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Joséphine et le fantôme

Chapitre 2

Divers
Joséphine se réveille, la tête dans le cul. Elle a très mal dormi, à cause du fantôme... Oui, le fantôme de sa maison. Mais qui aurait pu croire qu’une chose pareille pouvait arriver ? Elle se prépare. Son chéri se réveille et vient l’embrasser. Un grand nombre de questions envahit la tête de la jolie blonde et brune. Pourquoi lui, ne le voit-il pas ? Devient-elle folle ou est-elle spéciale ? Mais elle n’en a pas envie, que ce soit de devenir folle ou d’être spéciale. Elle ne veut pas vivre avec ce fantôme. Mais elle est trop intriguée. Qui est-il ?La matinée se passe sans que le spectre ne vienne la déranger, ce qui la surprend un peu. Elle en vient même à se dire qu’elle a tout simplement rêvé de tout ça. Mais le doute est de courte durée. Joséphine est certaine, au fond d’elle, que tout est réel. Cette certitude qui l’attire vers le grenier pour avoir des réponses la bouffe de l’intérieur. Elle essaie de se convaincre qu’elle ne veut rien savoir, n’avoir aucun rapport avec ce fantôme mais c’est faux. Elle en a besoin. Elle pense à en parler à Dorian, son compagnon, à l’exception de la fellation qu’elle lui a faite, de sa jouissance sur ses seins après avoir fait l’amour avec son chéri, mais les chances qu’il la croie sont proches de zéro. Elle doit mettre les choses au clair avant d’essayer d’en parler à quelqu’un.
— Ma chérie, je vais chez mes parents. Ils veulent nous donner des choses pour notre emménagement. Dit-il à Joséphine, la faisant sortir de ces pensées.— C’est mignon ça ! Tu veux que je vienne avec toi ?— Non, ça va aller. Je serais de retour en fin d’après-midi
Joséphine regarde son compagnon quitter le domicile, puis ne met pas longtemps à décider ce qu’elle va faire de son temps libre. Elle traverse sa maison, monte les fameux escaliers et se retrouve dans LE grenier. Encore et toujours, le fantôme est là, et il se branle...
— Joséphine ! Je m’attendais à te voir plus tôt ! S’exclame le fantôme.— Heuuu, comment tu connais mon prénom ? Je ne te l’ai pas dit hier... Enfin, il me semble.— Je t’ai entendue avec ton copain, qui s’appelle Dorian. Je suis un fantôme mais pas sourd. D’ailleurs tes gémissements sont très mignons quand tu copules.— Merci... Donc tu connais mon prénom mais moi je ne connais pas le tien. Donc si tu peux te présenter dans les règles, et surtout m’expliquer toute cette histoire s’il te plaît. Demande-t-elle. — Ça marche...— Et si tu pouvais arrêter de te branler quand tu me parles. Tu étais un gros pervers de ton vivant ou c’est venu avec le côté fantôme ?— Hey, cette histoire est sérieuse alors ne blague pas ! Et puisque tu insistes, je lâche ma queue... Pfff. Bon. Je m’appelle Salazar et je suis un grand homme. Un sorcier réputé à mon époque. Oui, tu as bien entendu, je suis un sorcier. Je suis né le 18 avril 1806 et je suis mort ce tragique jour du 22 novembre 1842 à l’âge de 36 ans. J’ai été assassiné pour être plus précis. Un combat à mort que j’ai perdu. Tout a commencé avec Elettra. Ah qu’elle était bonne Elettra ! Longue chevelure noire et lisse, visage parfait à la peau légèrement bronzée. Un cul venu d’ailleurs : Gros, bombé, rebondi, musclé, bien ferme... Et des seins énormes ! Gros, fermes, droits, lourds... Vous les appelleriez 95D aujourd’hui... Et au lit, elle était...— C’est bon, j’ai compris. C’était une bombe et un bon coup. Quel est son rapport avec ta mort ?— Eh bah, son mari n’a pas aimé que je baise sa femme. Rigole-t-il bêtement— Elle était mariée ?!