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Le jouet de la famille Kradborg

Chapitre unique

Trash
AVERTISSEMENTLe texte qui suit décrit des fantasmes purs, qu’il n’est pas question de réaliser réellement. Les maladies sexuellement transmissibles existent et font des ravages et la conception d’enfants engage la vie d’autrui et ne doit pas avoir de motivations sexuelles.

« Je vivais une relation amoureuse avec un beau garçon, attentionné et aimant, depuis près de deux ans. C’était vraiment bien et je croyais vivre avec l’homme de ma vie. »
« Nous faisions souvent l’amour et parfois d’une façon très particulière, … Nous étions des fois sales ! »
« Un tel comportement choque la plupart des gens, mais Bastien et moi adorions être crades lors de nos rapports. Cette saleté augmentait notre plaisir. »
« Nous n’étions pas sales lors de toutes nos parties de jambes en l’air, mais régulièrement l’un de nous pissait ou même chiait pendant l’amour, déclenchant une réaction en chaîne qui nous conduisait souvent à nous vautrer dans la saleté ! »
« J’aimais Bastien, nos pratiques “limites”, mais je sentais parfois qu’il me manquait quelque chose. Notre dernière relation à été le déclencheur de la séparation que j’ai provoquée. »
« Il nous avait concocté un dîner en amoureux, avec des chandelles, des plats fins et tout. Nous avons dîné, en nous regardant dans les yeux, en amoureux. Après le dîner, il s’est approché de moi, m’a embrassé tendrement, m’a effeuillé petit à petit en me couvrant de baisers. Il a poursuivi par un savant cunni bien appliqué qui m’a donné du plaisir. »
« J’ai alors entrepris une fellation, qu’il semblait particulièrement apprécier. »
« Après ces préliminaires, il m’a allongée sur le canapé, en continuant à me donner de fougueux baisers, puis il m’a prise avec la précaution de s’introduire progressivement en moi, puis en accélérant petit à petit son rythme. Excitée j’ai introduit nos jeux sales adorés, en lâchant un jet de pisse qui est venu l’éclabousser. Il m’a souri, m’a encore embrassé et, tout en continuant à me pénétrer, il m’a murmuré :  “ Je t’aime ”. »
« Après quelques minutes je me suis retournée, j’avais envie qu’il me brusque davantage, qu’il me sodomise ! Je lui réservais une belle surprise odorante ! Mais Bastien n’a pas compris, ou n’a pas voulu comprendre, mon message. Il a repris mon sexe. Un peu frustrée, je lui ai susurré : « Tu pourrais aller ailleurs tu sais … » Il a ignoré mes propos. »
« Toujours excitée, j’ai poussé pour faire sortir un étron (enfin un objet me perforait là où j’en avais envie !). Bastien a paru ravi du présent que je venais de pondre, il m’a glissé : « Ma chérie, tu fais un super caca ! » Sans voir ce qu’il faisait, j’ai senti qu’il badigeonnait mes fesses de ma merde. L’odeur se rependait rapidement dans la pièce, elle m’excitait terriblement ! A ce moment j’avais envie de sexe totalement débridé, d’être prise sauvagement, enculée, fessée, je criai : “Vas y prend-moi fort, défonce-moi !” Mais malheureusement Bastien poursuivait inlassablement sa besogne sur le même rythme sans répondre à mes suppliques. »
« Il a fini par jouir dans ma chatte, alors que j’aurais aimé prendre son sexe sale dans ma bouche ! »

« Cette énième partie de baise qui me laissait sur ma faim m’a décidée à le quitter, malgré toutes ses qualités. »
C’est ainsi que la belle Charlotte, ma collègue à la fois mignonne et plutôt stricte, ma raconta sa vie intime et les frustrations qu’elle lui avait provoquée, alors que nous étions les derniers à rester après le pot de départ d’un collaborateur, au cours duquel elle avec bu quelques verres. Sans doute inquiète de s’être laissée aller à de telles confessions auprès d’un collègue, elle ajouta : « Tu dois me prendre pour une folle perverse ! Je n’aurais jamais dû te raconter tout ça. Désolée, oublie tout, s’il te plait. »
Comment oublier un tel aveu ? Il m’indiquait que la Charlotte sage, à l’air toujours strict dans son tailleur, coiffée de son chignon serré, avec laquelle j’avais partagé un bureau pendant quelques mois, était bien plus dévergondée que je ne l’avais imaginée. Cette belle blondinette d’une trentaine d’années devait être une vraie vicieuse !
Je décidais de tenter immédiatement ma chance. Me fiant à ses déclarations, j’imaginais qu’elle aimait être violentée. Je lui assénais une grande baffe, qui laissait une belle marque rouge sur sa joue ! Je ponctuais mon geste par un propos insultant : « C’est ça que tu aimes salope ! »
Je m’inquiétais évidemment du résultat de mon acte. Je redoutais qu’elle ne s’insurge, crie au secours, comme toute femme normalement constituée l’eut fait, mais j’espérais qu’elle soit la perverse que j’avais imaginée lors de ses confidences et qu’elle apprécierait un tel traitement.
Elle eut un instant d’incompréhension pendant lequel son regard exprima uniquement de la surprise, puis je saisis la lueur que j’espérais dans ses yeux : une pointe d’excitation ! Elle eut un léger sourire, porta sa main à sa joue rougie et me regarda droit dans les yeux, sans rien dire, se mordillant légèrement la lèvre. A cet instant je compris que j’allais vraiment m’amuser avec cette fille.
Je l’attrapais par le chignon, la levais de sa chaise et l’entrainais vers ma voiture. Elle s’interrogea à peine, ne protesta aucunement : « Que fais-tu ? Où va-t-on ? »
Elle ne se débattit absolument pas, m’accompagnant docilement sur le parking désert.
Sur le trajet vers mon domicile, j’étais tout excité à l’idée de l’accueil que ma femme allait me réserver. En effet, j’étais marié depuis plus de vingt ans à Karine, une très belle grande femme brune que j’ai rencontrée lorsque je vins de ma Suède natale étudier en France. Nous nous étions mariés jeunes et vivions depuis un parfait amour, régulièrement épicé de jeux sexuels des plus scabreux. J’étais sûr que Karine allait adorer jouer avec la jolie et docile Charlotte.
Elle était blottie dans le siège passager, elle semblait perdue dans ses pensées. Je me demandais si elle était toujours excitée de la situation ou si elle regrettait maintenant que l’effet de l’alcool devait être retombé ? Délicatement je posais ma main droite sur sa cuisse, remontant le bas de sa robe, vers son intimité. Elle poussa un soupir de contentement qui me réjouit. Je glissais ma main contre sa culotte et sentis immédiatement l’humidité sur le tissu, elle était vraiment excitée par la situation ! Elle fit un mouvement de bassin pour rechercher le contact de mes doigts indiscrets. Me confirmant son désir.
Je garai la voiture devant ma maison, sortis, ouvris la portière passager et en extrayais Charlotte toujours en l’empoignant par les cheveux, sans qu’elle ne protestât. Je la conduisis ainsi à l’intérieur. Qu’elle était sexy, avec sa jolie frimousse marquée de mes doigts, dans son tailleur strict plus tout à fait ajusté, à moitié décoiffée, perchée sur ses hauts talons.
« Coucou chérie ! J’ai une belle surprise ! » Karine regardait la télévision, elle se retourna et nous découvrit. A la manière dont je lui présentai Charlotte, elle comprit immédiatement que je venais de ramener une jolie soumise, elle sourit : « Tu es bien accompagné mon chéri, tu nous présente ? »« Ouais tu as vu ça. C’est une collègue de travail qui me disait avoir du mal à supporter sa rupture amoureuse. Elle vient de plaquer son mec car il ne la bousculait pas assez lorsqu’ils baisaient. Je me suis dit qu’il fallait l’aider. C’est bien ça Charlotte ? »« Oui, » murmura ma collègue d’une voix timide, mais franche.« Tu as bien fait, approuva mon épouse. »
Karine prit le visage de Charlotte dans sa main et le comprima un peu, puis elle lui cracha à la face : « Alors salope, comme ça tu as besoin d’être bousculée ! »« Oui, c’est vrai que Bastien était un peu trop tendre avec moi, » souffla la blondinette.« Tu as trouvé le bon endroit, » répondit Karine. Elle empoigna la poitrine généreuse de la jeune femme à travers ses vêtements et serra le sein gauche.
Reprenant Charlotte par le chignon qui commençait à se défaire, je la conduisis dans notre pièce dédiée aux plaisirs : une belle salle carrelée, équipée d’une grande douche à l’italienne ouverte et de plusieurs sofas au revêtement à la fois confortable et lavable pour qu’ils puissent résister à tout ce que nous leur faisions régulièrement subir.
Karine nous suivi. A peine entrés, je poussais vivement le haut du dos de Charlotte ce qui la fit trébucher la tête la première sur un canapé. Sa jupe remonta dans ce mouvement, j’en profitai pour la trousser, découvrant le haut de ses bas tenus par des porte-jarretelles tout à fait sexy. Karine et moi admirâmes le joli cul fendu d’un string noir, mis en valeur par les chaussures à talon qui réhaussaient ce postérieur qui nous était ainsi exposé. D’un geste simultané, nous fessâmes fermement ce joli derrière, ce qui fit gémir Charlotte : « Ouch… Aïe… Oh… Ouiii ! »
Excitée, Karine lança : « Encule-la ! Je suis sûre qu’elle aime ça ! »« Oui, s’il te plait, défonce mon cul, » confirma Charlotte.
Je fus un peu surpris par la crudité des paroles de ma collègue, décidément elle était vraiment chaude, quel bonheur ! Je me félicitai d’avoir tenté le coup de la gifle, qui fonctionnait au-delà de mes espérances.
