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Joséphine

Chapitre 5

Zoophilie
Isabelle Je viens derrière elle, la plaque contre mon corps et lui caresse le ventre et les seins. Joséphine vient se plaquer contre elle, ventre à ventre, seins à seins. Isabelle passe une main derrière sa tête et l’attire vers la sienne, je vois leur bouches se souder dans un long baiser. Elles semblent en tirer un énorme plaisir, je réalise que je suis peut-être un peu de trop, je me retire. Leurs têtes se séparent. –Joséphine, tu ne peux pas savoir depuis combien de temps j’attends ce moment, tu hante mes jours et mes nuits.–Pas plus de dix mois, nous ne nous connaissions pas avant. –Exactement trois cent neuf jours depuis le 5 septembre.–Depuis le premier jour de la fac ?–Oui, je suis tombée raide dingue en te voyant, tu m’as hypnotisé dès que je t’ai vu.–Et pourquoi ne m’as-tu rien dit depuis le temps ?–Par peur de me faire jeter, c’est pour ça que je t’ai demandé de venir aujourd’hui chez moi, je voulais tout te dire mais encore une fois je n’ai pas osé, tu avais l’air si heureuse, je ne voulais pas te contrarier.–En tout cas, je ne regrette pas ce qui vient de se passer, c’est vrai que je te trouvais très belle, tu me plais beaucoup, mais je ne pensais pas que tu puisses vouloir de moi.–Décidément, nous sommes de vraies connes.–Comme tu dis, mais nous allons nous rattraper, viens avec moi. Elles sortent de l’eau, Joséphine allonge Isabelle sur un transat et vient se coucher sur elle tête bêche. Isabelle comprend tout de suite, lui agrippe les fesses et la plaque contre sa bouche. Elles font l’amour pendant quelques minutes, jusqu’à ce qu’elles jouissent simultanément. Elles se lèvent et viennent s’allonger sur l’herbe collées l’une à l’autre en s’embrassant passionnément. Brutus vient vers elles, il se penche sur le sexe d’Isabelle qui doit dégager une odeur assez caractéristique, elle le sent et écarte un peu ses jambes. Il n’hésite pas et commence à la lécher, elle écarte un peu plus ses jambes, son ventre commence à onduler. Joséphine doit sentir quelque chose de bizarre, elle se redresse pour voir Brutus entre les cuisses de son amie. Elle semble étonnée, mais ne dit rien, elle la regarde pour constater que celle-ci a les yeux fermés et se donne de plus en plus à la langue de Brutus, elle la prend dans ses bras et la serre très fort contre elle. Isabelle finit par jouir comme une folle dans les bras de Joséphine qui se penche sur sa bouche pour l’embrasser. Quand Isabelle est revenu à elle, elle resserre ses jambes, Brutus qui la léchait toujours se retire à priori à regret, elle regarde Joséphine. –Tu ne m’avais pas dit que tu avais un chien brouteur de minou.–D’abord, ça ne se cri pas sur les toits, et ensuite, nous l’avons que depuis hier. –Je comprends mieux.–Mais je ne savais pas que tu pratiquais ce genre de rapport avec un chien.–Parce que tu ne viens que rarement chez moi, tu connais bien Rex, notre berger allemand, il s’occupe de nous.–Et c’est qui nous ?–Maman, Justine et moi.–Tu fais ça avec ta mère et ta sœur ?
