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Joséphine

Chapitre 6

Zoophilie
Justine Elle se met à quatre pattes et vient devant Brutus. Elle lui donne un petit coup de tête dans la truffe, il est surpris, mais ce doit être une sorte de langage car il se précipite derrière elle et lui monte immédiatement dessus. Je vois son sexe sorti s’enfoncer du premier coup dans le vagin de Justine. –Oh putain, quelle bite, il y va franco. Brutus se déchaine sur Justine, elle replie ses bras pour poser sa tête au sol pour offrir encore mieux son sexe à celui de Brutus. Elle finit par se raidir au moment où Brutus lui plante son bulbe et s’immobilise pour se vider en elle. Il reste deux minutes planté dans son sexe, mais elle s’effondre au sol et le libère dans un grand bruit un peu bizarre, il se retourne et va se coucher sous l’arbre. Je vais vers elle et l’aide à se relever, je l’enlace, elle recule un peu la tête, me regarde, me sourit et pose ses lèvres sur les miennes. Nous échangeons un long baiser, ses mains glissent sur mon corps, les miennes sur le sien. Elle finit par me serrer très fort contre elle, je sens ses seins écraser les miens, son pubis contre le mien, je commence à me liquéfier, moi aussi je la serre contre moi. Quand notre étreinte se relâche, je lui prends la main et l’entraine vers la maison. –Viens, j’ai envie de te bouffer la moule, je veux te sentir exploser de plaisir entre mes mains et ma bouche.–Rien ne pourrait me faire plus plaisir en ce moment, mais d’abord, je téléphone à ma mère qu’elle ne nous attende pas. Je l’emmène dans ma chambre pendant qu’elle téléphone, nous passons devant la chambre de Joséphine, elle est avec Isabelle, elles sont têtes bêches à se donner du plaisir. Une fois dans ma chambre, je fais allonger Justine sur mon lit, son regard est tendre, elle semble très heureuse de ce qui lui arrive. –Vas-y, je suis à toi, fais de moi ce que tu veux, je t’attends. Je me couche sur elle, je veux sentir son corps contre le mien, je bouge dessus, je veux sentir sa peau contre la mienne, je sens ma cyprine commencer à couler sur mes cuisses. Je me laisse glisser sur son corps en embrassant et léchant tout ce qui tombe sous ma bouche. J’arrive sur son mont de Vénus, elle bouge de plus en plus, elle soulève ses fesses pour me faciliter l’accès à son sexe. –Oui, oui, je suis à toi. Mais ce n’est pas ça qui m’intéresse, je lui ouvre les jambes en grand, les replie et lui rabat contre son corps. Elle est sur les omoplates, les fesses en l’air, les jambes ouvertes me présentant son anus que je vois palpiter. Je pose ma langue dessus, lui titille la rondelle, la mets en pointe pour m’enfoncer dans son antre, mais elle est très serrée, pas possible. Je me lèche le majeur et l’enfonce doucement dans son anus. Je sens son sphincter très peu résister, mon doigt est assez fin et il le laisse entrer sans trop de problème.  –Oui, vas-y, j’aime, ajoutes en un autre il a l’habitude, Rex s’en occupe très souvent. Je sors mon doigt, me suce l’index et le majeur et lui enfonce complètement dans l’anus. Il les accepte très facilement, je fais des aller-retours assez rapides, je sens son sphincter se détendre, mes doigts glissent librement. J’enlève mes doigts et prends une boite de graisse anale et un gode réaliste moyen dans le tiroir de ma table de nuit. Justine, qui ne voit pas ce que je fais, enlace ses jambes pour les maintenir contre elle. 
–Non, reviens, j’aime trop ce que tu me fais.–Ne t’en fais pas, je reviens et ce sera encore meilleur. Je lui badigeonne l’anus de graisse ainsi que le gode.  –Tu vas me sodomiser avec un gode, c’est ça ?–Oui.–Vas-y, j’adore. Je présente le gode sur son anus. Elle le sent glisser entre ses fesses, elle donne un petit coup de rein –Ok ?–Oui, vas-y, enfonce le jusqu’aux couilles, défonce moi le cul, j’ai envie de jouir par là.–Ne t’en fais pas, tu vas jouir, je te le promets. Je pousse, le gode écarte la rondelle brune de Justine, il s’enfonce doucement dans son rectum. –Oui, vas-y, j’adore cette sensation, mon cul en veut plus, enfonce le moi complètement. Une fois que les couilles du gode touchent ses fesses, je commence des va et vient d’abord lents et amples pout accélérer progressivement, je sens son sphincter se détendre, j’accélère encore pour atteindre un rythme fou. Elle se tortille dans tous les sens elle se donne à cet instrument qui la fait monter au nirvana. D’un seul coup, elle donne de violents coups de rein pour s’enfoncer encore plus le gode. –AAAAHHHH, oui, oui, je jouis, je jouis, oh ma chérie que du bonheur, je t’aime, je t’aime. Je suis un peu surprise par ces affirmations, pourquoi me dit elle qu’elle m’aime, nous ne nous connaissons que depuis quelques heures. Je continu mes va et vient, elle délire toujours autant, mais elle finit par se calmer, son corps se détend, je ralenti mes mouvements jusqu’à les arrêter quand elle lâche ses jambes et atterrit sur le lit. Elle me tend ses bras. –Viens chérie, viens sur moi, j’ai envie de tes lèvres. Je me couche sur elle, je remonte sur son corps en glissant grâce à la sueur. Nos lèvres se soudent, son baiser est intense et tendre en même temps. Quand nos lèvre se dissocient elle me prend la tête entre ses mains, me regarde en souriant. –J’ai rarement jouis comme ça avec un être humain, merci ma chérie, j’espère que nous recommencerons, je suis si bien ici.