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Jour d'avril

Chapitre 2

Divers
Deux semaines sont passées depuis mon égarement de la réserve avec Abdou. Aujourd’hui, j’ai commencé en même temps que le poste du matin, car une commande urgente doit partir cette après-midi. J’ai droit à une pause casse-croûte dans la matinée.
Alors que je me prépare à manger mon en-cas pendant ma pause, dans la pièce prévue à cet effet, mon téléphone m’indique que j’ai reçu un SMS. Je ne reconnais pas le numéro et il n’y a pas de nom dans l’auteur de l’envoi. Je clique sur le message et je suis stupéfaite de lire : (salope, j’apprécie les photos où tu te fait baiser par un intérim noir. Je parie que ton mari adorerait le spectacle. Dis-moi salope, comment réagit ta chatte quand tu penses à cette baise dans la réserve. Le texte est signé (M). Les mains tremblantes et incontrôlables, je ne peux croire ce que je viens de lire. Comment peut-il avoir mon numéro ??? J’ai toujours mon portable avec moi et je n’ai jamais donné mon numéro, les seuls qui le possèdent sont ma famille et des vrais amis. La référence à la réserve me fait réfléchir. Je réponds au message : (je ne connais personne s’appelant Monsieur M) Je n’ai aucun moyen de savoir qui est M.
Et il est vraiment en possession d’images qui me montrent clairement en train de me faire baiser dans la réserve. Je n’ai su que plus tard que c’est Marcel qui me fait chanter. Marcel homme de taille moyenne, un physique banal, il travaille sur une multi aiguilles, toujours célibataire à quarante-cinq ans, sa sœur veuve tient le ménage, leur hameau se trouve à six kilomètres de chez nous au milieu des champs et des bois, nous l’avons déjà traversés avec Jacques en randonnée. Je sais où est son corps de ferme hérité de ses parents. Je sursaute lorsque son téléphone bipe à nouveau ??? Un autre SMS en retour : (Nicole, je possède bien des photos de vous.
D’ailleurs, j’en joins une à ce message afin que vous réalisiez dans quelle position vous êtes maintenant. (M) Mon visage pâlit et de la sueur commence à se former autour de mes lèvres et dans mon dos quand je lis le message et clique sur la pièce jointe. (Oh mon Dieu !!!! ) C’est tout ce que je peux prononcer en voyant mon visage tordu de plaisir, l’intérim Abdou enfoncé dans mon vagin et sa main libre pinçant mon mamelon. Je remarque que la photo est prise juste avant mon orgasme. Je reprends un peu d’aplomb et réponds : (je ne sais pas qui vous êtes et je ne comprends pas comment vous avez eu ces photos. Je n’apprécie pas que vous envoyiez cette image sur le réseau de téléphone, car elle pourrait tomber dans les mains de personnes me connaissant. Comment puis-je faire pour récupérer les photos ??? )J’attends une réponse immédiate de l’inconnu. Mais je ne reçois pas de messages pendant les trente prochaines minutes.
En attendant, je ne peux m’empêcher de me demander qui peut bien posséder ces photos, qui les a faites, qui il est et qu’est-ce ça va me coûter pour les récupérer. Mes paumes sont moites, mon cœur bat la chamade et mes seins bougent au rythme de ma respiration précipitée. Puis mon téléphone sonne pour un nouveau message : (salope, je les ai prises moi même pendant que tu te faisais sauter dans la réserve...
Maintenant, que vais-je faire de toi salope ? Je crois que tu vas devoir travailler très dur pour que je n’envoie pas les photos sur le site de l’entreprise. Ce serait normal salope. Tu aurais dû réfléchir avant de t’envoyer en l’air avec quelqu’un que tu ne connais pas. Maintenant, tu es à moi et je me fais un plaisir de te faire payer pour pouvoir les récupérer. M)Je réponds rapidement : (Vous ne pouvez pas me demander de vous verser de l’argent. Je ne suis pas une femme riche et mon mari non plus. Nous sommes juste un couple qui arrive tout juste à payer ses factures. Et puis, vous ne pouvez quand même pas penser à faire afficher ces photos sur le site web de l’entreprise. Je serais humiliée et je perdrais tout ce que mon mari et moi avons réussi à construire. Peut-être pouvons-nous trouver un arrangement pour que vous me rendiez ces photos)Marcel ne peut croire l’évolution de la situation. En seulement trente minutes, j’offre un arrangement pour les photos.
