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JOSEPHINE, LA BELLE MERE DE NOTRE FILLE

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
JOSEPHINE, LA BELLE-MERE DE NOTRE FILLE
Notre fille est mariée et habite la même ville que ses beaux-parents à quinze kilomètres de chez nous. Bien souvent le lundi, Françoise ma femme, va dans la maison des enfants faire du ménage et du repassage. Aujourd’hui, j’ai justement l’occasion de passer pas loin de chez eux et je me dis pourquoi ne pas en profiter pour lui faire un petit coucou. Je passe par derrière afin d’arriver directement dans le séjour par la baie vitrée donnant sur leur jardin. Alors que je la crois seule, Françoise est avec Jean-Marc, le beau-père de ma fille. Appuyée sur le dossier du canapé, sa robe est relevée. Son tanga de dentelle rouge et ses collants trainent sur le fauteuil d’en face. Jean-Marc, le jeans en bas des chevilles a pris ma femme en levrette. Une fenêtre doit être ouverte car j’entends tout ce qu’il se passe à l’intérieur.
- Oui, vas-y, baise moi fort ! - T’aime ça hein ?— Humm !
Ils ne m’ont pas vu. Je suis tellement surpris que je ne sais quelle attitude adopter. Etrangement, cette situation ne me fait pas grand-chose. Je ne suis pas jaloux et au contraire j’ai une belle érection de la voir se faire baiser par un autre. Sans vouloir l’excuser, nous ne faisons plus si souvent l’amour et Jean-Marc est réputé pour être un bon chasseur, et pas seulement de gibier. Je reste là, curieux, à l’affût. Elle se relève, se met debout et enlève sa robe. Après avoir retiré son soutien-gorge, elle se met à genoux.
- Laisse moi sucer cette belle grosse queue ! 
Je distingue le dos de Françoise, nue avec ses formes que je connais par cœur. Sa tête va et vient sur la bite de son partenaire. Il lui tient la tête et par des coups de reins répétés, enfonce son pénis jusqu’au plus profond de sa gorge. A tel point qu’au bout d’un moment elle s’étrangle. Par le miroir de la salle à manger, je vois qu’elle lui enfonce son doigt dans l’anus.
- T’aime bien me doigter le cul, ma cochonne ! - Dis pas que t’aimes pas. 
Elle arrête sa fellation. Il se retourne et présente son postérieur. C’est lui à présent qui a les mains sur le dossier du fauteuil. Elle prend dans son sac quelque chose. A voir l’emballage, il s’agit de sa crème pour hydrater ses mains. Elle lui enduit délicatement son petit trou puis disparait de mon champ de vision.
- Bouge pas, j’arrive.
Elle revient avec une grosse carotte. On a l’impression qu’elle tient un pénis dans sa main, ses doigts glissent le long de la carotte qu’elle enduit de crème. Elle l’enfonce doucement entre les fesses de Jean-Marc par des petits mouvement de va et vient dans l’anus.
- Oui, comme ça !
J’en ai assez vu. Je me retire sur la pointe des pieds.
Sur le chemin du retour, je me dis quelle salope ! Dès que je peux j’applique la loi du talion : œil pour œil dent pour dent. Elle ne paie rien pour attendre. Quelques temps après, une opportunité se présente. L’épouse de Jean-Marc s’appelle Joséphine. Nous sommes au mois de juillet, je suis en bermuda au bord de notre piscine quand on sonne au portail. C’est Joséphine qui me dit qu’elle a rendez-vous avec Françoise pour faire les boutiques. Elles font régulièrement du shopping ensemble. En fait, mon épouse est partie rendre visite à sa mère dans l’Est de la France et ne reviendra qu’après-demain. Elle a carrément zappé le rendez-vous.
- Ce n’est pas grave, on fera les magasins une prochaine fois.  - Rentre prendre quelque chose, au moins tu n’auras pas fait le trajet pour rien ! - Pourquoi pas, après tout j’avais bloqué mon après-midi.
Nous allons sur la terrasse, il fait 32 degrés sous un soleil de plomb. Nous nous installons autour du salon de jardin au bord de la piscine avec un soda bien glacé.
- Qu’est-ce qu’il fait chaud, tu as bien de la chance d’avoir une piscine.
Je lui réponds que la température de l’eau est à 30 degrés et qu’il ne tient qu’à elle de se baigner.
- J’aimerais bien mais je n’ai pas de maillot ! 
Je ne peux pas lui proposer un des maillots de bain de mon épouse car les gabarits ne sont pas les mèmes. Joséphine est toute fluette en comparaison de Françoise, plus grande et plus plantureuse. J’essaie de la convaincre de se baigner nue.
