— humm, slurpp, slurrp, slurrp…— Oh oui… tu suces biennnn. » Joséphine pompe avec passion son compagnon sorcier. Comme à l’époque où il était un fantôme, la baise représente la grande majorité de leur quotidien. Il sent la sève montée le long de son gros sexe et la sorcière est prête à se faire rincer les amygdales quand… — Ouinnnnn ! Ouinnnnnn ! Ouinnnnn !— Blop ! La petite s’est réveillée… dit Jo, en recrachant la bite qui remplissait sa bouche.— Toujours au mauvais moment !— Ça va, tu t’en remettras gros bébé. Joséphine se relève et part en direction de la chambre de leur petite fille. Eh oui ! Joséphine et Salazar ont un bébé ! Cela fait un an qu’ils se sont retrouvés et elle a accouché il y a deux semaines. Seulement trois mois après leur retrouvaille, Joséphine est tombée enceinte. Cela ne les a pas vraiment étonnés… vu le nombre de baises qu’ils ont eu, cela devait bien arriver. Lorsque la nouvelle est tombée, Joséphine fut folle de bonheur. Salazar fut également heureux, malgré qu’il n’a jamais voulu fonder une famille. La petite s’appelle Hermione, un choix de la mère. Bien évidemment en référence à Harry Potter, mais Salazar et l’esprit d’Elettra n’ont pas compris… Elle arrive dans la chambre de sa fille et la prend dans ses bras avant de lui donner son sein (plus bombé que d’habitude) pour la nourrir. La petite lui chope le téton et ne le lâche pas, afin de le téter férocement pour prendre son repas. — Ça, c’est une grosse faim ma puce... Qu’est-ce qu’elle est belle ma petite fille ! Je suis si heureuse d’être mère… Depuis un an, elle n’a plus eu de nouvelle de sa sœur, de ses sœurs. Mais Salazar, voyant que cela lui fait mal a décidé de contacter ces dernières pour les informer que leur petite sœur venait de donner la vie. Il les a même invités à la maison. Quand Joséphine l’a appris, elle fut comme paralysée. Revoir sa sœur après ce qu’il c’était passé… Car même si elle ne voit plus les deux aînées, c’est avec Angélique qu’elle a eu ce moment atroce avec son Génie. Par la suite, elle fut soulagée qu’elles acceptent de venir, cela veut dire qu’il y a de l’espoir, même si la jeune sorcière a la boule au ventre en pensant à les revoir.
Sa petite chérie finit de lui vider le lait présent dans son sein. Joséphine se réajuste et retrouve son homme avec leur enfant.— Elle a bien mangé ?— Ça oui, elle m’a vidé !— Alors, tu appréhendes cette après-midi ?— Je mentirais si je disais non.— Ne t’inquiète pas, tu n’as aucune raison de stresser. S’ils n’avaient jamais voulu te revoir, ils n’auraient pas accepté l’invitation.— C’est vrai…— Et puis, si c’est trop gênant, tu parles de notre fille. Ça passe toujours de parler de ses enfants.— C’est pas con comme idée... L’après-midi arrive vite et les trois grandes sœurs sonnent à la porte, vers 15 heures. Audrey est l’ainée, elle a 40 ans. Encore bien conservée, ses petits seins n’ont pas à se soucier de la gravité, son fessier n’est pas très gros, mais elle a gardé ses belles jambes. Une longue chevelure blonde attachée avec une grosse pince, un visage basique. Vient ensuite Grace, 38 ans. Ses cheveux sont blonds et frôlent ses épaules, ses yeux bleus sont assez jolis, une petite poitrine et un fessier légèrement rebondi définissent ses formes. Vient ensuite Angélique, très différente des autres : cheveux noirs au carré, yeux azurés, grosse poitrine (95C) et fessier bien rebondi. Elle est la seule à avoir un enfant et c’est la sœur la plus importante aux yeux de Joséphine. — Bon, tu vas ouvrir ? Demande Salazar— Moi ? Non, toi, vas-y.— Ce sont tes sœurs.— Je te ferais boire mon lait !— Hum… Bon d’accord » Salazar part donc ouvrir alors que Joséphine prend sa fille de deux semaines dans les bras. Elle entend son homme saluer les trois jeunes femmes et les faire entrer. En l’espace de quelques secondes, elle se retrouve devant ses trois grandes sœurs. Angélique vient la prendre dans ses bras, faisant attention au bébé. — Tu m’as horriblement manqué ma Jo.— Toi aussi… Toi aussi.— Elle s’appelle comment ?— Hermione.— C’est drôle, ça... La petite passe dans les bras de chaque tante. Elles sont très curieuses de ce que ça fait d’être sorcière. Au bout d’un moment, Joséphine et Angélique s’éclipsent dans la chambre de la sorcière. — Dorian est au courant pour ton bébé ?