— Oui, et avec ce con de Xandar. C’était aussi un bon sorcier, mais moins bon que moi, et moins attirant aussi. Mais il avait la plus belle de toutes. Elle était tellement inaccessible que je me suis donné l’obligation de la baiser ! Et le jour où j’ai réussi à la séduire, j’y suis allé à fond ! Ah, je l’ai défoncée comme jamais. Elle hurlait, criait, jouissait... La meilleure baise de sa vie, et de la mienne... Elle n’était pas tombée amoureuse mais ma bite lui avait fait tourner la tête et elle était prête à quitter son mari. Elle voulait revivre ses orgasmes que je lui avais offerts avec grâce et brutalité. Ce Xandar n’a alors pas aimé, mais pas aimé du tout. Et alors que je venais pour niquer sa femme une nouvelle fois, il m’a attaqué. Bon, je te passe les détails de la discussion qui s’en est suivie mais après on s’est battus. Je serais à jamais meilleur que lui, mais je l’ai sous-estimé et sa colère le rendait encore plus imprévisible. — Et il t’a tué ?— Pire que ça. Il ne m’a pas laissé mourir. Il m’a tué pour ensuite me maintenir à l’état de fantôme... Et vivre à jamais sans vivre pour de vrai. Enfin jusqu’à ce jour où je peux parler avec quelqu’un. Même Elettra, grande sorcière, et leurs deux enfants, ne pouvaient me voir.— Mais ça n’explique pas une chose. Pourquoi es-tu ici ?— Je suis mort ici. Il s’agit de l’ancienne demeure d’Elettra et Xandar. Répondit-il. Et votre chambre, c’était la leur, tout comme le lit. Et c’est là que j’ai baisé Elettra.
Joséphine frissonne en pensant à ce lit dans lequel elle dort puis... Elle se met à penser au vrai fait de l’histoire. Elettra et Xandar possédaient cette maison dans les années 1800 et nous sommes en 2020. Donc 220 ans plus tard... Et cette maison provient du patrimoine de sa famille depuis des siècles. Elle se met à penser que ces deux sorciers sont ses ancêtres. Et si c’est vrai, son père était-il au courant ? Cela pourrait expliquer qu’il avait toujours caché l’existence de cette maison. Joséphine est encore plus chamboulée qu’avant. Il lui faut une preuve solide pour prouver ce qu’elle commence à penser. Elle pense alors à Salazar, le fantôme. Il ignore que Joséphine a hérité de cette maison et qu’elle appartient à sa famille depuis plusieurs siècles. Cela ne sert à rien de lui demander alors. Mais surtout, mieux vaut éviter de lui en parler.
— Tu sembles pensive Joséphine...— Hein ? Quoi ? Heu oui... Il faut dire que cette histoire est difficile à croire— Mais je t’assure que c’est la vérité— Oui, je te crois... Salazar... Mais, il faut encaisser— Oh oui, avec moi, tu devras encaisser !— Non mais t’es sérieux là ? demande-t-elle en penchant la tête sur le côté les mains sur les hanches.— Désolé mais j’adore les blagues salaces.— Sinon, pourquoi vous aviez tous des prénoms bizarres... Salazar, Elettra, Xandar— Ce sont des prénoms normaux dans le monde magique. C’est vous qui vous prénommez bizarrement : Joséphine et Dorian. C’est nul comme prénom. Répond-il comme s’il était vexé.— Si tu le dis...
***************************************************La journée touche à sa fin. Joséphine est devant la télé avec Dorian qui commence à s’endormir devant. Ce fut une bonne journée selon elle. Même si les informations l’ont chamboulée, elle a une partie de la vérité. Il ne manque plus que la seconde partie. Elle commencera ses recherches dès demain. Voyant son compagnon somnoler, elle décide de le réveiller doucement pour aller se coucher.
— Mon chéri... On va au lit— Hmmm, oui, je tombe de fatigue
Ils partent se coucher. Dorian s’endort en quelques secondes. Ce qui n’est pas le cas de Joséphine. Elle retire son débardeur et ne garde que son petit minishort rose.
— T’es pas mal avec les cheveux bouclés— Haa ! Putain mais qu’est-ce que tu fous là !?
Ayant pris sa douche en fin d’après-midi, elle n’a pas lissé ses cheveux depuis. Sa longue chevelure ondule alors de bien belle manière, lui donnant plus de volume que quand ils sont lisses. Elle ne tombe pas aussi bas également même si elle reste très longue. Mais surtout, cela lui donne un petit air de tigresse assez attirant. Et ce n’est pas le fantôme qui dirait le contraire.
