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Un jour de chance en Enfer !

Chapitre 11

Tout vient à point...

Orgie / Partouze
Cette mise au point effectuée auprès de nos amis, tandis qu’Arwen venait de m’avouer qu’elle leur avait dissimulé ses réelles intentions et que, grâce à ses révélations, sa véritable personnalité commençait à se dévoiler à mes yeux, la soirée put débuter.  
Les filles se jetèrent dans la piscine pour se rafraîchir et continuer à discuter calmement.  
Pendant ce temps, Pierre et Sylvain vinrent me rejoindre  
 - De quoi parliez-vous avec Arwen ? Demanda Pierre. - Oh, rien ! Elle me disait simplement qu’elle espérait être à la hauteur, mentis-je avec un aplomb que je ne me connaissais pas. - J’en suis certain ! Nous déclara alors Sylvain en admirant les courbes si féminines de ma compagne de jeux.   
Je souris à son sous-entendu car il avait eu la primeur des charmes de ma compagne et n’avais pas pu lui résister, dans tous les sens du terme. Elle était arrivée à l’exciter à un point tel qu’il n’avait pu se retenir pour éjaculer comme un puceau.  Ce qui, connaissant mon ami, n’était pas un mince exploit qui me faisait dire que les capacités d’Arwen ne m’avait pas encore été entièrement révélées. 
Il comprit mon sourire et ne se priva pas pour m’envoyer un coup de poing amical dans l’épaule.  
 - Oh, ça va, hein ! Rigola-t-il enfin.   
J’étais heureux que toute ambiguïté entre nous fut, désormais, bannie à ce sujet. Après tout, il avait eu, en son temps, les honneurs des charmes de mon épouse qui ne se privaient pas de profiter des performances de Sylvain ou de Pierre.  
Cependant, alors que nous discutions du début de la période estivale et des possibilités qu’elle nous offrait en terme de rencontres et de vacances, une forme de silence nous tira de nos paroles, provenant de la piscine.  
En nous retournant, je pus voir Corinne poser délicatement ses lèvres sur celles d’Arwen. Nathalie, juste à côté, avait les yeux fixés sur ce duo pour ce qui semblait être, à ma connaissance, leur premier baiser.  
Si j’avais déjà eu l’immense privilège d’admirer deux femmes se donner un peu de plaisir entre elles, du temps béni de mon épouse, j’étais tout de même assez curieux d’admirer ma nouvelle compagne à l’oeuvre, malgré sa volonté farouche de regarder plutôt que de participer.  
Corinne pressait tendrement ses lèvres ouvertes contre celles, similaires, d’Arwen. Nous pouvions tous voir que leurs langues se touchaient avec une lenteur calculée, passant d’une bouche à l’autre et émettant un bruit suave d’humidité se mélangeant. Leurs yeux étaient clos mais l’ardeur qu’elles mettaient à se découvrir nous rendit tous émus.  

Arwen prit l’initiative de déposer sa main sur le sein de sa partenaire. Nous vîmes deux doigts disparaître sous le fin tissu du maillot qui ne recouvrait, à vrai dire, pas grand chose de la féminité de Corinne. Les doigts s’agitèrent, pressant et tirant légèrement sur le téton qui se dardait chaque seconde un peu plus sous l’effet tendre qu’il ressentait.  
 - Mmhh....Arweeen...c’est divin ! Dit Corinne en ouvrant les yeux et constatant qu’elles étaient devenues le centre de l’attention générale. - Merci ! Répondit-elle en reprenant sa respiration et en faisant le même constat.   
Elle me chercha du regard, attendant certainement une forme d’approbation que je lui donnais immédiatement en baissant mon regard sur mon maillot dont la protubérance ne pouvait signifier que mon assentiment à ce que je venais de regarder.
Arwen me sourit puis déclara
 - C’est effectivement intéressant. Un baiser entre femmes est bien plus tendre qu’avec un homme. Il faudra que j’approfondisse cela avec toi, Corinne ! Dit-elle en déposant, à nouveau, mais rapidement cette fois, ses lèvres sur celle de sa partenaire comme pour la remercier d’une découverte qui, je le savais, n’en était pas vraiment une. - Tout le plaisir était pour moi !     
Nathalie me regarda à cet instant et je compris qu’elle n’attendait que son tour pour, enfin, profiter des charmes d’Arwen. Je lui souris en haussant les épaules pour lui faire comprendre qu’elle devrait encore patienter un moment.  
