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Joséphine et les Génies

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Joséphine émerge doucement et difficilement de son sommeil. Cette nuit, elle n’a pas beaucoup dormi. Contrairement à son amoureux qui vient de dormir comme un bébé après avoir vécu une incroyable partie de jambes en l’air. Mais pour la jolie petite sorcière, la donne est différente.
Les doutes ne l’ont pas laissé tranquille une seule minute ! Sa nuit fut très agitée, les détails de la soirée lui revenaient en tête : une bonne baise avec son chéri, un orgasme (enfin), mais aussi et surtout, une déception. Le pourquoi du comment, elle l’ignore et cela la met dans tous ses états.
La jouissance avec Dorian n’est pas la même qu’avec son cher fantôme qui a rendu l’âme il y a quelques mois. La belle tourne dans son lit, se réveille sur le dos et elle finit sur le ventre où ses belles petites fesses rebondies forment une bosse sous la couette. Elle les remonte sans même faire attention. Elle tente en vain de se rendormir, étant encore fatiguée de sa petite, très petite nuit. Mais encore une fois, ses pensées viennent la tourmenter.
Je me plaignais de ne pas jouir, et là, je me plains de ne pas jouir assez bien, assez fort ! Mais je suis devenue une pauvre fille ! Ressaisis-toi Joséphine ! Ton mec est canon, gentil, adorable, fou de toi. Il te fait enfin jouir, et tu n’es pas contente !
Elle commence à remuer ses fesses, comme elle le fait le soir, avant de s’endormir. Elle persévère pour retomber dans un sommeil réparateur afin de ne plus penser à tout cela. Mais au final, c’est plus fort qu’elle.
Mais pourquoi j’ai tué le seul amant qui me satisfait vraiment ? Bon, il était méchant et m’avait volé ma vie. Mais j’aurais pu faire autrement… Non, je ne pouvais pas ! Arrête de penser à ça idiote !
C’est une main parcourant son dos qui finit de la réveiller complètement. Son compagnon, alerté par les petits mouvements de ce si beau cul, a décidé de la sortir de sa rêverie. Sa main finit logiquement sa course sur la fesse droite qu’il va sensuellement, mais fermement, pétrir. Joséphine savoure le frisson que cela lui procure avant de se tourner vers son amoureux. Appréciant cette fois-ci, son sourire radieux qu’il lui offre tous les matins et qu’elle ne se lasse jamais de recevoir.
— Hier, c’était vraiment super bon mon amour.— Oui, tu as raison… Vraiment merveilleux. Lui répond Joséphine en ayant une boule au ventre.
C’est vrai que c’était super, elle ne devrait pas être déçue.
— Si je ne devais pas aller au boulot, je t’aurais fait le 2eme round ce matin.— Humm, ne me tente pas, tu arriveras en retard à ton boulot.
Elle regarde son homme avec plus d’attention et remarque un joli sexe en érection. Elle le prend en main pour sentir sa chaleur dans le creux de sa paume.
— Mais c’est qu’il est en forme le petit lutin. Approche-toi.

Dorian en se fait pas prier et vient s’agenouiller devant sa chérie qui se redresse légèrement. Sa main gauche vient caresser la fesse droite de son amour, sa main droite lui emprisonne fermement ses deux couilles (pas très grosses) ce qui le fait souffler et elle engloutit son sexe entièrement. Seize centimètres qui visitent la bouche et la gorge de la sorcière durant une bonne minute. Il caresse la chevelure bouclée de Joséphine en gémissant. Lorsqu’elle décide de finir sa gorge profonde, elle se retire très lentement et donne un petit bisou sur le gland, qui réagit au contact avec des petits soubresauts.
— Avec ça, tu vas penser à moi toute la journée. Allez, va te préparer maintenant.— Tu vas me laisser comme ça ?— Le reste, tu le feras seul sous la douche. Rigole la belle jeunette.— Vilaine fille !
Il lui assène une petite claque sur sa fesse droite, faisant érotiquement bouger la chaire avant de l’embrasser tendrement. Elle le regarde, la bite à l’aire, se rendre à la salle de bain. Et puis, elle reste dans son lit à attendre…
Une dizaine de minutes plus tard, Dorian est tout propre, habillé, parfumé, beau comme un dieu. Il embrasse Joséphine avant de quitter la chambre, la maison, prend sa voiture et part au boulot. C’est à chaque fois très rapide, contrairement à Joséphine qui aime prendre son temps le matin.
