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Joséphine

Chapitre 2

Zoophilie
Brutus
 Je rentre dans la maison pour prendre une douche, je veux me rafraîchir, je crève de chaud. J’en profite pour bien me préparer, lavement complet. En revenant de ma douche, je vais vers la baie vitrée pour voir ce que fait Joséphine. Je remarque sa jupe et son tee-shirt au bas de la porte, elle est assise sur un transat de la piscine, nue à attendre Brutus, elle a dû piquer une tête dans l’eau, ses cheveux sont mouillés. Elle peut se le permettre, la propriété est entièrement ceinturée d’un mur assez haut, personne ne peut entrer sans notre accord. Je ramasse ses affaires pour les mettre sur le divan. Je vois Brutus revenir vers elle, elle se saisi de son collier et se dirige vers la maison. J’ouvre la porte, ils entrent ensemble, Brutus regarde partout, il découvre cette maison. Il se retourne vers Joséphine comme pour lui demander la permission d’aller plus loin. –Vas-y mon chien, vas repérer les coins de la maison, mais il faut que tu saches que tu n’as droit qu’au rez-de-chaussée.  Le chien se promène dans tout le niveau, quand il arrive vers l’escalier, Joséphine l’arrête. –Non, pas l’étage. Brutus la regarde et vient vers elle, il vient se frotter à sa cuisse, elle le caresse, j’en fais autant, il faut aussi qu’il me connaisse.  –J’ai l’impression que ce chien est très bien dressé, il est doux et obéissant, j’ai bien fait de le choisir, ça va être un merveilleux compagnon, et j’en suis sûre, un bon gardien.–Oui, tu l’as bien choisi.–J’ai laissé parler mon cœur, j’ai eu le coup de foudre en le voyant, il était évident que c’était le chien qu’il nous fallait. –C’est vrai qu’il est magnifique, en plus il semble en parfaite santé.–Tu ne pense pas que la SPA puisse nous fourguer un chien en mauvaise santé tout de même.–Ok, mais je n’ai toujours pas ta langue sur mon petit bouton, je commence à devenir fébrile.–Ok ma chérie, moi aussi j’ai envie de ta langue sur mon petit bouton, allonge toi sur le divan, je prends une douche et j’arrive. Je m’allonge sur le divan, Joséphine va vers la salle de bain. Je reste allongée, les jambes légèrement ouvertes, Brutus vient vers moi, il vient se faire caresser. Je le caresse lentement, je vois qu’il a bien assimilé que nous sommes deux, il a l’air de s’être aussi attaché à moi. J’arrête de le caresser, il vient poser sa tête sur mon ventre, le museau au-dessus de mon pubis. Je sursaute à ce contact, il lève la tête et me regarde, j’ai l’impression qu’il est étonné, je ne dis rien pour voir ce qu’il va faire. Il repose sa tête sur mon ventre, cette fois, son museau est juste au-dessus de mon sexe, il doit sentir que je suis excitée, j’ai un peu peur de sa réaction mais il reste stoïque et ne bouge pas. Joséphine entre dans le salon, Brutus se précipite sur elle, c’est vraiment elle sa maîtresse, moi, je ne suis que l’accompagnante, il a choisi mais ça ne me gêne pas, j’ai l’habitude, à la mort de nos parents, César l’avait lui aussi choisi pour leur succéder. C’est à ce moment que je remarque qu’il bande, son sexe est en partie sorti de sa gaine. 