Il pense que je dois croire qu’il est un crétin. Comment puis-je croire que quelqu’un va me rendre des photos aussi pornographiques ? Il veut voir comment elle est motivée pour les récupérer. Il écrit : (Ma Salope, je suis un homme sympathique donc je pense que l’on peut trouver une compensation équitable. Mais il me semble, d’après le ton de vos messages d’aujourd’hui, que vous croyez mener la négociation. Ce n’est pas le cas. Donc, à partir de maintenant, les messages que vous m’enverrez devront commencer par Cher M. Et finir par Votre Salope Nicole) Marcel m’envoie le texte et attend la réponse de nouvelle soumise. Mon visage pâlit à nouveau. Maintenant, je me rends compte que je suis en face de quelqu’un avec qui ça ne va pas être facile de négocier. Il a le dessus et c’est lui qui lui ordonne comment elle doit lui parler et signer les messages.
Je réfléchis et décide qu’un message plus dur est approprié : (s’il vous plaît, veuillez stopper vos demandes déraisonnables et rendez-moi ces photos prises pendant mon instant d’égarement)Marcel sent maintenant qu’il a presque gagné. Il m’envoie une réponse rapide et directe : (Ma salope, le non-respect de ma première demande va te coûter cher. Ci-dessous, tu trouveras le numéro de téléphone de ton mari. Si j’ai bien compris, un message détaillé de sa femme en manque de sexe avec les photos qui vont bien, il sera sûrement ravi. M)- Oh mon Dieu ! dis-je à voix haute. Je lève les yeux pour m’assurer que la porte de sa salle des repas est bien fermée. Sinon une personne dans le couloir aurait sûrement entendu son cri. Heureusement, la porte est fermée et les affiches syndicales sur la vitre empêchent quiconque de voir dans la pièce.
Je réalise que je n’ai pas la main et qu’il va falloir que je fasse tout mon possible pour récupérer ces photos avant que mon mari ou le site de l’entreprise ne les reçoivent. Alors j’écris : (M, je suis désolée de ne pas avoir répondu correctement. Je n’ai pas les pensées claires. S’il vous plaît, donnez-moi une autre chance de trouver un moyen pour payer le retour des photos) Là, je signe correctement (Votre Salope Nicole) et envoie le message. Marcel sait qu’il me tient. Maintenant, il doit être rapide avant que la pause de Nicole se termine et qu’elle reparte en atelier. Il lui écrit : (Ma salope, je vais te donner une chance de plus, mais si tu la bousilles, tu peux dire adieu à ton boulot et à ton mariage. Car non seulement j’enverrai les photos à ton mari, mais aussi à tes deux enfants. Es-tu d’accord pour faire ce que je te demande ? M)Marcel n’a pas longtemps à attendre avant d’avoir la réponse : (Cher M, je suis prête à faire ce que vous demandez pour récupérer les photos.
Votre Salope Nicole)Il répond en retour : (Ma salope, tu enlèves ta blouse, ta jupe, ton chemisier, puis tu t’assois sur la table et tu prends une photo dans cette position. Ainsi je serais sûr que tu feras ce que je demande pour te rendre les photos. M)Je suis choquée de recevoir ce message de mon maître chanteur. Comment puis-je prendre cette photo ? Je regarde mon téléphone et apprend le dispositif du retardateur de prise de photos. Je verrouille la porte de la salle de repos, déboutonne ma blouse, ma jupe et mon chemisier, les enlève. Puis je pose mon téléphone sur une chaise et essaie de cacher ma figure quand il flashe. Je regarde la photo, contente que mon visage soit méconnaissable et je l’envoie avec le message : (Cher M, veuillez trouver ci-joint la photo demandée. J’espère que cela vous prouve que j’obéirai à votre demande pour récupérer les photos. Votre Salope Nicole. Lorsque Marcel reçoit le texte et l’image, il est à la fois excité et énervé.
