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Joseph, artisan qui a changé ma vie de femme

Chapitre 4

Uniquement un rève ou une réalité

Hétéro
Fin de la 3e partie :
— Je vacillais, j’avais à nouveau des lucioles devant les yeux, des milliers de lucioles. Les muscles de mon vagin se contractaient autour de ce sexe énorme pour en prendre la forme. J’explosais, je ne contrôlais plus mon corps, des soubresauts venaient amplifier encore davantage cette pénétration, je sentais comme un coup de chaleur immédiat dans ma tête et je jouissais avec force dans un mélange de douleur, de contraction, de surexcitation et je pense avoir perdu connaissance...—-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Un bruit de porte me fit sortir d’un état second, il me semble... En effet, en ouvrant les yeux, j’étais allongée sur le canapé du salon en vue directe sur Joseph qui était en train de se servir un café. Mais que m’était-il arrivé !!! Allongée sur le canapé certes, mais totalement habillée comme si de rien n’était. Avais-je rêvé de tout cela... je ne savais pas, je ne savais plus. Je me levais certes fatiguée et vaseuse. Joseph me regarda et me proposa de venir le rejoindre et prendre un café avec lui, ce que je fis sans me faire prier.
— Bon travail, me dit Joseph en regardant les nouveaux rideaux de sa cuisine et de son salon.— Un travail d’une très grande qualité... vivement le reste sur les autres pièces, me dit-il.
J’avais du mal à concevoir tout ce travail réalisé, mon mental n’était pas en phase entre ce que je pensais avoir vécu et la réalité que Joseph me relatait. Je n’osais lui poser des questions.
— Une bonne journée de travail, et je ne manquerai pas de vous féliciter pour votre travail auprès de votre mari. Mais comme le temps passe vite, 17h00 déjà... Je ne vais pas vous obliger à rester plus longtemps, votre mari doit se faire du mourant... me dit-il d’une voix posée.— Encore merci pour avoir changé mon intérieur et je compte sur vous pour réaliser le même travail dans les autres pièces et permettez-moi de vous aider à descendre vos affaires dans votre voiture.
Il se leva et il m’accompagna avec tout mon matériel à ma voiture. Assise à mon volant, j’avais du mal à trouver la clé de contact, j’étais entre deux mondes, réel ou rêve. Joseph n’avait rien laissé transparaître et c’est bien cela qui me troublait et je n’avais osé lui poser la question... qui me taraudait.45 minutes plus tard, j’arrivais enfin chez moi. Mon mari vint me rejoindre, m’embrassa tendrement en me félicitant, car il venait de raccrocher d’avec Joseph et qui s’excusait du temps que cela avait pris à mon épouse, mais pour un résultat qui illuminait son intérieur et qu’il était impatient de voir le reste de son appartement se transformer.
— Oui... une très bonne journée et bien chargée... je suis sur les genoux.— A présent, un bain bien chaud me fera le plus grand bien... je ne te la cache pas.
Mon mari me dit que je devais aller me faire couler mon bain et qu’il s’occupait de tout mon matériel, ce que je fis immédiatement en le remerciant. Ma baignoire se remplissait lentement d’une eau bien chaude avec quelques sels de lavande. Je me déshabillais lentement, habit par habit, prenant le soin de les poser avec délicatesse. Mon esprit était toujours tourné vers mon questionnement qui portait sur du réel ou de l’imaginaire. Cela occupait mon esprit à 200%.
Une fois toute nue, je mis mon premier pied dans ce bain, puis le deuxième et enfin mon corps tout entier. Un bien fou immédiat, je laissais ma tête épouser l’arrière de ma baignoire pour me détendre un maximum.
Mon corps flottait comme mon esprit. Je n’avais pas réponse à ma question de départ, mais je restais bloquée sur mon imaginaire et je repensais à tout cela. Je déplaçais mes mains doucement vers mes seins pour les caresser délicatement et avec deux doigts de chaque main, je venais de pincer doucement mes tétons. La sensation fut immédiate, comme un coup de jus électrique. J’avais encore en mémoire le jeu avec des sauterelles... est-ce mon imagination qui faisait encore des siennes...
