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Le Jouet de ces Dames

Chapitre unique

Avec plusieurs femmes
Comme chaque année, mon épouse Anne a fêté la « Journée de la femme » avec ses amies. Cette année, c’est elle qui les a reçues. Elle a invité Marie, Catherine et Martine, ses trois meilleures copines. Le soir venu, quand je suis rentré du travail, Anne m’a accueilli, tout heureuse en pensant à la soirée qui s’annonçait. Pour me préparer, elle m’a entraîné dans la salle de bain. La baignoire était remplie. Elle m’a déshabillé. Une fois que j’ai été nu, elle m’a glissé à l’oreille : « Ce soir, tu seras à notre service ! ». Tout en me caressant le torse, elle a ajouté « Tu te laisseras faire. » Anne m’a lavé, m’a fait un gommage complet du corps en insistant sur mes cuisses, mes fesses, mon ventre et mon torse. Après que j’ai été rincé, elle a pris de quoi me raser le pénis, les couilles et les fesses, y compris le sillon inter-fessier, puis les aisselles. Étrange sensation de me découvrir ainsi dans la glace. Je n’avais jamais eu la peau aussi douce. Le contact avec le tissu de la sortie-de-bain était très sensuel.Anne avait choisi les vêtements que je devais porter. Elle m’a expliqué qu’il en fallait quatre, un pour chacune d’entre elles… Après le dîner, elle avait prévu une animation pour ses trois amies. Il s’agirait pour chacune d’elles de m’enlever un vêtement jusqu’à me retrouver nu. Tout un programme ! J’ai enfilé un joli petit string bleu assorti à un shorty moulant, une chemise blanche et un pantalon de cuir marron. Une fois que j’ai été habillé, Anne m’a caressé l’entrejambe, m’a embrassé et m’a dit : « Nous allons bien nous amuser avec toi ! » Et elle m’a mis une petite claque avec un sourire…La sonnette a retenti, et Anne est allée accueillir ses amies. J’ai eu un choc en les voyant. Elles étaient toutes les trois habillées de façon outrancière, exhibant fièrement leur féminité à mon regard. Elles étaient superbement maquillées, parfumées. Marie était grande, souriante, resplendissante, dans sa robe courte, fluide, mettant en valeur ses courbes féminines. Catherine avait un corps athlétique, aux formes harmonieuses, avec des épaules baraquées, une poitrine épanouie et ferme mise en valeur par un body laissant deviner ses tétons érigés. Ses hanches larges et ses fesses musclées étaient moulées dans une minijupe. Martine, la nouvelle venue, était extravertie et épanouie, visiblement bien dans son corps aux formes sensuelles, fière de sa poitrine pigeonnante mise en valeur par un soutien-gorge ouvert et un body moulant laissant voir ses tétons. Elles étaient toutes les quatre resplendissantes et très désirables.Nous avons pris l’apéritif. Martine nous a expliqué qu’elle était esthéticienne, tout en découvrant le haut de ses bas et de ses cuisses, les croisant et les décroisant. Elle m’a fait un grand sourire en dévoilant à mon regard ses trésors cachés par un petit slip transparent. Après le dîner, l’alcool aidant, Marie a proposé un jeu. Chacune d’elle devait tirer à l’aveugle un petit bout de papier sur lequel était inscrit un numéro suivi du nom d’un de mes vêtements. Chacune devrait enlever celui correspondant au chiffre qu’elle découvrirait. Le numéro quatre aurait droit à une surprise… Anne a eu le numéro un. Elle m’a enlevé ma chemise, Catherine, le deux : elle s’est approchée et m’a ôté mon pantalon tout en me caressant à travers le shorty. Marie a tiré le numéro trois, elle s’est agenouillée, m’a fixé droit dans les yeux, a saisi fermement mes couilles pour les soupeser, puis m’a massé la queue avant de retirer mon shorty.Elle m’a observé, mon string était tendu par ma queue en érection. Martine, bien sûr, avait le quatre : elle s’est avancée sur les conseils de Marie, s’est agenouillée, a regardé mon string tendu, a posé ses doigts tremblants sur mes hanches et a fait glisser lentement le tissu, libérant mon sexe, tel un diablotin sortant de sa boîte. Ma bite bandée était parcourue de soubresauts. Martine a rougi, puis a souri sous les applaudissements d’Anne, Catherine et Marie. J’étais intégralement nu au milieu du salon, entouré de ces quatre femmes qui détaillaient chaque centimètre de mon corps. Marie a ordonné à Martine de me décalotter. Surprise, elle a hésité, puis elle a saisi ma queue et a doucement dévoilé mon gland, rouge et luisant d’excitation.Toujours selon les règles du jeu, c’était maintenant au tour de Martine de se déshabiller… C’était cela la « surprise » ! Elle a souri, a fait valser sensuellement sa minijupe, dévoilant un string sexy en tulle transparent qui ne cachait rien de sa féminité et laissait même apercevoir son excitation : une auréole humide au niveau de son entrejambe. Elle a retiré son body, découvrant ses seins aux tétons érigés, puis elle a enlevé son string, dévoilant un pubis intégralement épilé et son sexe aux lèvres baveuses avec un clitoris saillant. Puis Marie a déshabillé Catherine qui est apparue dans toute sa beauté, hanches larges, pubis noir taillé court, seins