Cinq minutes après sa sortie de la salle de bains, Dorian n’est déjà plus là. Ne voulant pas se lever tout de suite, Joséphine part dans une de ses activités préférées : la masturbation. Doucement, ses mains valsent sur ses petits seins, ses doigts s’attardent sur ses tétons qui se raidissent sous la caresse. Son ventre tonique est parcouru de frissons sous la douce caresse du bout de ses doigts. Puis, c’est son vagin qui se fait attaquer. Joséphine ne veut pas y passer des heures alors elle se caresse d’entrée de jeu le clitoris, la faisant gémir. Elle s’y attarde en se mettant deux doigts. Alors qu’elle se doigte, elle se met sur le côté afin que sa main libre vienne caresser sa fesse gauche. Elle se donne une petite claque, puis une deuxième plus ferme, puis une troisième plus forte avant de se claquer le cul de toutes ses forces, l’amenant à l’orgasme.
— Han, (clap), han, (Clap), han, han, (CLAP), han (PAAAF!) Hann ! (PAAAF!), Oh Ouiiii !
Elle finit de se caresser le clitoris et sa fesse endolorie pendant que son excitation retombe.
— Tu commences bien ta journée ma belle !— Ha ! Putain Elettra… Tu ne vas pas faire comme ‘lui’ ! intervenir au moment où l’on ne si attend pas…— Désolée, mais hier, ta soirée s’annonçait chaude. Je veux tout savoir !— Bon, je prends un café et je te raconte.
Joséphine se lève, enfile un petit shorty, un soutien-gorge noir et un haut rose, un peu transparent et large. Sans le soutien-gorge, on verrait sa poitrine à chaque mouvement. Elle descend avec l’esprit d’Elettra à la cuisine.
Une fois arrivée, Joséphine se sert un café. Elle prend une pince à cheveux sur le plan de travail pour s’attacher les cheveux se trouvant derrière ses tempes pour les mettre en arrière. Elle avale une première gorgée avant d’entamer la discussion avec Elettra.
— Bon, quand il a franchi ses pieds dans la maison, je lui ai lancé le sort. Après cela, je l’ai accueilli de manière 5 étoiles ! j’étais super sexy. On a bu du vin, on s’est embrassé, puis je l’ai sucé. Pour la première fois de ma vie, j’ai pu le sucer dignement, sans qu’il jouisse en trente secondes. Je me sentais bien, je me sentais chaude. On commence alors à baiser et là, c’est super bon. Il tient et moi je me déchaine comme je rêvais de le faire depuis des années avec lui.
On part pour une levrette et je lui demande d’être plus bestial, de me prendre fort en me tirant les cheveux. Il a du mal au début, mais il réussit à me donner ce que je veux. Je commence de plus en plus à me sentir venir. Il me prend ensuite en missionnaire sur la table en me limant comme il faut. Et je jouis…
— Tu ne sembles pas enjouée…— Tout était bien, mais quand l’orgasme est arrivé… J’ai eu une étrange sensation. Je n’étais pas satisfaite. J’étais enfin dans l’extase avec mon mec, mais je sentais que quelque chose n’allait pas. Cet orgasme n’avait rien à voir avec ceux que Salazar me donnait…— Bon. Même avec l’endurance et l’orgasme. Cela ne va pas. Qu’est-ce qu’il te faudrait de plus ? Une grosse bite ?— Non. Son sexe est fin, mais c’est pas vraiment le problème. La preuve, il m’a fait jouir. Mais l’intensité de mon orgasme n’était pas la même. Tu avais dit avoir une autre solution hier. Celle que tu n’aimais pas ?— Oui, en effet... Cela te dérange toujours de tromper Dorian ?— Quoi ? Tu me recommandes la tromperie?! Mais je l’aime.— Et Salazar alors ? Tu ne trompais pas ton chéri quand il te défonçait la chatte ?—…— Et puis, je ne te dis pas d’aller voir ailleurs.— Alors c’est quoi la solution ? Tu entends quoi par tromper sans aller voir ailleurs ?— Tu n’auras pas besoin de séduire un amant pour te limer la fente, mais c’est un autre qui te fera prendre ton pied. Et de façon ‘magique’.