–Et c’était quoi ces « je t’aime, je t’aime » ?–Juste l’expression de mon bonheur de sentir mon corps s’envoler grâce à toi, mais je ne peux pas affirmer que ce ne soit pas un réel sentiment, ce qui ne me déplairait pas. –Tu pourrais m’aimer ?–En tout cas, je ne pense qu’à toi depuis qu’on s’est rencontrées en ville il y a quelques jours.–A ce point ?–Oui, et moi, je te laisse indifférente ?–Je ne peux pas dire ça. Je regarde cette magnifique fille, j’avoue que depuis qu’elle a débarqué ici, je ne suis plus la même, et ça me plait. J’ai un sentiment que je n’ai jamais connu, serait ce de l’amour, je n’en sais rien. Je n’ai jamais éprouvé de l’amour pour un autre être humain, si ce n’est ma sœur, mais c’est assez différent. Et dans le fond, qui a-t-il d’indécent à aimer une femme comme elle, même pour une femme. Je me repenche pour poser une nouvelle fois ma bouche sur la sienne. Cette fois, c’est moi qui me donne à fond, je me plaque sur elle, je veux sentir son corps s’incruster dans le mien, je ressens un énorme bonheur à ce contact. Mon cœur fond, je ne veux pas que ça s’arrête, je la serre dans mes bras que j’ai réussi à glisser sous elle. Je sens qu’elle se laisse faire, je présume qu’elle doit être au comble du bonheur à me sentir collée à elle. Au bout que quelques minutes enlacées à nous câliner, nous nous levons, je lui prends la main pour m’amener dans la salle de bain pour prendre une douche, nous sommes toutes les deux dégoulinante de sueur. Nous entendons Isabelle et Joséphine jouir une fois de plus, elles n’arrêtent pas depuis une heure.  Nous retournons vers la piscine, Brutus se lève et vient vers nous. Justine le caresse, il se frotte à elle.  –J’ai envie de sa bite, je peux.–Vas-y, il est à toi. Elle se met à quatre pattes sur l’herbe, il n’hésite pas une seconde et lui monte dessus, mais elle glisse sa main derrière elle pour guider sa bite sur son anus. Il la perfore à sec d’un seul coup, je vais dans la chambre récupérer la graisse pour venir lui badigeonner les fesses. J’y arrive mais Brutus ne me laisse pas trop d’espace pour bien faire mon travail. –Merci chérie, ça va un peu mieux, mais je te laisse, j’ai une belle bite dans le cul, je veux en profiter au maximum.–Profite. Justine donne des coups de rein en arrière pour le sentir encore plus la posséder. Elle se donne à fond, elle bouge, tortille du cul, repli ses bras pour pointer ses fesses encore plus vers Brutus. Ça dure deux bonnes minutes, jusqu’à ce qu’il donne un dernier coup de rein pour lui enfoncer son bulbe. –Ah oui, cette fois, il me l’a mis, il se vide en moi, il me rempli de sperme, encore mon loup, encore. Elle jouit, son corps est secoué de spasmes de plaisir à tel point que Brutus en est éjecté de son anus. Il redescend un peu triste, je vois du sperme couler de la rondelle de Justine encore un peu ouverte, Brutus s’avance pour la lécher. –Couché Brutus, couché. Il me regarde et s’en va vers sa peau de mouton. Je me précipite sur l’anus de Justine pour me délecter de son sperme qui coule à flot. –Tu peux m’en garder un peu. Je rempli ma bouche de sperme et vais vers sa bouche. Nous échangeons un baiser, je sens sa langue venir récupérer le sperme de Brutus, elle l’avale avec plaisir. Nos langues s’amusent ensemble pendant une petite minute jusqu’à ce que je retourne à son anus maintenant fermé, plus rien ne coule. Nous nous redressons pour aller prendre une nouvelle douche. Isabelle et Joséphine font toujours l’amour, elles rattrapent le temps perdu. Une fois sorties de la douche, nous allons préparer le repas, nous passons devant la chambre de Joséphine. –Isabelle, Joséphine, il serait temps de venir nous rejoindre si vous voulez manger.–Ok sœurette, on termine et on arrive. Elle replonge entre les jambes de son amour. Cinq minutes plus tard, elles nous rejoignent enlacées, Isabelle a l’ai sur un petit nuage, ses yeux ne quittent pas Joséphine, sont regard est rempli d’amour. Joséphine a l’ai aussi heureuse qu’elle. Nous déjeunons toutes les quatre, l’ambiance est aux câlins, bisous, caresses. Justine me couvre de baisers, je la couvre de baisers en y prenant de plus en plus de plaisir, je ressens une sensation de béatitude en me blottissant contre elle. Joséphine se lève, elle appelle Brutus qui vient se coller à elle. –Alors mon chien chéri, tu voudrais bien faire de ta maîtresse une femme en lui prenant ses pucelages ? Brutus bat de la queue, je suis stupéfaite d’entendre ça venant de ma sœur. Elle me regarde en souriant. –Et oui sœurette, j’ai envie de partager ça avec ma chérie d’amour, nous avons décidé de vivre ensemble, autant aller jusqu’au bout.
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