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Ne jouis pas !

Chapitre 2

Suite & Fin

SM / Fétichisme
Résumé : Johnny Lambert a choisi de suivre le programme de dépatriarcisation du Centre Greta Van Griet. Il est pris en main par Madame Iris, accompagnatrice bénévole. Elle utilise son visage comme siège à l’heure d’une pause café avec deux de ses collègues…

4. Pause Café (suite)
— Mais, Iris, tu ne lui as pas encore mis de cage ! s’exclame l’une des accompagnatrices, me regardant.— Mais oui. Tu as raison, Bella. Suis-je distraite, aujourd’hui !
Je sens des mains s’activer sur mon pénis. Je ne peux les voir, mais je sais ce que l’on me fait. On est en train d’encager ma virilité. On écrase mon sexe dans une petite cage de métal, dont seules dépassent mes testicules. Des mains les pressent. Je pourrais avoir une érection maintenant, mais j’y suis empêché.
Madame Iris fait une pause café avec ses collègues Bella et Andréa. Pardon. Madame Bella et Madame Andréa. Madame Bella est de forte corpulence. Sur les sites pornos que je consulte quotidiennement, elle entrerait dans la catégorie BBW (et peut-être même SSBBW). J’ai un peu honte de l’avouer, mais je ne peux m’empêcher de me demander ce que ce serait, d’être sous elle. Madame Andréa est une grande femme, d’un certain âge. On devine un peu de ventre sous la blouse de cette MILF. Des miettes de Spéculoos tombent sur mon visage, lorsque Madame Iris croque dedans.
— Ne sois donc pas impolie Iris, dit Madame Andréa. Partage donc un biscuit avec notre invité.— Tu veux un biscuit ? me demande Madame Iris.
Je tente de secouer la tête, coincé sous son intimité. Elle m’ignore et prend dans sa bouche, un Spéculoos entier qu’elle mâche longuement, bouche grande ouverte. Puis, elle se penche sur moi et prend mon menton dans sa main, avec fermeté.
— Ouvre la bouche ! (J’essaie encore de secouer la tête.) Ouvre ! Je te l’ordonne !
Je finis par obéir. J’ouvre et je ferme les yeux pour ne pas voir le Spéculoos réduit à l’état de pâte baveuse, sortir lentement de sa bouche pour tomber dans la mienne.
— Avale ! Me crie-t-elle. (J’obéis, déglutit et lui présente ma bouche vide.)— Laisse-moi lui offrir un peu de café, dit Madame Bella.

Docile, je la regarde prendre une gorgée de sa tasse, puis venir se pencher sur moi. Ses énormes seins tombants encadrent mon visage. Elle laisse couler le café dans ma bouche, en prenant son temps. Elle est ensuite imitée par Madame Andréa. Mais celle-ci ne m’offre qu’un crachat de pure salive qu’elle a laissé murir et tiédir dans sa bouche. Ma bouche est bien remplie. Madame Iris m’interdit d’avaler sans son autorisation. J’attends son ordre avec obéissance. C’est assez agréable de sentir leurs mains s’appuyer sur mon torse lorsqu’elles viennent me faire leur offrande. Même si elles en profitent pour enfoncer leurs ongles dans ma chair.
— Maintenant, tu peux avaler !
Je déglutis. Une sensation douce et tiède envahit ma gorge. Des doigts rassemblent les gouttes de leurs liqueurs tombées sur mes lèvres, mon menton, mon cou et les fait couler dans ma bouche. Je déglutis une seconde fois.
— Brave garçon, me dit Madame Iris, en me pinçant la joue, visiblement très satisfaite.