Mes mains prenaient à présent la direction de mon ventre et de mon sexe, ma nuque toujours sur le rebord de la baignoire. Mes mains arrivaient lentement comme une caresse vers mon sexe, et mes yeux s’ouvrirent immédiatement... Mes doigts touchaient ma peau et recherchaient à présent mes poils pubiens, mais rien, absolument rien. Immédiatement m’était revenu le travail au rasoir de la soi-disant sœur de Joseph... Mais alors, ce n’était plus un rêve... Je me décidai enfin à relever la tête pour regarder de mes propres yeux et je vis à travers l’eau colorée que je n’avais plus aucun poil pubien, mais comme une marque sombre juste au-dessus de mes grandes lèvres...
Je pris le petit miroir qui était sur le rebord et je le déplaçais vers mon entrejambe et je relevais mon bassin pour mieux voir... Ahhh... ce n’était pas un rêve. Deux centimètres au-dessus de mon clitoris, était représenté un sigle (Cœur Noir) et une lettre en majuscule (Q) à intérieur. Ce n’était pas un dessin, mais un tatouage. Sur le coup, j’étais affolée, affolée par le côté indélébile et visible, mais au même moment, ma question sur le réel ou l’imaginaire avait cette fois-ci sa réponse. Je n’avais pas rêvé, et tous ces moments me revenaient d’un seul coup d’un seul.
Mes doigts touchaient à présent délicatement mes grandes lèvres et mon clitoris qui avaient vécu, et j’en suis sûre à présent, des moments divins, des moments profonds. Mon esprit et mon corps en ont à présent la preuve.
Sortant de mon bain, je me voyais à présent dans le grand miroir et ce sigle sur mon triangle d’amour me donnait des frissons et de l’excitation. J’allais immédiatement choisir une petite culotte pour cacher ce signe, mais mon choix s’est porté sur une tenue simple, brodée blanche et transparente, ce qui laissait transparaître ce cœur noir. Le cacher tout en le laissant possiblement visible, c’était excitant.
C’est décidé, ce soir je veux me donner à mon mari. Je veux faire l’amour avec lui... je m’excite toute seule rien qu’à y penser. La soirée se passa tranquillement comme à son habitude, mais quelques gestes affectifs de ma part me firent comprendre que mon mari ne serait pas contre une petite câlinerie. Je lui passe la main dans la nuque et je me propose d’aller me faire belle pour lui. Arrivée dans la chambre, je choisis une nuisette noire et transparente avec plusieurs beaux motifs qui peuvent si on n’y fait pas attention, cacher mon petit secret. J’entendais mon mari prendre sa douche et au bout de quelques minutes, il venait me rejoindre sous les draps. Lumière éteinte, mon mari se rapprocha de moi, m’embrassa langoureusement, prit mes seins de pleines mains pour les masser comme il le faisait d’habitude. Je retirais ma nuisette pour lui donner mon corps et je prenais dans mes mains sa tête pour le guider dans mon excitation.
Il suçait à présent mes tétons, je lui demandais de les mordiller pour encore augmenter mon excitation. Puis je faisais pression sur sa tête pour l’emmener vers mon ventre et surtout vers mon sexe.
Mon excitation augmentait considérablement, car je savais que son visage allait arriver sur le haut de mon sexe et qu’il allait se retrouver sans le savoir face à ce tatouage qui voulait en dire long sur ma journée passée. Il embrassait à présent mon ventre et descendait en embrassant exactement l’endroit où était ce tatouage... J’adorais le savoir l’embrasser...
Il attaquait à présent mes lèvres et mon clitoris et me dit en levant la tête.
— J’aime bien... tu t’es rasé le sexe ma chérie... me dit-il.
Comme un coup de chaleur, j’ai eu peur qu’il me demande de lui montrer mon minou totalement rasé... mon angoisse était présente, mais ses lèvres ont repris le travail sur mon clitoris et mes lèvres... Le soulagement n’était pas encore total.
Comme à son habitude, il se positionna sur moi et me pénétra pour finir dans un râle profond. Je sentais sa semence se répartir dans mon vagin. Après quelques instants, il se retira, m’embrassa longuement puis me dit à l’oreille « petite coquine » et reprit sa place juste à côté de moi.