La scène me faisait bien bander, mais ma bite était encore sèche, j’aurai aimé me faire sucer un peu pour l’humidifier avant de pénétrer ce petit cul si excitant : « Tu me lécherais un peu pour humecter mon dard, » proposai-je à ma femme.« Non, c’est pas la peine, » protesta spontanément Charlotte, « prends-moi à sec, je préfère, ça me fera plus mal ! »« Quelle pute ! » s’exclama Karine, lui redonnant une violente fessée.« Ok, comme tu veux pétasse, » répondis-je.
Je plaçais ma queue dure sur son œillet. Il était fermé et la sécheresse de nos peaux rendait la pénétration difficile. Charlotte m’encourageait : « Vas-y force, ça va rentrer ! », mais elle n’aidait pas vraiment la manœuvre, semblant prendre un réel plaisir à me faire forcer son anus plissé. Je m’y employais, jusqu’à m’en faire mal à la bite, sous les encouragements des deux femmes.
Mon insistance finit par payer, je parvins à forer un passage. Lorsque le gland eut franchi la barrière anale, toute la longueur de mon membre pénétra d’une seule traite, jusqu’à la garde. Charlotte poussa un cri de douleur, mais il se mua bientôt en gémissements de plaisir.
Je donnais de grands coups de bassin, faisant coulisser tout mon sexe dans son cul. Charlotte continuait à me provoquer : « Vas-y pète moi le fion ! Bourre-moi comme une chienne ! Détruis-moi le cul ! »
Karine était très excitée par le comportement provocateur de la belle blonde, elle se plaça face à elle et entreprit de maltraiter son visage alternant les crachats et les gifles !
J’attrapai à nouveau Charlotte par les cheveux et la fis se relever, ainsi Karine pouvait accéder à ses seins. Elle écarta les pans du chemisier en faisant sauter les boutons, arracha le soutien-gorge et traita ses mamelles généreuses en les tiraillant et en les claquant.
Nous continuâmes nos traitements pendant plusieurs minutes, jusqu’à ce que Charlotte jouisse en poussant de grands cris. Je me retirais. Je pensais lui juter au visage, afin qu’elle partage mon foutre en embrassant ma femme, qui est une grande amatrice de cette substance, mais mon intention fut perturbée par l’aspect de ma queue lorsqu’elle sortit du trou de balle écartelé, elle était toute brune et fut très vite suivie d’un flot de merde qui s’échappa du cul que je venais de quitter ! Charlotte clama son plaisir : « Oh oui, c’est bon de se vider comme ça ! »
Karine et moi étions de vrais amateurs de scatologie, et je savais depuis peu que Charlotte était également adepte des jeux sales. Aussi, je profitai de l’occasion pour reprendre Charlotte par la chevelure et lui plaquai le visage sur la merde qu’elle venait de pondre !
La petite garce lécha immédiatement la masse brune qui jonchait le sol. Je la poussai plus loin pour que tout son visage soit bien souillé. La relevant, je la présentai face à mon épouse qui fut toute heureuse d’embrasser sa nouvelle amie, afin de goûter la merde odorante et chaude qui polluait son joli minois.
Je bandais très dur en regardant ce baiser ignoble et magnifique. Je me joins à elles, dégustant les délices infâmes que Charlotte venait de nous offrir.
Karine était surexcitée, elle voulait être baisée : « Putain cette salope est trop excitante ! Chéri, il me faut ta belle queue sale dans ma chatte trempée, s’il te plait, baise-moi ! » supplia-t-elle en se positionnant et arrachant ses vêtements. Je la satisfis, en fourrageant cette moule que je connaissais si bien et qui m’excitait toujours autant. Charlotte palpait les seins généreux de Karine, en l’embrassant de sa bouche merdeuse. Nous la fîmes ainsi jouir rapidement.
Je me retirai et jutai sur les deux bouches merdeuses et gourmandes tendues vers ma bite sale qui expulsa de longs jets de foutre bien épais.
Avant que je ne rebande, les filles me firent chier à mon tour, en léchant à tour de rôle mon anus, fourrant leur langue agile dans mon trou à merde. Je les recouvris d’un gros étron puant, qu’elles se partagèrent, en le faisant aller dans leurs bouches respectives à plusieurs reprises avant d’en avaler chacune une partie.
Karine nous offrit elle aussi le contenu gras et puant de ses intestins. Je goûtais sa merde dont l’odeur et la saveur sont pour moi un puissant aphrodisiaque. Chacun vida également sa vessie dans la bouche de ses partenaires.
Je constatais avec satisfaction que Charlotte était tout aussi adepte que nous de la merde et de la saleté, elle n’hésitait pas à en prendre en bouche, en avaler, en fourrer au tréfond de sa chatte ! Elle appréciait également les jeux de pisse et les crachats, mais ce qu’elle semblait rechercher le plus c’était la violence, elle réclamait sans cesse nos coups. Nos fessées, nos gifles, nos étranglements, nos pincements ne semblaient jamais la rassasier. Elle allait avoir des bleus, mais elle semblait s’en moquer, seule lui importait la jouissance que nous lui procurions !
Nous baisâmes jusqu’à tard dans la nuit. Après une longue douche nécessaire, nous nous endormîmes tous les trois dans le même lit.
Je mis un certain temps à trouver le sommeil, terriblement excité par cette incroyable opportunité de jouissance que venait de m’offrir ma gentille et mignonne collègue, que je n’aurais jamais soupçonnée d’être aussi délurée. J’étais impatient d’approfondir notre relation, car Karine et moi allions lui réserver des surprises, j’imaginais qu’elle les apprécierait.
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Au lever, nous prîmes un petit-déjeuner en restant tous trois largement dévêtus, mais sans engager de véritables ébats. Charlotte et Karine commençaient à faire connaissance.
Nous informâmes Charlotte que nous allions recevoir Lola notre fille pour le déjeuner. Elle proposa de s’éclipser pour nous laisser en famille, mais Karine et moi, la priâmes au contraire de déjeuner avec nous, elle accepta. Dans l’intervalle je la raccompagnais à sa voiture, afin qu’elle puisse retourner chez elle, se changer.
Charlotte nous rejoignit alors que Lola était arrivée et que nous prenions l’apéritif. Elle fut surprise de voir que Karine ne s’était pas davantage habillée que lorsqu’elle nous avait quittés. Elle fut sans doute encore plus interpellée en découvrant que notre fille était elle aussi peu vêtue, puisqu’elle ne portait qu’une large chemise de nuit qui couvrait peu ses belles et généreuse formes. Notre fille était vraiment à croquer : une belle blondinette de vingt ans, aux yeux bleus et aux joues marquées de fossettes, qui laissait parfois une impression de froideur et de caractère hautain aux personnes qui faisaient sa connaissance, mais qui savait se montrer très avenante et souriante.
Je me chargeai des présentations et fit un clin d’œil malicieux à Lola lorsque je présentai Charlotte comme “une collègue devenue une amie”. Elles se firent la bise, sagement.
Nous déjeunâmes assez classiquement, même si je voyais que Charlotte était surprise, et sans doute excitée, de voir que nous vivions en famille dans des tenues si légères.
Au dessert, Karine se fit moins sage. Alors que Lola s’était légèrement tachée les lèvres avec le fondant au chocolat, elle s’approcha de notre fille, essuya du bout des doigts les traces marrons, porta ses doigts à sa bouche et dit pleine d’équivoque : « D’habitude les traces brunes qui jonchent ton visage n’ont pas le même goût… » Nous comprîmes tous l’allusion et ces propos jouèrent le rôle de l’étincelle qui embrase un bûcher.
Lola plaqua sa bouche contre celle de sa maman, mes deux femmes se roulèrent une pelle endiablée, en se caressant sans gêne devant notre invitée. Charlotte me lança un regard de braise et me dit : « Waouh, quelle famille ! Merci de m’avoir invitée ». Elle dégagea sa belle poitrine de son haut et se jeta sur moi. Après un baiser profond et bien baveux, elle me souffla : « Prends-moi… Baise-moi comme ta pute ! » Elle ponctua sa phrase provocante par une violente gifle qu’elle s’asséna elle-même, marquant immédiatement sa joue. Je claquai vivement et plusieurs fois ses nichons, l’attrapai par ses longs cheveux blonds détachés, je baissai le large short – seul vêtement que je portais – et fourrai ma queue pas encore tout à fait raide dans sa bouche, en m’enfonçant profondément dans sa gorge. Je la maintins plusieurs secondes, je sentais qu’elle étouffait, je la libérai, mais à peine eut-elle repris sa respiration qu’elle-même empala presque immédiatement à nouveau sa bouche et sa gorge autour de ma matraque qui devenait bien dure. Elle se donna tellement sur ma bite que des hauts le cœur la prirent et qu’elle finit par régurgiter son dessert sur ma bite !
Le bruit du vomissement fut entendu de Lola et Karine, qui s’approchèrent, sans doute excitées. Mon épouse décida de nous diriger vers notre salle de plaisir, pour épargner notre salle à manger des souillures que nous n’allions pas manquer de produire.
A peine étions nous arrivés, que les trois femmes s’accroupirent pour sucer ma tige, quel bonheur ! Elles se battaient presque pour prendre en bouche les résidus de chocolat régurgités par Charlotte.
