Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 290 J'aime
  • 14 Commentaires

Un jour de chance en Enfer !

Chapitre 9

Hétéro
La langue d’Arwen s’enroula délicatement et très lentement autour de la mienne. Ses yeux, durant cet exercice, restèrent figés au fond des miens. Il était hors de question que je la lâche du regard. Cette femme était trop parfaite pour être réelle et je devais me convaincre que c’était bien moi qu’elle embrassait avec une fougue et un érotisme torride.  

 - Conrad ! Tu m’as demandé de répondre à la question qui vous taraude tous, n’est-ce pas ?

 - Oui ! J’ai besoin de connaître tes pensées afin de pouvoir me projeter dans l’avenir avec toi, savoir enfin où je vais et comment je pourrais, grâce à toi, revivre pleinement. Mais tu n’es obligée à rien tant que tu me permets de rester à tes côtés.

 - Alors plutôt que de te la donner, je voudrais que tu devines ce que j’en pense.   

 - J’ai déjà donné une réponse, Arwen. Elle t’attend sur ton téléphone.   

 - C’est vrai ! J’avais oublié. Tu permets que je regarde ce que tu as imaginé me concernant ? Je trouve cela particulièrement excitant. Me connais-tu vraiment ? Jusqu’où, selon toi, serais-je capable d’aller dans la réalisation d’un fantasme ou d’un désir ? Hein ?

 - Maintenant ? Demandé-je un peu déçu qu’elle arrête de m’embrasser tant ses lèvres et sa langue étaient un appel à la luxure la plus décadente.   

 - Oui ! J’ai envie que cette nuit soit inoubliable, pour toi comme pour moi. Et connaître ton ressenti m’excite, comme je te l’ai dit.   

 - Je t’en prie, dans ce cas, lis ce que je pense. Quel que soit ma réponse,et malgré le fait que j’attends toujours ta réponse, je suis donc gagnant !


 - Alors profites-en ! Me dit-elle d’une voix suave en se levant et en me bécotant encore une fois.   

Elle prit son téléphone et revint s’asseoir à mes côtés.  

Avant de regarder le message, elle posa, à nouveau sa bouche contre la mienne pour une nouvelle embrassade charnelle. Mais cette fois, elle m’embrassa en posant sa main sur ma nuque, me gratifiant d’un baiser goulu et terriblement excitant. Sa langue s’infiltra dans ma bouche tout en caressant la mienne, ses lèvres se frottèrent contre les miennes dans un sensation de soie et enfin, elle ferma les yeux pour ressentir tout l’amour que j’apportais dans cette étreinte.  

J’eus, pour la première fois, peur de mes sentiments.  

Je les avais tellement refoulés depuis deux ans que cette soudaine et brusque montée d’amour pour une autre personne que mon épouse m’effraya. De nouveau, je ressentis ce sentiment de la tromper, de me tromper, de commettre une erreur qui me ferait la perdre à jamais. Mais, en même temps, je perçus une forme de bien-être et d’apaisement qui renforça cet amour naissant pour une autre femme que celle que j’avais perdue. Et j’en étais comblé.

Ces émotions contradictoires me rendaient nerveux tout en m’apportant une paix intérieure dont je ne parvenais pas encore à déterminer l’origine. Était-ce l’amour ? Le deuil accompli ? Une forme de continuité dans une vie humaine ? La réponse restait en suspend. Mais il était certain que je n’aurai voulu me trouver ailleurs qu’à cet endroit, à ce moment précis, auprès d’Arwen.  

Brisant notre étreinte, elle me sourit et déverrouilla son téléphone. J’attendis quelques instants durant lesquelles elle lut mon message à haute voix, en me jetant un coup d’oeil de temps en temps, au milieu d’une phrase.  