- Tu n’as rien à craindre. Comme tu peux le voir la piscine est à l’abri des regards.- C’est vrai qu’elle est bien protégée avec toute cette végétation et les murs tout autour.- Tu sais, ça m’arrive souvent de me baigner à poil. - Ok, si tu le fais, je le fais ! 
Me répond elle du tac au tac.
— Allez, chiche !
Je commence à me déshabiller et lui indique la direction de la porte fenêtre d’une chambre donnant sur la terrasse.
- Tu peux aller te déshabiller dans la chambre si tu veux.
Elle en revient complétement nue. Son corps est intégralement bronzé hormis un petit triangle blanc sur son pubis d’où se détache un petit rectangle de poils noirs. Je l’ai toujours connue blonde mais en réalité, elle est brune. Maintenant, je me souviens qu’au cours d’une soirée, j’étais tombé sur une photo de famille où on voyait sa sœur avec des cheveux très bruns. Elle m’avait alors expliqué que sa couleur naturelle était brune. Je n’ai aucun mal à la complimenter car son corps est splendide.
— Waouh, tu es bronzée de partout ! - C’est le soleil de Carnac où nous avons une petite maison de pécheur. Elle est suffisamment isolée du voisinage pour me dorer au soleil nue comme un ver ! 
Je plonge direct dans la piscine pour pas qu’elle voit ma soudaine érection. Mais c’est trop tard.
— C’est moi qui te fait cet effet là ? 
Je ne réponds pas et me cale le ventre contre le bord du bassin. Elle descend les marches tranquillement et l’eau lui prend les cuisses, les hanches, le ventre puis les seins. Elle est mince et très bien proportionnée. Ses seins en forme de pomme balancent gracieusement au gré de ses mouvements. Pour pas trop montrer que je mate son corps, j’entame la conversation sur son mari.
— Et Jean-Marc, toujours aussi passionné de chasse ?— Oui mais justement en ce moment il s’ennuie, la chasse ne reprend qu’en septembre.— Il s’occupe comment alors ?- Il chasse d’autres gibiers si tu vois ce que je veux dire.— Non, pas vraiment.— Arrête, c’est un secret de polichinelle. Si tu savais le nombre de fois où il m’a faite cocue.— Puisque tu en parles, je l’ai surpris avec Françoise l’autre jour chez les enfants.— Et ?— Ils s’amusaient bien si tu vois ce que je veux dire !— Et en plus avec Françoise ? — Ils ne m’ont pas vu et je ne sais pas comment aborder le sujet avec Françoise.— Excuse moi mais ta femme est une sacrée salope de se taper mon mari !— Approche, aujourd’hui on a l’occasion de se venger !
Elle descend les dernières marches et s’avance vers moi.
— C’est sûr, on aurait tord de se gêner ! 
Elle joint le geste à la parole, prend ma queue dans sa main et commence me masturber. Je pose mes mains sur ses seins et pince ses tétons. On s’embrasse fougueusement. Je caresse son clitoris pendant qu’elle continue de me branler. Au fur et à mesure, l’intensité de nos mouvements provoque de petites vaguelettes qui éclaboussent les abords. Je lui propose de retourner vers les marches où l’eau est moins profonde.
- Pose tes mains sur le bord. 
Elle me tourne le dos, les mains appuyées sur le rebord. L’eau nous arrive en bas des cuisses. Elle a un cul magnifique. Je m’agenouille dans l’eau, lui lèche la raie et descends sur ses lèvres vaginales. Elle écarte ses jambes souhaitant que j’aille plus loin. Ma langue fait des aller-retours entre son clitoris et son petit trou. Elle apprécie et accompagne mes mouvements en cambrant encore plus son dos. Je me redresse et enfonce ma queue dans son vagin.
— Oooh !
Gémit elle. Elle prend autant de plaisir que moi à baiser dans ce lieu insolite. Nos corps ne font qu’un. Ma bite grossit à mesure que je la pénètre. Elle creuse son dos et ses fesses claquent de plus en plus fort sur mon pubis. Soudain, je sors de sa caverne et une longue giclée de foutre atterrit sur son dos. Nous nous installons tous les deux dans les chaises longues disposées le long du bassin.
— Tu as de l’huile solaire ?— Bien sûr, regarde dans les tiroirs du petit meuble juste là.
Elle se lève, enduit son corps d’huile solaire avant de s’asseoir près de moi.
— Je vais t’en mettre.