5. Ne jouis pasLa pause café s’est achevée d’une manière bien agréable, je ne m’attends donc pas à ce qui va suivre. Mesdames Iris et Andréa déplacent la table basse. Madame Bella ouvre un coffre que je n’avais pas remarqué. C’est un bel objet de bois verni, renforcé de métal. Elles y farfouillent, mais je ne peux voir ce qu’elles y cherchent. Je suis toujours couché au sol.
— À quatre pattes ! me crie madame Iris.
Je me mets en position. Lorsqu’elles se retournent vers moi, je découvre que toutes trois se sont équipées de gode-ceinture et de pénis en plastique de taille et de formes diverses.
— Mes chères amies, je crois que nous allons bientôt l’entendre crier son Mot de Sécurité !— Oh oui ! Vaginette ! Vaginette ! Hihihi !
Elles se moquent, répétant en boucle et en cœur mon Mot de Sécurité. L’une me tire les cheveux, l’autre me frotte son faux pénis sur le visage. Derrière moi, Madame Iris m’écarte les fesses et me tartine l’anus avec du gel anal. En regardant des scènes de Gang Bang, je me suis souvent demandé ce que ressentait la fille qui se faisait prendre à la chaîne. Je ne vais pas tarder à le savoir.Madame Iris s’enfourne en moi et me prend sans aucun ménagement. J’ai un peu mal au début. Heureusement, mon anus se dilate rapidement. Ses mains me tiennent solidement par les épaules, tandis que ses coups de hanches me font vaciller.
— Prends ça, salope ! Tu aimes ça, hein ! Penche-toi ! Donne ton cul, p’tite salope !
— Tu as vu comme elle est rentrée, Iris ? Il y a du passage dans ce petit trou.— Tu aimes te faire prendre dans le cul ? me demande Madame Andréa. — Juste un… un plug an… un plug anal… (Secoué de plus belle, j’ai du mal à répondre et ma voix chevrote.)— Juste un plug anal ! Hihihi ! Le vicieux petit cochon.— Laisse-moi le prendre, Iris !
Madame Andréa m’enfile avec un sextoy un peu plus gros que celui de Madame Iris. J’ai un peu de mal à le recevoir. Ses va-et-vient sont plus prudents. Je commence à ressentir du plaisir. Madame Andréa me prend d’abord avec une certaine douceur. Puis bien vite, elle accélère. Ses mains s’appuient sur mes épaules, me griffent le dos puis descendent sur mes hanches. Elle me griffe les fesses et rit et halète en même temps. Lorsqu’elle se retire, je jette un œil en sa direction et remarque que ses cuisses sont trempées et luisantes.  
Madame Bella fait couler une rasade supplémentaire de gel anal sur mon anus. Elle le tartine allègrement, puis enfonce doucement sa main. Presque tout le poing y passe.
— Vous voyez, dit-elle à ses amies, il faut le travailler un peu. Et ne pas hésiter à mettre beaucoup, beaucoup de gel. En plus j’ai l’impression qu’il adore ça. N’est-ce pas que tu adores ça, mon cochon ?
J’acquiesce d’un hochement de tête. Bien que portant elle aussi un gode-ceinture, Madame Bella préfère utiliser ses mains. Lorsque ses doigts caressent ma prostate, je ne peux m’empêcher de gémir. Je suis excité, j’aimerais bander et baiser ces chiennes, mais je ne peux pas. Je n’ai jamais ressenti une telle frustration.
C’est alors que, semblant lire dans mes pensées, Madame Iris délivre mon pénis. Elle le caresse pour lui redonner sa forme, et cela me fait tant de bien. L’érection est rapide et Madame Iris passe des caresses à une masturbation vigoureuse. Je suis sur le point de lui dire merci, lorsqu’elle me gifle.
— Si tu jouis, tu goutteras au fouet ! M’as-tu bien compris ?— Oui, Madame Iris.— Ne jouis pas, insiste-t-elle, tout en continuant de me branler avec poigne.— Ne jouis pas, répètent Madame Andréa et Madame Bella, en venant elles aussi, de leurs mains expertes, exciter la base de mon pénis, mon scrotum et mon périnée.
Ce qui se passe en mon bas-ventre est difficile à décrire. Tout mon appareil génital est en feu, comme jamais il ne l’a été — même devant mon premier porno. Les dames font tout pour m’exciter et me rendre fou. Leurs mains courent de ma bite à mes tétons qu’elles triturent avec vice et cruauté, puis reviennent en bas en m’égratignant.Mon gland violacé est surgonflé, prêt à exploser. J’use de toute ma force mentale pour retarder l’échéance. Ma semence boue dans mes couilles. Je me crispe pour en empêcher l’éjaculation.
— Ne jouis pas ! Ne jouis pas ! Hihihi !
Je serre les dents. Je serre mon anus. Je grogne. Mes poings et mes pieds frappent le sol. Et pendant ce temps, leurs mains continuent de s’activer sur mes zones érogènes devenues hypersensibles. Je crie : « Non ! Non ! Non ! » Mais mon sexe choisi de me désobéir. Je sens monter l’orgasme. Toutes les veines de ma queue se gonflent. Mon gland grossit encore. Mon urètre s’ouvre.Elles devinent que je vais jouir et retirent leurs mains aussitôt et simultanément. L’orgasme vient, mais sans leurs stimulations, il retombe aussitôt. De grosses gouttes de sperme gras giclent autour de moi. L’essentiel retombe sur mon torse et mes jambes. Je me sens frustré et sale. Je n’ai même pas vraiment joui. Mon sexe me brûle. C’est davantage une gêne qu’une excitation. Il est toujours dur. Un pied vient se poser sur lui.
— Regarde-toi, pauvre petit mec, me dit Madame Iris, entourée de ses amies qui, comme elle, me regardent avec dédain. Voilà tout ce que tu es. Un misérable sac à foutre, incapable de dominer sa petite queue et ses couilles. Tu crois vraiment être supérieur à celles qui ont une chatte et un clito ?