Lorsqu’elles m’eurent à peu près nettoyé, Karine expliqua la situation à notre fille : « Tu vois ma chérie, Charlotte est en plein chagrin d’amour, elle a dû quitter son ami car il ne la satisfaisait plus, il n’était pas assez violent avec elle, or elle a besoin d’être baisée bien sauvagement pour s’épanouir. Papa et moi avons décidé de l’aider à passer ce mauvais cap, je suis sûre que tu voudras bien l’aider toi aussi. »« Oui, je vais faire de mon mieux, » répondit Lola. Elle empoigna alors Charlotte par les cheveux, lui tira la tête en arrière, faisant ressortir sa poitrine qu’elle claqua à plusieurs reprises. Charlotte apprécia : « Oh oui, comme ça, fais-moi mal ! J’aime ça ! »
Encouragée notre fille poursuivit ses traitements en giflant plusieurs fois Charlotte, en pinçant durement ses tétons dardés, puis en lui crachant au visage, avant de la rejeter en avant et de la fesser rudement ! Charlotte continuait d’attiser la violence : « C’est bon, vas-y cogne encore plus fort ! » Pendant que Lola accentuait encore sa fessée, Karine claquait les jolis nichons, tandis que je ne résistai pas à asséner de nouvelles gifles à son visage dont la bouche réclamait toujours plus de violence : « Putain détruisez-moi ! Je veux me faire ravager et labourer le cul ! »
Comme je me positionnai pour enculer cette délurée, ma femme me conseilla : « Essuie bien ta bite avant de l’enculer, elle préférera être déchirée à sec. »
Je me souvins de la veille et suivis le conseil de mon épouse, approuvée par la principale intéressée : « Oui prends-moi à sec, déchire mon trou de balle de pétasse en rut. Ravage-moi ! » Comme la veille j’eus du mal à entrer dans son anus fermé avec ma bite sèche. Sous les encouragements des filles, et surtout de Charlotte, je dus y aller en force, me faisant mal moi-même. Lorsque je fus enfin entré je donnai de grands coups de rein pour défoncer ce joli derrière comme sa propriétaire m’invitait à le faire, je la démolis de mon mieux. Après un petit moment, je me retirai et découvris du sang qui tâchait ma queue et perlait de l’anus meurtri, mais les supplications de Charlotte m’encouragèrent à ne pas tenir compte de sa petite blessure : « Putain, s’il te plait, reviens vite dans mon cul ! Démonte-moi encore plus fort ! ».  Comment résister à une telle supplique émanant d’une si belle fille ? Je n’y parvins pas et retournai la défoncer un long moment.
Après lui avoir donné un, et peut-être même plusieurs orgasmes, je décidai de ressortir. Comme je l’espérais je ne vis pas tellement de sang mais surtout de la merde recouvrir mon membre. Lola et Karine qui maltraitaient le visage et les seins de Charlotte pendant que je pilonnais son derrière, en salopes scatophiles averties, furent immédiatement attirées par l’odeur de merde et prirent en bouche mon membre souillé. Elles invitèrent leur nouvelle amie à pousser pour leur offrir l’étron qui devait encombrer son intestin. Charlotte dû s’y reprendre à plusieurs reprises pour les satisfaire, mais elle chia une honorable crotte, qui vint rapidement souiller nos quatre visages d’adeptes du caca.
Cette merde excita beaucoup Lola qui adore être couverte d’immondices en tous genres, elle rayonne alors, ses beaux yeux bleus pétillant. Elle me souffla : « Papounet chéri, je suis un peu ballonnée, je n’ai pas été aux toilettes depuis deux jours, est-ce que je pourrais me vidanger avec ton gros zizi ? » Je ne résistai pas à une telle invitation, d’autant qu’après avoir prononcé ces paroles ma fille s’agenouilla et me présenta sa croupe nue, son œillet intime me regardant, telle une invite.
Virilement, mais un peu moins brutalement tout de même qu’avec Charlotte, je perforai l’anus de ma fille qui gémit de plaisir. Karine et Charlotte se positionnèrent devant elle, pour continuer à jouer avec le caca de la belle blonde, qui, insatiable, continuait de réclamer des coups de la part de ses partenaires.
Je sentis très vite que le conduit de Lola était complètement encombré de merde bien grasse, elle n’avait pas menti, elle devait s’être abstenue de chier depuis longtemps. Ma fille m’encourageait : « Oui papa encule-moi bien, fais sortir la merde de mon cul avec ta grosse bite ! »
Pour son grand plaisir, sa maman positionna sa chatte en face de sa bouche et libéra sa vessie de sa chaude pisse, que Lola tenta de capter au maximum. Ce qui tombait au sol était très vite aspiré par Charlotte, qui lapait le carrelage.
Lorsque mon épouse eut fini sa miction, je quittai le gras fourreau de notre fille qui libéra un impressionnant flot de merde bien brune et puante, tout en vociférant des insanités : « Putain de merde que c’est bon de chier sur la queue de son salaud de père ! »
A nouveau tout le monde se précipita sur l’étron fraichement pondu pour en prendre en bouche et le partager. Les filles tartinèrent cette fange dans leurs longs cheveux, elles les portaient ensuite à la bouche de leurs voisins qui dégustaient la merde en suçant leur tignasse. Quel bonheur de se vautrer dans de telles saletés !
Même si Karine et moi avions déjà chié la veille en baisant avec Charlotte, nous parvînmes à offrir quelques crottes qui furent appréciées de tous. Chacun jouit à plusieurs reprises pendant cette belle après-midi de débauche.
Le nettoyage de nos corps salis fut à nouveau long et fastidieux, mais personne ne regrettait nos actes sales.
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Nous gardâmes Charlotte à dîner. Elle avait pris la précaution de prendre quelques vêtements de rechange chez elle le matin, même si elle resta légèrement vêtue, elle était au propre.
Au cours du dîner nous ne relançâmes pas de jeu sale, mais nous apportâmes quelques explications sur l’origine de nos comportements vicieux et de leur pratique en famille.
Ainsi, nous apprîmes à Charlotte que Karine et moi étions adeptes de la sexualité sale depuis très longtemps, bien avant notre rencontre. Dès le début de notre relation, nous nous adonnions régulièrement à ce type de rapports pour notre plus grand plaisir. Nous précisâmes que nous étions des libertins convaincus et pratiquants, et que de multiples partenaires avaient partagé et partageaient toujours nos ébats et nos vices. Lola lui expliqua que nous étions restés très discrets sur nos pratiques intimes pendant de nombreuses années, en effet nous avions pris garde à ne jamais avoir de rapports sexuels extra-conjugaux à notre domicile et à faire attention à ne jamais être surpris par nos enfants. Elle poursuivit en expliquant que ce ne fut que lorsqu’elle fut devenue adulte, ce qui datait d’à peine deux ans, qu’elle avait compris que ses parents étaient d’incroyables vicieux. Elle-même était déjà très portée sur le sexe à ce moment-là, elle nous avait alors provoqué, et de fil en aiguille nous l’avions intégrée à nos ébats, y compris en la plongeant dans les actes les plus inavouables, à sa demande et pour son plus grand plaisir.
Charlotte questionna également notre fille sur son mode de vie actuel, elle fut un peu choquée par sa réponse très directe : « Je suis une pute. Parfois je tourne dans des films pornos. Je gagne plutôt bien ma vie comme ça. En fait je vis de ma passion pour la baise. » Charlotte voulut en apprendre davantage : « Tu fais le trottoir ? »« Non, pas vraiment, je prends des rencards sur le net, sur des sites spécialisés, qui me mettent en relation avec des mecs qui me paient pour me baiser. La plupart ne sont pas de super coups, mais quelques-uns valent la peine, c’est cool. » « Personne ne t’oblige à faire des choses dont tu n’aurais pas envie ? »« Non, ça n’est jamais arrivé. Je fais tellement de trucs hyper pervers en-dehors, et j’y prends un tel plaisir, que les délires des clients sont souvent bien soft pour moi en comparaison des miens. » « Et pour les tournages de films porno comment ça se passe ? »« Là aussi je suis inscrite sur des sites spécialisés. Ils me proposent des jobs, que je peux accepter ou non. Je choisis en général les trucs extrêmes, ça me correspond bien et c’est mieux payé. »« Et qu’est-ce que vous pensez de ça, » questionna Charlotte en se tournant vers Karine et moi.« On a accompagné Lola au début, car on se faisait un peu de souci, » répondit Karine.« Mais maintenant, Lola a pris ses marques, elle est devenue une pute professionnelle ce qui limite les risques, on est moins inquiets, » complétais-je.
Nous précisâmes également à Charlotte que Karine et moi étions les heureux parents de deux jumeaux, Tom et Nils, qui avaient deux ans de moins que Lola, ils avaient fêté leur dix-huit ans quelques mois plus tôt, et qui depuis peu participaient également à nos ébats. Charlotte fut immédiatement enthousiaste à l’idée de rencontrer deux jeunes garçons que nous lui décrivîmes comme bien montés et très vicieux. Nous les attendions d’ailleurs pour le lendemain. La soirée se termina ainsi, sur la promesse d’une belle partouze à six ! Chacun se réserva pour cette occasion et nous dormîmes sagement, Charlotte occupant la chambre d’ami.
Le déjeuner du dimanche fut le prétexte de la présentation entre Charlotte et nos deux fils, de grands gaillards châtains aux yeux bleus, qui se ressemblaient comme deux gouttes d’eau.
Nous les accueillîmes selon les nouvelles habitudes familiales, Karine et Lola portant des nuisettes fines et transparentes qui laissaient largement voir leurs formes sexy, embrassèrent leur fils et frères sur la bouche. Les garçons furent légèrement surpris qu’une autre jeune femme fut des nôtres, mais ils étaient évidemment ravis de faire la connaissance de la jolie Charlotte qui était également très légèrement vêtue et se montra immédiatement avenante en imitant ses nouvelles amies pour accueillir les nouveaux arrivants.
Le début du déjeuner permit à Tom, Nils et Charlotte de se présenter. Nous expliquâmes succinctement aux garçons ce qui s’était passé depuis que j’avais amené Charlotte à la maison. Je voyais à leurs sourires complices qu’ils se réjouissaient d’avance de la suite de ce dimanche. Ils s’étaient sans doute préparés à donner du plaisir à leur mère et à leur sœur, mais ils étaient encore plus excités par la perspective d’intégrer ma ravissante collègue à nos jeux. Charlotte semblait également émoustillée à la perspective de profiter de ces deux beaux garçons dont nous lui avions vanté les mérites.
