, me prend par le sexe en cage et m’oblige à me mettre en levrette. Il me fait une superbe feuille de rose. Qui ? probablement Eric qui se positionne. Saisie par les hanches il me tire à lui, ma rondelle s’ouvre immédiatement et il glisse sans difficulté dans mon fourreau son épée bien effilée jusqu’à la garde... La soirée ne fait que commencer !
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