— Non, et il ne sait même plus que j’existe. Je lui ai lancé un sort.— Ce n’est pas super ça…— Je sais, mais je ne voulais pas le faire souffrir.— Je comprends. Alors, ce Salazar, c’est le fameux fantôme ?— Oui, c’est lui.— Donc c’est un peu lui qui se branlait dans la piscine pendant qu’on était en train de discuter ?— Oui, c’est ça…— Je dois avouer que ça fait bizarre de se dire que ce jour-là , il y avait un fantôme pervers qui s’astiquer la queue sous mon nez. Rigole Angélique.— C’est sûr…— Donc, tu as utilisé la magie pour le ressusciter ?— Pas vraiment… J’ai dû me faire baiser de manière assez hard par le Génie doré qui est maitre de la vie… Et je ne te dis pas les dimensions de son sexe… Un avant-bras le truc !— Ah oui, je suis contente de ne pas être une sorcière, ha ha. Et en parlant de dimensions de sexe. Ton homme est sacrement bien membré dis donc…— Oui. Bien épais son poireau… Tu as pu le voir avec le Génie sur qui j’avais calqué le physique de Salazar.— Oui, une sacrée queue ! D’ailleurs, il serait possible que tu me fasses venir un Génie pour moi ? Parce que je t’avoue que je ne baise plus souvent…— Oh… Et bien… je ne sais pas. Pour en avoir un, j’ai dû payer avec un gros gang-bang, mais il me semble que j’avais le droit à un Génie de rechange après que le précédent a rompu notre contrat en… Bon, en te baisant. Je vais voir ce que je peux faire.— Merci Jo. C’est cool au final d’avoir une sœur sorcière ah ah.— Ah bah ça, tu n’as pas encore idée à quel point ! Ah ah.— En tout cas, je suis contente que tu sois heureuse.
La soirée touche à sa fin après une longue après-midi puis un bon repas. Sur le pas de la porte, Joséphine dit au revoir à ses deux sœurs aînées alors qu’Angélique reste avec sa nièce. C’est alors qu’elle va comprendre pourquoi Audrey et Grace sont venues la voir avec Angélique. — Au fait, Joséphine, est-ce que tu pourrais nous avoir des génies ? Demande Audrey.— Quoi, vous aussi ?— Quoi, nous aussi ? Réponds Grace.— Angélique m’a demandé la même chose. Mais vous deux, vous êtes en couple ? Dis Joséphine.— Et alors ! Toi, t’es bien la plus grosse salope de la fratrie. Réponds méchamment Grace.— C’est vrai ça, Jo l’infidèle. Renchérit Audrey.— Heu… répond Joséphine sur le cul.— Donc tu ne vas pas nous faire la morale, hein, petite sœur ? Dit Grace.— Non, non… répond alors Joséphine toute penaude.— Entre nous, j’ai compris pourquoi tu l’as trompé quand j’ai vu à quel point il était précoce. Trois coups de queue en missionnaire et ce con hurle de plaisir. Dit Grace alors qu’Audrey éclate de rire.— Quoi ?! Tu as couché avec Dorian ?— Oui, il était venu pleurnicher dans mon cou ce cocu. Alors vu que mon mari était au travail, j’ai voulu le consoler. Franchement, on a connu mieux comme première tromperie. Mais bon. Réponds Grace tout naturellement.— Bon, tout ça pour dire qu’on veut des génies. Et moi, je ne serais pas infidèle, car j’ai viré mon homme. Informe Audrey.— Pourquoi ? Demande Joséphine, surprise.— Ce boulet s’est fait virer. Il est passé d’un gros salaire à un pauvre chômeur. Quelle perte de temps. Bon, tu peux faire venir des génies pour nous ? Dis Audrey.— Oui, je vais essayer…— Super ça, et t’oublies les grosses bites. Dit Grace.— Si j’y arrive, je vous enverrais le génie totalement neutre et ce sera à vous d’en faire ce que vous voulez. Explique Joséphine.— C’est encore mieux ça. S’exclame Grace.— Et une dernière chose. Tu peux augmenter la taille des seins ? On en veut des plus gros que l’autre. Demande Audrey.— Tu veux dire Angélique ?— C’est pareil. Dit Grace tu tac au tac.— OK… Alors ça, je ne peux pas, je n’ai pas encore vu ce style de sort. Ment-elle— Bon, bah quand tu auras appris, tu nous rappelles. Et fais vite pour les génies. Dit Grace en s’en allant.— Au final, tu nous auras servi à quelque chose. Dit Audrey en tapotant sur le crâne de sa petite sœur et de partie à son tour. » C’est alors que sa sœur avec qui elle a une vraie relation la rejoint sur le palier. — Laisse-moi deviner, elles voulaient des génies et de super gros nichons ?