— Je voulais te voir encore moi.— Et bah c’est pas réciproque. Allez, oust !— Je suis sûr que tu mens !
Il saute sur le lit, juste devant elle, en appui sur ses coudes et il l’embrasse. Surprise, elle le laisse faire puis il descend jusqu’à son sexe.
— Non, je n’ai pas envie...
Il retire son minishort et elle écarte les jambes d’elle-même, lui dévoilant une magnifique petite chatte rose et lisse.
— Je pensais que tu n’en avais pas envie, hé hé.— Ta gueule...
Il plonge alors entre ses cuisses et commence à lui bouffer la chatte. Sa langue parcourt les lèvres intimes gonflées par le désir, le clitoris durci qu’il mordille ou suce de temps à autre. Il lèche aussi l’intérieur du vagin. Bref, il est vraiment doué dans ce qu’il fait.
— Hann, hannn, ouiii, tu fais ça si biennn, ouiiiiiii.
Une fois qu’elle a joui, il se redresse et place son gros dard de taille normale à l’entrée de ce sexe qu’il meurt d’envie de pénétrer.
— Tu ne veux pas que je te suce un peu avant ?— Non, tu me feras jouir direct à coup sûr !
Un petit rictus s’affiche sur son visage, elle aime quand on lui dit qu’elle suce bien. Il s’enfonce petit à petit dans cette chatte dans un râle de plaisir de sa partenaire qui sent les parois de son vagin très étroit se distendre. Que c’est bon de se sentir remplie ! Une fois bien encré, il commence des va-et-vient en elle.
— Hannn, elle est groooosse... Hannn, hannnn— Tu dors toujours aussi peu vêtue ?— Hannn, ouiiii hannn, ça t’excite ? Hannn— Peut-être... argh, elle est étroite ta chatte ! C’est trop bon !— Hann, vas-y doucement, je ne veux pas qu’il se réveille ! Hann, hannn, ouiiii. Je vais... Je vais... Je jouiiis URGGGH !
Joséphine n’a jamais connu un orgasme aussi bon. Pendant qu’elle reprend ses esprits, il lui lèche ses petits seins dont les tétons pointent fort. Il l’a fait retourner pour la besogner doucement en levrette. La chevelure bouclée de Joséphine valse sur son dos, ce qui excite le Fantôme qui essaye de les prendre mais elle tourne la tête pour l’en empêcher et faire glisser des cheveux le long du côté droit de son cou.
— Non, ne tire pas mes cheveux ! Hann, hann, hann, continue d’être doux, hann, hann
Le sexe entre les deux continue et Joséphine s’empale sur lui pour diriger. Elle sent bien qu’il commence à être à bout. Ils font quand même l’amour depuis une vingtaine de minutes, ce qui n’arrive jamais avec son compagnon. Sans oublier que Salazar n’a plus visité une chatte depuis Elettra, il y a deux siècles. Ils sont main dans la main, les doigts enlacés. Cela fait bizarre à Joséphine, qui voit un couple et non deux personnes sans amour comme c’est le cas. Ils ont une bonne connexion pour le sexe. Finissant son fantôme avec son déhanché, elle le contemple. Cela lui fait étrange son côté bleu brillant, et sa semi-transparence. Mais d’un autre point de vue, cela l’excite. Encore quelques coups de bassin et elle sent son utérus se remplir de cette semence. C’est encore plus gluant que du vrai sperme. Au lieu d’une douce chaleur, c’est une sensation de froid qui envahit son bas-ventre alors qu’il se remplit. Elle se retire de lui et il se relève du lit.
— Waouh, c’était de la bonne baise érotique tout ça. Mais je préfère avec plus de bestialité. On verra ça la prochaine fois.— Dis-moi, je ne peux pas tomber enceinte avec ton... Ton...— Plasma— Voilà, ton plasma qui fait office de sperme.— Non, il ne peut pas te féconder. Bon, on se voit demain ma belle, grrr.— Beurk, ne grogne plus jamais comme ça, c’est dégoûtant.— Moi, je me trouve sexy, grrr
Le fantôme part et Joséphine se couche en pensant à cette partie de sexe. Elle a trompé son copain avec un fantôme. Mais il ne pourra jamais le savoir. Mais ce n’est pas bien... Malgré sa satisfaction et ses remords, la belle s’endort.Le lendemain, son chéri travaille. Joséphine se réveille vers neuf heures, Dorian est déjà parti. Elle se débarbouille, se prépare, s’attache ses longs cheveux bouclés avec une grosse pince et se rend à la cuisine pour un petit-déjeuner.