Elle commence par mes pieds, remonte progressivement sur mes cuisses et passe à plusieurs reprise à la limite de mon pubis. Elle se lève à présent et caresse mes épaules, masse mes pectoraux en s’attardant sur mes tétons, puis descend sur mes abdos pour terminer sur mon sexe. Elle s’agenouille et décalotte mon gland avant de l’embrasser. Ma verge reprend petit à petit de la vigueur.
- Ce serait dommage de ne pas en profiter, tu ne crois pas ? 
Elle prend le flacon et envoie une giclée d’huile sur ma queue qui est maintenant dure. Elle l’étale en glissant ses doigts le long de ma tige avant de descendre jusqu’à mes bourses qu’elle prend à pleine main. Elle les malaxe avec précaution puis remonte sur ma verge tendue. Après plusieurs aller-retours, elle me demande de changer de position.
- Mets toi sur le ventre, maintenant ! 
Elle caresse mon dos avec de longues descentes sur mon cul. Je sens soudain le liquide chaud couler dans le sillon de mes fesses. Son doigt insiste sur mon œillet et pénètre lentement dans mon anus.
- Et ça, tu aimes ? 
Je lui réponds que c’est tout nouveau pour moi ; Françoise ne s’aventurant jamais plus loin que le bord de ma rondelle. Du coup, Joséphine s’enhardit. Ce sont maintenant deux doigts qu’elle m’enfonce dans l’anus. Elle me demande de me mettre à quatre pattes. Dans cette position, ses doigts rentrent encore plus profondément dans mon cul. De l’autre main, elle saisit mon pénis et me masturbe.
- Arrête, je sens que ça vient ! 
J’éjacule une nouvelle fois. Avec un regard coquin, elle lèche ses doigts couverts de sperme. Je lui propose de lui faire à mon tour un massage sachant que mon expérience est loin d’égaler ses performances en la matière. Je la fais mettre sur le ventre. Mes mains descendent rapidement du dos vers ses fesses. Je caresse, masse, malaxe ses fessiers. Mon index tourne autour de sa rosette plissée. Elle m’encourage en cambrant son dos faisant ressortir son postérieur.
- Tu peux y aller, j’aime bien ! 
Elle écarte ses fesses avec ses mains dégageant bien son petit trou. J’envoie une grosse giclée d’huile dans l’orifice ainsi dilaté. Mon doigt rentre si facilement que je décide tout de suite d’en enfoncer plusieurs.
- Mmm !
Ce soupir de satisfaction m’invite à continuer. Mes doigts tournicotent dans l’anus et s’enfonce de plus en plus. Elle a un petit cul mais j’ai l’impression que je peux presque y rentrer la main. Au bout d’un moment, je décide d’arrêter ce fisting anal. Ma langue fait le tour de son croupion avant de s’insérer dans son trou. Elle écarte d’autant ses fesses. Je lape sa raie jusqu’à la fente de son pubis avant de sucer son clitoris.
- Continue de me lécher, j’adore ! 
Quelques léchettes plus tard, je lui propose de se retourner. Elle est maintenant sur le dos, ses seins se dressent comme des obus face au soleil. Je les empaume, les presse entre mes doigts jusqu’à lui faire mal avant de descendre sur son ventre plat jusqu’à sa vulve bombée. Ses muscles se contractent au contact de mes mains désormais proches de son sexe. Je me mets à genoux, écarte ses petites lèvres et branle à nouveau son petit bouton. Mais le soleil cogne, je sens que je suis en train de me prendre un coup de soleil.
- Viens, on va dans la chambre, on sera mieux ! 
J’étale une grande serviette de bain sur la couette et elle reprend position sur le dos, jambes écartées, genoux repliés. Elle me regarde, le visage souriant, une main sur son pubis en train de masturber son clitoris. Ses doigts écartent ses lèvres vaginales m’invitant à m’en emparer. Ma bouche aspire sa moule juteuse. Mes dents mordillent son clitoris qui durcit au contact de ma langue qui s’active de plus en plus âprement. Joséphine accompagne mes va-et-vient dans son entre-jambe en guidant ma tête.
- Ah c’est trop bon ! Oui là, encore ! 
Ma langue continue jusqu’au moment où elle me repousse. Son corps tout entier se tend, elle jouit.
- J’ai envie d’aller faire pipi.
Je lui indique où sont les toilettes. Au même moment, une camionnette claxonne devant le portail. C’est Mario, un portugais d’une cinquantaine d’année avec qui j’ai rendez-vous aujourd’hui. J’avoue que ça m’était complétement sorti de la tête. C’est un artisan sérieux à qui je fais appel régulièrement pour différents travaux. Aujourd’hui, il vient pour changer la chasse d’eau des WC à l’étage. Il me rejoint sur la terrasse accompagné d’un dénommé Isidore, un grand black en stage de reconversion professionnelle.