Arwen sortit de l’eau et se dirigea vers moi. Dans son mouvement, elle porta ses mains autour de son cou et détacha le noeud retenant son haut de bikini. Arrivée devant moi, elle le déposa dans ma main avec un sourire éclatant tandis que ses seins merveilleux, dardés par le froid de l’eau, pointaient dans ma direction, source d’excitation et de désir certain pour n’importe qui.  
Elle prit son verre sans me quitter des yeux, le porta à ses lèvres puis me dit tout bas
 - Je sens que cette soirée sera mémorable, mon amour. Corinne embrasse divinement bien et ses seins sont un régal pour la main. J’espère que tu me laisseras encore en profiter ?
Je lui souris encore en posant mes lèvres sur les siennes puis, me tournant vers mes amis, je les emmenais avec moi pour sauter dans l’eau. Durant cet intermède, Arwen avait resserrer son paréo autour de sa taille, comme pour dissimuler le plug qui ornait toujours son adorable derrière. Je m’étonnais que personne ne l’ait encore vu, mais il est vrai qu’elle était entrée dans l’eau d’un seul bond pour en ressortir en face des garçons et de côté pour les filles.  
Ce souvenir, ainsi que la promesse qu’elle m’avait faite en me permettant de découvrir ce jouet particulier, redressèrent en un seul élan, ma virilité qui s’en trouvait dur comme du bois.  
Pierre se dirigea vers Corinne tandis que Sylvain alla vers Nathalie.  
Les réjouissances commençaient.  
Dans un coin de la piscine, je pouvais regarder Pierre retirer le soutien-gorge du bikini de Corinne et poser ses lèvres sur le téton qu’Arwen venait de torturer. Sa propriétaire poussa un soupir de soulagement à ce contact et prit les cheveux de son amant dans une main pour le guider sur le jumeau qui n’attendait que son offrande.  
De son côté, Sylvain avait déposé délicatement Nathalie sur le rebord de la piscine après lui avoir retiré son bas de maillot. Les jambes écartées dont une, pliée, reposait sur le rebord, elle se faisait lécher la chatte par un Sylvain assoiffé. Sa tête était partie en arrière et une de ses mains caressait déjà son sein sous le fin tissu de son bikini. Je pouvais voir ses mamelons se gonfler et se tendre, signe d’une excitation grandissante et inévitable.  
Je portais mon regard sur Arwen qui s’était assise contre le dossier d’un bain de soleil et, sirotant lentement son verre, admirait le spectacle qui débutait. Elle me fit un signe de la tête pour m’encourager à me rapprocher du couple le plus proche d’elle. Corinne, attentive, lui sourit puis, tournant son regard vers moi, m’invita d’un signe à la rejoindre.  
Je me dirigeais, lentement puisque j’étais immergé jusqu’à la taille, vers le couple qui m’avait été désigné par Arwen. Étrangement, je n’en menais pas large. J’avais beau être habitué aux jeux de groupe, ma maîtresse, par son comportement sans tabou des dernières minutes, m’intriguait et m’intimidait.  
Sans savoir pourquoi, une part de moi était tétanisée à l’idée de poser la main sur Corinne tandis qu’une autre part était excitée comme rarement.  
Alors que j’allais toucher la main de mon amie, je vis du coin de l’oeil Arwen sourire et s’allonger sur son support, posant un pied de part et d’autre du matelas. Ses yeux ne quittaient pas les miens et son sourire m’encouragea à continuer ma progression.  
Corinne tourna son regard vers elle qui, d’un mouvement de tête, lui donna son assentiment à prendre les rênes. Elle parla à l’oreille de Pierre qui me sourit et se retira, me laissant la place, pour se diriger vers son épouse qui était toujours en train de se faire lécher la chatte par un Sylvain attentif à ses réactions.  
Corinne se tourna vers moi, seins nus, prit mes mains dans les siennes et les posa directement sur sa peau humide. Mes mains entourèrent sa poitrine et elle déposa sa langue contre ma lèvre inférieure, son regard planté dans le mien.  
— Te souviens-tu de ce que j’aimais, Conrad ?— Bien sûr, Corinne !— Serais-tu d’accord de le montrer à Arwen ?   — Tu penses que c’est une bonne idée ?— Je suis certain qu’elle appréciera ! Fais-moi confiance, Conrad ! Viens !