— Hello ma belle. Bien dormi ?— Coucou toi. Étrangement, oui. Tu m’as donné de sacrés orgasmes hier, mais je culpabilise pour mon chéri. C’est lui que j’aime.— C’est beau l’amour. Mais vu que ce cher Monsieur ne peut pas me voir. Il n’y a aucun problème.— Mouais, ça t’arrange bien ce raisonnement.— Bon, c’est quoi le programme d’aujourd’hui. Grosse baise ? Sodomie ? Levrette sous la douche ? Elles sont super les douches ici— Non, pas de sexe. Je veux bien succomber à mes désirs car j’en ai besoin et que tu es vraiment un super bon amant. Et comme tu l’as dit, ce n’est pas vraiment de la tromperie car tu n’es pas vivant, ni humain car tu es sorcier à la base. Mais j’ai envie de tromper mon copain le moins possible tu vois ?— Je comprends. Mais finalement, on finira par baiser tous les jours. Mais je te laisse le temps de le vouloir. Alors on fait quoi, chef sexy ?— On passe la journée au grenier. Il faut que j’apprenne mon passé.— Ton passé ?— Oui, cette maison est à ma famille depuis longtemps. Il faut que je sache depuis quand. Et je veux en apprendre plus sur ton Elettra et Xandar.— Tu penses que tu peux être leur descendante ?— Non, il y a peu de chance... Ment-elle.
Ils partent fouiller dans le grenier. Ils trouvent plein de choses intéressantes. Salazar, le fantôme, retrouve une photo de son adolescence où il était dans la même classe qu’Elettra, dans leur école de sorciers.
— Regarde ça, j’avais dix-huit ans à l’époque. J’étais dans la même classe qu’Elettra— Waouh, c’était toi ça ? Il était beau gosse le sorcier ! Tu as dû en niquer des camarades de classe !— Et même des profs !— Ça ne m’étonne pas de toi, vieux pervers. Et vous étiez dans une école spéciale ? Genre de sorciers ?— Bah oui, c’était la belle époque !— Et elle s’appelait Poudlard ton école ? Rigole Joséphine— De quoi ?— Non, c’est une blague, laisse tomber. Fais-moi voir Elettra... Waouh, elle est grave belle.— Et regarde celle-là, c’est une photo d’elle.
Il lui montre une photo ou l’on voit Elettra en gros plan, en portrait. De son visage à son opulente poitrine.
— Hum, sacrée paire de nichons, en effet... Mais elle est juste sublime, parfaite. C’est une pureté— Et encore, tu aurais dû la voir avec mon sperme étalé sur son visage. Elle était encore plus belle— T’es dégueulasse !... Mais tu es vraiment venu sur son visage ? En facial ?— Bah bien sûr. Quand je salis une femme, je la salis jusqu’au bout !— Tu me dégoûtes... Je te préviens, tu n’as pas intérêt à me faire ça !— Tu serais étonné que c’est elle qui me l’avait demandé. Elle m’a elle-même demandé de la soumettre.— T’as dû sacrement lui faire tourner la tête avec ta queue. Vous étiez aussi peu évolués que les machos humains...— Non, ne vois pas ça comme de la soumission de machos mais plutôt comme de l’art. Le visage de la femme fragile, c’est Pompéi et ma grosse queue d’homme viril, c’est le Vésuve.— C’est vrai que dit comme ça, cela fait très poétique et on pourrait y voir une certaine forme d’alchimie entre deux êtres qui se complètent...— Eh oui— Mais ça reste crade. Bon, parlons d’autre chose. Il y avait déjà les photos à cette époque. Je ne m’attendais pas à avoir autant de précision.— Dans votre monde d’humains, j’en sais rien, mais chez nous, on faisait ça avec la magie.— Intéressant. Mais pourquoi venir habiter ici et pas dans votre monde. Maintenant que j’y pense, je trouve ça stupide.— Votre monde et le nôtre sont très proches. Et cette maison est à la frontière des deux. Il n’y a pas loin, dans ton jardin, un passage pour y accéder. Mais pour tout te dire. Le monde sorcier n’existe plus depuis longtemps.— Quoi ? Sérieusement ?