Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 229 J'aime
  • 9 Commentaires

Joséphine

Chapitre 4

Zoophilie
La confirmation Je me redresse brusquement, Brutus descend et me regarde étonné, j’ai l’impression qu’il ne comprend pas ce qui se passe. –Qu’est ce qui t’arrive chérie, tu m’abandonne juste au moment où j’allais partir.–Ce salaud de chien lubrique voulait me baiser.–C’est pas vrai !!–Il m’est monté dessus et a tenté de me baiser ou de me sodomiser, je ne sais pas mais je ne lui ai pas laissé le temps de le faire.  Elle le regarde, son regard est dur, il a l’air contrit, ne comprenant pas ce qui se passe, il vient vers elle. –Couché Brutus. Il se tourne et va se coucher sur sa peau de mouton, il nous regarde la tête posée sur ses pattes avec l’air triste. Elle s’allonge de nouveau sur le divan en ouvrant un peu ses jambes. –Où en étions nous ? Je plonge entre ses cuisses ouvertes pour tomber sur un sexe inondé de cyprine, ça ne l’empêche pas d’être excitée comme une puce. Au bout de deux minutes, elle jouit sous ma langue en me serrant la tête entre ses cuisses. J’aime la sentir comme ça, complètement prise par son plaisir, abandonnée à son corps qui lui dicte sa conduite. Quand elle est de nouveau détendue, je fais glisser mon corps sur sa peau humide pour m’allonger sur elle et l’embrasser tendrement. Ses mains glissent sur mon dos et mes fesses en une caresse aérienne, j’adore. Nous nous levons pour aller plonger dans la piscine. Nous finissons sur les transats à nous faire bronzer. Seule sur mon transat, je pense à ce qui s’est passé tout à l’heure avec Brutus. Il a voulu me saillir, je pense qu’à la deuxième ou troisième tentative, il m’aurait transpercé l’anus ou le vagin, c’est pour moi la preuve qu’il a été dressé pour ça. Mais je me demande si j’ai bien fait de le rejeter, en définitive, je me dis que j’aimerais bien voir ce que ça donne après avoir lu plusieurs histoires racontant le plaisir immense ressenti par les différents acteurs.  L’après-midi se déroule lentement, à s’amuser et se câliner dans l’eau, à bronzer sur les transats et surtout à se faire jouir de temps en temps. Vers dix-neuf heures nous allons préparer le repas. Brutus est resté toute l’après-midi sur sa peau de mouton, il nous regardait mais ne bougeait pas. Après un repas frugal, nous sommes allées nous coucher, un gros câlin a suffi à nous terrasser nous jetant dans les bras de Morphée. Mais ma nuit a été peuplée de rêves érotiques mettant en scène Brutus me besognant la chatte comme l’anus. Le lendemain, Joséphine doit aller aider une copine de fac, je suis seule avec Brutus qui vient se faire caresser dès qu’elle est partie. Comme d’habitude, je suis nue, il fait déjà très chaud le matin et je vais plonger dans la piscine. Brutus reste couché sur l’herbe bordant la plage de la piscine, il ne me quitte pas des yeux. Je sors de l’eau pour m’allonger sur un transat, je suis bien au soleil, j’ouvre un peu les cuisses pour qu’il s’occupe de ma vulve un peu humide. Les rayons du soleil tapant dessus, mon sexe commence à chauffer et à s’humidifier grave. Je vois Brutus qui me regarde fixement. –Viens mon chien, viens voir tata Eugénie. 