Me prenant la main, il ajouta d’une voix posée qu’il aimait ces petits moments et surtout qu’il me découvrait ou redécouvrait à chaque fois...Quatre heures du matin, ayant la gorge sèche, je décidais d’aller me chercher un grand verre d’eau. Ayant remis ma nuisette, je descendais sans faire de bruit les escaliers pour me rendre à la cuisine.Après avoir bu un grand verre d’eau fraîche, j’allais reprendre le chemin pour aller me recoucher lorsque je remarquais sur mon téléphone portable l’activation d’une toute petite lumière qui m’annonçait avoir reçu un SMS. Je pris mon téléphone et un SMS m’était adressé dont l’origine n’était pas connue. Une pièce jointe était associée à ce SMS avec ce petit texte d’accompagnement.
— Bonsoir ma DouDou, que la nuit te soit agréable... et à très bientôt.
J’ouvre la pièce jointe avec appréhension. Le fichier s’ouvre et je me vois, les yeux fermés, couchée et nue sur le lit du plaisir, les jambes légèrement écartées, laissant apparaître tous les éléments qui ont participé à ma jouissance.
La chose la plus flagrante était l’état de mon sexe. Il était exagérément gonflé et d’un rouge très vif qui tranche sur ma peau blanche et mes lèvres très écartées. Entre mes jambes, la statuette d’ébène avec ce sexe monstrueux recouvert de ma cyprine généreuse et dense sur toute sa longueur. Sur les draps, à côté de mes seins, quelques sauterelles me rappelant leur travail... sur mes tétons. Sur le haut du lit, Marie se tenait debout et mon visage se situait juste en dessous de son entrejambe, entrejambe qui laissait apparaître cette fois-ci un sexe long et large et une vulve d’un rouge vif... elle devait également être très excitée.
Tout autour de moi, Joseph avec ses deux amis, avec leurs sexes en érection, massifs, gros, longs et décalottés. Je remarquais également des taches sur mon corps... je venais de comprendre. Mes seins, mon ventre, mon sexe et même mes pieds avaient des traces de spermes. Je pris place à la table de la cuisine, avec une grosse bouffée de chaleur. En étant fixée sur cette photo, ma main prit machinalement le chemin de mon entrejambe, car l’excitation était à nouveau présente et cette photo m’était une réalité sur ma journée passée, et j’en recherchais encore des souvenirs à travers mes doigts.
Je me voyais même à parler à mon sexe... en lui disant...
— Quel souvenir mon joli... tu as été à la hauteur et je peux enfin voir le résultat final... Quelle expérience nous avons vécue...
En revenant sur le SMS, il se terminait par :
— Garde avec toi ton téléphone DouDou, ton expérience ne fait que de commencer et tu as encore beaucoup de choses à découvrir et à nous faire partager, signée Marie.
J’avais mon téléphone dans les mains, je ne bougeai plus, mes esprits étaient ailleurs alors que mon regard était toujours sur la photo. Je repensais à nouveau à ce signe en bas de mon ventre et je lançais une recherche sur mon téléphone. Au bout de 5mn, mes premières recherches semblaient porter ces fruits... Le même tatouage apparaissait sur des chevilles, des nuques, des fesses, des seins, ou sur la partie haute des sexes... Queen of Spades.
La définition venait de s’afficher clairement sur mon écran... « Femmes ayant des préférences sexuelles interraciales (black) » bref « Blanches à Black » en faisant simple. Je suis remontée me coucher, mais je ne retrouvais plus le sommeil... toute cette histoire me revenait à l’esprit. Le jour était à peine levé que je décidais d’aller prendre mon petit-déjeuner, mon mari étant encore dans le sommeil. Passant devant mon téléphone, je le pris machinalement et un nouveau SMS était en attente de lecture...
Je décide l’ouvrier avant même toute action annexe...
— Samedi prochain, merci de te présenter au 9 rue de la Chapelle, 10h précise. Nous passerons te prendre...— Ps : Joseph arrangera cela avec ton mari.
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