Il voulait une photo de moi en sous-vêtements montrant mon visage. Il m’envoie un autre message : (Ma salope, tu me déçois pour la dernière fois. Je ne t’ai pas demandé de cacher ton visage. Pour cette transgression, tu enlèves ton soutien-gorge et tu reprends une photo en t’assurant que ton visage est visible. M)Je suis surprise par la réponse. Je me suis déjà rhabillée et j’ai déverrouillé la porte de la salle. Mais je sais que je n’ai pas d’autres choix que d’obéir sinon il enverra les photos compromettantes à mon mari et à mes enfants. Je me relève et va verrouiller de nouveau la porte puis j’enlève blouse, jupe et chemisier, passe mes mains derrière mon dos et dégrafe mon soutien-gorge. L’air frais de la pièce me tombe sur les seins et instantanément, mes mamelons commencent à durcir. En plus, je sens de l’humidité qui se forme dans ma culotte. Je suis surprise par la réaction de mon corps à ce strip-tease forcé dans la salle de pause.
Je replace le téléphone sur une chaise, je mets sur la table et compte jusqu’à cinq. L’appareil flashe. Je m’assure bien que mon visage soit visible. Je tape rapidement un message et envoie la photo à M :(Cher M, j’espère que la photo jointe vous indique que je suis prête à faire tout ce que vous voudrez pour que je puisse récupérer les photos. Mais comme je travaille, j’ai très peu de temps pour répondre à vos demandes, donc je me suis rhabillée. Peut-on parler plus tard de ce que je devrais faire ? Votre Salope Nicole)Marcel me répond en retour : (Ma salope, ta photo et ton attitude me satisfont. Cependant, je suis déçu que tu remettes tes vêtements sans ma permission. Je sais que tu travailles et je connais très bien le parking où tu te gares. Donc, pour n’avoir pas attendu pour te rhabiller, après le boulot, tu devras aller à ta voiture, enlever ta culotte et la mettre sur le siège à côté. Ensuite, tu attendras qu’une personne vienne à ta voiture.
Je regarderai de loin et je verrai la personne à qui tu parleras. Tu ne devras pas enlever la culotte du siège sinon tu le regretteras. M)Je m’évanouis presque à la réception de ce message. Cette histoire doit cesser. J’écris : (Cher M., s’il vous plaît, ne me faites pas faire cela. Votre Salope Nicole)Après l’envoi, j’attends, mais je ne reçois pas de réponse. Je suis préoccupée de ce que peut faire mon maître chanteur. J’ai peur qu’il envoie les photos à mon mari et mes enfants. Le reste de la journée, je ne peux pas me concentrer tellement les émotions bouillonnent en moi. De prendre ces photos dans la salle de pause m’a excitée si bien que ma moule est légèrement humide. Je ne peux croire que ce genre de dégradation me stimule. Ensuite, il y a la réunion de travail. Je ne suis pas du tout attentionnée, car je me demande comment je vais faire pour enlever ma culotte tout en étant assise dans ma voiture. Après la réunion, je retourne à mon poste de travail pour ranger mes affaires.

Elle m’assoit à mon poste et relit le dernier message de mon bourreau. Quand la sonnerie retentit, je baisse ma culotte sur ses chevilles puis l’enlève pour la placer dans mon sac, puis je le lève. Je me précipite dans ma voiture, mets la culotte sur le siège à côté de moi et fais semblant de lire des documents. Mais je regarde autour de moi pour essayer de voir mon maître chanteur. Mon téléphone sonne avec un nouveau message : (Ma salope, je t’ai dit d’enlever ta culotte DANS la voiture. Tu vas le regretter)Effrayée, je réponds de suite : (Non M. Je suis désolée, ne faites rien. J’ai fait une erreur, mais j’étais inquiète que quelqu’un m’aperçoive l’enlever dans le parking. Je vous promets de vous obéir. Votre Salope Nicole)Je lis la réponse immédiate : (Ma salope, enlève ta veste et déboutonne les deux boutons du haut de ton chemisier beige. Puis tu enlèveras tous les boutons de ta jupe sauf le dernier. Et débrouille-toi pour que le haut de tes bas soit bien visible.
