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John & Jane

Chapitre 13

Jane est de service - 2

Orgie / Partouze
Pour fêter le 1er mai, Germaine la propriétaire de ma chambre d’étudiant, a réuni trois couples d’amis et m’a demandé de l’aider pour le service. A la fin du dîner, au moment du dessert, accidentellement une invitée, Cricri, s’est versé du coulis de fraise sur elle, heureusement sans dommage ayant préalablement abandonné sa robe. Elle me demande de la nettoyer avec ma bouche.

Alors que je suis à genoux affairée à ma tâche, un invité abuse de ma position en levrette. Il me saisit par les hanches, me tire à lui, et s’enfile dans ma rondelle jusqu’à la garde, un vrai coup de sabre bien effilé...

Un rapide coup d’œil de droite et de gauche me fait découvrir une véritable scène d’orgie. Outre nous trois, tout le monde s’embrasse, Bernard se fait sucer par Dany et Germaine s’est emmanchée sur Raymond.

C’est donc Eric qui me chevauche à la hussarde, un sacré sabreur, il taille profond. Je retrouve l’atmosphère des dernières vacances mais ce que m’offre Cricri m’est inconnu. C’est Blanche neige avec une pilosité de feu, un sexe de jeune fille aux lèvres fines, une mangue juteuse. Sa fragrance féline ajoutée à la cage qui m’emprisonne le sexe me rendent furieuse.

Comme un animal, je dévore le sexe de la rousse, pince des dents le clito, mords les lèvres avec gourmandise, libère un flot de salive dans le vagin avant que deux doigts ne l’ouvrent et attaquent le point G. Cricri m’encourage de ses mouvements de bassin et ses gémissements.

Je la masturbe activement... Le « Floc, Floc » de mes doigts dans son vagin s’associe aux « Han, Han » de Eric dans mes fesses... Il se vide en moi et rugit pendant que la femelle miaule:

— Hummmm ! Oui ui ui ui encore Jane encore... plus !

J’y ajoute un autre doigt et suis surpris comme son sexe de jeune fille s’ouvre :

— Oui oui oui... c’est bien comme ça continue !


Eric quitte mes fesses pour être immédiatement remplacé. C’est Bernard, le proprio, qui se met à la manœuvre, il s’enfonce d’un coup dans mon puits d’amour bien lubrifié. Il est beaucoup plus gros qu’Eric mais la voie est préparée et je le reçois sans difficulté d’autant moins qu’il bande dur, bien sucé par Dany, il tape fort. Immédiatement un « Clap !Clap ! » sonore alerte les autres convives.
Mon visage sur le ventre de Cricri suit le rythme de la sodomie tandis que quatre doigts à présent battent la cyprine.

— Oh Jane, que c’est bon l’amour au féminin, (visiblement elle ne sait pas encore qui je suis) comme ta main est fine, écoute comme tu me fais jouir. Oh Ouiiiiiiiiii... Doucement, pas trop vite.

Je calme le jeu, ma tête sur le ventre, j’embrasse sa toison fauve, je respire à plein poumon la fragrance sauvage, ma main s’immobilise dans son antre d’amour et Bernard continue encore à m’usiner avant de ralentir, il donne la dernière salve, se contracte, éjacule trois, quatre fois, se vide, me quitte.
Je me redresse et embrasse Cricri, toujours assise. Je ne veux pas la laisser dans l’ignorance plus longtemps, je m’approche, chevauche ses genoux et presque à la portée de ses lèvres, lève mon tablier. Elle écarquille les yeux devant mon sexe en cage

— Jane... !

Je le mets contre ses lèvres et lui donne les clés sorties de mon tablier.

— Tu me libères ?

L’ouverture est immédiate, avant de trop bander je retire le sexe de la cage. Ma tige se déroule, se redresse, le sang l’irrigue, la fait gonfler, les chairs comprimées se développent comme le poussin à la sortie de sa coquille. J’arbore alors une hampe de vaisseau amiral toujours à portée des lèvres de Cricri. Elle tient la verge, deux, trois manipulations pour bien remettre tout en place, probablement que l’animal triple de volume. Elle me prend en bouche et me fait la fellation que j’attendais depuis que je l’avais vue.