Je me relève sur les coudes, et regarde mon sexe couvert de foutre. Elles lui donnent des petits coups de pied, pendant qu’il se recroqueville. Un crachat tombe sur mon œil. Un autre sur mon front. D’autres pleuvent. J’essaie d’en attraper un au vol, par jeu, et me prend une gifle.
— Allez, lève-toi ! Tu es sale ! Allons te doucher !

6. Dernière étapeLes trois garces me trainent, presque de force, dans une salle de douche commune. Je m’attends à être encore aspergé au nettoyeur haute-pression. Madame Andréa me plaque au sol. Madame Iris s’accroupit sur moi. Je la sens se crisper.
D’une main, elle écarte sa culotte, de deux doigts de l‘autre main, elle écarte ses lèvres vaginales. Quelques gouttes perles. Puis un filet doré tache sa culotte et coule le long de sa cuisse. Je l’entends jurer, gémir. Elle se crispe encore. Un filet puissant jaillit enfin de son intimité. Il me frappe le nez. Le pipi entre dans mes narines. Une sensation désagréable, mais je ne peux me moucher. Un second jet me touche au menton, inonde ma poitrine. Madame Iris se crispe encore, puis abandonne.
L’énorme fessier de Madame Bella me surplombe. Je n’ai que peu de temps pour l’admirer. Sa pisse brune jaillit en cascade, emplit ma bouche en une seule seconde — et me trempe tout le haut du corps, la seconde d’après. Son anus s’ouvre sur un long pet sifflant, sans odeur. Bien entendu, j’attends l’ordre de Madame Iris pour avaler.
Madame Andréa se montre douce avec moi. Elle me fait face et me laisse d’abord lécher sa fente. J’enfouis mon nez dans son pubis, qu’elle a fourni et soyeux. Pendant qu’elle offre sa rosette à ma langue, elle laisse couler son pipi. Je continue de la lécher tout en la laissant remplir ma bouche. Elle doit aimer ma façon de m’occuper d’elle, car elle m’offre un long baiser. Elle éloigne son visage du mien et m’offre un dernier crachat, que j’attrape sur la pointe de ma langue. Elle se lève et je réalise que ses amies sont parties.
Je suis seul, nu à terre, couvert de sperme, de sueur, de salives, de morve et de pipi, lorsqu’entre dans la salle des douches, l’hôtesse d’accueil aux lunettes papillon.
— Vous avez brillamment passé les épreuves, monsieur Lambert. Le Centre de Dépatriarcisation Greta Van Griet vous offre ce costume non binaire. Vous pouvez l’enfiler après… avoir pris une douche. Dieu, que vous sentez mauvais !
Elle tourne les talons et quitte promptement les douches, une main sous son nez.

Il est bien tard, lorsque je passe la grille du Centre, et retrouve la rue et ses passants ordinaires. Leurs regards sont verrouillés sur leurs smartphones. Personne ne fait attention à moi. Je porte la tenue non binaire que l’on m’a offert. Une jupe-culotte et un blazer jaune pâle. Je ne crois plus être le macho que j’étais en arrivant ce matin, et pourtant…
Et pourtant, j’ai l’impression d’avoir été le pigeon d’une méchante farce.
(FIN)
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