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Joséphine

Chapitre 1

Zoophilie
Joséphine
 Il fait une chaleur à crever ce vendredi neuf juillet, j’accompagne ma petite sœur Joséphine de trois ans ma cadette pour choisir un chien à la SPA du coin. Il y a un an, César, le chien de nos parents, un magnifique malinois très affectueux, nous a quitté, mort de vieillesse ou peut être de tristesse. Il nous faut un chien pour garder la maison, une bâtisse ancienne de deux cent cinquante mètres carrés au sol sur deux niveaux plus combles du dix-huitième siècle. Elle est entourée d’un immense parc de plus de cinq hectares entièrement clos par un mur de deux mètres cinquante de haut. Nous avons hérité de cette maison il y a deux ans à la mort de nos parents tués dans un accident de la route. Ils l’avaient eux-mêmes hérité de leurs parents, et ça, depuis quelques générations. Mes parents y ont ajouté une piscine d’architecte et un court de tennis.  Nous arrivons au centre, Joséphine sort et se précipite pour voir les chiens. Un soigneur l’accueille, il me semble très intéressé par les magnifiques jambes dénudées de ma sœur. Elle porte une jupe plissée très courte qui cache tout juste ses fesses et un tee-shirt assez moulant directement sur sa peau, ça fait ressortir son magnifique bonnet B. A dix-neuf ans, elle fait ce qu’elle veut, d’autant que je suis moi-même habillée de la même manière, mais moi, je suis cul nu, je ne porte jamais de sous-vêtements. Elle se retourne pour m’attendre, je sens une certaine impatience, j’accélère le pas. Nous entrons dans le centre, il y a au moins une cinquantaine de chiens dans des cages.  –Vous cherchez quel type de chien.–Un gardien, nous avions un malinois qui est mort il y a un an, nous voulons un chien pour le remplacer.–Ok, suivez-moi. Il nous amène devant trois cages vers le fond. –Choisis ma chérie, lequel te plait ? Joséphine s’approche des cages, le soigneur du centre SPA la suit, elle se dirige vers une cage où il y a trois chiens, deux bergers allemands et un magnifique doberman aux poils brillants qui ne semble pas très commode. Il se lève en la voyant. Elle s’approche de leur cage, le soigneur la retient. –Qu’il est beau ce doberman.–Non, pas celui-là, il est très beau et semble assez doux, mais il a un mauvais caractère.–Pourtant, je crois qu’il m’aime bien, regardez, il vient vers moi en remuant de la queue.  Le doberman s’approche du bord, Joséphine vient vers lui et tend la main. Le chien lui lèche les doigts délicatement, il passe sa tête sous sa main pour qu’elle le caresse. Il vient se coller contre la grille pour se faire caresser le reste du corps, il semble avoir une grande affection pour elle bien que ce soit la première fois qu’ils se voient.  –Ce chien peut être gentil et très obéissant, on voit qu’il a été dressé par une personne compétente, mais il est un peu « soupe au lait ».–Comment ça ?
–Il réagit très vite et s’énerve facilement, il faut faire attention avec lui.–Comment s’appelle-t-il ?–Je ne sais pas, il n’avait aucun signe distinctif, pas de collier, de tatouage ou de puce.–Bon, c’est encore mieux, si je prends ce chien, je l’appellerais Brutus.–Pourquoi ?–Parce que j’aime ce nom et que notre ancien chien s’appelait César. –Et alors ?–Et bien, c’est Brutus qui a donné le dernier coup de poignard à César, c’était son fils adoptif, comme ça, mon brutus succède à César presque comme un fils.–C’est d’une évidence implacable.–Ne vous moquez pas de moi, c’est logique.–Si tu le dis.–Je peux entrer dans la cage pour le caresser ?–Non, il y a trois chiens qui ne te connaissent pas, ça peut être dangereux, mais si tu veux, je le sors en laisse pour toi.–Oui, je veux bien. Le soigneur entre dans la cage, on sent bien que les chiens sont habitués et l’aiment bien, ils viennent vers lui pour se faire caresser. Il attache le chien, sort de la cage et vient lentement vers Joséphine. Le chien tire sur sa laisse pour la rejoindre, elle s’approche et lui caresse la tête. Il se frotte contre elle en battant de la queue, il semble apprécier. Joséphine s’accroupie pour lui serrer la tête contre elle, elle l’embrasse, le soigneur se recule et donne du mou à la laisse, il les laisse faire connaissance. Mais je pense qu’il est surtout intéressé par l’entre cuisse que Joséphine lui montre, elle a les jambes ouvertes. Le chien lui lèche la main, il semble très heureux d’être avec Joséphine, elle se retourne vers moi. –Eugénie, je veux celui-là, tu veux bien ? Je regarde le soigneur. –Vous pensez que c’est possible.–Vous habitez où ?–Dans une grande maison entourée d’un immense parc entièrement ceinturé de murs de plus de deux mètres.–Ce serait l’idéal pour lui, ces chiens aiment les grands espaces. –Il n’en sera pas privé.