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Joséphine

Chapitre 3

Zoophilie
La découverte
 Joséphine est debout au-dessus de moi, elle me regarde, mais son regard est différent, elle reste à me regarder fixement. Je la connais très bien, je connais ses réactions face au sexe, je sais qu’elle est accro et que les nouvelles expériences ne lui font pas peur. Mais là, un animal est au milieu de nous, je sens qu’elle est perturbée, je crois qu’elle n’est pas contre dans l’absolu, mais l’éducation que nous ont donné nos parents la bloque de temps en temps. Il faut dire qu’ils étaient croyant pratiquant, un peu dévots et très attachés aux conventions. Nous avons été toutes les deux pensionnaires dans deux écoles de religieuses toute notre scolarité, une en primaire, l’autre en secondaire. Je me lève, la fais assoir sur le divan et m’assoie à côté d’elle. –Allez Joséphine, je sais que tu en meures d’envie après ce que tu viens de voir, ce n’est qu’une langue, et je peux te jurer qu’elle est magique.  Je vois dans ses yeux qu’elle est sur le point de se lancer, je l’enlace et pose mes lèvres sur les siennes. Nous échangeons un sublime baiser, je sens qu’elle se donne complètement, qu’elle veut me prouver que malgré tout, elle m’aime. Ma main se glisse entre ses cuisses qu’elle ouvre pour me laisser suffisamment d’espace. Un de mes doigts se glisse dans son vagin pour se lubrifier et venir titiller son clitoris. Elle avance son bassin en ouvrant encore un peu ses cuisses, je la sens se donner à la recherche du plaisir. Tout à coup, je sens le souffle de Brutus sur ma main, je libère son sexe. Je sens qu’elle a un sursaut au moment où sa langue se pose sur son sexe, mais elle ne quitte pas ma bouche, au contraire, elle se donne encore plus. Je caresse ses seins, je sens son corps se tendre lentement, son bassin bouge de plus en plus, elle ouvre encore plus ses cuisses, ma main se promène sur son ventre pour remonter sur ses seins. Je sais qu’elle va jouir comme jamais elle n’a joui, son corps se raidi, je la serre encore plus dans mes bras, elle exulte dans un orgasme gigantesque, elle est secouée de spasmes de plaisir, je lui caresse les seins en l’embrassant, je veux qu’elle vive le meilleur moment de sa jeune vie. Quand je sens son corps se détendre, je libère sa bouche, me recule un peu pour la regarder. Elle est complètement affalée sur le divan, les cuisses grandes ouvertes avec Brutus qui continu de lécher son sexe. Je vois sa langue glisser entre ses lèvres, ma fontaine recommence à couler. Elle le laisse continuer, elle monte même un peu son bassin pour qu’il puisse mieux la lécher, il ne s’en prive pas. Je vois son ventre se crisper, ses muscles se tendent, Brutus est de plus en plus actif, il donne de légers coups de rein, je vois même son sexe sortir un peu. Joséphine explose de nouveau dans un énorme orgasme. Lentement ses fesses redescendent sur le divan, Brutus la lèche toujours mais je sens qu’elle se détend de plus en plus. Elle finit par poser ses fesses sur le divan et fermer ses jambes, Brutus comprend et va s’assoir en face de nous.  –Comment vas-tu ma chérie ?–Je ne sais pas, je suis complètement à côté de mes pompes, je ne réalise pas encore bien ce qui s’est passé, mais je peux te dire que jamais tu ne m’as fait jouir comme ça, je ne sais qu’en penser.–Simplement qu’une grande langue de chien un peu râpeuse est plus efficace qu’une petite langue humaine.–Oui, mais c’est dégueulasse, il se lèche le cul avec sa langue.