En disant cela, elle se dirigea vers l’escalier de la piscine et, se mettant à genoux sur la dernière marche, elle posa ses mains hors de l’eau. Son cul magnifique tendu dans ma direction, elle détacha avec une  calculée et une grâce innée les ficelles retenant le bas de son maillot qui échoua lamentablement dans l’eau, dérivant lentement au gré de la poussée de la filtration vers les skimmers, à l’autre bout de l’étendue azur.  
Maintenant, son cul parfait me faisait face et je savais parfaitement ce qu’elle attendait de moi. Je l’avais pratiqué plusieurs fois avec elle et je me souvenais de sa réceptivité à ce qui allait suivre. Ma queue était tendue à m’en faire mal, surtout lorsque je vis qu’Arwen avait passé quelques doigts sous l’élastique de son bikini et caressait langoureusement sa chatte. Elle m’encouragea une dernière fois d’un sourire complice puis je m’exécutais.  
Je penchais ma tête entre les globe charnus pour, la langue sortie, entamer une caresse intime du cul de Corinne. Elle avait toujours raffolé de cette caresse si intime et je ne me privais pas de la lui offrir.  
— Mmhh...J’addoooorre...Excite-moi, Conrad ! Tu sais comment faire !   
La pointe de ma langue s’insinua d’un millimètre contre la porte de la partie la plus intime de son corps tandis que mes mains partaient, à nouveau, à la découverte de ses seins pendus sous son buste. Je titillais ses tétons, les étirais lentement, les faisais rouler entre mes doigts tandis que je progressais avec une lenteur infernale et calculée son fondement.  
J’humidifiais ma langue à chaque passage, forçant ainsi le passage pour pénétrer son cul.  
Corinne ne se retint pas et se caressa la chatte juste contre mon menton, me permettant de ressentir la progression de son plaisir à l’humidité qui envahissait un peu plus à chaque seconde cette partie de son anatomie.  
 - Haannn....Ouiiiii....Plus loooiiinnn....Je mouille si foooort, encoooore...
J’avais oublié à quel point Corinne était expressive dans ces moments d’intimité. Elle ne se privait jamais de faire connaître son état d’excitation ainsi que sa progression vers un orgasme qu’elle appelait de tous ses voeux.  Pour un homme tel que moi qui réagissait singulièrement à ces pratiques, c’était un moment d’intense excitation. Ma queue était tendue comme un arc et dure comme du marbre. 
J’ouvris les yeux et, par-dessus les fesses de ma partenaire, je pus contempler Arwen qui caressait ses seins tandis qu’elle jouait à entrer et sortir le plug coincé entre ses fesses, stimulée, visiblement, par l’exercice auquel je me livrais tandis que Corinne lui permettait de prendre part à son plaisir par des paroles de plus en plus crues.  
 - Putain ! Ouiiii....lèche-moi le cul ! Entre ta langue, Conrad ! Baise mon cul ! Ouiiiiii.....AARRGGGHHH....
Elle atteint un orgasme qui la fit trembler lorsqu’elle inséra un troisième doigt dans son vagin tandis que j’étirais ses seins en serrant ses tétons entre mes doigts pendant que ma langue forçait définitivement la porte de son cul, lui octroyant ainsi le plaisir auquel elle aspirait.  
Elle s’écroula dans le peu d’eau présente sous son corps, un spasme de plaisir secouant ses seins, tandis qu’Arwen l’imitait par son soupir et ses gestes.  
Je pus, en relevant la tête, assister à son premier orgasme.  
Elle tirait son sein comme je l’avais fait avec Corinne tandis qu’elle enfonçait son plug au maximum possible dans son anus, parfait réceptacle d’un plaisir auquel je n’avais pas encore eu l’occasion d’assister avec elle.  
Elle ouvrit les yeux et, voyant que je la regardais avec attention et désir, me sourit. Elle retira le plug de son cul, le posa au sol et, se levant, se déshabilla complètement. Elle me fit alors un petit signe de la tête pour m’inviter à m’intéresser à la scène se déroulant derrière moi.  
Sylvain, Pierre et Nathalie baisaient !
Sylvain était couché sur le dos, accueillant Nathalie sur sa queue tendue qui pénétrait son anus. Pierre, agenouillé entre les jambes grandes ouvertes de son épouse et celles, plus resserrées de son ami, pénétrait la chatte de son épouse à contre-temps de la pénétration anale de Sylvain.  
