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Joséphine

Chapitre 7

Zoophilie
Dépucelage Elle va sur le gazon, se plante devant Brutus les jambes écartées. Il comprend ce qu’elle attend de lui et lui passe la langue du périnée au clitoris. –Oui mon Brutus chéri, oui, fait jouir maman. Il la lèche avec application, je vois qu’elle se tend de plus en plus, Isabelle aussi, elle se lève et va derrière Joséphine pour l’enlacer et la soutenir. –Merci mon amour, ça y est, je jouis, je jouis, pour toi ma chérie. Elle se tend dans les bras de son amour, Isabelle la retient, elle se laisse aller secouée de soubresauts de plaisir.  –Oh mon amour, j’aime tant jouir dans tes bras. Brutus continu tant qu’elle ne lui dit pas d’arrêter. Joséphine se détend petit à petit, Isabelle en profite pour la caresser, je vois ses mains se crisper sur les seins de ma sœur, j’ai envie de la même chose. Je me lève, prends Justine par la main, la fais lever et me plaque sur son dos. Je sens ses fesses sur mon pubis, mes seins écrasés sur ses omoplates, je suis en transe. Mes mains viennent caresser ses seins, l’une d’elle descend sur son ventre et son pubis. Le majeur vient titiller son clitoris pendant que l’autre main lui caresse un sein. –Oui mon amour, oui, j’aime trop tes mains sur mon corps.  N’y tenant plus, je la fais se tourner vers moi pour l’embrasser. Je la serre de toutes mes forces, à l’en étouffer, mais elle répond à mon geste en me serrant aussi. Quand nos bouches se séparent, je lui prends la tête entre mes mains. –Je crois que moi aussi je t’aime Justine, je suis complètement chamboulée, je ne sais plus où donner de la tête, tu es dans mon cœur, je suis si bien avec toi, dans tes bras, contre toi. Jamais je n’ai ressenti un tel bonheur à être avec quelqu’un, une telle envie de partager avec quelqu’un, je t’aime.–Moi, tu sais que je t’aime, mais je crois qu’il va se passer quelque chose. Je tourne la tête pour voir Joséphine à quatre pattes devant Brutus retenu par Isabelle, elle me regarde.  
–Viens sœurette chérie, viens me voir perdre mon hymen, Isabelle s’occupe de Brutus, elle va faire en sorte que ça se passe bien.–Ok, je m’allonge sous toi pour voir Brutus te déflorer.–Oui, ça m’excitera encore plus. Je me glisse sous elle jusqu’à ce que ma tête soit juste en dessous de son sexe qui ruissèle de cyprine. –En tout cas, tu es prête, tu dégouline. Je vois Brutus donner deux coups de langue sur ses lèvres intimes, il recule un peu et d’un seul coup lui saute dessus, je vois son sexe passer entre ses cuisses, Isabelle s’en saisit et le guide vers son vagin. Brutus donne de violents coups de rein, mais Isabelle retient le plus possible son avancée dans les entrailles de Joséphine. Elle laisse la bite de Brutus avancer que par petits bonds, Joséphine se détend d’un seul coup. –Ça y est, il m’a explosé l’hymen, tu peux le laisser continuer tout seul, je n’ai pas mal ou très peu, laisse le me baiser.  La main d’Isabelle disparait, le sexe de brutus s’enfonce d’un seul coup en entier, je vois ses couilles battre sous mes yeux. Joséphine réagit quand même. –Oh putain, il me l’a mis en entier, quel pied, j’aime, vas-y mon Brutus, fait jouir maman, donne toi à fond. Ce n’est pas la peine de lui dire, il donne des coups de rein à un rythme infernal, le corps de Joséphine est secoué comme un prunier, il continu jusqu’à ce que son bulbe s’enfonce dans le sexe offert. Il s’immobilise pour se vider en elle. –Oh oui, oui, rempli moi mon chéri, rempli moi, je vais jouir, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Elle jouit comme je ne l’ai jamais vu jouir, j’en suis un peu jalouse, mais je sais que je ne peux rien contre un chien, j’en ai fait moi-même l’expérience. Ce qu’il y a d’extraordinaire, c’est qu’elle