Ce fut mon épouse qui lança les réjouissances. Elle semblait très excitée par la présence de Charlotte auprès de ses trois enfants. Elle adorait baiser avec sa progéniture et se livrer aux pires obscénités. Alors que je venais de servir le plat principal, un osso-buco gorgé de sauce, accompagné de ses tagliatelles, Karine pris directement la nourriture avec ses mains pour en fourrer une grande quantité dans sa bouche, laissant dépasser de longues pâtes dégoulinantes de tomate, qui tâchèrent immédiatement sa légère nuisette. Elle prit une seconde poignée dont elle badigeonna le visage de Lola. Bien que surprise, notre fille accepta avec un plaisir visible l’offrande.
Afin de préserver notre salle à manger, j’invitai l’ensemble des convives à transférer notre repas dans notre pièce de plaisir, aménagée récemment, elle nous permettrait d’accueillir enfin chez nous nos pratiques les plus inavouables et jouissives.
Dès que tout fut installé, une véritable orgie de nourriture et de sexe s’engagea ! Même si elle avait déjà bien baisé la veille, Karine était brûlante, elle avait envie de ses fils, elle les apostropha ainsi : « Les garçons, venez baiser votre pute de maman ! Je veux vos bonnes queues dans mes trous de salope ! »
Evidemment Tom et Nils ne se firent pas prier, ils obéirent à leur mère. Leurs vêtements furent ôtés en quelques secondes, Nils s’allongea, sa jeune bite de bonnes dimensions déjà au garde-à-vous, sa maman vînt empaler sa chatte sur lui, elle entra aisément tant elle devait être humide. Tom positionna son sexe dur dans l’anus maternel, après avoir déposé un peu de salive pour faciliter l’intromission. Karine adorait être prise en double pénétration, notamment par ses fils. Elle cria son plaisir dès qu’ils se mirent en mouvement. Même si cela faisait peu de temps que les jumeaux avaient intégré nos ébats, ils se montraient déjà de bons amants.
Lola, Charlotte et moi observâmes pendant un moment cette singulière scène de baise familiale. Mes fils insultaient leur mère en la défonçant, elle en redemandait : « Putain, mes salauds, niquez-moi ! »« Tiens prend ça salope, » répondit Nils en donnant un grand coup de rein.« Voilà pour toi cochonne, » ajouta Tom en s’enfonçant dans l’anus maternel.
Ce dernier attrapa sa maman par les cheveux, il la força à tourner la tête et lui envoya un gros mollard sur le visage. Lorsqu’il la lâcha, son frère lui asséna une bonne gifle ! « Putain que c’est bon, détruisez-moi ! » gueulait mon épouse en rut. Elle continuait à provoquer ses enfants, elle se gifla fortement à plusieurs reprises, faisant rougir ses joues. Tout en besognant vigoureusement la chatte qui l’avait fait naître, Nils pinçait fortement les tétons qui l’avaient nourri. Leur maman en redemandait, elle était comme possédée ! « Putain, explosez-moi, je suis votre chienne de maman ! » Nous ne l’avions jamais vue se comporter ainsi, Charlotte avait dû l’inspirer. Les jumeaux ne se posaient pas de questions, ils bourraient les orifices de leur mère sans relâche, la frappaient et l’insultaient copieusement tant qu’elle réclamait.
Un peu inquiet je tentais de les calmer : « Allez-y un peu moins fort, soufflais-je. » Mais mon épouse se rebella immédiatement : « Putain non, laisse-les, je veux qu’ils me ravagent ces salauds, je suis leur chienne, je veux être éclatée ! Baise-moi plutôt la gueule avec ta grosse bite plutôt que d’essayer de me priver de leurs coups ! »
Je renonçai à défendre ma femme contre son gré et acceptai son invitation. J’avais rarement vu Karine être aussi délurée, la situation l’excitait vraiment.
Dès que j’approchais mon sexe de sa bouche, elle le goba avec avidité.
Tout en bourrant la bouche et la gorge de mon épouse, je jetai un œil à Lola et Charlotte qui se masturbaient mutuellement en regardant Karine se faire défoncer par ses enfants et son mari.
Mon épouse voulait encore aller plus loin dans la perversion : « J’en veux encore plus. Nils, viens rejoindre ton frère, je veux vos deux bites dans mon cul de salope bien gras. » Je savais que Karine pouvait supporter une double pénétration anale, je l’avais déjà vue se prendre deux bites dans le fion, mais jamais encore par nos fils. Cette pénétration se réalisa sans trop de difficulté, mon épouse criant de plaisir. Elle jouit en criant comme une bête sauvage !
Lola et Charlotte semblaient très excitées par la scène. Je vis que ma fille avait glissé toute sa main dans la chatte de ma collègue, cette dernière appréciait : « Oui, fourre ma chatte trempée, avide de gros calibres ! » Lola la fit jouir quelques secondes après l’orgasme violent de Karine.
Malgré sa jouissance, ma femme semblait toujours insatiable, elle continuait à réclamer de la violence et des pénétrations à ses fils : « Continuez. Je veux que vous défonciez tout les deux ma chatte avec vos belles bites en même temps ! » « On le fera si on veut, » répondis effrontément Nils.« Putain, je suis votre maman, c’est moi qui vous dis comment je veux que vous me baisiez, » protesta mon épouse. »
Elle reçu de nouvelles gifles violentes en réponse, mais Nils et Tom ne contestèrent plus la demande de leur mère. Ils quittèrent son anus, qui laissa échapper un étron puant au diamètre impressionnant, tant l’anus était écartelé ! Ils dirigèrent leurs bites sales dans la fente maternelle. Karine était tellement excitée que sa chatte était détrempée – sans doute avait-elle laissé échapper un peu de pisse – ainsi les deux membres gras parvinrent à coulisser dans le conduit vaginal, habitué aux grosses pénétrations.
Karine motivait toujours ses enfants : « Allez-y, déchirez-moi la chatte comme quand vous êtes sortis de mon ventre ! » Elle reprit ensuite mon dard bien au fond de sa gorge.
J’entendis Charlotte crier très fort, je vis que Lola avait toujours une main fourrée dans sa chatte et qu’elle lui mordait un téton, sans doute y allait-elle fort, pour le plus grand plaisir de ma collègue : « Oui, putain, continue, bourre-moi et déchire mes tétons ! » Ses provocations furent récompensées par une bonne gifle qui s’ajoutait à la morsure.
Mon épouse poussa un cri rauque, qui mêlait douleur et plaisir. Elle ne fut pas longue à jouir à nouveau, férocement, en hurlant.
Nils et Tom quittèrent l’antre chaud et humide de leur mère, leurs queues étaient gluantes de mouille et de merde. Leur aspect répugnant attira immédiatement Charlotte, qui quitta la pénétration de Lola et alla à leur rencontre : « Je peux goûter ? demanda-t-elle. » Sans attendre de réponse elle emboucha le membre de Tom, enfonçant profondément son calibre dans sa gorge jusqu’à le gober entièrement, elle resta ainsi plusieurs secondes. Mon fils fut ravi : « Quelle gourmande cette salope ! » commenta-t-il. Lorsqu’elle quitta le chibre, un grand fil gluant se tissa entre sa bouche et le dard bandé. Charlotte sourit un instant et avala la bite de Nils avec le même appétit. Mes garçons se laissèrent faire un moment par ma collègue si demandeuse de pénétrations buccales sales.
Pendant ce temps, ma fille délaissée s’approcha de sa maman qui reprenait doucement ses esprits après la séance bien rude que lui avaient offert Nils et Tom. Lola pris de la merde en main et commença à en badigeonner les fesses maternelles. Elle respirait à pleins poumons l’odeur ignoble des excréments fraîchement pondus par sa maman, elle se mit très vite à lécher le caca qui colorait la peau de Karine. Cette dernière reprit ma queue raide dans sa bouche habile, elle m’invita à lui défoncer encore la gorge.
Tout en profitant de la pipe gourmande que me prodiguait mon épouse, elle-même profitant des caresses merdeuses que lui offrait notre fille, je regardais nos fils donner du plaisir à Charlotte. Nils continuait de défoncer sauvagement la bouche de ma collègue, tandis que Tom s’apprêtait à la prendre en levrette. Comme je commençais à en prendre l’habitude, elle lui demanda, presque sur un ton de supplique : « S’il te plait, sèche bien ta bite et déchire-moi le cul à sec ! ». Mon fils fut un peu surpris par cette demande : « Quoi ? »
« J’aime avoir mal quand je baise. J’ai envie que tu me déchires en m’enculant à sec, s’il-te-plait, » précisa-t-elle, presque implorante.
Nils chercha une serviette, qu’il cochonna de sa bite maculée, essuya sa bite du mieux qu’il put, puis il revint vers Charlotte, plaça son membre raide sur la rondelle plissée. Je vis qu’il dut forcer l’anneau pour pénétrer l’anus pourtant habitué aux sodomies profondes. Charlotte quitta quelques secondes la queue de Tom, elle cria de douleur, mais encouragea néanmoins Nils à poursuivre : « Aïe putain ! Continue, déchire mon trou de balle ! Force ! Vas-y ! » Après plusieurs violentes tentatives infructueuses et douloureuses, Nils finit par entrer son engin dans le fondement de Charlotte, qui exulta : « Oh putain c’est trop bon ! Fore mon cul, touille ma merde, défonce-moi, je suis ta truie ! » Ces propos orduriers encouragèrent Nils qui encula avec une incroyable vigueur ma jeune collègue, la faisant jouir à plusieurs reprises. Entre ses orgasmes, elle continuait à gober la bite de Tom. Lorsqu’elle quittait sa tige pour crier son plaisir, ce dernier en profitait pour cracher dans son gosier grand ouvert, lui assener de violentes gifles qui faisaient rougir ses joues plutôt pales habituellement. Mes deux fils l’attrapaient par ses longs cheveux à tour de rôle, la tirant tantôt vers l’arrière, tantôt en hauteur. J’étais assez stupéfait par leur degré de violence, mais surtout par le désir de maltraitance exprimé par Charlotte. A chaque fois que je m’apprêtais à intervenir pour calmer un peu les ardeurs des deux jeunes mâles en rut, Charlotte relançait une nouvelle provocation, réclamant toujours plus de sauvagerie, dès lors comment les réfréner ?