[SMS]>Arwen, je pense que tu caches bien ton jeu et que tu n’es pas celle que tu veux me faire croire. Tu me caches ta vraie personnalité par peur de qui je pourrais être ou par peur de te dévoiler face à un inconnu. Car ton passé, que j’ignore encore, ne te permet plus de donner ta confiance si facilement, surtout à un homme que tu ne connais que depuis quelques semaines. Mais je suis certain que mes activités, amicales et nocturnes, ne sont rien comparées à celles que tu es capable de faire ou que tu as, j’en suis certain, déjà accomplies. 

Arwen me sourit en ayant terminé et me demanda

 - Ainsi, je cache mon jeu ? Tu penses sincèrement que je suis capable de supporter tout cela et, pire, d’y participer ?
— C’est mon ressenti ! Après, il est possible que je me trompe mais j’en doute.
— Qu’est-ce qui te fait croire cela ?
— Plusieurs petites choses qui m’ont intriguées depuis que je te connais et qui, mises bout à bout, me font penser que tu n’es pas aussi prude que tu veux me le faire croire.   

 - Je vais te laisser deviner ce que j’en pense, dans ce cas.   

Arwen, sans me prévenir, se positionna à genoux, entre mes jambes.  

Elle me regarda, avec un amour infini dans les yeux que contredisait son sourire carnassier. J’eus soudain l’impression de me retrouver face à une louve affamée. Ses lèvres s’ouvrirent pour me laisser voir ses dents blanches sur lesquelles elle passa une langue gourmande qu’elle passa ensuite sur ses lèvres brillantes de son maquillage en posant sa main, pour la première fois, sur mon pantalon, touchant mon sexe tendu par le spectacle auquel j’étais le seul convié.  

Ce premier contact m’envoya une décharge électrique dans tout le corps qui réagit par un spasme, ce qui fit rire Arwen, fière de cette première approche, devenue inoubliable à présent.  

Elle ouvrit d’une main dextre ma braguette pour en faire jaillir la preuve de ma virilité et de mon désir, jusqu’alors contenu.  

Mais la sensation de sa peau contre mon sexe si fragile et si sensible est un souvenir que je conserverai au-delà de la mort. Jamais je n’avais ressenti une telle décharge d’émotions et de plaisirs mêlés étroitement. J’avais l’impression d’une décharge d’amour tout en recevant la plus sensuelle et la plus douce des caresses. Ses ongles vernis de rouge, couleur de sa personnalité flamboyante, se dessinaient harmonieusement et avec une alchimie inégalée sur la blancheur de la peau de mon sexe turgescent.  

Rien que cette vision, d’un érotisme ravageur et incontrôlable, eut raison de ma raison.  

Je me laissais aller à la caresse qu’elle me prodiguait avec un talent indéniable. Son sourire, un peu moqueur mais enjôleur, accompagna sa première masturbation de ma queue entièrement prisonnière de la volonté d’Arwen. Rien au monde, à présent, ne pourrait me faire renoncer à elle. Elle avait vaincu ma deuil, ma colère, mes craintes, mes désirs refoulés, mon subconscient et ma conscience, mon envie, mes fantasmes et celle qui demeurerait à jamais dans mon coeur. Arwen avait pris sa place, sans combat et sans heurts, sans amertume ni sentiment de revanche, juste par sa présence et sa personnalité exceptionnelle, sans chercher à l’évincer ou à la faire disparaître, sans concurrence et sans rivalité féminine. Aujourd’hui, elle remplaçait celle qui n’était plus, avec simplicité et reconnaissance.  

Mon coeur venait d’exploser de bonheur, de joies et de craintes contenues. Car j’avais, à présent, peur de ce que cette femme était capable d’accomplir. La simple présence de ses doigts sur mon sexe m’avait déjà entraîné dans des abîmes de plaisirs et de désirs si profonds que je ne pourrai en revenir seul. Où serait-elle capable de m’emmener avec sa bouche ou son corps tout entier ? Allais-je y résister ?  

Comprenant les tourments qui m’assaillaient tandis que mon sexe palpitait de bonheur entre ses doigts agiles, Arwen me susurra en posant ses lèvres sur le lobe de mon oreille et murmurant tout en continuant son petit jeu. Auparavant, elle venait de poser son doigt sur sa langue pour l’humidifier avant de le reposer sur mon gland et d’en caresser le frein, aidée par son geste lubrificateur.

