Cette histoire s’est passée lorsque j’avais 26 ans. Je sortais avec Anne depuis 6 mois et j’avais été très bien accepté par sa famille chez laquelle je passais un week-end sur deux et quelques jours en semaine. Et oui, nous habitions encore (pour quelques mois) chez nos parents. Elle m’a toujours présenté son père comme un ours, assez cultivé mais asocial, et sa mère comme quelqu’un d’assez sympa mais avec une légère tendance à voir les choses en noir et assez fermée sur son petit monde.Effectivement le père correspondait bien à cette description. Sa présentation de Catherine, sa mère, me paraissait un peu surfaite et exagérée. Je trouvais une petite femme d’une cinquantaine d’année, brune au carré, pas forcément coquette mais pas désagréable physiquement. L’ambiance n’est pas forcément trop chaleureuse dans cette maison car des différents et clivages importants existent au sein du couple et sont passés sous silence en ma présence. Nous y dormons donc une partie des week-ends et fatalement, nous y faisons l’amour et des galipettes, profitant des absences des parents pour varier les endroits… De plus, Anne est une personne s’exprimant beaucoup quand je lui fais l’amour et quand elle jouit, elle ne peut se retenir que très difficilement, ce qui m’excite encore plus et me donne encore plus d’entrain à la faire crier, couiner, hurler. Elle mordait à pleine dent dans son édredon pour réprimer ses cris. Un matin où je suis le premier lever, comme d’habitude, je vois Catherine arriver dans la cuisine en robe de chambre pas du tout sexy avec la mine assez triste. Je lui dis bonjour et l’interroge sur son air triste et soucieux avec une petite pointe d’humour.Elle me répond un peu agressivement que c’est facile pour moi, je suis jeune et toujours plein d’entrain… laissant sa phrase en suspend… puis reprenant : dans tous les domaines et que sa fille a de la chance de m’avoir. J’avoue ne pas trop comprendre et elle doit le voir à mon air.Elle m’explique alors que son mari ne la touche pratiquement plus, et très agressif et méchant avec elle, l’insultant volontiers. Je suis un peu gêné de ses confessions, ne sachant trop sur quel pied danser. Elle poursuit en me parlant de son intimité, de ses frustrations sur la vie, son couple, ajoutant qu’au moins sa fille est bien pourvue et très épanouie depuis que je suis avec elle, en rajoutant avec un regard appuyé plein de sous-entendus à tous les niveaux comme elle en a la démonstration auditive parfois.Je ne sais plus trop où me mettre, pas que je suis pudique, au contraire, mais je n’ai jamais abordé ça avec ma belle-mère, actuelle ou anciennes… Elle me fixe, prenant un air un peu conspiratrice, semblant peser le pour et le contre puis se lance doucement en parlant de sa fille, son bien-être, de notre couple pour arriver sur le sien et en me demandant de l’aider à être plus épanouie… et sa phrase se finit sur le sexuellement. J’avoue ne pas trop savoir si c’est un piège, si elle est sérieuse. Elle se lève et entrouvre sa robe de chambre pour me laisser apercevoir une nuisette assez sage avec un décolleté intéressant auquel je n’avais jusqu’alors jamais fait attention car ma belle-mère ne se met guère en valeur. Elle me sent hésiter mais elle s’est engagé dans cette pente sinueuse et ne peux plus reculer alors elle laisse tomber sa robe de chambre et s’avance vers moi puis une fois devant prend ma tête entre ses mains pour me la coller entre ses seins que je découvre volumineux et moelleux. Une fois bien plaqué, j’entends un petit soupir, sa respiration et son cœur qui s’emballe un peu. Elle me bloque d’une main contre sa poitrine tandis que l’autre prend une des miennes pour la poser sur sa cuisse et remonter. Sa peau est douce. Je la sens frémir et avoir la chair de poule tandis qu’elle fait remonter ma main sous sa nuisette jusqu’à son sexe que je découvre alors brûlant et humide. Au premier contact elle se crispe et émet un gémissement. Pris dans je ne sais quelle spirale (en fait si), je débute une légère caresse de sa chatte du bout des doigts et elle me laisse alors faire. Je sens ses poils qui ne me paraissent pas taillés ni même entretenus, ce que je trouve assez décevant. Par contre elle est très réactive à mes caresses, les yeux fermés, un sourire assez expressif et des gémissements qu’elle contient difficilement alors que je fais peu de choses. Ça doit être de famille ça. Ma bouche se colle à sa nuisette pour mordiller son téton au travers tandis que mes doigts glissent sur puis dans sa chatte trempée, appuyant et caressant son clito que je sens assez fin. Un doigt, très rapidement suivi d’un second puis d’un troisième investissent son intimité sans grande difficulté et je la pénètre profondément, intensément. Son plaisir monte assez vite et elle me plaque contre sa poitrine lorsque son plaisir arrive. Elle jouit dans un petit cri mais en relevant la tête à ce moment pour la contempler (un de mes petits plaisirs) je la découvre la bouche grande ouverte, hurlant sans que le moindre son en sorte, pendant 3 secondes avant qu’elle retombe littéralement sur moi.Elle reste quelques instants un peu groggy puis me regarde avec un petit sourire. Elle se réajuste pour être présentable. A ce moment on entend quelqu’un qui descend l’escalier. Tout en s’asseyant en face de moi elle me demande si je suis bien en RTT vendredi prochain.Je lui réponds que oui mais à une condition : c’est moi qui mène la danse. Si ok, je passerai à 10h.Elle ne put qu’acquiescer, une lueur à la fois d’excitation et de craintes dans les yeux avant que la porte ne s’ouvre…