Je vois quelqu’un qui s’approche. Assure-toi qu’il voit ta chatte. M)Je regarde et pense : [ Oh mon Dieu, c’est Marcel qui approche, que va-t-il voir ] Je commence à me couvrir, mais je me souviens que M regarde et je ne peux me permettre qu’il mette ses menaces à exécution. Quand Marcel arrive à ma voiture, je baisse mes papiers pour qu’il puisse voir mon décolleté et s’il regarde bien, mon mont de Vénus poilu. Puis je me souviens que ma culotte est sur le siège à côté. Comment puis je l’expliquer à Marcel ? Mais elle manque de temps alors que Marcel s’approche et dit :- Nicole, il faut que je te parle du syndicalisme. Je m’aperçois que son regard tombe sur le haut de mon chemisier et qu’il peut voir mon soutien-gorge qui couvre à peine mes mamelons qui pointent contre le tissu. Je ne peux le regarder à cause de mon embarras. Toutefois, je ressens une sensation que je n’ai jamais eue auparavant. Une moiteur se forme dans ma grotte sans que je puisse comprendre pourquoi.
Marcel dit alors :- Tu prends le soleil ? Tes jambes sont belles, mais je ne comprends pas pourquoi il y a une culotte sur le siège à côté de toi ?Je réponds que j’ai trouvé la culotte sur le chemin vers sa voiture quand je partais. Et je lui demande :- De quoi veux tu me parler Marcel ?- Oh j’ai oublié ce que je voulais te demander Nicole. Tu es si sexy, assise là, que j’ai complètement oublié ma question. Ses yeux inquisiteurs aggravent mon malaise alors je tourne la clef de contact de ma voiture. Marcel me demande :- Nicole, vous est-il possible de me conduire à ma voiture stationnée sur le parking derrière l’entreprise ?Contrariée par la situation et le regard de Marcel fixé sur mes seins, mes jambes et probablement le haut de ma grotte je déclare :- Je ne pense pas que j’ai le temps. Marcel me répond en fixant mon entrejambe :- Ma chère Nicole, je pense que tu veux bien me conduire. Sinon pourquoi attends-tu ici en me montrant ta chatte poilue ?
Je suis surprise par ces mots directs.- Il est évident que je te plais et que je t’ excite, car je vois un peu d’humidité entre tes jambes. Et je sais très bien que cette culotte est la tienne. Les mots de Marcel me prennent au dépourvu. Je ne savais pas que n’importe qui peut voir effectivement que je mouille un peu à cause de l’exposition de ma touffe de poils pubiens. Je tente de rabattre ma jupe sur mes jambes, mais Marcel dit :- Laisse ta jupe ouverte. J’aime vraiment ce que je vois et ça m’excite. Tu es une femme très sexy et je n’arrive pas à croire la chance que j’ai d’avoir une conversation avec toi. Puis Marcel m’ordonne presque :- attends-moi pendant que je vais chercher mon sac, tu va me conduire à ma voiture. Alors que Marcel s’éloigne sans attendre que je réponde, je ne comprends pas pourquoi je ne démarre pas pour m’en aller. Pour une raison étrange, je suis incapable de bouger.