— Mon bel amant serait-il déjà vaincu ?
— Arwen ? Tu es un démon !   
— Oui, Conrad ! Je suis celle par qui ton plaisir renaîtra mais sans jamais oublier d’où nous venons et ceux qui nous ont fait. Et j’en suis heureuse car j’ai appris à t’aimer, mon amour. Tu ne peux imaginer le bonheur que j’en ressens, moi qui pensais ce sentiment à jamais éteint en moi.  
— Je suis à toi ! Tue-moi de plaisir, je n’en peux plus.
— Alors, j’ai raison ?
— En quoi ? Soufflé-je tandis qu’elle masturbait avec une lenteur insupportable mais une dextérité insoupçonnée ma queue qui me semblait grossir encore un peu plus à chaque mouvement, son doigt humide m’amenant simultanément souffrance, désir et jouissance.   
— Tu es vaincu !

Cette simple phrase impérative, ces trois mots, eurent raison de ma résistance. Car, non seulement elle avait raison, mais en plus, elle venait de prononcer ces paroles avec une voix si suave tandis que ses yeux perçaient les miens que mon cerveau fut inondé des signaux du plaisir.  

Mon sperme en fusion, chauffé à blanc par ce démon sortit des Enfers de la lubricité, jaillit par saccades de mon sexe qui me faisait mal tant je bandais. Ma queue avait rarement été aussi développée par le plaisir et aussi durcie par l’excitation.  

Arwen sourit au premier éjaculat puis se pencha pour ouvrir la bouche et entoura mon cep royal de ses lèvres rougies par la carmin de son maquillage, identique à celui de ses ongles.  

Cette seconde vision, d’un érotisme efficace, renforça mon plaisir et, alors que je pensais ma source tarie, deux jets puissants sortirent encore de mon sexe pour se loger sur la langue de ma maîtresse.  

— OOOOHHHHH OOOUUUUIIIIIIIIII....hurlé-je simultanément, sans pouvoir, cette fois, retenir le son de mon plaisir.

Arwen se releva en souriant à la fois pour me montrer sa satisfaction mais aussi pour me faire bien comprendre que le sperme ne la dérangeait pas, même logé dans sa gorge.  

Elle avala le fruit de mon plaisir en se léchant la lèvre supérieure pour me dire

— Tu es délicieux, Conrad ! J’adore le goût de ton sperme. Il m’en faudra encore.
— Mon Dieu !   

Ce furent les deux seuls mots que j’arrivais à prononcer, tandis que je reprenais une respiration encore hésitante, signe ma croyance définitive en son origine céleste mais aussi signe de la stupéfaction que je ressentais en admirant cette jeune femme qui avait dû bien rire de nos frasques de groupe qui devaient lui sembler bien fades en comparaison de ce qu’elle était capable de faire.  
— Arwen !
— Ouiiiii ? Me demanda-t-elle sournoise. — Qui es-tu ? Tu n’es pas humaine !— AHAHAHAHAH...Je suis flattée, mon cher !
— Flattée ?
— Bien sûr ! Je suis arrivée à faire douter un homme qui baise en groupe avec ses amis.   
— Arrête de te moquer de moi ! J’ai honte.   
— Tu ne pouvais pas savoir, Conrad. Même si, comme tu l’as écrit, tu m’avais percée à jour.   
 - J’étais, pourtant, encore loin de la vérité !
 - Tu penses ?
 - Arwen ! Bon sang ! Tu viens de me faire jouir comme un puceau.
 - Tu n’as plus l’habitude, mon amour. Je te la rendrai.   
 - J’espère bien !
 - Ne pense pas que je sois plus vaillante. Certes, j’ai baisé avec Sylvain, mais d’abord il fut mon premier amant depuis pas mal de temps, comme je te l’ai expliqué, et ensuite ce n’est en rien comparable avec l’excitation que je ressens actuellement. Ma chatte est inondée de mon envie de toi. Je n’ai jamais été aussi excitée qu’en ce moment. Je t’aime, Conrad !
 - Pardon ?   
 - Qu’y a-t-il ?
 - Que viens-tu de dire ? Demandé-je curieux.
 - Que je suis excitée par toi et ce que nous faisons actuellement.
 - Non ! Pas cela, les trois derniers mots.

