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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Ma jolie Marine

Chapitre 1

Divers
Marine, c’est ma petite amie. Une jolie petite amie... très jolie même. Elle est sensuelle, amoureuse, un peu narcissique, mais elle a bougrement raison d’aimer son corps. Elle l’aime comme on aime ce qui est agréable à regarder, mais elle l’aime également en amoureuse. Si elle se donne souvent du plaisir, si elle fait vibrer son corps sous ses caresses, c’est tout simplement parce qu’elle possède un tempérament, une sensualité, une sexualité hors du commun. A la seule pensée que je suis l’heureux bénéficiaire de cette petite merveille, je bande aussitôt. Je suis un homme comblé.
Bien sûr nous nous sommes fait réciproquement des confidences sur nos années adolescentes en nous racontant nos premiers émois, nos premiers plaisirs solitaires, nos jouissances secrètes et cachées. Son parcours en ce domaine est intéressant et mérite d’être raconté.
A quinze ans elle était déjà bien faite, comme j’ai pu le constater sur les photos qu’elle m’a montrées. En maillot ou en bikini au bord de la mer elle était sexy, avec un corps parfaitement fait malgré sa jeunesse. J’étais excité rien qu’en voyant ses longues jambes aux cuisses charnues, sans excès, quant à sa taille, sa minceur faisait ressortir davantage sa poitrine qui, pour juvénile qu’elle était, avait la splendeur de la plénitude et un maintien qui aurait justifié l’absence de soutien-gorge.
Elle avait découvert le plaisir solitaire vers quatorze ans, mais, excès de pudeur sans doute, elle se caressait à travers sa petite culotte, jamais directement sur sa chair en fusion. C’est arrivé sans qu’elle ait recherché quoi que ce soit, mais se réveillant un matin avec les mains coincées entre ses cuisses repliées, elle se rendit compte que ce contact était agréable, elle remua l’une de ses mains, puis le bout des doigts à l’endroit où se situe l’une des différences entre garçons et filles. Cela lui plut... elle continua et, soudain, sentit un frisson lui parcourir le corps, elle fut comme secouée par un plaisir intense et connut ainsi son premier orgasme. Par la suite elle s’adonna souvent à cette chose dont elle ignorait le nom : masturbation.
C’est précisément vers sa quinzième année qu’elle eut une révélation qui lui apporta un plus dans cette recherche du plaisir. Un jour qu’elle revenait du lycée plus tôt que prévu, (en raison de la maladie d’un prof) en arrivant à la maison, elle entendit chantonner à l’étage. Son frère, qui venait de faire du sport, prenait une douche et, de ce fait, n’avait pas entendu Marine entrer et monter à l’étage. Ne s’attendant pas à ce qu’elle revienne de bonne heure il avait laissé la porte ouverte. En passant dans le couloir, elle le vit, nu, car il venait de sortir de la partie douche de la salle d’eau. D’où elle était il ne pouvait la voir le couloir, de plus, n’était pas éclairé, Marine s’était contenté de la lumière venant de la salle d’eau pour monter.
Elle le vit de profil, il se regardait dans la grande glace murale et elle fut étonnée de ce qu’elle vit car il bandait. C’était la première fois qu’elle voyait un garçon nu, sexe dressé. Elle n’avait dans ses souvenirs que l’image de petits zizis, du temps où l’enfance, ne connaissant pas la pudeur, en était encore à l’innocence. Cette vision fut pour elle comme un coup de fouet qui lui fit monter comme une chaleur dans tout le corps. Mais elle n’était pas au bout de ses surprises. En effet, Romain, son frère, prit tout à coup son sexe à pleine main et commença un va et vient en douceur, pour commencer, puis de plus en plus vite et elle vit tout à coup jaillir des jets blanchâtres tandis que son frère poussait des gémissements avant de se laisser tomber sur le sol, main crispée sur son sexe toujours tendu.
Profitant de l’extase où se trouvait son frère, Marine, sans bruit, se dirigea vers sa chambre et après avoir refermé et verrouillé la porte elle releva sa robe, vit la tache d’humidité sur le fond de sa culotte, comme quand elle se donnait du plaisir. Une idée folle la saisit, elle s’accroupit devant l’armoire à glace, cuisses ouvertes. Elle vit le blanc humide de sa petite culotte plaquée sur sa vulve dont on devinait le contour. Elle passa ses doigts sur le creux dessiné par le fond de son vêtement intime puis, brusquement, se releva, retira sa petite culotte et s’accroupit à nouveau. Elle resta un moment à regarder cette partie d’elle même entrouverte, dilatée, trempée puis entreprit, pour la première fois, de se masturber en ’ contact direct ’. Ce fut foudroyant, sa jouissance fut d’une telle intensité qu’elle ne se souvenait pas avoir déjà joui de la sorte.
Elle s’allongea sur la moquette, goûtant le délicieux abandon que l’on ressent après ce genre de plaisir sexuel. Par la suite, ses caresses d’amour furent toujours accompagnées du souvenir de ce sexe d’homme dressé crachant en plusieurs jets au moment de la jouissance de son frère. Ce fut son secret à elle car jamais, au grand jamais, elle n’aurait avoué à Romain qu’elle l’avait surpris en pleine séance masturbatoire.
Je me souviens que le jour où elle m’a raconté cela elle m’a dit ’ fais-moi l’amour, ça m’a donné envie en te racontant ça ’. Vous pensez bien que je me fis un plaisir de lui obéir. Mais cette histoire ne s’arrêta pas là car un jour elle a voulu me voir me masturber devant elle, ce que je fis, mais elle eut encore une exigence, celle de me le faire. Je me souviens d’avoir eu une ’ explosion ’ extraordinaire et en me voyant décharger elle eut des petits cris, comme des miaulements. J’ai voulu alors la caresser à mon tour, mais elle retint ma main en me disant : ’ j e viens de jouir ’. Sans caresses, d’aucune sorte, par le simple fait de me branler elle avait, comme on dit, pris son pied.
Merveilleuse Marine, ma douce amante ! Que de bonheur elle me donne, je l’aime tant que je lui ai même parlé mariage. Elle a sauté de joie en me disant qu’elle attendait cette demande pour juger de la force de mon amour. Elle m’a presque violé la bouche tant son baiser fut profond. ........
Aujourd’hui nous sommes mari et femme depuis bientôt dix ans... mais toujours amants, toujours amoureux et heureux, et faisant l’amour tous les jours.
Jules Deurban
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