Mon téléphone bippe soudain. [ Merde, c’est encore lui ] Je saisis mon téléphone pour lire le message de mon bourreau : (Ma salope, Pourquoi as-tu renvoyé cet homme avec sûrement une trique d’enfer ? ) Je réponds : (M., Il retourne chercher son sac. Il me demande de l’emmener à sa voiture, mais je ne pense pas que ce soit bien. ) Et je signe comme il faut (Votre Salope Nicole)A l’entrée du vestiaire, Marcel me répond : (Ma salope, tu le prends dans ta voiture. Tu laisses ta jupe déboutonnée afin qu’il puisse voir ta chatte poilue. Et s’il le désire, tu le laisses toucher ton corps dans la voiture. M) Je supplie : (M, s’il vous plaît, ne me faites pas faire cela. C’est un homme qui travaille dans le même atelier que moi. Je ne veux pas lui donner une mauvaise impression. Votre Salope Nicole)Marcel répond simplement : (Je t’ai donné un ordre donc tu fais tout ce que veut cet ouvrier. Sinon ta vie sera détruite bien avant que tu aies dit ouf. Alors NE ME DECOIS PAS salope.
M)Je termine de lire le message juste quand Marcel arrive à ma voiture. J’arrange ma jupe pour que ma grotte soit bien visible. Marcel s’assoit dans le siège passager à côté de moi. J’essaie d’attraper ma culotte, mais Marcel est plus rapide que moi. Il me dit :- Tu sais pourquoi je sais que c’est à toi ? Je l’ai vu dans l’atelier aujourd’hui. Je crois que tu l’as fait exprès quand tu croisais et décroisais les jambes. Je lui réponds :- Je n’ai pas intentionnellement montré ma culotte au travail.
Marcel ouvre la porte de la voiture et commence à descendre, mais je le supplie :- Ne fais pas ça s’il te plaît Marcel. Nous allons aller à ta voiture. Et je ferais ce que tu veux là-bas. D’accord ?Marcel ne veut pas trop exagérer donc il accepte et lui dit où sa voiture est garée. Quand nous arrivons sur le parking, je vois qu’il n’y a que la voiture de Marcel. Marcel m’indique qu’actuellement, je lui montre ma chatte et il veut savoir pourquoi. En même temps, il pose sa main sur ma cuisse. Envoyant qu’il ne rencontre aucune résistance, il remonte lentement sa main jusqu’à la limite de l’aine. Puis il demande :- Veux-tu que ma main monte plus haut et touche ta chatte humide ? Quand il voit que je ne réponds pas, il demande de nouveau :- Nicole, veux tu que je déplace ma main plus haut et que je touche ta chatte. Réponds-moi. Le timbre de voix me surprend et me fait trembler légèrement en comprenant la confiance avec laquelle il me parle.
La main de Marcel a un effet sur mes inhibitions. Lentement, j’écarte les jambes et demande poliment à Marcel de la toucher. Il me dit alors :- Nicole, dis-moi ce que veux tu que je fasse ?Comme Marcel ne bouge plus sa main, je le supplie.- s’il te plaît, touchez-moi. Mais Marcel demande encore :- Nicole, où veux tu que je te touche ?Je cède et dis :- s’il te plaît, touche-moi la chatte. Marcel se penche et me demande de tirer sa jupe vers le haut et d’écarter les jambes. Je dois lever mon cul du siège pour pouvoir remonter ma jupe autour de ma taille. Puis j’écarte les jambes autant que je le peux. Lentement, Marcel déplace sa main vers le haut de ma cuisse, jusqu’au moment où il sent mes poils pubiens. Ses doigts trouvent l’entrée de ma grotte et constatent que je mouille. [ Pour qu’elle soit autant humide, elle doit être bien excitée ] Pense Marcel. Il caresse lentement toute la longueur les lèvres de ma vulve.
Il s’arrête quand il atteint le sommet et son doigt se pose sur mon clitoris. Il entend un faible gémissement puis il commence un mouvement circulaire sur mon clito. Il sent que j’avance mon bassin pour mieux profiter de la caresse. Pendant qu’il continue à me titiller, sa main libre se pose sur mon sein droit à l’intérieur du chemisier. Marcel sent pointer le mamelon contre le soutien-gorge. Il le prend entre le pouce et l’index et il le pince. Puis il le roule entre ses doigts tout en augmentant le mouvement sur mon clitoris. Il réussit à entrer son majeur dans grotte humide puis un autre doigt. Malgré moi, je commence des va-et-vient du bassin sur les doigts de Marcel tandis que les premières affres d’un orgasme apparaissent. Marcel laisse ses doigts dans ma grotte et attrape son téléphone avec l’autre main. Son smartphone est très récent et complètement silencieux quand il prend des photos.