–Et combien de fois tu m’as léché le cul quand nous faisons l’amour, et combien de fois je t’ai léché le cul, et combien de fois nous nous embrassions immédiatement après en mélangeant nos salives. Elle me regarde, je vois que j’ai marqué un point, elle descend du divan pour s’allonger sur le dos sur le tapis elle regarde Brutus et ouvre ses cuisses, il comprend tout de suite et vient poser sa truffe sur son sexe. –Oui mon chien, c’est vraiment trop bon, j’ai encore envie de jouir avec ta langue deux fois, ça ne suffit pas.  Cette fois, je la laisse seule avec son chien, il passe sa langue sur ses lèvres, il a l’air de beaucoup aimer, il se donne à fond. Joséphine remonte ses jambes sur sa poitrine offrant son sexe et son anus à la langue de Brutus. Elle bouge de plus en plus, je sens qu’elle se donne au maximum, elle ouvre ses jambes, je vois la langue aller de son anus à son clitoris. –Oui mon chien, oui, c’est tellement bon, oui, je vais jouir encore plus, continu, continu. Son corps se raidi, elle explose dans un sublime orgasme, son ventre se noue, elle ouvre la bouche comme pour reprendre de l’air après avoir étouffé, elle libère ses jambe pour mettre ses bras en croix, signe d’un extrême bonheur. Je la laisse se remettre, elle finit par émerger au bout de quelques minutes, elle me regarde. Brutus la lèche toujours 
–Comment revenir à autre chose après avoir vécu un tel moment ?–Par amour, je t’aime ma chérie et même si je n’arrive pas à te donner autant de plaisir que Brutus, je me donnerais à fond pour te faire jouir.–Et il n’est pas question que tu ne t’occupe plus de mon minou, tu sais qu’il adore ta langue, et je t’aime ma chérie, j’ai besoin de sentir ton corps contre mon corps, de sentir ta bouche sur ma bouche et mon sexe et de ma bouche sur ton sexe, même après la langue de Brutus. –Alors vient t’assoir sur le divan.–Non, j’ai mieux à faire. Elle libère Brutus et vient s’agenouiller devant moi, elle avance sa tête entre mes cuisses. Sa langue se pose sur ma vulve, elle me lèche du périnée au clitoris, elle pose ses mains sur mes hanches pour me plaquer contre elle. Je sens ses lèvres m’aspirer la cyprine qui coule de mon vagin, au bout d’un moment, elle monte vers mon clitoris pour l’aspirer et le titiller avec sa langue. Je suis terrassée par un superbe orgasme, c’est vrai que c’est moins puissant qu’avec Brutus, mais l’amour que je porte à Joséphine compense. Quand je retrouve mes esprits elle se redresse et me regarde d’un air triomphant. –Alors, tu l’aime ma langue ?–Oui, à mon tour. Je la fais se redresser, je l’allonge sur le divan et plonge entre ses cuisses qu’elle maintient ouvertes. Je me délecte de sa cyprine qui coule à flot, elle sécrète beaucoup plus que moi, une vraie fontaine. Je la sens se tendre lentement, je glisse mes mains sous ses fesses pour mieux la sentir. Ma bouche batifole entre ses lèvres, je m’ébroue dans cette chair tendre en remontant sur son clitoris. Elle finit par jouir en serrant ses jambes, mon cou est écrasé, mais je sais que c’est parce qu’elle jouit fort et j’en suis très heureuse. Elle libère ma tête et s’allonge sur le divan, je fais glisser mon corp sur son corps, nos bouches se soudent dans un merveilleux baiser. Quand nos bouches se séparent, elle prend ma tête entre ses mains. –Je suis une conne, rien ne remplacera ta langue sur mon bouton.–Et rien ne remplacera la tienne sur le mien, je t’aime ma chérie.–Moi aussi je t’aime, mais je dois dire que la langue de Brutus est magique.–Oui et très disponible, j’ai l’impression qu’il adore nous bouffer la chatte.–Moi aussi, et j’en suis très heureuse.