— Magique ? Je ne comprends rien Elettra. Tu peux être plus claire s’il te plait.— Ok. Dans le monde magique, il existe des génies. Et ils sont spécialisés dans le plaisir de la chair. Exclusivement masculin. Il faut payer le prix fort pour en avoir un. Mais une fois que tu l’as, il te fait tout ce que tu veux, ce dont tu as besoin. Tu le façonnes comme tu le veux, et il fait le reste. L’avantage c’est que ça va être bon pour toi, car ils sont experts. Tout ce qu’il te manque, avec le Génie que tu auras, tu l’obtiendras. Les inconvénients, ce sont les suivants : premièrement, ils ne sont pas invisibles, si tu n’es pas prudente, Dorian te chopera. Deuxièmement, devenir accro est très probable.— Tu sembles parler en connaissance de chose… Tu en as déjà eu ?— Oui. Après la mort de Salazar. Enfin sa première mort, qui n’était pas une vraie mort puisque mon mari l’avait transformé en fantôme. Fantôme que je ne pouvais pas voir au contraire de toi qui pouvait aussi l’entendre, le sentir, l’entendre…
Je m’égare là… Reprenons. Après ce tragique évènement, mon mariage fut chaotique. Logique, me diras-tu, car j’ai trompé mon mari. Mais si on est resté ensemble, ce n’est pas parce que nous avons réussi à nous relever de cette épreuve. C’est qu’il ne voulait pas me quitter. On pourrait croire que c’était pour nos enfants, mais non. C’était pour ne pas donner la raison de notre séparation s’il avait divorcé. Ne pas dire qu’il était cocu. Donc, on se parlait plus, on ne vivait plus, on ne baisait plus… Le néant quoi. Et puis les remords, la dépression, le manque de sexe… Tu vois le merdier. J’ai fini par me prendre un génie, puis des génies.
— ‘Des’ ?— Oui… J’en avais cinq au total à la fin.— Ah oui. Tu devais être très mal… Ou très coquine ?— Non, très mal. Mais tu n’es pas dans la même situation que moi. Je ne pense pas que tu finiras comme moi. Et heureusement. Mais cela reste une situation à risques. Avec Salazar, tu pouvais tout faire, Dorian n’avait aucune chance de remarquer quoi que ce soit. Mais là, tu ne pourras pas tout contrôler. Tu devras toujours faire très attention.— J’imagine la chose, et ce n’est pas rose du tout. Et puis, la tromperie, c’est mal. Je me rappelle les remords que j’avais au début de ma relation avec Salazar. Mais si je suis tombé sous les coups de bites de ce fantôme, c’est de manière incontrôlée.— C’est-à-dire ?— Tu te rappelles de ce que je t’avais raconté sur notre rencontre ?— Oui, tu l’avais sucé dans le grenier.— C’est ça. Je ne m’attendais pas à trouver un fantôme dans mon grenier. Et là, pouf, c’est un fantôme qui s’astique le poireau. Et un sacré poireau. Sous le choc, ne voyant pas le truc venir, et n’y croyant pas mes yeux et mes oreilles, je me retrouve à manger cinq fruits et légumes.— Et pour la suite ? Toujours sous le choc ?— Oui bah, la suite, j’étais déjà dedans donc j’ai juste continué. Et je me suis attachée. Ce que je veux te dire, c’est que je n’avais rien prévu quand je suis monté dans ce fichu grenier qui m’a rendu infidèle envers mon homme. Là, si je vais dans ton ‘bordel de génies’— Ce n’est pas un bordel.— Oui, mais je ne sais pas comment ça s’appelle. Bref, ce que je veux te dire, c’est que si je choisis cette optique, je le prévois à l’avance.— Je comprends. Donc c’est non ?
Joséphine regarde son ancêtre en réfléchissant. La situation est malsaine, plus qu’avec Salazar. Enfin, dans l’esprit de la jeune femme. Elle ne veut pas élaborer un plan pour tromper son Dorian. Même si elle l’avait déjà trompé avec le fantôme sorcier, mais la situation était différente. Ce n’est pas une excuse, mais la situation était réellement différente.