— Eh oui. La stupidité des sorciers à vouloir se familiariser avec le monde des humains. Baiser avec eux d’accord, mais tomber amoureux et leur faire des gosses. Pfff. On pensait que les demi-sorciers auront des pouvoirs eux aussi, comme leurs parents sorciers. Mais non, cela se faisait rare et petit à petit, tout a disparu. Et voilà où nous en sommes. Je ne sais même pas s’il reste un seul sorcier dans notre monde. Si certaines familles ont su rester "pures", c’est-à-dire rester entre sorciers, vers le début de ton siècle, les derniers sorciers mouraient sans avoir eu de descendant fiable.— Au début de mon siècle, mais tu as dit qu’il a disparu depuis longtemps, ton monde.— Oui, le monde a commencé à ne plus être habité vers le moment où je suis mort. Ils commençaient déjà la grande migration des sorciers.— Je ne m’attendais pas à ça. Bon continuons à chercher, tu veux
Joséphine et Salazar poursuivent leurs recherches. Et soudain, elle tombe sur quelque chose d’important. Le document stipulant que la maison appartient à son père. Elle remonte tous les précédents propriétaires et finit par avoir le tout premier papier. Celui des premiers propriétaires, qui ont fait construire cette maison. Et les noms posés sur le papier ne sont d’autres que "Elettra et Xandar". Alors ce qu’elle a pensé sur ses origines, c’est vrai : Joséphine a des ancêtres sorciers.
— Alors tu es bien leur descendante...— Je ne m’attendais pas du tout à ça...— Après tout, cela explique pourquoi tu arrives à me voir.— Et, tu n’es pas en colère, ou quelque chose comme ça... Enfin, je veux dire... Mon ancêtre t’a tué.— Non, tu es la descendante de ma chère Elettra. C’est incroyable. Ça me donne encore plus envie de toi. Ça vaut bien une baise !— Non, j’ai dit pas de sexe. Ça me rassure, je ne sais pas comment j’aurais réagi à ta place. C’est étrange comme situation tout de même.
Le fantôme embrasse Joséphine et faufile sa main sous son short pour venir lui caresser la chatte.
— Humm, t’es chiant, j’avais dit non, pas de sexe... Elle gémit lorsqu’il commence à lui enfiler un puis deux doigts. — Oh ouiii, continues...— Je pensais que c’était pas du sexe ?— Humm, une masturbation, c’est pas du sexe.
Lui répond-elle en lui prenant sa bite pour la branler
— J’aime ta façon de résonner
Elle pose sa tête sur son épaule, ils sont tous les eux à genoux en face de l’autre. Ils se masturbent mutuellement tout en haletant pour elle et en grognant pour lui. Joséphine contracte ses muscles et jouit dans un petit cri étouffé et lui éjacule son plasma sur le poignet de sa branleuse. Ils se remettent de leur petit écart de travail.
— J’ai une question qui me trotte dans la tête.— Je t’écoute ?— Pourquoi tu es toujours en t-shirt débardeur et la bite à l’air ?— Ah, ça. C’est simple. Je suis mort comme ça.— Quoi ? Attends... Ça veut dire que tu t’es battu comme ça ? Ta grosse nouille pendouillant entre tes jambes ?— Bah oui... Je t’ai déjà expliqué que j’étais venue baiser Elettra. Alors quand je suis arrivé, je me suis déshabillé. Et sortir le monstre, c’est le plus important.
Joséphine éclate de rire.
— Ne te moque pas, ce n’est pas drôle !— Non mais c’est la honte ! Mourir à moitié nu... Rassure-moi, tu ne bandais pas au moins ?— Bah... Si...
Elle rigole encore, ne s’arrêtant plus de rire.
— Je suis content que ça t’amuse.— Mon pauvre... Et tu ne peux rien mettre d’autre ?— Non, je peux retirer le haut, mais rien mettre que je ne portais pas quand je suis mort.— C’est triste.
Joséphine passe le reste de sa journée au côté du fantôme. Pas de sexe comme elle l’avait dit mais beaucoup de rigolade. Finalement, elle se dit que ses peurs qu’elle a éprouvées lorsqu’elle a découvert tout ça n’étaient pas réelles. Elle va se plaire ici.
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