— Vous connaissez la maison, je vous laisse bosser.
Là-dessus, Joséphine se pointe complétement à poil. En nous apercevant, elle cache tant bien que mal sa nudité avec ses mains. Elle s’excuse et repart en direction de la maison, nous montrant au passage ses jolies fesses.
— Eh ben si je m’attendais à ça !
S’exclame Mario. De mon côté, je ne sais pas quoi répondre mais après tout je n’ai pas de compte à lui rendre.
— Allez Mario, au boulot.
Ils croisent Joséphine qui s’est rhabillée. Je la vois se retourner et contempler le corps athlétique d’Isidore.
— Bel homme, je n’ai jamais baisé avec un black.
Dit-elle en me rejoignant.
— Si tu veux je peux essayer de t’arranger le coup !— Tu ferais ça ?— Qui ne tente rien n’a rien.
Je vais voir Mario. Ils ont démonté les WC et sont en plein travail. Je le connais depuis une dizaine d’années mais à part quelques boutades sur le sexe, nos relations sont toujours restées professionnelles.
— Alors comment ça se passe ici ?
Il ne répond pas à ma question et se contente de dire.
— Elle a tout ce qu’il faut là où il faut, pas vrai Isi ?— C’est pas moi qui dirait le contraire.— Justement, c’est un peu pour ça que je viens vous déranger dans votre travail.— Ah ?— Elle souhaiterait euh, comment dire.
Je n’arrive pas à trouver les mots justes.
— Qu’est-ce qu’elle veut la petite dame ?— Une petite faveur de la part d’Isidore.— Décidément avec lui, mon chiffre d’affaire ne fait que progresser.
Mario m’explique que le dernier chantier qu’il a réalisé s’est éternisé à cause d’une veuve éprise d’Isidore. Elle rajoutait des choses à faire pour le simple plaisir de le voir bosser.
— Oui mais là, c’est un petit peu plus compliqué.— C’est quoi le problème ? — Je vais reprendre mot pour mot ce qu’elle m’a dit : Je n’ai jamais baisé avec un black.— Si Isi est d’accord, je ne suis pas contre à condition de participer à la fête.
Isidore répond immédiatement par l’affirmative. Apparemment ça tombe bien car il vient de se séparer de sa compagne. Quant à Mario, depuis qu’il est veuf, il profite de sa vie de célibataire. Je le soupçonne même de venir tringler ma femme sous prétexte de réaliser des réparations chez nous quand je suis absent.
J’informe Joséphine que ce sera Isidore et son patron ou rien. Sans l’ombre d’une hésitation, elle est d’accord sur le deal. Un SMS à Mario et les voilà. Joséphine a eu le temps de se préparer. Elle est nue, allongée sur un matelas pneumatique flottant sur l’eau, les fesses bien en évidence. Isidore ne met pas longtemps à se déshabiller et la rejoindre. Mario et moi les observons depuis la terrasse. Il la caresse, l’embrasse, masse ses fesses. Elle écarte le compas de ses jambes pour l’inviter à introduire ses doigts dans son sexe. Il la doigte et insiste sur le clito qu’il branle frénétiquement. Sur la terrasse, nous, on n’en peut plus. Nos verges sont tendus au maximum. Je leur demande de nous rejoindre sur la terrasse.
— Alors vous venez !
Isidore se résigne à partager son plaisir avec nous. Il pousse le matelas jusqu’au bord des marches et aide Joséphine à sortir du bassin. Sa queue épaisse et droite ressemble à un gros bâton. Joséphine prend Isidore par la main et le guide jusqu’à une chaise longue. Elle le fait s’allonger dessus avant de l’enjamber et s’empaler sur son membre en étouffant un petit cri.
— Oh !
Elle descend doucement sur la queue, ses doigts se crispent sur les pectoraux saillants du black. Lui aussi semble apprécier. Son gros gourdin s’enfonce doucement dans le vagin de Joséphine qui pousse des petits cris à chaque avancée dans sa caverne. Commencent alors de lents va-et-vient. Peut-être pas assez intensifs au goût d’Isidore, il donne soudain un grand coup de rein pour la prendre complétement. Elle hurle et tente d’échapper à cette grosse tige qui la remplit totalement. Mais Isidore ne l’entend pas comme ça et la saisit par les hanches. Il la soulève puis la descend sur son phallus droit comme un menhir. On a l’impression qu’il tient une poupée de chiffon entre ses mains. Il accélère, elle va de plus en plus haut et la queue apparait pour disparaitre complétement. Les seins de Joséphine dansent en rythme. Elle est à bout de souffle et n’en peut plus.