Il peut avoir un gros plan de moi, les yeux fermés, la bouche ouverte sur mon orgasme avec la jupe autour de la taille. Le salaud fait quelques photos avant que je n’ouvre les yeux. Alors il se penche et m’embrasse sur la bouche, forçant sa langue profondément à l’intérieur. Moi excitée comme jamais, j’aspire avidement sa langue tout en essayant de m’empaler encore plus sur ses doigts. Marcel glisse facilement un troisième doigt dans ma grotte humide, il sent mon orgasme arriver. Tout d’un coup, je suce plus fortement sa langue de tandis que je jouis encore. Quand enfin, je redescends de mon orgasme et que je réalise où je suis et qu’il m’embrasse, je tente de le repousser. Mais il ne retire pas son emprise sur moi, ni ses doigts dans ma grotte. Je me tortille et obtiens finalement que sa main se retire de mon sexe. J’essaie de reprendre le contrôle de la situation et dis alors :- Marcel, je dois te quitter, car je dois retrouver une amie. Il me répond :- OK !
Mais seulement si tu me laisses prendre une photo de ta belle poitrine. Choquée, je refuse :- Marcel, je ne veux pas que tu prennes des photos de moi comme ça.- Donc chère Nicole, je suppose que je vais raconter à mes collègues de travail la façon dont tu m’as séduit dans ta voiture. Comment tu m’as demandé de te caresser la chatte sur le parking de la boîte ? Je suis sûr qu’ils vont adorer...
Marcel ouvre la porte de la voiture et commence à descendre quand je le supplie :- Salaud !!! Ne faites pas ça s’il te plaît. Et je ferais ce que tu veux. D’accord ? Marcel me regarde dans les yeux et gronde :- salope, tu ferais mieux de me donner ce que je demande sinon ta vie sera foutue, lorsque j’enverrais les photos de toi en train de jouir dans cette voiture. Maintenant, ouvre ton chemisier et montre-moi ta belle poitrine. Exécution !J’ai peur pour vie familiale. Alors je commence à déboutonner mon chemisier et l’ouvre lentement. Je regarde Marcel. Celui-ci secoue la tête. Je comprends que je ferais mieux de montrer complètement mes seins. Alors que je descends mon chemisier sur mes épaules, je prends la lumière du flash du téléphone de Marcel dans les yeux. Instinctivement, je referme les pans de mon chemisier sur mon soutien-gorge et ma poitrine. Tout de suite, Marcel me dit durement :- salope, baisse ce chemisier et enlève ce soutien-gorge que je puisse voir tes tétons.
Je ne vois pas d’autre manière de sortir de cette situation alors je bouge les épaules pour faire glisser mon chemisier. Ensuite, je mets les mains dans le dos pour dégrafer mon soutien-gorge. Quand celui-ci tombe, il remarque que mes seins montent et descendent à chaque souffle. Puis il regarde mes mamelons qui pointent. Voulant avoir une meilleure prise de vue, il me demande de prendre un téton dans chaque main et de les presser pour les faire durcir. Alors que j’obéis, ma grotte commence à mouiller de nouveau alors je serre les jambes pour essayer de stopper mon excitation. Il me demande de mettre mes mains sur sa tête et il commence à prendre des photos de moi dans cette position. Il veut repousser mes limites alors il me demande de mettre sa tête en arrière contre le siège et d’écarter les jambes aussi larges que possible. Puis il dit :- salope, mets ta main gauche sur ta chatte et caresse-toi le clito. Et avec ta main droite, pince tes mamelons.