jouit alors qu’elle vient de se faire déflorer, c’est assez rare. Brutus reste sur elle, on voit bien qu’il se vide en elle. Au bout de deux minutes, il redescend du dos de Joséphine, lui lèche la vulve, je me redresse pour poser ma bouche sur son clitoris. Je l’aspire pour le titiller avec ma langue. –Oh oui ma chérie, oui, tu vas me faire encore jouir. Je continue de titiller son clitoris, je sens qu’elle commence à réagir, son ventre ondule pendant que Brutus la lèche toujours du vagin à l’anus à la recherche d’un peu de sperme. De temps en temps, sa langue glisse sur ma joue, mais ça ne m’empêche pas de continuer à bouffer le clitoris de ma sœur chérie. Elle finit par jouir en s’effondrant sur moi, sa bouche vient sur mon clitoris, mais Justine la fait rouler à côté de moi et se jette entre mes jambes. Elle me saisit les hanches et commence un magnifique broutage de minou. Je me laisse faire, je ne bouge pas du tout, je veux jouir qu’avec sa langue, je laisse le plaisir monter dans mon corps jusqu’à ce qu’un splendide feu d’artifice le fasse exploser de plaisir. Quand je reviens à moi, je sens un corps glisser sur le mien, c’est Justine qui vient poser ses lèvres sur les miennes. Notre baiser est d’une rare intensité, chacune de nous y met un maximum d’amour et de tendresse.  Nous finissons par nous lever, Isabelle et Joséphine sont allongées l’une sur l’autre têtes-bêches, elle se donne du plaisir une fois de plus. Brutus est assis à côté d’elles, il semble attendre quelque chose, je pense qu’il a envie de s’envoyer un petit cul ou une petite chatte. Eh bien ! je vais lui donner ce qu’il désire. Je me mets à quatre pattes à côté de lui, Justine me badigeonne l’anus de graisse, je veux qu’il me sodomise. Lui ne se pose pas de question, il se met derrière moi et me monte sur le dos, il donne des coups de rein, Justine guide sa bite sur ma rondelle qu’il défonce d’un seul coup de rein.  Je suis surprise et réagit à une violente douleur mais ça se calme très vite et le plaisir reprend le dessus, sa bite coulisse presque librement dans mon anus. Je pose ma tête sur l’herbe, je veux lui donner le maximum d’espace pour qu’il puisse bien m’enfoncer son bulbe, je veux le sentir gonfler en moi. Je sens du liquide couler dans mon rectum, je sais ce que c’est, mais je veux sentir ses jets de sperme m’inonder de l’intérieur. Il se déchaine dans mon anus, le plaisir monte doucement, il commence à donner des coups de rein plus violents, je sens la base de son sexe grossir. Un dernier coup et son bulbe m’ouvre le sphincter qui m’apprécie pas du tout, une violente douleur me traverse le corps. Je résiste à l’envie de me libérer, je sais que le comble du plaisir arrive. Je sens son bulbe gonfler en même temps que des jets de sperme venir remplir mon rectum. Il pense me féconder, mais moi, j’en tire un plaisir immense. Je finis par jouir, mon corps tremble secoué de spasmes de plaisir. Il reste en moi en continuant de se vider pendant une minute, il descend mais son bulbe reste enfoncé dans mon anus, il tire, mais pas moyen de se libérer. Ce n’est qu’au bout de cinq à six minutes que je sens sa boule se dégonfler me libérant l’anus qui reste grand ouvert. Justine se précipite dessus et vient me lécher afin de récupérer le trop plein de sperme.  –Réserve m’en un peu s’il te plait. Je vois son visage à côté du mien, sa bouche se pose sur la mienne pour que je puisse lui laper avec ma langue le sperme qu’elle m’a rapporté. Quand j’ai fini, elle retourne à mon anus qui n’est pas encore entièrement refermé pour refaire le plein. Une fois mon anus fermé, elle vient se blottir contre moi pour échanger une dernière fois un peu de sperme. Notre baiser dure assez longtemps, je suis si bien avec elle que je ne veux pas que ça s’arrête. Mais tout a une fin, nous nous relevons, pour aller prendre une nouvelle douche, c’est une manie chez moi, il faut que je prenne une douche dès que je fais un petit effort. Quand nous revenons vers la piscine, Joséphine et Isabelle sont assises sur un transat et caressent Brutus, il semble très heureux, il frétille avec elles, mais une main d’Isabelle va sous son ventre, elle se saisi de sa bite déjà bien sortie. –Je crois qu’il est prêt, c’est quand tu veux.–Ok, allons-y.  Joséphine se met à quatre pattes, Brutus vient tout de suite se mettre derrière elle mais Isabelle le retient, elle veut badigeonner l’anus de sa copine avant qu’il ne lui enfonce son dard d’où sort déjà des gouttes. Je vais vers elles pour attraper Brutus par le collier et le maintenir à distance, il se laisse faire, il est décidément extrêmement bien dressé. Quand Isabelle a fini de graisser la rondelle de Joséphine, je libère Brutus qui se précipite sur elle. Il lui saute sur le dos, Isabelle n’a pas le temps d’intervenir qu’il a planté son sexe dans l’anus de Joséphine du premier coup. –Ah putain il me fait mal le salaud, quelle brute, aille, putain, je ne vais pas supporter. Brutus continu, Isabelle veut l’arrêter, mais Joséphine l’en empêche. –Non, laisse, ça va mieux, c’est juste sur le coup, ça a été pénible. Mon sphincter se détend, au contraire, c’est plus agréable, je commence à apprécier cet engin dans le fion. Brutus se déchaine comme d’habitude, sa cadence est incroyable, mais surtout ce qu’il y a de remarquable, c’est sa résistance, tout homme baisant à son rythme jouirait en quatre ou cinq secondes, lui il lui faut au moins deux minutes, amplement le temps de jouir pour une femme. Je vois que Joséphine apprécie de plus en plus, elle donne des coups de rein en arrière, elle veut en profiter au maximum et jouir pour la première fois avec son cul. Elle était vierge aussi de ce côté, c’est un double dépucelage, elle n’a pas eu peur de le faire, je pense que c’est Isabelle qui l’a convaincu, elle a voulu essayer, je suis fière d’elle, elle va jusqu’au bout d’elle même. Brutus la verrouille avec son bulbe, il se retourne comme avec moi, mais ça dure plus longtemps, Joséphine aligne orgasme sur orgasme. Ça dure plusieurs minutes jusqu’à ce que Brutus se dégage et aille se coucher sur sa peau de mouton pour se nettoyer le sexe. Isabelle se précipite sur l’anus de Joséphine pour récupérer un maximum de sperme de Brutus, elle lui en donne de temps en temps. –Oh lala, quel pied, je n’aurais jamais cru être si sensible de cette zone, je pense que c’est la zone la plus érogène que mon corps.–Tu n’es pas une exception, ma mère aussi, elle préfère se faire sodomiser par Rex plutôt que de se faire baiser, elle jouit plus.  L’après-midi se termine assez rapidement, Isabelle et Justine retournent chez elles, nous restons seules et un peu tristes. Nous décidons de dormir chacune dans notre chambre, je passe une très mauvaise nuit à ne penser qu’à Justine. Le lendemain, je lui téléphone pour lui demander de venir passer la journée avec moi, je suis seule, Joséphine doit passer la journée avec Isabelle. Elle arrive une demi-heure plus tard, nous restons enlacées plusieurs minutes à échanger un merveilleux baiser.  –Justine, je t’aime, je l’ai vraiment réalisé cette nuit, veux tu t’installer ici pour voir si c’est possible entre nous.–Bien sûr ma chérie, il y a d’ailleurs ma valise dans la Mustang, je voulais te demander la même chose. Ça fait un mois et demi qu’elle vit ici, nous ne sommes que toutes les deux avec Brutus, Joséphine et Isabelle ont loué un appartement en ville, elles ont pris Rex avec elles. Je suis heureuse, Justine est heureuse, pourvu que ça dure !!
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