Bon, je choisis quoi ? L’amant Génie ou l’insatisfaction avec mon amour ?
— On fait comment pour avoir un Génie ?— J’en étais sûr… Tu devras être très prudente. Je t’interdis de faire les mêmes erreurs que moi !— C’est promis. Bon, on fait comment ?— Il existe un sortilège pour amener le conseil des génies. Une fois qu’il est là, tu payes et il te donne ce que tu veux.— Et avec quoi on paye ? De la monnaie magique ? C’est cher ?— (Elettra ricane)— Bah quoi ?— Ma chérie… Le prix à payer : c’est un Gang-bang.
Quoi ? … Pardon ? … Un gang-bang ?… Je vais devoir me faire sauter par plusieurs mecs en même temps ! Enfin, par plusieurs Génies…
— Tu as dit, un gang-bang ?— Ce sont des Génies de sexe. Il faut payer avec du sexe.— Oui, d’accord. Dis comme cela, ça parait logique. Mais un gang-bang !— J’ai dit ‘le conseil des génies’. Il sont plusieurs. Donc oui, un gang-bang.— Combien exactement ?— Six.— Six ! Mais je suis une femme, pas une décharge à sperme !— Alors, les Génies n’ont pas de sperme.— Ils ne jouissent pas ?— Si, mais ils ne crachent pas de sperme. Sauf si tu veux du sperme pour le génie qu’il te donne. Mais pour le payement, tu n’auras pas ton mot à dire. Alors tu seras une décharge à poudre de Génies…— De la poudre de Génies ?— Oui. C’est comme ça avec les Génies. Leurs rôlessont de donner à leurs clientes, ce qu’elles veulent. Donc leurs sécrétions de jouissance sont une poudre qui peut prendre la forme de tout et n’importe quoi : sperme, soda, chantilly…— Hum, le concept est pas mal !… Mais le gang-bang, ce n’est pas possible.— Et pourquoi ça ?— je suis vierge du cul. Et je veux le rester. Et je connais pornhub, les gang-bang c’est des doubles et triples pénétrations.— Oui, mais c’est toi qui choisis ! Si tu leur dis que tu ne veux pas faire d’anal, ils ne prendront que ta chatte. Et ta bouche. Il ne feront pas d’anal.— Donc pas de dp.— Ah si. Mais vaginal. Et en plus, ils sont bien membrés !— Donc je vais devoir me prendre deux grosses bites dans ma petite chatte étroite !?— C’est ça ou tu perds ton pucelage par-derrière.—… Bon, on va partir sur une possible déchirure du vagin...
La jeune sorcière se prépare : elle se met en sous-vêtement en dentelle blanche, attache sa longue crinière bouclée en un gros chignon. Avec Elettra, Joséphine appelle le conseil des Génies. Après l’incantation de son ancêtre, six génies apparaissent. Ils sont torse nue, très musclés, chauve avec une barbichette noire d’une quinzaine de centimètres, une serviette nouée autour de la taille pour cacher leur sexe, un petit tourbillon remplace leurs jambes. Ils sont tous de couleurs différentes : un bleu, un rouge, un jaune, un vert, un violet, un rose. Ils regardent tous vers Joséphine et l’esprit d’Elettra, d’un air concentré, voire sévère.
— Le conseil des Génies est à votre disposition. Dis le rouge.
Oh bordel de merde…
— Bon, je te laisse. A toi de jouer. Dis Elettra avant de s’évaporer.— Bonjour, je m’appelle Joséphine…— Bonjour Joséphine ! Répondent les Génies en cœur.— J’aimerais avoir un Génie à ma disposition.— Bien entendu, pour cela il faut payer le prix. Dis le Rouge.— Oui, mais par rapport à cela, je ne fais pas l’anal. Alors…— Ce n’est pas un problème. Dis le bleu.— Bon, viens nous sucer ! Dit le Violet excité.— Heu… Vous m’expliquez pas comment ça va se passer ? Je n’ai jamais fait ça avant.— C’est simple, on va te déglinguer et si tu encaisses, on te donne le Génie. Répond le Rouge.— Oh… Cela à le mérite d’être clair...