Nils jouit dans le cul de Charlotte et se retira. Elle libéra un flot de merde mêlé au sperme de mon fils, qui invita son frère à prendre sa place, pensant faire sucer sa queue sale par la jeune femme, mais ce plan ne satisfît pas Charlotte : « Non, venez m’enculer tous les deux en même temps, commanda-t-elle. » Avant de donner satisfaction à la jolie blonde, Nils lui fît tout de même goûter sa queue souillée, afin qu’elle lui redonnât un peu de vigueur après son éjaculation. Il fut bientôt opérationnel, et put écarteler l’anus conjointement avec son frère. Charlotte poussa à nouveau de grands cris de douleur et de plaisir, elle jouit à de nombreuses reprises, libérant sa vessie, trempant de pisse sa merde qui gisait au sol.
Dans le même temps, ma fille et ma femme me suçaient à tour de rôle, tout en jouant avec la merde de Karine. Elles commençaient à être couvertes de cette matière si délicieuse et abjecte. Je profitais d’ailleurs des changements de position pour lécher leurs peaux sales et goûter moi aussi à ces délices nauséabonds. Lorsque le caca de Karine fut totalement réparti sur les corps ou ingurgité, les deux femmes s’approchèrent du trio qui baisait toujours sauvagement à leurs côtés. Rapidement, elles prirent en bouche la merde gorgée d’urine produite par Charlotte. Sans doute après avoir juté dans le conduit anal qui enserrait leurs membres, nos fils sortirent de ce tuyau. Leur mère et leur sœur prirent leurs sexes maculés en bouche et se régalèrent des saletés qui les parsemaient.
Même si j’avais déjà bien profité des bouches qui avaient gâtées mon sexe j’avais envie de pénétrer d’autres trous. J’enduisis ma queue de la merde de Charlotte et me présentai devant ma fille, qui ouvrit outrageusement les cuisses pour que je la prenne : « Oh oui papa, viens prendre ma petite chatte avec ta belle bite dégueulasse ! Vas-y je la veux tout au fond. » Ses désirs s’accordant pleinement aux miens, je pénétrai la cramouille trempée de ma fille, qui jouit très vite sous mes assauts, mais quémandait toujours plus de pénétrations : « Oh putain que c’est bon. Continue mon salaud de père, baise-moi, je suis ta pute ! » Je finis par jouir en elle.
Dès qu’elle fut remise de son orgasme, la perversité de Lola la reprit de plus belle : « Viens papounet, je vais te sucer. Je veux goûter à ta bite sale qui sort de ma chatte. Défonce ma gorge de salope, fais-moi gerber ! » Je m’introduisis dans le gosier chaud et humide de ma fille qui me prit immédiatement au tréfond de sa gorge, se provocant elle-même des hauts le cœur et une intense salivation. Elle se força seule jusqu’à l’éruption de vomi qui écartela sa bouche encore encombrée de ma queue, pour jaillir hors d’elle, empruntant même son conduit nasal !
L’apparition du vomi ravit tous les participants, qui approchèrent pour se souiller de cette nouvelle substance immonde et adorable que ma fille venait d’introduire. L’odeur de la pièce était infecte et délicieuse.
Charlotte voulut imiter Lola, elle demanda à Nils de fourrager sa gorge pour la faire vomir à son tour. Malgré la violence déployée par le jeune homme, elle eut du mal à régurgiter la nourriture et les immondices absorbées plus tôt. Nils dû s’y employer longuement, motivé par sa partenaire, lors des rares instants où il ne pilonnait pas sa bouche : « Salaud, défonce ma gueule de chienne ! Retourne-moi l’estomac ! Allez … » Ses phrases étaient coupées par le dard qui retournait triturer ses amygdales. Au bout de longues minutes, la jeune femme finit par rendre ce qu’elle avait mangé, elle vomit un impressionnant flot de gerbe puante à souhait. Nous goûtâmes tous cette matière colorée et grumeleuse, nous vautrant dans le vice le plus abjecte pour notre plus grand plaisir de pervers.
Notre partouze sale se poursuivit pendant plusieurs heures. Chacun de nous vidant ses intestins, sa vessie, son estomac sur ses partenaires. Nils, Tom et moi pénétrâmes à plusieurs reprises la bouche, la chatte et le cul de Lola, de Charlotte et de Karine, déversant parfois des giclées de foutre gluant dans leurs trous si accueillants et avides. Parfois nous nous mîmes à deux dans le même orifice, l’écartelant pour le plus grand plaisir de sa propriétaire et du nôtre. Les femmes se fistèrent entre elles, mais aussi elles-mêmes, tantôt le cul, tantôt la chatte, parfois engloutissant même deux mains simultanément dans leurs trous distendus à l’extrême. L’air de la pièce était de plus en plus suffocant tant il était vicié par les déjections que chacun avait produit en abondance.
Ce n’est qu’en fin d’après-midi, qu’épuisés, nous stoppâmes nos ébats. Nous passâmes un long moment à nettoyer nos corps profondément souillés et la pièce, heureusement prévue pour les usages les plus sales.
Avant que Charlotte ne nous quitte pour regagner son domicile, elle se tourna vers Karine et moi et nous demanda, presque en nous suppliant : « Est-ce que je pourrai revenir ? ». Nous concertant d’un regard entendu, nous lui fîmes la proposition suivante : « Tu peux revenir quand tu veux, mais il faudra que tu sois à la disposition de toutes les personnes qui seront ici présentes. Que tu acceptes toutes les pratiques qu’elles souhaiteront t’infliger. Tu pourras bien-sûr toujours refuser, mais tu partiras alors immédiatement et ne reviendras plus. » Sans réfléchir, Charlotte répondit « Oh oui, ça me convient parfaitement. Je vais être là très souvent. » C’est ainsi que ma jolie collègue devint le jouet de notre famille, les Kradborg, bien nommés.
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Dans les semaines qui suivirent ce premier week-end de débauche familiale en compagnie de ma collègue Charlotte, elle vint quelques fois en semaine, mais nos obligations professionnelles et domestiques respectives ne nous permettaient pas vraiment de nous adonner à nos vices préférés. Aussi, elle prit l’habitude de nous rejoindre le vendredi soir après le travail pour rester avec nous jusqu’au dimanche, plus ou moins tard dans l’après-midi. Elle se présentait systématiquement dans une tenue très sexy, à peine recouverte d’un large pardessus qu’elle se hâtait de retirer en entrant dans la maison. Elle avait fait attention à ce que ses entrailles soient les plus remplies possibles, elle était souvent un peu indisposée en arrivant tant elle était pleine. Nous lui offrions rapidement l’occasion de se soulager, en engageant une orgie sale dans notre pièce spéciale. Nous apportions un plaisir visible à Charlotte en l’aidant à assouvir ses pulsions les plus inavouables en termes de saleté et de violence.
Au travail, nos relations restaient les plus normales. Je voyais qu’elle devait parfois forcer un peu sur le fond de teint en début de semaine pour masquer les marques laissées par nos coups portés à son visage lors de nos ébats, qu’elle adorait. Nous faisions cependant attention à ne pas trop la marquer, ce qui la frustrait un peu.
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Un vendredi soir, nous ne l’avions pas prévenue qu’un autre couple se joignait à nous. Elle entra selon son habitude, en petite tenue et resta une seconde surprise de voir deux personnes qu’elle n’attendait pas. Tout le monde lui sourit.
Nos invités étaient Patrick, âgé d’une cinquantaine d’années, que Karine et moi connaissions depuis longtemps, un vrai pervers dominateur, et sa soumise Irina, âgée d’à peine vingt-cinq ans, une belle brune aux yeux bleus, d’origine russe.
Karine et moi avions largement vanté les mérites et les aptitudes de Charlotte auprès de Patrick et ce dernier avait imaginé un jeu drôlement pervers, qui nous semblait à même de ravir deux petites vicieuses comme Charlotte et Irina. En effet, si la jeune russe était très docile, soumise à Patrick, et se montrait complètement masochiste, elle avait également confié à son maître son fantasme de dominer une femme. Ce penchant excitait son maître, mais il souhaitait que sa soumise mérite cet éventuel changement de rôle. Dans le même temps il souhaitait expérimenter avec elle le sexe sale, or elle n’avait jamais accepté de tenter une expérience poussée en la matière. Après qu’il se soit ouvert sur ses projets et ses réflexions auprès de Karine et moi, nous fomentâmes l’idée de soumettre Irina aux pratiques sales avec Charlotte, et en retour de proposer à Irina de dominer le nouveau jouet de notre famille. Irina serait bien-sûr libre d’accepter ou non de se vautrer dans la saleté avec ma collègue, mais si elle refusait, elle n’aurait pas l’occasion de réaliser son fantasme de dominer une fille. Irina avait accepté le projet et se présentait donc chez nous. A aparté, Patrick nous avait indiqué que sa soumise avait longuement réfléchi, mais qu’elle semblait finalement très excitée par ce projet et par la découverte de nouvelles pratiques sales.