Tandis que je respecte ses ordres sans réfléchir, il prend photo sur photo de moi me touchant intimement. De temps en temps, il me demande de changer la position de mes mains. Je dois écarter les lèvres de ma vulve avec une main et enfoncer les doigts de mon autre main dans mon vagin. Marcel se débrouille à chaque photo que mon visage soit visible. Il veut des preuves irréfutables de ma soumission totale à ses exigences et ses envies. Ma respiration devient plus difficile. Marcel décide d’augmenter mon excitation en prenant un mamelon entre ses dents pour le mordre. Je crie sous la douleur, mais je ne le repousse le de ma poitrine. Ma respiration devient de plus en plus rapide et j’ai mon troisième orgasme de l’après-midi, sûrement le plus intense. Je presse mon sein contre la bouche de mon tortionnaire et lui demande de le mordre plus fort.
Il regarde ma main qui continue de branler ma grotte humide tout en gémissant de plaisir aux stimulations qu’il m’a imposées ces quarante dernières minutes. Alors qu’il est à peu près certain que je vais jouir une quatrième fois, il saisit mes mains en me disant qu’il ne veut pas que je jouisse. Moi, les yeux vitreux, je le regarde et le supplie de me laisser me terminer. Alors il me répond :- salope, tu n’a pas gagné le droit d’avoir un autre orgasme. Tu dois me supplier. Alors, regarde droit dans l’appareil, dis-moi qui je suis, ce que tu es, et ce que tu veux ? Sans hésiter, en regardant fixement l’œil du smartphone, je lui dis :- Tu es mon maître, je suis ta salope et je dois jouir, s’il te plaît Maître. Marcel est convaincu maintenant d’avoir toutes les photos et enregistrements dont il aura besoin. Mais il me dit que je ne peux jouir avant d’avoir goûté sa queue. Il prend ses mains et les pose sur la bosse de son jean entre ses jambes.
Il m’ordonne de sortir sa queue déjà bien raide et de mettre les trente centimètres de chair dans ma bouche de salope. Je me précipite, tellement je suis prête à tout pour avoir un nouvel orgasme. Peu importe si quelqu’un me voit dans cette situation scabreuse, je suis trop excitée pour réfléchir à ça. La bite de Marcel glisse entre mes lèvres tandis qu’il appuie sur ma tête. Mon nez dans touche ses poils pubiens, la bite complètement enfoncée dans ma gorge. Il me demande de me mettre à genoux afin qu’il soit plus facile pour moi de le sucer. J’ obéis, et, le cul en l’air, j’avale encore plus profondément sa queue dans ma gorge. Je sens les mains de Marcel tripoter mon cul jusqu’au moment où il me claque une fesse, m’excitant encore plus. Il réussit à glisser ses doigts le long de la raie de mon cul jusqu’à l’entrée de mon petit trou plus que privé. Quand il commence à introduire un doigt dans mon anus, je me débats pour l’éviter.
Avec son autre main, il me claque l’arrière de ma tête, son pieu s’enfonce encore plus dans ma gorge. En même temps, il entre complètement son majeur dans mon anus. Alors qu’il branle mon cul, je sens l’orgasme monter alors je m’applique à bien sucer la bite de mon maître chanteur. Quand il est prêt à jouir, j’avale sa queue encore plus profondément tandis qu’il glisse un deuxième doigt dans mon fondement. A ce moment, avec l’effet de deux doigts plongés dans mon anus, j’ai l’orgasme le plus intense que j’ai jamais eu. En récompense, j’ai des jets de sperme chaud dans ma gorge. Marcel m’ordonne de le garder dans ma bouche. Quand il se retire, il me demande d’ouvrir la bouche et de montrer le sperme sur ma langue. Alors que j’obéis, un autre flash indique qu’il m’a photographié avec son sperme dans ma bouche. Satisfait de ses photos, il me dit que je peux avaler. Une fois remise de mon agression sexuelle, je me rappelle où je suis et le fait que je suis presque complètement nue.