— Exactement.— J’en étais sure.— Mais j’ai dit que je ne pouvais pas pour leurs seins, alors que si. Dis Joséphine avec un petit sourire.— C’est pour ça que tu es ma préférée. Rigole Angélique. Dix minutes plus tard, les trois sœurs sont rentrées chez elles, laissant Joséphine avec sa petite famille. Une journée bien heureuse, mais aussi très étrange pour la sorcière. Mais surtout une réconciliation avec Angélique. Alors qu’elle couche sa fille, qui dort déjà depuis un très long moment, Elettra fait son apparition. — Je te l’avais bien dit, non ?— C’est vrai. Tout s’est bien terminé. Enfin avec Angélique, car les deux autres sont juste venues pour me soutirer des choses...— On s’en fout de ses pauvres filles, le plus important, c’est Angélique.— Oui, c’est vrai.-Tu vois, il n’y a pas de quoi s’inquiéter. Cela a pris le temps qu’il faut, mais la finalité t’est favorable.— Je ne sais pas ce que je ferais sans toi. Bon, il faut que je te laisse, j’ai promis un petit repas à mon homme !— Vous êtes de sacrées perverses…— Je sais, et j’adore ça ! Une fois arrivée dans sa chambre, Joséphine retire ses vêtements. Son chéri sorcier l’attrape et la plaque contre le mur. Il choppe un de ses deux seins gonflés de lait maternel et le suce avidement. — Ouuuhhh… Doucement, j’en aurais besoin pour demain ! Il boit une grosse gorgée de lait avant d’embrasser sa chérie, de manière bien baveuse. Joséphine est très excitée et elle a une petite idée… — Mon cœur… je veux le faire en fantôme.— Humm, ça peut se faire. » D’un claquement de doigts, les deux humains se transforment en fantôme. Un sort qui demande une grande force, permettant à son bénéficiaire de devenir un fantôme pendant un temps limité. Joséphine s’agenouille devant sa grosse queue bleue et brillante et la suce avec passion. Il prend ses tempes dans ses mains afin d’accompagner ses mouvements. Humm, cette bite fantôme… Elle le pompe comme si sa vie en dépendait : léchouilles sur le frein, tête le gland, gobe ses testicules, gorge profonde. Il manque de défaillir à de nombreuses reprises, mais il tient bon !Il tire ses cheveux pour qu’elle arrête sa pipe et il la porte pour la poser sur le lit. Il lui dévore sa chatte la faisant couiner de plaisir ‘hann ! Hann ! Hann !’. Il lui rentre même un doigt dans les fesses, lui permettant de jouir une première fois, en se mordant érotiquement la lèvre. Il vient de la pénétrer avec sa grosse queue d’une taille normale. Elle fait les gros yeux en gémissant. Même après autant de baise, il sait lui la mettre de manière à bien la surprendre et lui fait ressentir toute son épaisseur, sa puissance… sa dureté… tout en malaxant ses seins en les englobant bien de ses grandes mains et en continuant de lui limer son vagin phosphorescent. Bien évidemment, la belle fantomette jouit sous ses gros coups de bites ! Putain… il me baise tellement fort ! Tellement bien ! — Hann ! Hann ! Hann ! Ouiiii ! Uuuuurgggh ! Après cet orgasme, il la retourne, écarte ses fesses et enfile sa bite dans son petit trou du cul qui en a pris des coups de bite depuis un an… il la tient bien par la taille de sa main gauche et lui assène quelque grosses fessé sur ses fesses bombées de sa grosse paluche droite. Cela a pour effet de faire hurler de plaisir la jeune femme. Le point positif d’être en mode fantôme, c’est que leur fille ne peut pas les entendre sauf si, comme sa mère, elle peut voir les fantômes... Mais même si c’est le cas, elle est encore trop jeune pour avoir de quelconques pouvoirs. Donc Joséphine peut y aller à fond niveau sonore, et elle n’hésite pas à le faire. « - Ahhh ! Ahhhh ! Ouiii ! Ahhh ! Ahh ! Arrrrghhhhhh ! Argggggghhhhhh ! » Elle jouit dans un puissant orgasme anal, faisant incroyablement resserrer son anus autour de son visiteur qui ne peut s’empêcher de cracher son venin. C’est ainsi que les deux sorciers retrouvent leurs apparences. Le cul endolori et rempli de sperme, Joséphine enlace son homme, son amant, qui vient de s’allonger à côté d’elle. — Je t’aime Salazar.— Je t’aime aussi, Joséphine… infiniment… La belle s’endort de cette manière, plus heureuse que jamais.
FIN
L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.