Elle rit puis répéta

 - Je t’aime !

Elle me sourit avec une tendresse palpable tandis que mes lèvres s’étiraient pour le lui rendre. Elle se releva et me prit par la main pour m’embrasser à nouveau. Je sentis le goût de mon plaisir sur sa langue mais, loin de m’écoeurer, je prenais cela pour le sceau de notre nouvelle alliance.  

 - Viens !

Arwen me tira avec elle et nous prîmes la direction de sa chambre. Je m’arrêtais sur le seuil pour lui demander

 - Je peux entrer dans ta chambre, Arwen ?

Elle me sourit en repensant à la scène qu’elle m’avait faite lorsque j’étais entré sans son autorisation.  

 - Dorénavant, tu entres quand tu veux, Conrad ! Mon sanctuaire est devenu le tien.
 - Merci de cette précision.   

Mon regard tomba, à nouveau, sur sa collection indescriptible de dessous et de chaussures. Je tournais mon visage vers elle pour la voir rougir légèrement. Elle crut bon de se justifier.

 - Quoi ? J’aime la lingerie et les chaussures, ce n’est pas grave, tout de même.
 - Je ne dis rien !
 - Mais tu regardes !
 - Je ne vais pas me gêner si tu l’exhibes.   
 - Cela ne t’ennuie pas d’avoir une compagne qui dépense une somme folle dans ces babioles ?
 - À condition que je sois celui qui en profites, certainement pas ! Mais j’y mets une condition.
 - Laquelle ?
 - Celle d’avoir un défilé de tout ce qui se trouve dans cette pièce, dis-je en la prenant dans mes bras et en l’embrassant à nouveau.   
 - Promis ! Me dit-elle en se jetant sur son lit. Je suis ravie que mon amant raffole, donc, de la lingerie féminine et de toutes les possibilités qu’elle offre. Maintenant, montre-moi tes talents !

En me disant cela, elle écarta les pans de son déshabillé et écarta ses cuisses parfaites pour me laisser admirer ses jarretelles et ses bas au bout desquels je trouvais son string montrant, plus que ne le cachant, un sexe glabre et parfaitement épilé.  

Mon sexe reprit du volume face à cette vision merveilleuse.  Je n’oubliais pas que cet endroit devait receler encore quelques secrets inavouables, mais j’avais déjà reçu un sacré quota de révélations pour la soirée. Je ne voulais pas, non plus, pousser le bouchon trop loin. Et puis, j’avais, en cet instant, une autre charmante occupation dont je devais m’occuper et qui m’attendait, couchée sur son lit.

Elle me fixa à nouveau du regard tandis que je m’approchais, tel un félin guettant sa proie. Les rôles étaient, à présent, inversé et je dominais la situation.  

 - Tu veux que je te lèches, Arwen ?
 - Mmmmhh....c’est une bonne idée.   
 - Mais chez moi, cela se mérite.
 - Je l’ai mérité, je t’ai fait jouir ! Me dit-elle, un peu boudeuse ce qui renforça encore sa beauté.   
 - Je ne t’avais rien demandé tandis que c’est ton cas ! Alors demande-le moi correctement. Tu dois savoir que les mots sont particulièrement excitant pour moi ! C’est l’aphrodisiaque par excellence. Acceptes-tu cela de ton futur compagnon ?
 - Mon amour ! Viens me lécher la chatte et prendre ton dus. Fais-moi fondre de plaisir avant de pouvoir me défoncer et faire de moi ce que tu veux.   
 - Mmhh...pas mal ! Comme c’est une première, je serai magnanime.   
 - Tu attends plus, peut-être ?
 - J’aime l’excitation que mes mots procurent, Arwen ! Je suis comme cela. Cela m’excite d’entendre ma partenaire s’exprimer clairement, en usant des mots du plaisir et de l’excitation. Verbaliser ses désirs, pour une femme, me rend accro. Mais, comme je ne sais si tu en es adepte, je me contenterai de cela.