Je demande à Marcel de sortir rapidement de ma voiture, car je ne veux pas qu’on me voie dans cet état. - J’ai fait des belles photos tient regarde, me dit-il.
— Que veux-tu ? De l’argent ? L’œil fixé sur l’écran, angoissé par les images qui défilent.— Je n’en veux pas, je veux juste profiter moi aussi de tes bonnes dispositions.— Il n’en est pas question, pour qui tu me prends ? Je ne suis pas une pute.— C’est comme tu veux, ces photos seront bientôt dans les mains de ton mari et sur internet.
La menace claque comme une claque, j’imagine déjà mon mari en train de découvrir mon inconduite, je n’ose pas penser aux conséquences si la famille, les enfants, les amis, les collègues de travail venaient à apprendre cela, une catastrophe pour moi les collègues.Ce salaud de Marcel me regarde, des larmes plein les yeux, je suis sans voix, j’attends qu’il parle.Que va-t-il faire de ses photos ?? Ah ça oui il a parlé !!
— J’ai envoyé les photos sur mon ordinateur, ça peut rester juste entre toi et moi. Ça dépend de toi ? Tu viens chez moi, disons... tous les vendredis après-midi. Tu es à moi et feras tout ce que je te demanderais, même plus s’il le faut... A dit Marcel.
Je lui réponds un timide oui ! Déjà résignée, car je suis prise au piège. En remémorant la scène de la réserve, les cliquetis n’étaient pas du chariot, mais du portable de Marcel. C’est peut-être lui le M ????? Ah le salaud !! Il jubile de m’avoir à sa merci, avec ce chantage odieux, je changerai ma demi-journée de RTT, car dans l’entreprise c’est le lundi matin ou le vendredi après midi que l’on peut les prendre, c’est un accord syndical avec les trente-cinq heures.Je donnerai une explication plausible à Jacques, fini nos grâces matinée du lundi... - Bon !puisque nous sommes d’accord, tu viendras à quatorze heures chez moi.
— La grange qui donne sur la route sera ouverte tu y entreras en voiture, je refermerai les portes pour pas que l’on te voie, quand tu rentreras.
Dans le hameau, c’est le premier corps de ferme sur la droite, tu ne peux pas te tromper, il n’y en a que deux un à droite un à gauche et deux maisons au fond.Tu viendras avec une robe qui s’ouvre sur le devant, c’est plus pratique par ces temps chauds.T’inquiète pas, tu seras rentrée chez toi avant Jacques, OK !!Marcel remonte son pantalon et sort de l’auto sans rien dire. Je retrouve mon soutien-gorge et mon chemisier, mais n’arrive pas à mettre la main sur ma culotte. Je lève les yeux et vois mon Marcel sentir le petit bout de tissu. Je lui demande de la rendre, mais il me répond :- Non, ça va me rappeler les événements agréables d’aujourd’hui en attendant vendredi.-Bon à vendredi sans faute ! a conclu Marcel en agitant son portable sous mon nez. Après cela, Marcel monte sa voiture et s’éloigne du parking. Je me rhabille complètement, mais sans ma petite culotte bien sûr. Elle regarde sa montre et constate qu’il est bien retard. Alors que je sors du parking, mon portable indique l’arrivée d’un message : sûrement mon maître chanteur, responsables des événements d’aujourd’hui. Je décide d’attendre d’être arrivée à la maison pour lui répondre. Je ne veux pas être plus déboussolée que je le suis déjà. J’entre à la maison, je cours à la salle de bain pour me rafraîchir.
Une fois à l’intérieur, je suis choquée de voir du sperme séché autour de mes lèvres. Mon téléphone bippe encore une fois. Je me maudis en pensant que j’ai oublié de répondre au premier message qui disait que Maître M. était satisfait de mon comportement sur le parking de l’entreprise et qu’il est confiant que je lui obéirais pour récupérer les photos de moi dans la réserve. Mais le deuxième message dit : (Ma salope, tu ne me fais jamais attendre. J’écrirai plus tard. M)
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