— Quelle belle queue !
— Ouais mais celle-là, intervient Dany, c’est pour moi ! Je l’ai réservée depuis plus d’une semaine... Et elle explique notre première rencontre dans sa chambre après le restaurant au Luxembourg. (voir chapitre 11)
— Je te retrouverai coquin, tout à l’heure !

Tous veulent me peloter à présent les seins tellement surpris du réalisme. Je quitte brassière et prothèses, abandonne le tablier mais au moment de quitter le corset Dany m’arrête en me prenant par la taille :

— Viens dans la chambre on sera mieux.

Les couples dépareillés se reforment, Cricri avec Bernard et Germaine avec Eric. Raymond abandonné nous demande l’hospitalité, c’est Dany qui le prend par la main.

— Viens avec nous mon chéri, je t’assure il y a de la place pour deux.

Alors qu’elle nous emmène dans la chambre d’amis, les deux couples vont dans la chambre des maîtres de maison, une partie carrée se profile dans la bonbonnière rose.
Je retrouve la chambre préparée dans l’après-midi. Tout en bleu, un lit king-size couvert d’un drap de satin noir, avec à sa tête un miroir incliné qui permet de voir tout ce qui se passe sur la couche, une fenêtre habillée de rideaux en velours bleu roi, un petit canapé en cuir bleu et une commode laquée complètent l’ameublement.

Dany, n’a pas la cinquantaine, blonde à la peau claire, de jolis seins aux tétons tout rose, aucun poil disgracieux, sauf une magnifique pelouse pubienne toute fine et plus claire que la chevelure qui ne cache rien d’un sexe rose dominé par un clito bien visible. Comme moi elle a gardé ses bas et ses jarretelles.
Raymond est méditerranéen, brun de poil, sportif, les pectoraux couverts d’un joli duvet frisé, un ventre plat, un sexe dans une broussaille sauvage, aux bourses bien pleines sur lesquelles repose une longue tige couronnée d’un gland très sombre et rond comme une tomate

Debout tous les trois, ce sont d’abord des cajolerie. Raymond caresse aussi bien l’une que l’autre, manipule aussi bien le bâton que le pot. Dany tout en astiquant la queue de son compagnon, m’embrasse à pleine bouche. Je les prends tous les deux par la taille avant de leur caresser les fesses comparant les grains de peau du brun et de la blonde, la fermeté de l’un et la souplesse de l’autre.

Raymond nous entraîne sur le lit. Avec Dany je tombe à la renverse sur le lit. Il m’amène au milieu du lit, avant de m’embrasser à pleine bouche alors que Dany s’attaque à mon sexe. Chacun de son côté m’embrasse, me suce, me lèche, me mord à me faire crier.

Je les laisse faire et leur donne tout en relevant les fesses et ouvrant les cuisses.
Mon plaisir est d’une telle intensité que je perds tout contrôle. Comme en valsant tout tourne autour de moi, je ferme les yeux, jouissance et douleur se confondent. Au plaisir d’une bouche succède la violence d’une morsure, le plaisir de la masturbation fait place à la violence d’un pincement.

Puis ça bouge. Raymond sur mon visage, me plante sa queue en bouche tout en relevant mes jambes sur la poitrine. Dany à genoux à mon postérieur me fait une lichette bien baveuse, à deux mains elle écarte mes fesses et ouvre mon petit trou, y laisse glisser un filet de salive. Ce n’est qu’un stade préparatoire avant l’ inversion des rôles.
A présent, c’est elle qui me chevauche la figure en me relevant les jambes vers elle et lui placé à l’arrière, pointe son pieu sur mon œillet qu’il pénètre d’un coup puissant. Immédiatement la rencontre de son ventre et de mes fesses résonne dans la chambre. Après un moment alors que je suis bâillonnée, ils commentent à haute voix le soyeux et la commodité de mes trous :

— Putain qu’est-ce qu’elle est bonne, elle a cul d’enfer !... et elle te masse la trique comme une chatte.
— Tu sais, elle me ferait jouir rien qu’avec sa langue... Regarde cette salope comme elle bande, laisse-moi m’y planter.
— Allez, viens on va te prendre à deux.