Elle me regarda intensément et, passant ses mains sur ses seins pour les caresser langoureusement du bout des doigts, elle me dit

 - Suce ma chatte, pénètre-moi de tes doigts, fais-moi couler de bonheur et bois mon jus ! Donne-moi un orgasme, fais-moi hurler de plaisir ! Baise-moi, mon amour ! Je serai ta salope ou ta pute si tu le désires. Mais fais-moi jouir !
 - Oh Arwen ! Dis-je en me jetant sur le fruit de mon désir, vaincu par ces premiers mots dont je savais qu’ils n’étaient que les prémices de ce dont elle était capable dans ces moments de bonheur et de lâcher prise.

Ma langue trouva directement son clitoris qui était sorti de sa cachette tout seul, preuve d’une excitation intense de sa propriétaire ainsi qu’elle me l’avait annoncé. Ainsi, Arwen qui semblait si sûre d’elle, ne l’était finalement pas tant que cela. Sa capacité à dissimuler son désir m’ébahit tandis que je lapais le jus qui s’écoulait de son vagin jusqu’à son anus. Elle ruisselait de plaisir, sa cyprine douce et sucrée comme sa propriétaire faisant mon délice. Je bus à sa source tout ce qu’elle me donna, montant et descendant la pointe de ma langue entre son petit bouton et l’entrée de son cul.  

Ses mains pressaient toujours ses seins et je pus voir, du coin de l’oeil, sa tête bouger de gauche à droite, sa bouche expiré de longs râles de plaisir et ses yeux se fermer sous l’emprise d’une excitation bien réelle.  

Puis, je pénétrais son vagin de ma langue tandis qu’un doigt prenait position en face de son petit trou fripé. J’avais pris soin de l’imprégner du liquide abondant qui s’écoulait jusqu’à cet endroit avant, d’une caresse douce et presque imperceptible, bouger sur sa porte secrète.   

Elle cambra ses reins sous le double assaut tandis qu’elle expirait

 - OOOHHH OUIIIIIII...COOONRRAAAAAD ! C’EST BOOOOON !

Je souris tout en continuant de caresser l’entrée de sa chatte avec ma langue, me repaissant de son plaisir et de son odeur fabuleuse qui m’enivraient tout deux. Ma queue se tendit à nouveau par la grâce de cette fragrance inédite mais terriblement aphrodisiaque. Mon doigt s’enhardit un peu et une phalange pénétra le cul offert de ma maîtresse.  

Je pris soin de laisser couler encore un peu de sa cyprine entre ses fesses afin qu’une lubrification naturelle me permettre d’aller plus loin dans le plaisir que je comptais lui octroyer. Lorsque je fus satisfait, ma phalange ressortit avec une lenteur calculée tandis que j’appuyais un peu plus sur les parois de son vagin, contraste des plaisirs, sous la moue réprobatrice d’Arwen qui poussa ses fesses à la rencontre de mon doigt, comme pour le faire reprendre une place qui devait être la sienne.  

Mon doigt, humidifié par ses sécrétions, replongea lentement mais fermement alors dans le fondement d’Arwen qui feula de plaisirs tandis que ma langue, sortie du fourreau de son sexe, se porta, pointue et dardée sur son clitoris gonflé par l’excitation qu’elle ressentait.  

 - JE JOUIIIIIIIIS....OUIIIIIIIII..... ! TU ES UN MOOOONSTREEEEE....AAAAARRGGGHH !