–Maintenant je suis sûre qu’il a été dressé par ses anciens maîtres, mais ce que je ne comprends, c’est pourquoi ils l’ont abandonné alors qu’il est évident que ses penchants seraient découverts. –Je pense qu’ils sont partis définitivement et qu’ils ne pouvaient pas l’emmener avec eux, dans un pays où il est très difficile d’amener un animal. C’est pour ça qu’ils l’on attaché à un arbre, certainement pour qu’on le trouve vite. Pas de tatouage, pas de collier, pas de puce, impossible de remonter à eux.–Tu as peut être raison, c’est tout de même mieux que de le tuer.–Tu me donne des frissons.–Allez, à la douche. Nous nous levons pour aller prendre une douche, Brutus va dans son coin et se couche sur sa peau de mouton. Nous nous lavons mutuellement en nous embrassant, nos mains s’amusent sur nos clitoris, une dernière jouissance avant d’aller préparer le déjeuner. Je prépare une salade de tomates pendant que Joséphine allume le barbecue avec Brutus à côté d’elle, il ne la quitte pas d’une semelle depuis que nous sommes sorties de la douche. Je remarque tout de même qu’il a souvent son museau à côté de ses fesses ou de son pubis. Nous déjeunons tranquillement au bord de la piscine, Brutus est couché au bord de la terrasse, sur l’herbe, il nous regarde. Après avoir mangé et débarrassé la table, nous allons nous allonger sur des transats. Au bout d’un quart d’heure, Joséphine ouvre un peu ses jambes, elle me regarde. –Tu n’es pas tentée par mon petit minou, il est triste de rester seul ?–Oui, mais je vois quelqu’un qui est encore plus tenté que moi. En effet, Brutus s’est levé et a sa truffe juste au-dessus de son sexe, il semble renifler l’odeur que dégage Joséphine, odeur que je présume assez significative vu son état d’excitation. –Non, c’est ta langue que je veux, je veux la langue de ma sœur adorée sur mon minou, pas celle de ce chien lubrique, aussi magique soit elle, ce sera pour plus tard.–Ok, dans un petit moment, je suis bien là.–Non, tout de suite, je n’en peux plus, s’il te plait ma chérie.–Ok, j’arrive. Je viens m’agenouiller à côté de son transat, je me penche sur son sexe, elle pivote un peu pour me faciliter l’accès à son entre jambe. Ma bouche se pose sur sa vulve, je commence une exploration complète de cet environnement souple et humide, je dirais même inondé. Je sens son bassin commencer à onduler, elle se donne à ma bouche et à ma langue. Je me délecte de sa cyprine qui coule à flot, une vraie fontaine. Joséphine ouvre encore plus ses jambes, je l’agrippe aux hanches et la plaque contre ma bouche, elle soulève un peu ses fesses pour s’offrir encore plus. Je me délecte de cette liqueur d’amour, je la lape, l’aspire, la boit. Je sens mon sexe se liquéfier, ma cyprine commence à couler le long de mes cuisses, je suis dans un état d’excitation extrême, comme toujours quand j’ai la vulve de ma petite sœur chérie dans ma bouche.  Tout à coup, je sens une langue passer de mon périnée à mon anus, c’est brutus qui vient de me donner un coup de langue. Dans le fond, pourquoi pas, il me lèche pendant que je lèche ma sœur, chacun en tirera du plaisir. J’écarte un peu mes jambes, sa langue se faufile entre elles pour venir se glisser entre mes lèvres liquéfiée. Sa langue va maintenant de mon vagin à mon anus, je suis parcourue de frissons de plaisir dans mon corps entier. Je le laisse faire, j’aime trop sa langue sur mon sexe, mais mon anus m’envoi aussi des ondes très plaisantes. Je me concentre sur le sexe de ma sœur, je veux la sentir partir dans un délire fou, faire exploser ce corps que j’aime plus que tout. Soudain, je sens Brutus me monter sur le dos, il donne des coups de rein, son sexe cogne contre mes cuisses, putain le salaud, il veut me baiser !!!
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