–Oui, très souvent.–Il vous lèche le sexe ?–Tu plaisante, il ne fait pas que ça, il nous baise et nous sodomise aussi, c’est divin, je n’ai plus besoin d’homme, d’ailleurs, je n’ai jamais eu besoin d’homme, je les déteste.–Quoi !! Tu te fais baiser par un chien ?–Oui.–Souvent ?–Pratiquement tous les jours. –Il t’a baisé aujourd’hui ?–Oui, ce matin avec Justine. Joséphine la regarde bizarrement, j’ai le sentiment qu’elle va demander à sa copine de foutre le camps. Elles se redressent, Isabelle l’enlace, Joséphine ne fait rien pour la repousser, elle accepte que son amie pose ses lèvres sur les siennes et échange avec elle un long baiser. Je vois les mains de Joséphine courir sur le corps d’Isabelle, quand leurs bouches se séparent, Isabelle lui prend la tête entre ses mains. –Je t’aime Joséphine, je t’aime et si tu me le demande, je ne touche plus à un seul chien de ma vie. –Pour que tu m’en veuilles au bout d’un certain temps, jamais je ne te demanderais ça, simplement, je veux comprendre.–Mais vous avez pourtant un chien dressé, ça se voit, en plus, il parait très obéissant, on voit qu’il a l’habitude.–Nous sommes allées le chercher hier à la SPA, nous ne savions pas qu’il était dressé pour ça.–Tu ne l’aurais pas pris si tu avais su ?–Je ne crois pas.–Et tu regrettes ?–Je ne sais pas, c’est confus dans ma tête.–En tout cas, moi, contrairement à ma sœur, je ne regrette pas, j’adore sa langue sur mon minou.–Tu as essayé Eugénie ?–Oui, et Joséphine aussi, et je peux te dire que nous aimons toutes les deux, je peux même te dire que ce matin, il m’a baisé et j’ai adoré, jamais je n’avais autant joui de ma vie.–Eugénie, tu t’es faite baisé par Brutus ce matin ?–Oui ce matin, j’ai voulu voir ce que ça donnait, et je peux te dire que je recommencerais, c’est trop bon.–Eugénie, c’est un chien.–Oui, mais il m’a faite jouir comme une folle, pas comme les hommes qui ne pense qu’à eux, lui au moins, il est résistant, il te laisse le temps de jouir.–De toute manière, je suis vierge, il n’est pas question qu’il me baise ou me sodomise.–Moi, c’est Rex qui m’a dépucelé, et je dois dire que j’ai beaucoup aimé, il n’a pas été très tendre, mais il m’a faite quand même jouir. Pareil pour le cul, c’est lui, et pour Justine, ça a été la même chose, Rex s’est occupé de ses deux orifices.–Putain, mais vous êtes folles dans cette famille, se faire dépuceler par un chien.–Oui, mais toi, tu es vierge, ok, tu déteste les hommes, tu comptes le rester toute ta vie ?–La question ne se pose pas pour l’instant, les seules personnes qui comptent pour moi sont Eugénie et toi, je me fous du reste. Isabelle l’enlace pour l’embrasser longuement, elles sont interrompues par la sonnette du portail. Je vais voir sur l’écran de contrôle qui sonne, c’est Justine, elle vient récupérer sa sœur. Je l’ai vu une fois en ville un jour où je faisais des courses avec Joséphine, c’est une grande fille blonde, très jolie avec des yeux vert clair et super bien foutue, nous avions discuté quelques minutes. J’enfile une blouse et lui ouvre, je vois sa mustang cabriolet mille neuf cent soixante-huit entrer et se garer à côté de ma Cadillac Eldorado mille neuf cent soixante-cinq et de la Smart de Joséphine. –Je vois que toi aussi tu aimes les vielles ricaines.–J’adore, j’en ai deux, j’ai aussi une Corvette C3 Stingray, mais elle est en travaux de restauration.–Tu viens chercher ta sœur ?–Oui, ma mère m’a dit qu’elle était là, elle veut savoir si elle mange chez elle.–Je ne pense pas, elles ont décidé de passer l’après-midi ici dans la piscine.–Vous avez une piscine ?–Oui, tu veux te baigner avec nous ?–Ça serait super, mais je n’ai pas de maillot. J’enlève ma blouse et me dirige vers la piscine.  –Ici, pas besoin de maillot, suis moi. Quand j’arrive à côté de la piscine, je me retourne pour voir ce qu’elle fait. Elle s’est déshabillé et arrive entièrement nue. Elle est magnifique, mon cœur se met à battre un peu plus vite, cette fille ne me laisse pas indifférente. Je sais que je finirais ma vie avec une femme, j’aime le contact d’un corps de femme, la douceur des relations, serait-ce elle ? –Viens, entrons dans la piscine ensemble. Elle vient vers moi, en avançant, elle voit Joséphine et Isabelle enlacées en train de s’embrasser, elle s’arrête à ma hauteur. –Elle lui a enfin déclarer son amour pour elle ?–Oui, dans la piscine, tu étais au courant.–Oui, je ne peux pas te dire combien de fois je l’ai récupéré en larme en rentrant des cours, elle n’a jamais osé lui déclarer son amour et elle en souffrait. Je suis très heureuse qu’elles se soient enfin trouvées, j’aimerais bien vivre la même chose.–Tu aimes les femmes ?–Oui, comme Isabelle, je déteste les hommes.–Allons dans l’eau. Nous entrons dans la piscine main dans la main, nous nageons un peu pour finir accrochées au rebord. Elle laisse monter son corps, ses fesses sortent de l’eau, je suis fascinée par elles, je ne peux m’empêcher de poser une main dessus et de les caresser. –Oui, j’aime, continue, tu peux même aller plus loin. Je m’approche pour poser mes lèvres sur ses fesses, elle ouvre ses jambes, je me glisse entre elles pour lui écarter les fesses et lui titiller la rondelle. Elle bouge du bassin, elle aime, je veux aller plus loin, je veux la goûter. Je lui prends la main et l’amène sur un transat. Je l’allonge en lui écartant les cuisses. Je plonge entre elles pour poser mes lèvres sur les siennes déjà bien lubrifiées, ce n’est pas l’eau de la piscine qui brille, mais sa cyprine. Ma langue explore ce sexe qu’elle ne connait pas, je suis submergée par l’émotion, sentir ce corps réagir à ma langue, se donner ne peut me laisser indifférente. Elle finit par jouir en levant ses fesses pour s’offrir encore plus. Quand elle se détend, je fais glisser mon corps sur le sien en sueur. Nos peau glissent l’une sur l’autre, quand j’arrive au niveau de son visage, je vois un merveilleux sourire m’accueillir, elle passe sa main derrière ma tête pour me plaquer contre ses lèvres. Un baiser langoureux s’en suit, nos langues font connaissance, elles s’aiment et dansent la samba ensemble. Je me laisse aller sur son corps, je sens une main glisser sur mon dos et mes fesses, je suis bien.  Nos bouches se séparent, nous nous redressons, elle réussit à me faire allonger sur le transat pour plonger sur mon sexe. Je sens sa langue commencer à explorer mon sexe, je me laisse aller et ferme les yeux. Je veux profiter au maximum de ce moment de béatitude, mon corps me donne de douces sensations. Je finis par jouir sous sa langue, mon corps est submergé par un énorme tsunami qui m’emmène là où je ne suis jamais allé. Je me détends doucement, elle fait comme moi et vient se glisser sur moi, nous échangeons un tendre baiser, mon cœur explose, je n’ai jamais connu un tel sentiment.  Nous finissons par nous assoir sur le transat, elle me prend la main, je remarque que Joséphine et Isabelle ont disparu. Je pense qu’elles sont dans une chambre à célébrer leur amour. Brutus vient vers nous, il est très intéressé par l’entre jambe un peu ouvert de Justine. –Il est dressé ?–Oui, par ses anciens propriétaires, je sais que vous pratiquez la zoophilie avec ta sœur et ta mère.–Oui, je dois te dire que je n’ai jamais essayé un doberman.–Et bien, tu en as un à ta disposition, c’est quand tu veux.–Il ne faut pas me le dire deux fois.
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