J’ai 21ans je suis passif et je recherchais un homme plus âgé qui m’initierait à la soumission.Suite à une annonce sur internet, un homme dominateur m’a contacté, se disant intéressé par mes désirs. Selon sa description, il a 50 ans, brun et très bien membré. Je l’appelle et nous convenons d’un rendez vous chez lui.Je sonne à sa porte, un homme m’ouvre et me dit : "bonjour, vous êtes philippe?"J’acquiesce et il me fait entrer sans autres paroles. Une fois dans son salon, il s’assied sur un divan, près d’une table basse, et me dit: " déshabille toi lentement".Je m’exécute sous son regard. Une fois nu, il me fait venir près de lui, m’attache au cou un collier de cuir avec des anneaux, me menotte les mains dans le dos et relie la chaîne des menottes au collier, puis il me lie les chevilles avec une barre qui m’oblige à garder les jambes écartées.Par gestes il me fait me pencher en avant sur la table basse, jambes écartées et tendues. Là, tout en commentant ce qu’il voit comme s’il parlait à une petite femelle, il me caresse les fesses, les écarte à deux mains puis passe son doigt en appuyant doucement dans mon sillon fessier.Il appuie légèrement sur l’anus puis continue lentement sa descente jusqu’à mes testicules, il les caresse doucement puis en triture chacune du bout des doigts, les isole, les étire, les serre du bout des doigts, puis dans le poing, mais sans serrer trop fort, je peux encore supporter la douleur.Enfin il passe à mon pénis, le tire vers le haut, entre les fesses. il découvre le gland et le presse entre deux doigts jusqu’à ce qu’il soit tout blanc, exsangue. Puis, le tenant à sa base il tire le gland vers le bas tout en me tenant les couilles tirées vers le haut afin de m’empêcher de me baisser, il tire progressivement de plus en plus fort et termine par quelques coups secs, comme s’il voulait le décrocher...il se lève pousse la table et m’attache chaques chevilles à un pied. Puis il me masturbe et une fois que je suis tendu, il me serre la base de pénis avec une cordelette pour m’empêcher de débander.il enlève son pantalon et son slip ( je constate alors qu’il n’a pas menti, même au repos sa queue est impressionnante), s’assied devant moi et me fait agenouiller entre ses jambes et me dit : "au travail!".Je suce les couilles puis la base de sa bite mais cela lui fait peu d’effet et ne lui suffit pas : il se penche m’attrape les couilles par derrière et les serre, " avale tout " dit-il. Contraint par la douleur, je m’efforce de le prendre complètement en bouche, distendant mes mâchoires et essayant d’oublier le goût. Il continue à me triturer les couilles et à me les supplicier, les tirant, les écrasant, les tournant pour ponctuer chacun de ses ordres jusqu’à ce qu’il soit si dur et si gros que je ne peux garder en bouche que le tiers de sa queue.Il me relève en me tenant les couilles, me détache les chevilles, me met un bâillon et me rattache le dos sur la table, il fixe la barre des jambes au collier et, ainsi, mon cul dépasse, offert, de la table, je suis complètement ouvert à sa merci.Il joue à me secouer les parties sexuelles de son pied nu puis à me piétiner les testicules; la douleur me monte dans le ventre mais je ne peux rien faire.il gifle alors mon pénis, le faisant balancer puis prend une palette de cuisine en bois et joue à me faire valser le pénis avec ; d’abord avec des petits coups légers puis de plus en plus vite, jusqu’à ce que mon sexe me cuise. il passe alors aux testicule qu’il fait sauter par en dessous, doucement ; puis les secoue en les tapant de chaque coté, pour finir, passant par dessus, il les tape comme si elles n’étaient que des grosses mouches à écraser. Je hurle, mais il ne tient aucun compte de mes sons étouffés.Il allume alors une bougie à vis d’un diamètre respectable et joue à me chauffer d’abord le gland, puis les couilles en enfin l’anus jusqu’à ce que celui ci dilaté par la chaleur, s’entrouvre.il me remplis alors l’anus de gel et me visse la bougie, éteinte, dans le cul..il la rallume, m’enlève le bâillon, me met un coussin épais sous la tête et me dit : "prépare moi pour que je défonce ton joli petit cul, dépêche toi si tu ne veux pas que ta merguez et tes petits rognons ne soient cuits à point".Il m’enfonce sa bite dans la bouche et je mets à l’ouvrage, suçant, aspirant; je sens déjà la chaleur de la cire sur mes fesses et mes parties sexuelles.une foi bien raide, il éteint la bougie, la dévisse, et se positionne entre mes fesses. Malgré sa préparation, je résiste et il ne parvient pas à forcer l’entrée; il me saisit alors les couilles et les serre dans son poing, je me relâche sous la douleur et il en profite pour faire entrer son glandet passer le barrage. Il me pistonne violemment et longuement tout en me masturbant ( il à enlevé la cordelette) et me triturant les couilles de son autre main. Il finit de jouir tout au fond de mon cul, et me finit en me branlant, au moment ou je jouis il me serre les couilles à fond, je jouis et j’agonise à la fois."Bien dit-il je sens que tu vas me plaire, je vais faire de toi un bon petit esclave!Soumis, je lui ai répondu :" comme vous voudrez maître!."