Elle ne prononça que ces mots, mais il agirent sur moi comme le meilleur baume de mon existence. Je venais de rendre à Arwen ce qu’elle venait de me donner. Avec une lenteur et un désir manifeste, une douceur et une envie magnifique.  

En la regardant, il me semblait que rien n’était plus beau que cette femme lorsqu’elle jouissait.  

Son corps fut pris d’un spasme de plaisir et ses jambes se tendirent lorsque la décharge électrique prit possession de son cerveau. Elle bougeait comme un pantin sous mon doigt et sous ma bouche. Je reçus un flot de son plaisir qui inonda ma bouche, première expérience de ce genre mais qui me fit, instantanément bander. Je jouis de plaisir en découvrant les capacités insoupçonnée d’Arwen. Heureusement, je pus me contenir à temps et ne pas recouvrir, à mon tour, le sol de sa chambre d’un plaisir égoïste.  

En reprenant sa respiration, Arwen me regarda comme si elle admirait une oeuvre d’art. J’eus peur de cette comparaison audacieuse mais elle me dit

 - Oh Conrad ! Jamais un homme ne m’a fait jouir de cette façon uniquement avec sa bouche et ses doigts.
 - Heureux de te rendre heureuse ! Riais-je au compliment qu’elle venait de me faire.   
 - Heureuse ? Me demanda-t-elle en se jetant dans mes bras. Je ne suis pas heureuse, Conrad. Je suis comblée. Je t’aime, mon amour.   
 - Je t’aime, Arwen.   
 - Prends-moi, maintenant. Prends-moi et jouissons encore ensemble, cette fois ! Je le veux !   

Elle se coucha sur le dos, écartant le compas de ses jambes après avoir retiré son string. J’eus la vision d’ensemble de son corps parfait. Ses seins étaient sortis de leur fourreau de dentelles et elle les caressait à nouveau en me disant

 - J’ai remarqué que tu aimais que je caresse ma poitrine. Je me trompe ?
 - Non, Arwen ! J’adore te regarder toucher tes seins.   
 - Alors regarde-moi, mon amour ! Tes yeux sur moi, lorsque je fais cela, me rendent folle de désir. Regarde mes mains sur mes seins, regarde comme ils pointent. J’ai envie de ta bouche sur mes tétons et de ta queue dans ma chatte. Viens !

Qui pourrait résister à une telle demande ?  

Je pris position entre ses jambes et baissais la tête pour poser mes lèvres sur son téton droit. Elle jeta sa tête en arrière lorsque le contact s’établit dans un râle de plaisir.

 - Mmhhh....Tu es si doux, mon amour !

Ma langue sortit entre mes lèvres et titilla quelques instants ce bout de chair si sensible chez bon nombre de femmes. Sa main se faufila entre nous, elle prit position sur ma queue et la dirigea alors vers sa grotte inondée.  

Je stoppais mes caresses pour poser mes yeux dans les siens. Je voulais la regarder lorsque je la pénétrerais pour la première fois de notre existence. Elle fit de même, comme si nous regarder devait constituer l’acte ultime devant sceller notre union.  

Mon sexe se positionna entre les lèvres de sa chatte. Je lui demandais

 - Tu le veux ?
 - Je le veux ! Prends-moi, Conrad ! Fais de moi celle que tu aimes vraiment !
 - Il n’y aura pas de retour en arrière, Arwen !
 - Parce que je n’en veux pas, Conrad ! Maintenant, vas-y ! Pénètre-moi ! Prends possession de ma chatte !

En donnant la dernière poussée, je sentis le plaisir m’envahir mais aussi un bonheur si indescriptible que j’avais l’impression que mon épouse nous regardait et souriait de me voir oser ce geste que je n’envisageais plus jamais pour moi.  

Tandis que mon sexe tendu prenait possession du vagin d’Arwen, il me semblait, que par-delà la mort, une jeune femme pleurait de joie de savoir son mari à nouveau heureux dans les bras d’une autre, en attendant de la retrouver pour toujours et de vivre éternellement à ses côtés.
Diffuse en direct !
Regarder son live