A peine Charlotte fut elle remise de la surprise constituée par la présence d’inconnus dans son lieu de plaisir favori, qu’elle s’approcha de nous quatre. Karine fit les présentations : « Charlotte, je te présente notre ami de longue date, Patrick, qui est venu avec son jouet, Irina. Patrick, voici Charlotte, dont nous t’avons beaucoup parlée. Je pense qu’elle va bien s’entendre avec Irina. »
Je vis passer un éclair de perversité dans les yeux de Patrick alors qu’il reluquait sans gêne la jolie Charlotte, craquante comme tout dans sa belle lingerie blanche, juchée sur ses hauts talons. Le regard d’Irina dégageait une vraie excitation, elle devait déjà s’imaginer dominer la jolie blonde et peut-être faire de grosses cochonneries avec elle …
Comme le voulait la coutume chez nous, Charlotte plaqua ses lèvres sur chacun d’entre nous. Au passage Patrick palpa sa poitrine et la complimenta : « Je suis ravi de faire la connaissance d’une aussi belle personne que toi. »
J’expliquai très vite notre plan à Charlotte, sans prendre de détour : « Charlotte, Patrick a amené Irina dans un but bien précis, il souhaite lui faire découvrir les plaisirs de la saleté. Nous lui avons indiqué que tu serais parfaitement à même d’initier sa soumise en la matière, n’est-ce pas ? »« Oh oui, c’est tout à fait dans mes cordes. Je me retiens depuis trop longtemps, ça gargouille en moi. »« Seulement Irina se questionne sur ses goûts et sa capacité à se vautrer dans l’ordure. Pour la motiver, Patrick lui a promis que si elle se montrait suffisamment perverse et encline à baiser dans la saleté, elle pourrait ensuite te dominer et te faire mal. Qu’en penses-tu ? »« Que vous êtes tous les trois de dôles de pervers, que c’est justement pour cette bonne raison que je viens ici chez vous et que je suis ravie de faire la connaissance de Patrick et de sa salope, qui est vraiment canon. Je suis sûre que je vais lui faire adorer la baise dégueulasse et qu’elle me donnera ensuite du plaisir en me faisant bien mal comme j’aime. »
Voilà le type de paroles que Patrick voulait entendre. Irina souriait et dit, assez timidement : « Je pense qu’on va bien s’amuser. » Son accent russe, et son vocabulaire français limité, étaient particulièrement excitants. Sa tenue sexy, une jupe courte, un chemisier blanc largement ouvert qui laissait deviner la générosité de sa poitrine ferme, ses jambes gainées de bas noirs et ses escarpins assortis, contribuaient également à l’excitation qu’elle suscitait.
Charlotte prit les choses en main et enchaîna : « Ne perdons pas de temps. » S’adressant à Irina : « Qu’as-tu déjà fait de sale ? »« J’ai sucé Patrick après qu’il a pissé. » « Ok, quoi d’autre ? »« Je sens des fois ses pets. »« Rien de plus ? »« Non pas vraiment. »« Ok, viens lécher ma chatte alors. Tu verras, elle fermente dans ma culotte depuis trois jours, j’y ai bien transpiré, je me suis branlée et ai joui dedans plusieurs fois, je n’ai pas essuyé ma pisse. »
Charlotte baissa sa culotte, alla vers Irina qui se mit à genoux et approcha son visage de l’entre-jambe de ma collègue. D’abord timidement elle donna quelques coups de langue, bien vite elle accentua et approfondit ses caresses. Après quelques instants, Charlotte lui demanda : « Alors, qu’en penses-tu ? Tu aimes ? »« C’est fort, mais bon. »« Alors continue, tu vas encore en avoir du bon. »
Charlotte plaqua le doux visage d’Irina sur son sexe, elle le pressait. Rapidement, nous vîmes qu’un flot d’urine chaude s’écoulait de l’entrecuisse de Charlotte et de la bouche d’Irina. La jolie blonde libérait sa vessie dans la bouche de sa partenaire, elle lui maintenait fermement le visage, l’obligeant à goûter à son jus doré. Quelques gargouillis pouvant être pris pour de la protestation s’échappèrent d’Irina, mais elle démentit très vite son dégoût, car lorsque Charlotte lâcha sa tête, elle resta collée contre la chatte d’où sourdait la pisse. Les mouvements de sa gorge indiquaient qu’elle buvait une partie du flot qui s’écoulait. Charlotte la félicita : « Et bien, pour une fille qui disait ne pas aimer le sexe sale, tu te débrouilles bien. On va continuer, tu veux ? »« Oui, c’était bien, » répondit l’intéressée l’air plutôt excité.« Alors, tu vas aller lécher mon petit trou, il est bien gras des résidus de la merde que j’ai chiée ces derniers jours, sans me laver. »
Irina émit des sons qui laissaient penser qu’elle n’était pas à l’aise, mais Charlotte plaqua sa tête profondément dans sa raie, sans doute fort sale, et la jeune brune ne se débattit pas, peut-être acceptait-elle son sort pour avoir la joie ultérieure de maltraiter la jolie Charlotte, ou peut-être appréciait-elle déjà de pimenter ses jeux sexuels avec des trucs crades ? Cette dernière encourageait sa partenaire : « Vas-y lèche. J’ai laissé plein de gourmandises pour une être dégustées par une langue vicieuse comme la tienne. »
Après plusieurs minutes de feuille de rose – plutôt brune – Charlotte fit relever Irina, la fixant droit dans les yeux : « Alors, tu as aimé ? » Avant de répondre, Irina sourit, ses yeux pétillaient, trahissant son excitation et son plaisir. Le pourtour de sa bouche était gluant, maculé de salive enrichie d’excréments ! « Oui, c’est bon, » finit-elle pas répondre. « Tant mieux si tu aimes. On va jouer aux grosses dégueulasses, comme ça tu gagneras le droit de me foutre une bonne raclée après, comme j’aime. Ça va être génial ! »En réponse Irina sourit.
Les propos provocateurs de Charlotte m’excitèrent terriblement et je n’étais pas le seul, une grosse bosse déformait le pantalon de Patrick, tandis que Karine avait remonté sa jupe et frottait ostensiblement sa moule à travers sa culotte trempée.
Charlotte reprit : « Pour ta première fois dans le crade, on va y aller progressivement, » déclara-t-elle. S’adressant à Karine : « Ma chérie, viens t’allonger près de nous, je vais de donner la primeur de mes intestins, je suis sûre qu’Irina se fera un plaisir de venir goûter à mes délices sur ton joli corps. »
Ma femme obéit. Elle se dénuda et s’allongea à même le sol. Charlotte s’accroupit au-dessus d’elle et libéra un gros étron bien gras : « Putain que c’est bon de chier, ça soulage tellement, » s’exclama ma collègue. Elle venait de pondre une énorme crotte qui s’enroulait sur le ventre et entre les seins de mon épouse, qui souriait et se branlait brutalement. Charlotte fit approcher Irina : « Sens cette bonne odeur de merde. » La jeune brune reniflait, timidement. Elle sembla un peu rebutée, mais elle se détendit, sourit et finit par toucher la crotte pour en étaler un peu sur la peau de Karine. Charlotte l’imita et ne put s’empêcher de lécher ses doigts sales dans la foulée. Elle tira sa langue brune vers Irina et lui sourit : « Viens m’embrasser », souffla-t-elle. Irina hésitait. Charlotte ajouta : « Tu ne le regretteras pas. Tu sais j’adore être battue comme une maso. » Est-ce cette promesse d’assouvir son fantasme de domination qui l’emporta, ou l’excitation de l’acte dégradant en lui-même ? Irina plaqua sa bouche contre celle de Charlotte et les deux jeunes femmes se donnèrent un fougueux baiser merdeux. Dès qu’elles le rompirent, Irina goûta la merde directement sur ses doigts sales, puis elle en étala sur ses nichons et son visage.
Dès que le premier pas fut franchi, la jeune russe se vautra dans la saleté avec un engouement évident, dont l’origine dépassait évidemment la perspective de maltraiter la jolie Charlotte. Irina prenait un plaisir certain à jouer avec la merde de sa nouvelle partenaire.
Karine n’était pas en reste, elle partageait les excréments de ma collègue, s’amusant à les prendre en bouche pour les recracher dans une autre bouche gourmande !
Patrick et moi bandions comme des ânes, il me glissa : « Charlotte est vraiment douée et je suis fier d’Irina. Tu devrais d’ailleurs la récompenser en la baisant par le cul, elle adore ça. »« Ok, tu peux faire de même avec Charlotte, elle est toujours partante pour faire connaître de nouvelles queues à son petit trou, » répondis-je.
Nous approchâmes des trois filles. Irina comprit vite mon intention et me facilita la pénétration. Comme je l’espérais, elle avait préparé son cul à cette partouze bien spéciale, son intestin était empli de merde grasse. A peine l’eussè-je pénétrée que de la merde débordait de son anus, graissant mon pubis et mes couilles. L’odeur de la pièce devint pestilentielle, comme nous aimions.
Assez vite, Irina mit fin à la sodomie que je lui prodiguais. Elle se retourna, me fixa de ses beaux yeux bleus, je la trouvai divinement belle avec son visage maculé de grandes traces de merde. Avec gourmandise, elle se délecta de sa propre merde en suçant ma bite. Je ne parvins pas à me retenir et lui envoyai plusieurs grosses giclées de foutre sur le visage et dans sa bouche, elle me susurra : « Merci. »
Alors que Patrick enculait Charlotte, embourbant son dard dans le conduit sale de ma collègue, Karine ajouta son offrande en expulsant une belle merde odorante à souhait.
Irina était devenue insatiable. Le visage couvert de merde et de foutre, elle entreprit de lécher mon trou du cul sale ! Non contente de goûter aux traces qui maculaient le pourtour, elle enfonçait sa langue agile dans mon fondement et m’invitait ouvertement à lui chier au visage : « Chie pour moi, s’il te plait. »
Je ne résistai évidemment pas. J’avais très envie et une toute petite poussée me suffit pour éjecter un gros étron, dont je sentis immédiatement l’odeur polluer encore davantage l’air fétide de notre pièce de plaisir. En me retournant je crû avoir noyé Irina dans mon caca ! Sa tête entière ressemblait à une grosse boule de merde ! Charlotte me félicita « Oh putain qu’elle merde tu as pondu là ! C’est super. »
Irina déblaya une partie de la matière qui encombrait son visage, la tartinant sur sa poitrine et le reste de son corps. Sous l’ordure, je la vis sourire quelques instants, ses dents encore partiellement blanches tranchaient dans la masse merdeuse. Elle branla sa chatte, puis stoppa tout mouvement et poussa un cri guttural que je connaissais bien, prémices d’une énorme gerbe ! Son vomi vint s’ajouter aux immondices qui la couvraient déjà, elle était incroyablement sale et si excitante !