fermes aux tétons bruns érigés. Marie a ensuite dévêtu Anne, libérant sa poitrine généreuse aux longs tétons qui faisait l’admiration de toutes. Marie n’a pas pu se retenir de les caresser. Anne a fermé les yeux, a soupiré, et lui a demandé de continuer. Elle s’est tournée vers Marie et l’a déshabillée tout en la caressant et en l’embrassant.Enfin tous à poil ! Marie m’a informé que ce soir, les rôles seraient inversés : une fois dans l’année, les femmes soumettent leur homme aux plaisirs de la pénétration ! Marie s’est dirigée vers Martine et lui a dit qu’elle allait avoir le privilège d’être la première à me sodomiser ! Martine n’avait jamais pénétré d’homme. Marie l’a équipée d’un gode-ceinture pourvu de trois extrémités, un pour ses propres fesses, un pour son vagin. Le troisième, un magnifique godemichet très réaliste représentant une belle verge en érection, (mais aux dimensions raisonnables) était prévu pour la pénétration. Marie a lubrifié les godemichets et les a introduits un à un… Le premier dans les fesses serrées de Martine, puis le second dans son vagin. Marie a ajusté le slip, admiré Martine ainsi harnachée et m’a lancé : « À toi maintenant ! ».Marie m’a allongé sur la table de la salle à manger, jambes relevées et écartées, présentant ainsi mes fesses ouvertes. Elle a pris du lubrifiant, massé mon anus et, tout en me regardant, a fermement introduit son doigt. Par réflexe, j’ai contracté mon sphincter. Marie a souri à cette réaction réflexe et m’a conseillé de me détendre. Martine s’est approchée. Ses mains tremblantes ont saisi mes cuisses. Marie a posé le godemichet sur mon œillet. Martine m’a regardé droit dans les yeux, puis elle a poussé doucement sous les encouragements de ses copines. J’ai senti mon anus s’ouvrir, j’en ai eu le souffle coupé. J’ai poussé un cri sous le coup de reins de Martine. C’était nouveau et très agréable. Elle m’a pénétré jusqu’à la garde. J’ai senti son pubis contre mes fesses. Elle s’est mise en mouvement. J’ai soupiré en la regardant, et j’ai fermé les yeux pour apprécier ces nouvelles sensations. C’était particulièrement plaisant quand Martine heurtait ma prostate. Après m’avoir bien limé, elle a cédé la place à Catherine. Un grand sourire aux lèvres, celle-ci m’a fermement attrapé par les cuisses. D’un puissant coup de reins, elle m’a pénétré brutalement. Elle a bientôt accéléré ses va-et-vient, je criais sous ses coups de boutoir. Elle savait s’y prendre ! Elle m’a ordonné de me placer en levrette sur le tapis. Je me suis mis à quatre pattes et j’ai tendu mes fesses sous les encouragements de Marie. Catherine m’a pris par les hanches et m’a ramoné énergiquement. Je n’imaginais pas le plaisir d’être ainsi pénétré !Marie s’est glissée sous moi, a écarté les jambes, exhibant sa petite chatte baveuse, son pubis noir taillé court, laissant voir son clitoris gonflé d’excitation. Avec ma langue, j’ai écarté ses petites lèvres et entrepris un cunnilingus. Elle gémissait sous mes coups de langue et ondulait son bassin. Elle a ensuite saisi mes couilles toutes lisses et a joué à les faire rouler entre ses doigts. Elle les a gobées avec sa bouche. Catherine s’est retirée de mes fesses endolories, Marie en a profité pour y introduire un doigt, à la recherche de ma prostate. Elle l’a massée délicatement, des ondes de plaisir ont envahi tout mon corps. Elle a chopé ma queue, l’a décalottée, léchée, a joué avec sa langue au niveau de mon frein. C’était une vraie experte en fellation. Je lui ai demandé de ralentir car je n’allais pas pouvoir me retenir. Étonnée, elle m’a demandé ce qui n’allait pas. Je lui ai répondu que son massage était trop jouissif. Elle s’est remise à l’ouvrage.Pendant ce temps, Catherine et Martine s’occupaient d’Anne. Martine était allongée et Anne était au-dessus d’elle en 69 pendant que Catherine la pénétrait en levrette comme un homme. Anne criait sous les coups de reins puissants de Catherine. Anne a changé de position, se mettant en amazone sur Catherine, s’empalant sur son godemichet, ondulant son bassin. Elle s’est penchée en avant pour embrasser sa copine à pleine bouche. Martine s’est approchée par-derrière, a saisi Anne par les hanches et l’a lentement pénétrée, la sodomisant profondément. Anne a crié, c’était pour elle une première de se faire pendre en sandwich. Sous les assauts de Martine, Anne a été envahie par un puissant orgasme.En la regardant, les yeux brillants, je n’ai pas pu me retenir, j’ai moi aussi été submergé par le plaisir. J’ai éjaculé dans la bouche de Marie qui m’a sucé jusqu’à la dernière goutte. Cette dernière, ravie du résultat obtenu, s’est redressée, m’a embrassé (la bouche pleine de mon sperme) et m’a obligé à tout avaler. Épuisé, je me suis allongé sur le tapis, les jambes écartées, les fesses endolories et la tête pleine de nouvelles sensations. Anne est venue me rejoindre. Elle m’a embrassé langoureusement sous les applaudissements de Marie, Catherine et Martine.C’était une soirée formidable…
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