- Arrête, arrête ! 
Isidore la repousse libérant sa queue toute luisante de mouille. Joséphine s’effondre sur le côté, ses doigts s’activent dans son entre-jambe. Soudain son corps se contorsionne et un flot de cyprine jaillit entre ses doigts.
- Putain quel pied ! 
Son visage est radieux. Elle nous regarde soudain confuse.
— Désolé ! J’ai complétement oublié notre accord.— Pas grave, il n’est jamais trop tard pour bien faire.
S’exclame Mario en sortant sa bite devant Joséphine. Elle se penche sur la verge et l’engloutit dans sa bouche. A mon tour, je présente la mienne qu’elle saisit et masturbe. Isidore, toujours allongé sur la chaise longue, se caresse la tige en nous regardant. Joséphine alterne entre la queue de Mario et la mienne. Ce qui n’est pas trop du goût de ce dernier qui lui maintient la tête sur sa bite pour en profiter au maximum. Elle se dégage de Mario.
— Bon vous êtes satisfaits ?— Je crois que tu est capable de faire mieux !
Réplique Mario tout en lui caressant les épaules. Elle se redresse et il en profite pour empaumer ses seins. Voyant qu’elle se laisse faire. Il malaxe les mamelons et pince ses tétons. Elle ronronne comme une chatte. Il la prend par la taille et la pousse brutalement contre un petit muret. Ils sont face à face. D’un geste vif, il lui écarte les jambes et l’embroche direct. Isidore n’a pas débandé. Il se masturbe lentement en regardant son boss aux prises avec Joséphine.
— Et nous ?
Crie Isidore en me désignant. Mario tourne la tête et comprend qu’on pourrait se la faire à trois. Il se détache de Joséphine et lui demande le plus simplement du monde.
— Tu te sens capable de nous satisfaire tous les trois en même temps ?— En même temps ?— T’inquiète pas, on va tourner. — Ok mais pas ici !
On retourne à la chambre et elle s’allonge sur sur le dos, les jambes écartées et les bras en étoile. Sa vulve encore toute luisante de mouille nous excite et c’est Isidore qui le premier saute sur elle. Il enfonce son mandrin d’une traite et la pistonne comme un forcené. Mario lui tape sur l’épaule.
— Du calme, tu nous en laisses un peu !
Isidore la retourne comme une crêpe. Il lui écarte les fesses découvrant le petit trou qui s’offre à nos bites. Je prends vite fait dans le tiroir de la table de nuit le tube de vaseline et envoie une grosse giclée dans l’anus. A peine ai-je reposé le tube que je l’encule direct. Elle sursaute devant mon assaut. Mario s’en veut d’avoir été pris de vitesse.
— Tu crois qu’il y a encore de la place ?— Essaie toujours.— Hey les gars du calme, vous me prenez pour un garage à bite ou quoi !
Mario chevauche son dos et vient placer sa verge juste au dessus de la mienne. A mon grand étonnement, il arrive à la rentrer petit à petit dans son cul. Joséphine tressaillit et secoue sa tête. Nos deux queues se superposent maintenant dans son trou. C’est la première fois que je fais une double anale et ça procure de drôles de sensations. Elle commence à onduler des hanches comme pour mieux sentir les trois bites qui sont en elle pendant qu’Isidore martyrise ses seins. Impossible de savoir si elle couine de douleur ou de plaisir. Elle marmonne des paroles de satisfaction mêlées d’injures. Au passage, je saisis quelques bribes.
— Bande de salauds ! Je suis votre chienne ! Encore plus fort ! Vous êtes des gros porcs !
Elle chevauche la queue d’Isidore pendant que Mario et moi la bourrinons par derrière. Mario est le premier à sortir et éjaculer sur ses fesses. Je ne résiste pas au plaisir d’envoyer ma semence dans son cul. Libérée de nos bites, Joséphine se redresse et branle la queue d’Isidore. Elle le masturbe avec une telle excitation qu’il ne tarde pas à gicler sur son visage. La crème onctueuse coule sur ses seins. Elle l’étale et s’en régale en portant ses doigts à sa bouche puis elle se tourne vers Mario.
- J’ai quelques petits travaux à faire à la maison. Quand est-ce que vous êtes libres tous les deux ? 
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