–Je dois dire que je ne l’ai jamais vu comme ça, il semble avoir adopté votre sœur, c’est un chien assez doux et calme, il correspond assez bien aux critères de sa race. Il ne faut pas croire que les dobermans sont des chiens féroces, ce sont des gardiens certes mais ils sont affectueux et fidèles. Mais c’est quand même un doberman, un chien puissant, il fait quarante-deux kilos. Il sera le protecteur de votre sœur et de sa famille, les dobermans sont intelligents, courageux, très loyaux et d’une fidélité sans faille. Mais je dois vous dire que celui-là a un caractère bien trempé, il faudra être ferme avec lui sans chercher le rapport de force, il pourrait mal réagir. Ses anciens propriétaires l’ont apparemment bien dressé, c’est un chien obéissant, je pense que vous pouvez le prendre.–Ok, on le prend, il a quel âge ?–Nous ne savons pas exactement, d’après notre vétérinaire entre un an et demi et deux ans, il nous a été amené par une personne qui l’avait trouvé attaché à un arbre au bord d’une forêt il y a dix jours.–Encore un chien abandonné parce que ses propriétaires ne veulent pas l’emmener avec eux en vacances et pas payer de pension.–Exactement.–Et les vaccins ?–Nous lui avons fait tous les vaccins, il a eu le CHLRP plus la Piroplasmose, rappels dans un an, c’est inscrit dans son carnet de santé.–Ce n’est pas sa première injection ?–Il était vacciné, ses analyses l’on prouvé, mais comme nous ne savions pas quand il avait eu son dernier rappel, on lui a refait la totale.–Merci. Le soigneur donne la laisse à Joséphine, Brutus, puisque que c’est maintenant son nom, reste collé à elle, elle se redresse en le caressant. Nous allons payer le chien à la caisse, ce n’est pas notre premier chien, nous avons tout ce qu’il faut à la maison. Dès que Joséphine ouvre la porte arrière de la voiture, Brutus saute dedans, elle monte derrière avec lui. Il pose sa tête sur ses genoux, elle le caresse pendant tout le trajet. –A partir de maintenant, c’est Brutus.–Tu es sûre de ce nom, ça fait un peu hard.–Oui, j’en suis sûre, c’est mon chien, je décide, et comme ça, tout le monde comprendra que c’est un chien de garde, pas comme César qui en vieillissant était devenu un peu amorphe.–A vos ordres cheffe !! Je jette un œil de temps en temps sur Joséphine et Brutus, il a sa tête sur sa cuisse nue, son museau entre ses cuisses assez ouvertes, il semble renifler l’air ambiant. C’est à ce moment que je constate qu’elle aussi ne porte pas de sous vêtement et que son sexe brille, je comprends mieux l’attitude du soigneur, il a eu un beau spectacle. Tel que je connais ma sœur, elle doit dégager une certaine odeur, elle est toujours excitée par n’importe quoi, un rien la fait couler. Une de ses mains caresse le chien, mais l’autre glisse sur son autre cuisse en une caresse légère, je vois ses seins s’ériger au travers du tee-shirt.  –Dis donc Joséphine tu pourrais attendre qu’on soit arrivées pour te caresser.–Non, je ne me caresse pas, c’est le souffle de Brutus sur ma cuisse qui me fait réagir, c’est assez bizarre. –Ok, mais calme toi.–Promis sœurette.  Nous arrivons à la maison, le portail se ferme derrière la voiture, il y a un chemin de deux cents mètres avant d’arriver sur la terrasse pavée. Dès que la porte est ouverte, Brutus se précipite dehors et commence à regarder l’étendue son nouveau domaine. Joséphine vient se coller contre moi, une de ses mains passe sous ma jupe. –Tu pourrais être un peu plus patiente chérie ?–Non, j’ai trop envie de caresser tes sublimes fesses, c’est en fait toi qui me faisais mouiller, je voyais que ta jupe était remontée jusqu’à ton sexe que je savais nu, j’avais envie de le caresser, de le bouffer, mais Brutus était sur mes cuisses, je ne voulais pas le déranger.–Je dois dire que moi, je voyais ton sexe brillant, je savais qu’il sécrétait un liquide que j’adore, j’en mouillais.–Dommage que je n’ai pas pu me glisser entre tes cuisses et te titiller le clitoris pour te faire jouir.–Heureusement, on aurait pu avoir un accident.–Qui sait ? Je glisse une main sous sa jupe pour aller vérifier ce qu’elle me dit, je tombe sur une rivière de cyprine et m’en enduis les doigts que je porte à ma bouche. –Toujours aussi délicieuse ma chérie, allez, entrons dans la maison, j’ai envie de toi.–Non, j’ai envie d’accompagner Brutus et de lui faire faire le tour du propriétaire.–Ok, allons-y toutes les deux, il ne faut pas qu’il nous dissocie. Brutus vient se coller à elle, nous commençons à lui faire voir son domaine, là où il pourra s’ébattre sans retenue. Je remarque tout de même qu’il a une certaine tendance à passer de temps en temps son museau sous nos jupes, je n’y prête qu’une attention minime. Il est souvent contre Joséphine, elle le caresse tout le temps, mais il vient aussi vers moi se faire caresser. Au bout d’une heure de balade, je commence à en avoir marre.  –Bon, j’en ai marre, rentrons à la maison, mon bouton s’impatiente.–Non, vas-y toute seule, j’attends que Brutus ait fini sa reconnaissance des lieux. –Ok, mais vient le plus vite possible, tu m’as donné envie de ta langue.–J’arrive chérie, ça ne va pas demander plus d’un quart d’heure maintenant.–Pas plus promis ?–Promis.
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