La servante que je suis n’a rien à dire, elle est de service… Le changement se fait comme prévu. Elle s’emmanche sur ma queue et tend ses fesses. Raymond se positionne sur l’arrière-train et déjà je sens l’envahissement du sphincter. Lentement il la pénètre, la paroi entre les deux trous est fine, je le sens glisser contre ma verge. Je suis immobile, elle en levrette s’active doucement sur ma tige et lui à genoux, entre mes cuisses, la sodomise à grands coups de boutoir.
Ma seule liberté d’action : mes mains sur son dos et ma bouche sur ses lèvres. Elle attendait ce moment intime depuis notre première rencontre.

— Enfin je te retrouve !

Nous faisons tendrement l’amour, alors que Raymond la défonce comme une bête. On baise ainsi probablement longtemps...
Dany couchée sur moi, ses seins écrasés sur ma poitrine se fait démonter le cul, elle laisse faire, bouge peu, ma verge est continuellement massée par le mandrin de Raymond. Force et tendresse s’assemblent sur moi. En continuant ainsi Raymond va nous faire jouir toutes les deux ensemble. Entre les contractions vaginales de l’une et le massage rectal de l’autre, je garde une érection en béton.

Sans nous en rendre compte les deux autres couples nous ont rejoints. Bernard et Eric se sont installés en spectateurs sur le canapé alors que Gigi et Cricri sont assises au pied du lit.
Le miroir au dessus de ma tête me permet de voir Cricri et Raymond s’embrasser à pleine bouche alors qu’il continue d’enculer la copine et Germaine au pied du lit... la coquine vient me peloter les couilles entre les cuisses de l’homme. A cinq, quel mélange !

Après quelques murmures de Cricri, à nouveau tout bouge. Raymond quitte les fesses de l’amante pour s’enfiler dans celles de l’épouse.
Dany libérée, se relève, d’un petit coup de bassin s’emmanche mieux sur mon tronc et invite Gigi à me faire un super facesitting.
La salope ne s’est pas lavée, appuyée sur ses genoux, elle bouge dans tous les sens et me barbouille du nez au menton d’un cocktail de salive, cyprine et sperme avant de me donner à nettoyer sa chatte. Je ne vois rien. Je sens tout, la forte odeur de sexe mélangée à son parfum oriental. Je ressens tout, les mains qui me caressent, me pincent. J’embrasse le ventre barbu parfumé mais ne reconnais pas le sexe, la crête épaisse de mes souvenirs a fait place à deux lèvres pendantes, disjointes qui s’ouvrent sur le vagin.

La salope qu’est-ce qu’elle a dû se faire mettre. Elle me donne à sucer le clito, puis déguster le jus de ses amours, avant de me plonger le nez dans son vagin et de me faire lécher son petit trou... il n’est pas vierge non plus, elle s’est fait prendre en double.

J’entends tout, le « Hop ! Hop ! » de la chevauchée de Dany sur mon ventre, le « Oui, ui, ui » de Gigi se faisant bouffer la chatte, le « Han ! Han ! » de Raymond usinant le fion de sa femme.
J’entends aussi les commentaires des deux spectateurs :

— Putain quel spectacle, elles sont insatiables. Ces trois salopes nous auront vidé... (des murmures inaudibles suivis de rires, puis à nouveau) Et Jane !... un cul de geisha, et maintenant regarde comme elle fait plaisir à ces deux salopes avec la bouche et la queue. C’est Hermaphrodite personnifiée.

Oui les deux copines sont des sacrées baiseuses. Je ne sais pas ce qui se passe par ailleurs si ce n’est les jurons de Raymond et les râles de jouissance de Cricri.
Je croyais pouvoir continuer sans fin mais d’un coup j’explose, je donne un coup de reins phénoménal et m’immobilise reins cambrés, je jouis longuement, puis retombe, les deux femmes continuent à se bisouiller puis se désarçonnent.
Tous les cinq reprenons notre souffle face à Bernard et Eric confortablement assis. En maître de maison, Bernard va chercher une bouteille de champagne et des flûtes. La soirée se termine dans la chambre à se câliner.
Mais les libertins sont fatigués après un passage dans la salle de bains, les deux couples invités se rhabillent et nous quittent, alors que Bernard et Germaine me gardent dans leur lit. Rapidement tous les trois nous nous abandonnons dans les bras de Morphée.

............................Mai et juin sont les mois des examens. John va s’y consacrer pleinement, ensuite il a prévu un stage d’entreprise. Après nous retrouverons John et Jane ou plus exactement Jane et John !
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