Karine se précipita vers elle, l’embrassa à pleine bouche, alors qu’elle était encore prise de spasmes et qu’elle continuait de vomir ses tripes ! Ma femme adorait la gerbe et elle profitait pleinement de l’occasion qui lui était offerte. Rapidement je me joins à leurs jeux, goûtant les fruits de notre perversité extrême avec délectation.
Une fois un peu remise, Irina prit une part très active à nos ébats, reprenant elle-même en bouche son propre vomi, y ajoutant de la merde. Karine pissa dans nos bouches pour diluer un peu les miasmes épais qui nous recouvraient.
Après s’être bien faite enculer par Patrick, Charlotte se fit un devoir de nettoyer sa queue sale avec sa bouche et s’arrangea pour se faire gerber à son tour en utilisant le gros membre de notre ami pour pilonner ses amygdales ! Karine, Irina et moi profitâmes de cette nouvelle offrande de fluide gastrique !
Cette partouze sale se prolongea encore. Lorsque nous fûmes tous épuisés à force de fornication, de jouissance, de convulsions, nous stoppâmes nos ébats. Chacun d’entre nous était méconnaissable, couvert d’immondices des orteils à la pointe des cheveux. L’air de notre chambre des plaisirs était irrespirable.
Patrick déclara qu’Irina avait parfaitement relevé l’épreuve que nous lui avions concoctée et qu’elle méritait donc amplement sa récompense. Malgré le masque d’ordure qui recouvrait son visage, nous vîmes tous qu’Irina souriait, elle semblait ravie d’avoir satisfait son maître : « Merci maître, de m’avoir poussé à découvrir le sexe sale. J’avais peur, mais j’ai adoré, » confirma-t-elle.
Malgré la fatigue, nous nous lavâmes consciencieusement, nettoyâmes la pièce avant d’aller nous coucher, sans poursuivre nos ébats. Personnellement j’avais hâte de voir Irina dominer Charlotte, j’étais sûr que ce scénario allait nous plaire à tous.
Après une bonne nuit réparatrice, nous prîmes le petit-déjeuner dans notre salle à manger, sagement. Patrick nous proposa de poursuivre notre week-end de débauche chez lui, car sa maison était mieux équipée que la nôtre pour l’étape qui devait suivre, la domination de Charlotte par Irina. Chacun se rangea à sa proposition et nous partîmes en voiture chez lui.
Il nous fit pénétrer dans sa propre pièce dédiée aux plaisirs. Elle comportait plusieurs instruments de torture qui convenaient en effet à nos projets.
Immédiatement Irina prit les devants avec Charlotte, elle l’empoigna par les cheveux, déchira violemment la fine nuisette qu’elle portait pour tout vêtement et la força à s’allonger sur une table équipée d’étriers, au-dessus de laquelle étaient disposés des anneaux et différents câbles. Charlotte se laissait faire, elle sourirait, sans doute était-elle excitée par cette nouvelle expérience.
Par quelques mouvements adroits Irina plaça les pieds de Charlotte dans les étriers, les y attacha et les écarta largement, obligeant ma collègue à ouvrir grand ses cuisses. Puis Irina lui sangla les poignets, de part et d’autre de la table. Charlotte était ainsi offerte aux sévices de la chose de Patrick. Même si elle n’avait jamais été dominante, nous étions sûrs que son expérience de dominée lui permettrait d’être particulièrement créative.
Irina toisait son jouet : « Tu fais plus la maligne pétasse ! » Elle ponctua son insulte d’un crachat au visage immobile – mais souriant – de la jolie blonde. Irina poursuivit en assénant quelques gifles et claques bien senties sur le visage et les seins de Charlotte.
Elle poursuivit : « Tu vas être ma chose maintenant. Je suis sûre qu’une pute comme toi va aimer. Si ça devient trop dur pour toi tu dis : “ stop, stop ” et j’arrête tout, mais tu pars d’ici et je ne pense pas que Karine et Jan te gardent. »« Ok, je suis certaine d’aimer ce que tu vas me faire. Fais comme j’ai fait pour toi hier, vas-y franchement, » répondit Charlotte, toujours sûre d’elle.
Irina pinça rudement les tétons qui dardaient, trahissant l’excitation palpable de ma collègue. Lorsqu’ils furent bien gonflés, elle entreprit d’enserrer les seins d’une cordelette fine et par de savants nœuds elle les relia à une poulie située au-dessus de la table de sévices. Irina actionna le système, ce qui eut pour effet de comprimer les seins de Charlotte au niveau de la ficelle, empêchant une bonne circulation sanguine dans ses mamelles et les déformant largement. Charlotte semblait souffrir un peu, mais restait stoïque.
Un peu de la même manière que pour les seins, Irina attacha les cheveux de Charlotte et les suspendit à une autre poulie, elle mit en tension la cordelette et les cheveux, mais sans forcer.
Charlotte était totalement entravée, soumise et exposée aux sévices qui plairaient à Irina de lui infliger.
La jolie russe baissa les parties de la table qui soutenaient les épaules de Charlotte, ce qui eut pour effet de tendre très franchement les cordelettes reliées aux poulies et par conséquent les seins et les cheveux de la belle. Ça devait être fort douloureux. Elle grogna, soupira, souffla, mais ne prononça pas une seule plainte, et encore moins les mots qui auraient mis fin à la séance. Irina la provoquait toujours : « Ça fait mal pétasse ! J’aime bien te voir comme ça ! Je suis sûre que tu aimes. Tu mouilles ? »« Ouais, j’aime, ma chatte est trempée. » Malgré ces paroles provocantes, la voix de Charlotte était moins franche, moins assurée, la douleur devait faire son office.
Irina n’en avait cure, elle reprit : « Moi aussi j’aime quand Patrick me fait mal. » Elle se positionna entre les cuisses béantes. Rapidement, elle se mit à fourrager de ses doigts la chatte qu’elle avait sous les yeux. La mouille de Charlotte permit une pénétration rapide, par plusieurs des doigts fins d’Irina. Les allers retours qu’elle opérait dans le sexe avide de Charlotte faisaient bouger le corps de la soumise et accentuaient les tensions sur ses nichons et sa chevelure.
Bientôt toute la main fut absorbée par le sexe gourmand de Charlotte, qui émettait des sons de plaisir grâce à cette intromission virulente à souhait et à ses conséquences sur les liens qui la tourmentaient.
Irina dilata ainsi le vagin de Charlotte pendant plusieurs minutes, amenant sa propriétaire au bord de l’orgasme, mais elle se retira brutalement avant l’instant crucial, laissant la jolie blonde frustrée. Elle lui infligea quelques claques sur les cuisses, qui rougirent, puis elle se munit d’une brosse à chiotte. Je crû un instant qu’elle allait frapper Charlotte avec cet instrument, mais elle me surprit en frottant sa chatte avec les poils durs. Charlotte émit un cri, mais ne protesta pas plus, au contraire : « Aïe, putain… Oh, c’est bon, continue s’il te plait. »
Voulant mater son nouveau jouet, Irina positionna la brosse pour la faire entrer dans le sexe de Charlotte. Les poils étaient très longs et rigides, la pénétration s’annonçait fort douloureuse. Elle dût forcer, faire crier et gesticuler sa soumise, augmentant mécaniquement la douleur que lui infligeaient ses seins et son cuir chevelu, mais petit à petit l’introduction se fit, sans que Charlotte ne prononce les mots libérateurs.
Karine était terriblement excitée par le spectacle offert par les deux jeunes filles, il lui donnait envie de baiser et elle nous sollicita, Patrick et moi, pour la satisfaire : « Putain les salopes, elles m’excitent. J’ai besoin d’être bien baisée ! Prenez-moi sauvagement les mecs ! »
Evidement les actes pervers que nous mations nous faisaient bander comme des taureaux et nous pûmes bien vite satisfaire mon épouse en la prenant en double pénétration, tout en continuant à regarder la scène de domination saphique.
Irina avait maintenant fiché la quasi-totalité de la brosse à chiotte dans la chatte de Charlotte, qui criait de douleur et de plaisir. Je pense qu’elle jouit plusieurs fois. Irina retira ensuite l’engin d’un geste brusque, les poils de plastique blanc étaient largement tachés de sang, ils avaient ravagé l’intérieur de la chatte de Charlotte, qui beuglait au moment du retrait soudain. Je vis quelques larmes couler sur ses joues. Je crus qu’elle allait utiliser le code pour stopper la séance, mais elle n’en fit rien : « Oh putain salope, tu m’as déchiré, tu me fais trop mal … C’est vraiment bon. Je suis vraiment une sale perverse pour aimer ça. »« Ne parle pas comme ça à ta maîtresse, » répliqua Irina. Elle punit son jouet en lui infligeant deux coups violents sur les cuisses avec une grande lanière de cuir. « Pardon maîtresse, » s’excusa Charlotte.
Irina ouvrit ensuite une boîte en plastique qui contenait une étrange bouillie. Elle saisit cette mixture et l’enfila dans la chatte martyrisée de sa soumise. Pendant plusieurs secondes Charlotte ne manifesta pas de réaction particulière, puis elle se mit à gémir et à gigotter, tiraillant encore sur ses seins et ses cheveux. Irina nous expliqua : « Je viens de lui mettre du gingembre et du piment dans sa chatte blessée, ça va lui faire mal à cette pute ! »
Effectivement, Charlotte commença à se tortiller sous les effets du contenu épicé de son sexe. Bien-sûr chaque mouvement accentuait les tensions sur ses seins et ses cheveux, augmentant ainsi sa douleur et son plaisir de masochiste.
Ce nouveau degré de perversité excitait encore davantage Karine, qui nous demanda de la prendre à deux dans le même trou, elle choisit de se faire écarteler la chatte par nos deux bites et nous la satisfîmes de notre mieux.