Joséphine se met à genoux devant les six génies qui, en même temps, retirent leur serviette, exposant leur gros et long pénis. Environ vingt-cinq centimètres bien épais. Même si la jeune sorcière a déjà vu plus gros avec son fantôme. Mais ce qui attire le regard, ce n’est pas le volume, la longueur, mais la brillance de ces pénis. Ils s’approchent et Joséphine n’a plus d’autre choix que de sucer. L’un après l’autre, ils font entrer leurs bites dans la bouche, experte, de leur cliente du moment.
Elle lèche le gland, les couilles, tête, pompe, avale, réalise des gorges profondes. Bref, Joséphine fait ce dont elle fait de mieux : la pipe ! Et les génies prennent leur pied avec cette femme comme en témoignent les propos du Jaune et du vert, resté muet jusqu’alors.
— Oh mon Génie ! Mais quelle femme ! Ce n’est pas une sorcière, mais une déesse de la fellation !— On a jamais rencontré de femme qui nous donnait autant de sensation ! Cette sorcière est incroyable.
Le Rouge, qui semble être le chef, n’apprécie pas ces propos alors il les fusille du regard, les faisant perdre la voix. Ce qui surprend Jo. Et quand elle le reprend en bouche, elle le voit se concentrer pour ne pas gémir. Elle se rappelle alors que leur rôle est de donner et non de recevoir du plaisir. Et ce Génie ne semble pas supporter d’être à sa merci. Mais vu la suite du programme, elle va vite perdre le dessus.
Suite du programme qu’elle va à présent devoir subir, car le Génie Rouge tire sur son gros chignon pour la relever.
— Ce serait plus pratique sur un lit. Dit Le Violet.— Bien sûr ! On peut aller dans ma chambre. Enfin, si vous voulez bien me lâcher…
Le Rouge, qui tenait toujours fermement le chignon de Joséphine, la laisse les amener dans sa chambre. Sans plus attendre, le Violet se jette sur le lit et fait signe à la sorcière de venir s’empaler. Elle vient alors le chevaucher et s’enfonce doucement ce long et gros pieu. Elle réalise des petits vas et viens en couinant. Elle sent une main effectuer une pression sur son omoplate. Elle s’allonge alors complètement sur le Violet et le Bleu vient derrière commencer à rentrer dans son vagin, lui aussi…
— Arrrggggghhhhhhh !
Putain de Génies !!!!!! Il me déchire la chatte ! La vache ! C’est horrible !
Joséphine ne peut s’empêcher de geindre de douleur sous cette double pénétration vaginale qui distend douloureusement les parois de son vagin. Après avoir connu l’énorme et magistral pieu de Salazar, elle n’aurait jamais cru un jour sentir de nouveau la sensation de déchirure vaginale. Il lui faut un petit… enfin un gros temps d’adaptation pour commencer à ressentir du plaisir à cette pratique…
— Ta bouche est libre, ne la laisse pas rien faire ! Dit sévèrement le Rouge.
Putain, mais il me les casse celui-là ! Je me fais défoncer la chatte par deux grosses queues, et il ne me laisse même pas le temps de m’y habituer que je dois me remettre à pomper…
Mais là, ce n’est pas une, mais deux queues qui se présentent à l’entrée de sa bouche. Alors qu’elle s’apprête à en sucer une puis de prendre l’autre, comme lors des préliminaires, le Jaune et le Vert lui attrapent le chignon (décidément, c’est une manie chez eux) pour enfoncer leurs deux glands en même temps dans la bouche.
Ils sont gros à la base, et encore plus gonflés par le désir, et se touchent effrontément. Mais cela ne les dérange pas. La petite bouche de Joséphine experte pour accueillir une bite, se retrouve à lécher deux glands en même temps. Sa langue valse entre les deux bouts et se retrouve parfois sur les deux en même temps. À d’autres moments, l’autre s’enfonce plus que l’autre, fessant buter son gland contre les parois tendues de sa joue, puis le second fait pareil. Ils distendent ses lèvres, mais sans brutalité. Ils jouent avec elle et cela excite Joséphine qui commence à mouiller de plus en plus sur les deux queues visitant sa grotte. Cela lui permet de mieux apprécier ce gang-bang.