–Tu as vu Joséphine, il a senti l’odeur de mon sexe et il bande.–Normal, tu dois avoir l’odeur d’une chienne en chaleur, ça l’excite.–Sauf que je ne suis pas sa chienne.–On ne sait de quoi l’avenir est fait.–Joséphine !!!!–Oh, mais tu deviens chiante, on ne peut plus plaisanter maintenant ?–Oui, mais pas de tout.–A vos ordres cheffe !!! Elle vient vers moi en souriant, j’écarte les cuisses, elle se met sur moi tête bêche, j’agrippe ses fesses pour plaquer son sexe sur ma bouche, je sens sa bouche se coller sur le mien qui ruissèle. Sa langue s’active sur mes lèvres, elle s’enfonce un peu dans mon vagin, elle s’insinue partout en évitant soigneusement mon clitoris hyper sensible. Elle me connait bien, elle sait exactement ce qu’il faut faire pour me faire exploser de plaisir, comme moi avec son corps que j’adore, ça fait trois ans que nous sommes amantes exclusives. C’est arrivé un soir d’orage, elle était morte de peur et est venue dormir avec moi. Nous étions nues toutes les deux, elle s’est blotti contre moi en me serrant très fort contre elle, la chaleur de nos corps en contact a fait le reste. Joséphine m’aspire les lèvres, ça fait plus de dix minutes que nous sommes tête bêche à nous donner du plaisir, mes muscles commencent à tétaniser, comme les siens. D’un commun accord, nos bouches et nos langues vont aspirer et titiller nos clitoris, c’est l’explosion suprême qui nous emmène au nirvana. Lentement, nous revenons à nous, mais je vois que Brutus a un comportement spécial, il semble fébrile, il est à côté de nous et semble attendre un ordre, il n’arrête pas de passer d’une patte à l’autre en sautillant un peu. Il se lève, s’assoie, se lève, avance, recule, il a l’air extrêmement excité, il nous regarde fixement. Joséphine se redresse et se lève, je pivote et m’assoie, elle s’assoie à côté de moi. Brutus vient vers elle et glisse son museau entre ses cuisses légèrement ouvertes. Joséphine les resserre, il vient vers moi faire la même chose, mais, je ne réalise pas immédiatement ce qui se passe et je laisse mes cuisses légèrement ouvertes. Je sens sa truffe se poser sur mon pubis et sa langue me parcourir le sexe du périnée au clitoris. Je suis secouée par une violente décharge électrique, mon cœur s’emballe, ma fontaine à cyprine s’ouvre, je resserre moi aussi mes cuisses, Joséphine me regarde étonnée. –Tu te laisse lécher par un chien ?–Il m’a eu par surprise, mais je dois dire que j’ai failli le laisser recommencer, tu ne t’imagine pas ce que j’ai pu ressentir quand sa langue s’est glissée entre mes lèvres, c’est extraordinaire comme sensation.–Comment ça ?–C’est encore plus excitant que ta langue sur mon sexe, elle est plus large et plus râpeuse, c’est génial.–Mais tu ne peux pas dire ça, c’est un chien qui t’a léché.–Je ne parle que de ce que j’ai ressenti, je te parle de la réaction de mon corps c’est tout, c’était génial.–On dirait que tu voudrais recommencer.–Je dois t’avouer que l’idée ne me choque pas, c’est vraiment extraordinaire.–Eugénie, tu me fais peur.–Mais enfin, c’est quoi, une langue qui glisse sur ton sexe, qui a-t-il de différent avec ta langue.–Simplement que je ne me lèche pas le cul avec comme il l’a fait il y a à peine deux heures.–Et j’ajouterai qu’il ne se lave pas les dents trois fois par jour.–Arrête Eugénie, tu es de mauvaise foi.–Oui, et j’assume et je vais te le prouver. Je regarde Brutus, il est assis devant nous et nous regarde, son sexe est un peu sorti de sa gaine, il nous regarde comme s’il attendait quelque chose ou un ordre, son regard ne cesse de passer de Joséphine à moi. Je sais que la zoophilie existe et j’ai lu plein d’histoires de zoophilie sur Xstory, qui ne me laissaient pas indifférente. Je veux voir ce que ça donne en réalité, et j’ai en face de moi un chien qui apparemment ne demande que ça, alors autant aller jusqu’au bout et voir comment je vais réagir, j’amène mes fesses au bord du divan et j’ouvre mes cuisses en grand. –Viens mon chien, viens voir la chattoune de tata Eugénie.