Alors que les effets des épices semblaient se calmer un peu, Irina entreprit d’écarteler les grandes lèvres intimes de son jouet, en utilisant une méthode particulièrement perverse et douloureuse, avec un fil et une aiguille à coudre, elle transperça une lèvre, passa le fil, lui fit faire le tour de la cuisse, mit en tension le fil et la lèvre transpercée et reperça la délicate chaire quelques millimètres plus haut. Elle fit plusieurs points de cette manière, transperçant à chaque fois la grande lèvre meurtrie et ensanglantée. Charlotte gémissait, mais laissait faire. Selon Irina la chatte émettait toujours de la mouille, prouvant l’excitation de la soumise. Irina fit subir le même traitement à l’autre lèvre.
Sans doute satisfaite de l’image dégradante que lui renvoyait son nouveau jouet et de l’état d’excitation toujours fort de celui-ci, Irina poursuivit sa séance de torture. Après le gingembre et le piment qui brûlaient le sexe de la jolie blonde, elle déversa une grande rasade de vodka dans l’orifice meurtri. Charlotte hurla, se débattit, on avait l’impression que les tensions sur ses nichons et sa chevelure n’importaient plus, la douleur que lui envoyait son sexe devait être atroce. Elle chialait, criait, mais ne mit pas fin à son supplice.
Après avoir joui, Karine nous demanda de changer de trou et de lui écarteler le fion avec nos deux matraques.
Ce n’est pas tant le degré de violence de cette scène qui me fit jouir, mais le fait que Charlotte encaissait et quémandait sans cesse davantage de torture. C’était incroyable, cette fille avait un potentiel de soumission vraiment hors du commun. Même dans les milieux libertins que je fréquentais assidument depuis des années je n’avais jamais rencontré une telle perverse. Patrick m’imita et nous emplîmes le cul de Karine de nos foutres gluants, alors qu’elle partait dans un énième orgasme.
Enfin, Irina mit fin à la séance. Les seins de Charlotte étaient devenus bleus. Elle souffrit encore beaucoup lorsqu’une fois libérés, le sang regagna ses mamelles. La douleur fut encore vive pour elle lorsqu’Irina décousit ses grandes lèvres qui saignaient.
Karine se chargea de réconforter notre partenaire. Elle flancha quelque peu en se relevant, mais un mince sourire de béatitude indiquait qu’elle ne regrettait rien et se relancerait dans un telle aventure les yeux fermés.
Lorsque Karine eut mis Charlotte au repos dans une autre pièce et nous eut rejoint, Patrick se montra à nouveau très dominateur vis-à-vis de sa chienne Irina. Il m’invita à la défoncer conjointement avec lui. Tous ses trous furent comblés avec la plus grande vigueur dont nous étions capables. Il invitait également Karine à la malmener, la poussant à “ venger ” Charlotte. Ma femme ne se fit pas prier et tourmenta bien la jolie russe masochiste, qui jouissait sous nos assauts conjugués. Elle finit la séance couverte de bleus, les trous béants, visiblement épanouie après avoir réalisé ses fantasmes de dominatrice et de soumise.
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Après quelques mois, nous laissâmes Charlotte passer un week-end dans notre maison alors que Karine et moi étions absents. Nous lui indiquâmes qu’elle pourrait venir selon son habitude, mais que seuls nos enfants seraient là. Nous savions qu’ils comptaient profiter de notre absence pour inviter des amis et sans doute s’envoyer en l’air. Durant la semaine qui suivie, nos enfants nous contèrent quelques épisodes de ce week-end. Lola nous fit le récit suivant.
« J’avais invité quelques copines et des collègues putes, leur promettant que nous allions passer un agréable moment avec le nouveau joujou de mes parents. Une jolie garce qui adore être violentée et souillée. »
« Peu de mes copines partagent nos goûts pour la saleté et aiment être vraiment violentées, mais elles adorent toutes bousculer une nénette qui ne demande que ça et la dégrader en la souillant. »
« Nous avions déjà picolé un peu quand Charlotte se pointa, comme d’hab elle portait une superbe lingerie hyper sexy. Mes copines étaient ravies. Cindy ne me laissa pas faire les présentations, elle accueillit Charlotte d’une grande baffe dans sa gueule et la mit à genoux. Avec les autres nous gloussions derrière. Cindy crachait sur Charlotte, dont les yeux pétillaient d’excitation, on vit bientôt que son string était trempé. Cindy la provoqua : “ Alors pétasse y paraît que t’es une vraie salope qu’adore se faire démolir. ” “ Oh oui, la baise c’est ma passion, ma raison de vivre. ”“ Eh ben tu vas nous montrer ça. ” Elle lui fila un coup de pied qui l’allongea au sol. Puis elle baissa sa jupe et sa culotte, l’agrippa par la tignasse et plaqua la tête de Charlotte sur sa touffe : “ Bouffe-moi la chatte, morue ! ” »
« On s’aperçut bientôt que Cindy pissait dans la bouche de Charlotte, elle devait en avaler un maximum, mais ça débordait quand même. Lorsqu’enfin Cindy la lâcha, Charlotte était tout sourire et la remerciait. Sa réaction surpris ma copine : “ Eh ben, Lola ne nous avait pas menti, t’es une vraie chienne. ” »
« Elle s’alluma une clope, après avoir tiré une bouffée, d’un geste brusque elle arracha le soutien-gorge de Charlotte et approcha la pointe incandescente de sa cigarette d’un des tétons. Charlotte prit encore les devants : “ Ouais, crame-moi j’adore ça ! ” »
« On était toutes assez surprises de sa provocation, mais elle l’assuma pleinement. Elle empoigna son téton et le présenta elle-même sur le bout rougi de la cigarette, elle le laissa de longues secondes, c’était assez surréaliste. On finit même par sentir l’odeur de cochon grillé ! C’est finalement Cindy qui retira sa clope. Ce n’est qu’à ce moment que Charlotte émit une plainte, mais elle continuait de sourire : “ Putain j’adore qu’on me fasse mal comme ça ! ” »
« Après cette entrée en matière assez incroyable, Charlotte continua à nous épater. Elle se fit fister par de nombreuses mains, elle en prit souvent deux en même temps, parfois dans le même trou. On avait l’impression que son cul et sa chatte pouvaient tout absorber, elle quémandait toujours plus de gros calibres, pourtant mes copines, surtout les putes n’étaient vraiment pas tendres avec elle. Je crois que certaines se vengeaient sur elle de leur frustration de se prostituer. »
« Cindy recommença ses jeux avec des clopes. Elle lui a cramé les grandes lèvres, l’autre téton et a même fini par éteindre un mégot sur sa langue ! »
« Après la séance de baise, plusieurs d’entre nous ont chié et pissé sur Charlotte, qui avalait et bouffait tout ce qui passait à proximité de sa bouche. »
« A un moment elle s’est même fistée la chatte avec ses doigts tout merdeux. Elle a fini par gerber et Cindy lui a demandé d’avaler son vomi. Elle l’a fait avec un grand sourire, même si elle s’est remise à gerber peu de temps après ! »
« En effet vous avez dû bien vous amuser, bande de petites salopes, » commenta Karine à la fin du récit épique.
Tom, dont le short déformé trahissait l’excitation provoquée par le récit de sa sœur, enchaîna. Karine se mit à masturber lentement sa queue au travers du fin tissu, tandis que ma fille s’occupait de mon membre qui grossissait également.
« La veille, Nils et moi avions aussi invité quelques potes. Charlotte est venue se pavaner devant nous dans sa petite tenue d’allumeuse. En moins de deux minutes, elle s’est retrouvée en levrette avec une queue dans le cul et une autre dans le gosier ! »
« Malheureusement nos potes n’ont pas été assez endurants pour elle, elle n’a dû jouir qu’une ou deux fois. Faut dire qu’elle les excitait tellement en les encourageant à la baiser comme des sauvages, qu’ils n’ont pas pu se retenir bien longtemps. »
Nils poursuivit le récit de frère : « Ouais, mais Tom et moi on leur a dit que cette salope aimait pas seulement se faire baiser tous ses trous, mais qu’elle aimait aussi les trucs dégueulasses, et qu’on avait qu’à la traiter comme un chiotte ! Elle a dit : “ Ouais les gars, j’adore être le chiotte d’une bande de mecs. J’espère que vous avez la vessie bien pleine et que vos culs sont gavés de merde ! ” »
Elle a fourré sa tête dans la raie du cul du mec qu’était à côté d’elle. Il n’a pas compris tout de suite ce qu’elle voulait, j’ai précisé : “ Elle veut ta merde mon gars. Commence en lui pétant à la gueule, puis tu lui donneras ce qu’elle aime vraiment : une bonne merde bien grasse et puante. ” »
« Notre pote a eu un regard mauvais, puis il a envoyé un gros pet foireux directement dans les narines de Charlotte qui lui léchait le cul comme une malade. On a entendu qu’elle inspirait profondément. Quelques instants plus tard il a chié une bonne merde. Charlotte n’a pas pu tout bouffer tellement y en avait ! Son visage était recouvert, on la reconnaissait à peine, mais on voyait qu’elle souriait derrière ce masque merdeux. C’est vraiment une putain de salope ! »
Karine branlait ses deux fils, tandis que notre fille me suçait lentement et profondément. Tom reprit : « Bien-sûr ça ne s’est pas arrêté là. Tous les mecs ont voulu la souiller à leur tour. Elle a fini complément recouverte de merde et de pisse, elle s’est mise à se branler frénétiquement sans les couches de fange, elle s’est faite jouir plusieurs fois furieusement. Ses orgasmes lui travaillaient tellement les entrailles qu’elle a fini par gerber la merde et la pisse qu’elle venait de bouffer. »
« En voyant ça un de nos potes a eu un haut le cœur et a lui aussi vomi. On a halluciné en voyant Charlotte aller récupérer la gerbe du gars pour la bouffer à son tour. Elle est vraiment hyper dégueulasse cette gonzesse. Putain que c’était bon ! »
Terriblement excités par ce récit, nous engageâmes une partouze familiale dont les Kradborg avaient le secret.
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