Finalement, l’autre con de Rouge n’a pas eu une si mauvaise idée…
Mais deux bites restes inoccupées, celle du Rouge et du Rose…
— T’es mains aussi, elles ne font rien ! Branle-nous !
Et v’la qu’il recommence… Je suis une sorcière, pas une pieuvre !
Ses deux bras sont tendus au maximum pour que ses mains viennent chopper les deux autres bites pour les masturber. À tel point que ses épaules, omoplates, avant-bras et poignets lui font rapidement très mal. Les crampes n’hésitent pas à venir l’empêcher de se donner à fond.
Heureusement, le Rouge ne gueule pas (encore)… Son vagin finit par jouir et elle se retrouve les yeux écarquillés et le teint cramoisie par cet orgasme. Les deux bites dans sa bouche se retirent pour la laisser respirer correctement. Son visage commençant à virer au cramoisie…
Woah… Quel orgasme… !
Les deux Génies se retirent et le Jaune et le Vert (initialement dans sa bouche) finissent par venir dans son vagin serré. Mais de manière différente. En effet, Joséphine se fait empaler sur le vert dos à lui, et le jaune vient se rajouter face à face avec la brune au reflet blond. De cette façon, il peut à sa guise jouer avec les petits seins ou le clitoris tendu de Joséphine. Ce qui la fait jouir une seconde fois, en moins d’une minute cette fois-ci, avec un ‘hannnnn ! Argh !’ sortant de ses tripes.
Elle se retrouve encore avec des bites dans les mains (Bleu et Violet) et dans la bouche (Rouge et Rose). Mais dans cette position, difficile de lui en mettre deux d’un coup. Du coup, le Rouge à l’idée de se placer derrière sa tête, se trouvant à l’envers de lui, et de s’enfoncer pour une gorge profonde. Puis le rose en fait de même. Les deux font cracher la sorcière de salive et manquent de l’étouffer à chaque fois. Un troisième orgasme la submerge encore, grâce au doigt expert du Jaune, ainsi que des caresses du Vert qui a remonté ses mains sur ses seins qui avaient été délaissés.
Jo se fait relever et pénétrer d’une traite par le rouge qui commence à la culbuter en la portant. Ses coups de boutoir sont secs, rapides et brutaux et la belle sorcière jouit sous ce vigoureux limage de sa chatte. Sa tête valsant dans tous les sens, lui manquant de faire le coup du lapin.
— Arrrghh ! A rrrgh ! Aaargh ! Uuuuuuuuuuurggggghhhsssstttt…
Le salaud ! Il se comporte comme un dictateur depuis le début, mais c’est le meilleur de tous !
Il se calme et le Rose le rejoint dans sa chatte et ils la baisent à deux. L’un reste bien calé dans la chatte dégoulinante de cyprine tandis que l’autre s’enfonce pour faire écarquillé les yeux de la sorcière et l’autre en profite pour faire son va et viens, puis l’autre reprend le sien. Bref, dès que l’un rentre, l’autre sort et rentre et l’autre sort. Un mouvement rondement bien mené qui fait jouir Joséphine une cinquième fois en moins d’une heure. Elle se retrouve à baver sur l’épaule du Rouge, à ne pas pouvoir relever la tête tellement elle est crevée. Vu que la position est assez différente que les autres, elle ne peut branler ni sucer les autres Génies qui se masturbe devant ce spectacle. Séance qui se termine même par un sixième orgasme quelques minutes plus tard, qui manque de peu de la faire tomber dans les pommes.
Le Rouge la pose par terre et se positionne en cercle avec ses collègues autour de la sorcière qui commence à reprendre ses esprits, contente d’avoir réussi cette étape assez chaude. Elle se fait asperger de poudre de Génies de haut en bas. Chaque Génie a sa poudre de la même couleur que sa peau. Elle se retrouve alors toute collante, son chignon a laissé place à une sorte de mi-chignon/mi-queue-de-cheval, sa chatte la picote intensément, ses yeux criants sommeil.
— Bravo sorcière ! Tu as réussi ce passage. Ton Génie te sera donné demain à huit heures. Libre ensuite à toi de le personnaliser à ta guise. Dis le Rouge.— … Merci… C’est cool...
Ils disparaissent tous en même temps et Joséphine a à peine le temps de tomber dans son lit qu’elle dort déjà…
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