–Eugénie, que fais-tu ?–Je demande à Brutus de venir s’occuper de ma chatte, je sais qu’il sait ce qu’il faut faire, ne t’en fais pas, j’assume. Il se lève et vient glisser sa tête entre mes cuisses. Il entreprend immédiatement de passer sa langue entre mes lèvres déjà très humides. Je suis submergée par le plaisir que peut me donner cette langue râpeuse qui glisse sur mon périnée, entre mes lèvres luisante, s’enfonce dans mon vagin et titille mon clitoris. Il lape mon jus d’amour et ça a l’air de lui plaire énormément, il en redemande. Au bout de deux minutes d’un rare plaisir mon corps se raidi et je me désintègre dans une succession d’explosions atomiques comme je n’en ai jamais vécu. Jamais je n’ai ressenti un tel plaisir, jamais mon corps ne m’a fait vivre un tel instant, je suis dans un univers de plaisir et de joie. Je suis tellement hors de contrôle que je tombe du divan et me retrouve les fesses sur le tapis, les jambes ouvertes avec Brutus qui n’arrête pas de me lécher la vulve. Joséphine me regarde stupéfaite, elle sent que j’ai eu un orgasme exceptionnel, je vois dans son regard une pointe de honte et de jalousie. J’arrive péniblement à me remettre sur le divan, Brutus me lèche toujours, je la regarde. –Tu devrais essayer, c’est divin.–Mais c’est un chien qui te lèche le sexe.–C’est trop bon.–Je ne pourrais plus jamais mettre ma bouche sur ta chatte maintenant, c’est dégueulasse.–Comme tu veux ma chérie, mais moi, je pourrais m’occuper de la tienne, c’est le principal et Brutus s’occupera de la mienne.–Mais tu es une vraie salope.–Et toi une vraie hypocrite, tu crève d’envie de t’envoyer en l’air avec sa langue mais tu me fais la morale !!–C’est incroyable, tout à l’heure tu as été offusquée quand je t’ai dit en plaisantant que l’avenir pouvait nous réserver des surprises. –Oui, mais entretemps il a posé sa langue sur mon sexe, et ce n’est pas être sa chienne, il ne m’a pas baisée, juste léché, il y a quand même une différence.–Au point où on en est, ça ne va pas tarder.–Ecoute Joséphine tu commence à me gonfler avec ta crise de respectabilité, tu fais ce que tu veux, mais laisse-moi faire ce que je veux. Je referme mes cuisses, Brutus comprend et va s’assoir devant Joséphine, il regarde ostensiblement le haut de ses cuisses. –Tu vois, il pense que c’est ton tour maintenant. Elle me regarde, j’ai l’impression qu’elle va se lever et s’en aller, effectivement, elle se lève et quitte la pièce. Je reste seule avec Brutus, il me regarde, je sens qu’il a encore envie de ma cyprine, moi aussi, j’ai encore envie de jouir comme une folle. Je descends du divan pour m’allonger sur le tapis en ouvrant au maximum mes jambes repliées. Ça libère en même temps mon anus. Il comprend et vient me lécher l’entrejambe de l’anus au clitoris. Cette fois ci il ne faut pas deux minutes pour me faire exploser dans un orgasme dévastateur qui m’emmène là où je ne suis jamais encore aller, c’est encore plus fort que tout à l’heure. Je reste inerte sur le tapis, Brutus continu de me lécher, ça m’apaise jusqu’au moment où je sens le plaisir revenir. Deux minutes plus tard, c’est le troisième orgasme en moins d’une demi-heure, cette fois-ci je suis complètement anéantie, je ne bouge plus. Brutus continu de me lécher, mais plus rien ne se produit. Il comprend et s’arrête de me lécher pour venir se coucher à côté de moi. J’allonge mes jambes et reste immobile à profiter des ondes de plaisir qui circulent dans mon corps. –Tu as aimé j’espère.
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