Il se lève et vient renifler mon odeur au-dessus de mes cuisses. Je pivote un peu pour lui faciliter l’accès, j’ouvre mes cuisses, j’ai envie de sa langue sur mon sexe. Il n’hésite pas une seconde et commence à me laper les lèvres du périnée au clitoris. Mon bassin ondule, mon ventre se noue doucement, je sens l’orgasme monter en moi et je l’attends sereinement, je sais que ça va être l’apothéose. Au bout de deux minute, mon corps explose dans de gigantesque feux d’artifice, de la plante des pieds aux cheveux, aucune partie de mon corps n’y échappe. Je suis dans un autre monde, je ne sais pas où je suis et ce que je fais, mais cet orgasme m’a donné envie d’autre chose. Sans vraiment le vouloir, je me mets à genou contre le transat, les genoux sur l’herbe la poitrine sur le transat. J’offre mes fesses à Brutus qui glisse sa langue entre elles. Sa langue sur mon anus m’excite, je sens que je vais encore avoir un sublime orgasme, ce qui arrive au bout de quelques minutes.  On dirait que Brutus sait ce qu’il doit faire et n’en rajoute pas, il ne tente pas de me monter sur le dos alors qu’hier, il a tenté une sailli quand j’étais dans la même position en train de brouter la chatte de ma sœur. La seule différence entre hier et aujourd’hui, c’est que je suis seule. Une fois revenue à moi, je me retourne pour me lever, Brutus vient se faire caresser, je saute dans la piscine pour reprendre mes esprits. Il s’allonge sur l’herbe et me regarde sans arrêt, comme s’il attendait quelque chose. Mais mon cerveau gamberge, je ne peux pas m’arrêter à quelques léchouilles, il m’en faut plus. J’aimerais bien connaitre la saillie d’un chien, toutes les histoires que j’ai lu disent la même chose, que c’est extraordinaire et bien supérieur au coït d’un homme. Je veux savoir ce que ferait le sexe de Brutus dans ma chatte et dans mon anus.  Je sors de l’eau, cette fois-ci, c’est la bonne, il faut qu’il me baise, j’en ai envie et je sais qu’il sait bien le faire. Sans me sécher, je vais me mettre sur le dos sur l’herbe en repliant mes jambes, il vient pour renifler ma chatte. Immédiatement sa langue commence un léchage en règle, je me liquéfie. Mais ce n’est pas ce que je veux, au bout de quelques seconde, je me retourne pour me mettre à quatre pattes. Il n’hésite pas une seconde et me monte sur le dos. Je sens sa bite cogner sur une de mes cuisses, mais le deuxième coup est le bon, son sexe s’enfonce d’un seul coup jusqu’à mon col. Je suis baisée par le chien de ma sœur, je sens son sexe aller et venir dans mon sexe, le rythme est dément, il me pistonne comme un fou, à croire que c’est une question de vie ou de mort. Ses pattes me ceinturent la taille, mais un de ses ongles m’a griffé le côté, je ne sais pas comment je vais expliquer ça à Joséphine.  Pour le moment, c’est une question annexe, je me concentre sur ce sexe qui m’envahi la chatte et me donne un plaisir que je n’ai jamais connu au paravent. Je sens son sexe gonfler et un liquide couler dans mon vagin, je sais que c’est normal, j’attends avec impatience qu’il me plante son bulbe dans la chatte. Je veux être remplie à m’en faire exploser le sexe, je veux jouir en me faisant remplir de ce liquide divin. Il donne des coups de rein de plus en plus profonds, je sens son bulbe grossir et butter sur mon vagin. D’un seul coup, le coup de rein est plus fort que les autres et son bulbe s’enfonce en moi. Je ne ressens rien de particulier, aucune douleur, sauf une sensation de béatitude suprême à être possédée par cet énorme sexe qui gonfle encore dans mes entrailles. Je ne peux plus tenir, je suis terrassée par un gigantesque orgasme qui me fait écrouler par terre, ma tête touche le sol tandis que mes fesses restent en hauteur, retenues par le sexe de Brutus. Je sens son liquide couler en moi, il me remplit, j’aime cette sensation. Je reste dans cette position pendant plus de dix minutes toujours emmanchée au sexe de Brutus qui finit par se dégager. Une fois libre, je me laisse aller sur l’herbe, sur le dos, les bras en croix. Brutus vient entre mes jambes que j’ouvre encore, il me lèche les lèvres, il boit son propre sperme. Je l’écarte un peu pour en mettre sur mes doigts pour les lécher, c’est délicieux, meilleur que du sperme d’homme.  C’est vrai que j’ai connu des hommes quand j’avais dix-huit ans, mais aucun ne m’a donné autant de plaisir, ils ne voulaient que me baiser et pouvoir s’en vanter auprès de leurs copains, je n’étais qu’un trophée pour eux. J’ai aussi rencontré Yves, il était un peu macho mais il disait m’aimer, ça a duré presque deux ans et je le croyais. Jusqu’à ce que Joséphine, qui n’avait pas dix-sept ans, me dise qu’il avait essayé de la coincer dans la cuisine en lui relevant sa jupe, je l’ai viré, ça m’a dégouté des hommes. La seule chose positive que j’en ai retiré, c’est que je n’étais plus vierge des deux côtés, ce qui n’est pas le cas de Joséphine qui elle, n’a jamais connu d’homme et est donc toujours vierge. Joséphine a été très marquée par cet épisode, en plus, quelques mois plus tard, mes parents disparaissent, elle ne voulait plus me quitter, il a fallu que je m’en occupe beaucoup. C’est à partir de là que nous avons pris l’habitude de dormir ensemble et de faire l’amour tous les jours. Nous nous aimons un peu plus que comme des sœurs, mais pas au point de ne pas regarder ailleurs.  Brutus se redresse, il n’y a plus de sperme entre mes cuisses, il me regarde comme pour me demander ce qu’on fait maintenant. –C’est bon Brutus, tu, peux aller te coucher sur ta peau de mouton, allez, couché !! Il se dirige vers sa peau de mouton et se couche, je me lève pour retourner dans la piscine. Je m’allonge sur la marche juste au-dessous de la surface de l’eau, je suis recouverte, mais mes seins sortent de l’eau. Je ressens toujours une onde de plaisir diffus parcourir mon corps, je l’entretiens en me caressant le corps et surtout les seins. Je n’ai pas vu passer l’heure, je suis surprise quand j’entends une voiture arriver et vois Joséphine et sa copine en sortir. Joséphine se précipite vers moi en se déshabillant, elle plonge nue dans la piscine, sa copine arrive en marchant et s’arrête au bord de la terrasse.  –Allez, vient te baigner, elle est super bonne.–Mais je n’ai pas de maillot de bain.–Et tu en vois sur nous ?–Non, mais je ne pourrais pas me déshabiller devant vous, c’est gênant. Joséphine sort de l’eau, va vers sa copine et s’arrête à dix centimètres d’elle. –Ok, si tu n’oses pas, je vais le faire à ta place.–Je veux bien si c’est toi qui me déshabilles.–Oui, je vais te déshabiller entièrement, tu seras nue comme nous.–Ok, je te laisse faire. Joséphine déboutonne son corsage qui atterri sur l’herbe, elle est nue dessous et nous présente deux magnifiques seins de fille de dix-neuf ans. Je suis étonnée de constater qu’elle ne bouge pas et se laisse faire. Joséphine fait glisser le zip de sa jupe qui rejoint le corsage, elle pose ses mains sur ses hanches, les glisse sous l’élastique de son string. Elle les plaque sur le haut de ses fesses et fait glisser le string à terre. Elle apparait nue, splendide, le ventre plat, le pubis lisse et bien bombé, des fesses d’enfer, un petit canon. Elle semble complètement tétanisée, mais regarde Joséphine tendrement, celle-ci lui prend la main et l’amène dans la piscine. Je vois qu’elle prend un énorme plaisir à entrer dans cette eau à vingt-six degrés. En quelques minutes, elle est de nouveau normale et souriante. –Tu t’appelle comment ?–Isabelle, je sais que vous c’est Eugénie.–Et oui, Eugénie et Joséphine, deux impératrice, nos parents vénéraient l’empire, mais plus de vous, tu me tutoies ok ?–Ok. Nous nageons dans la piscine, je ne peux tout de même m’empêcher de passer ma main sur le corps de ma sœur, c’est trop tentant. Isabelle s’en rend compte, elle ne semble pas si surprise que ça, je décèle même dans son regard une sorte d’envie. Joséphine sort de l’eau pour aller préparer des boissons fraîches. Je la rejoins dans la cuisine. –Tu ne trouves pas que ma copine est superbe ?–Oui, on en mangerait.–C’est justement ce que j’ai envie de faire, ça te gênerait ?–Pas du tout, tu sais que tu es libre, mais à condition que je participe, tu crois qu’elle sera d’accord ?–Je le pense, je crois que je ne la laisse pas indifférente, et je dois dire que ça me plait, j’ai envie d’elle, allez à l’attaque. Nous retournons sur la terrasse pour nous installer sur les transats. Isabelle vient nous rejoindre, je remarque que son clitoris est plus proéminent que tout à l’heure, serait-elle excitée ? Elle s’installe sur un transat, ses jambes ne sont pas serrées, je vois son sexe rose entre ses cuisses, il est mouillé, mais elle sort de l’eau, je ne peux en tirer aucune conclusion. Un quart d’heure plus tard, nous décidons de retourner à l’eau. En se levant, Isabelle ouvre un peu plus ses cuisses, cette fois, la brillance de son sexe n’a rien à voir avec la piscine, nous sommes sèches, elle mouille un max. Nous descendons dans l’eau, en nageant, je me débrouille pour la frôler et laisser mes mains glisser sur ses cuisses et ses fesses, je vois que Joséphine en fait autant. Elle semble beaucoup aimer ça, et se laisse faire sans retenue. Isabelle va vers Joséphine, je vois ses mains glisser sur son ventre pour venir effleurer son clitoris. Elle s’arrête à côté d’elle et la regarde, elle lui sourit, Isabelle se rapproche. –Tu as aimé ma main sur ton ventre ?–Oui, et toi la mienne sur tes fesses ?–J’ai adoré et j’aimerais bien aller un peu plus loin avec toi.
Diffuse en direct !
Regarder son live