Nathalie tentait de retenir ses soupirs d’aise mais, à cet instant, le plaisir semblait l’emporter et elle eut le plus grand mal à continuer à maîtriser son désir.  
— Ouiiiiiii....plus fort les garçons ! Putain que ces bons deux bites en même temps....Plus foooort !
Sylvain garda la même attaque mais Pierre, connaissant visiblement parfaitement son épouse, accentua la pénétration de la chatte gluante tout en accélérant un peu son rythme, se décalant de celui de Sylvain. L’effet fut immédiat  
— OUUUIIII....OH PUTAAAIINNN.....PLUS FOOOORT! BAISEZ-MOOOOIIII !
Attentif à la scène, je ne vis pas Arwen pénétrer dans l’eau. Ce n’est que lorsque ses mains entourèrent mon corps et se portèrent sur ma queue tendue que je compris qu’elle était là.  
 - Elle est belle lorsqu’elle jouit, tu ne trouves pas ?
Tout en me disant cela, elle entama une lente masturbation de mon sexe, déjà bien excité par le début des ébats.  
 - Tu aimes que je te branle, Conrad ? - J’adore, ma chérie !    - Cela m’excite de faire cela devant tes amis. Mais je ne veux pas que tu jouisses par moi. Retourne vers Corinne et baise-là ! Je veux que ce soit elle qui te fasse jouir. Tu veux bien faire cela pour moi ?   
Je me retournais vers elle, sans qu’elle ne lâche ma queue et je lui demandais
 - Pas de regret ? - En ai-je l’air ?    - Non ! Comme tu voudras.   
Je l’emmenais avec moi qui ne voulait pas desserrer son étreinte autour de mon cep. Puis, arrivée aux côtés de sa nouvelle amie qui émergeait de son premier orgasme, elle lui demanda
 - Tu veux bien qu’il te baise sous mes yeux, Corinne ? - Bien sûr ma chérie ! Tu sais maintenant que j’ai toujours eu un petit faible pour lui et que j’adore sentir sa queue tressaillir lorsqu’il jouit, lui dit-elle en posant ses lèvres sur les siennes pour un nouveau baiser passionné.   
Cette fois, j’étais aux premières loges et, tandis qu’Arwen continuait à me masturber, elle poussa sa langue dans la bouche de Corinne qui répondit par une action similaire. Les langues se mélangeaient et se léchaient tandis que les lèvres fusionnaient sous mon regard excité et intéressé.  
 - Il me semble prêt, Corinne ! Amuse-toi avec lui mais, s’il-te-plaît, c’est à lui de jouir, cette fois.
Corinne sourit à Arwen puis, se tourna vers moi. Elle posa sa bouche sur la mienne et la pénétra de sa langue à son tour. Elle remplaça ma maîtresse sur ma queue et entama le même mouvement quelques secondes. Puis, elle me demanda
 - J’ai envie de te sucer un peu avant, Conrad ! Viens sur le rebord.
Je m’assis, écartant les jambes, tandis que Corinne descendait son visage, toujours en me regardant et passant une main sur ses seins, connaisseuse de mon adoration de ce petit mouvement si terriblement érotique pour le regard, puis, ouvrant la bouche, goba l’ensemble de mon sexe tendu jusqu’à la glotte.  
Elle entama une fellation divine, bavant en abondance, signe annonciateur d’une pénétration buccale plus profonde, caressant de ses lèvres et de sa langue une bonne longueur de ma queue. Elle tourna un instant autour du gland puis, léchant la zone du frein, m’envoya une décharge électrique dans la colonne. Elle sourit en me sentant me tendre, cessa son mouvement et se concentra à nouveau sur la pénétration de ma queue dans sa bouche.  
Elle prit possession de ses seins et les malaxa lentement tandis qu’elle força ma queue à passer la barrière de sa bouche pour entrer dans sa gorge. Elle était la seule femme qui arrivait à encaisser la pénétration totale de ma queue et me permettre de connaître le délire que procure une gorge profonde. Arwen, elle-même, n’avait jamais tenté de le faire.  
Je ne possède pas un organe démesuré comme dans certains films de cul. Mais je n’ai pas à rougir de mon appendice masculin qui reste dans des proportions raisonnables. Aussi, les femmes ne tentent généralement pas de me gober complètement. Sauf Corinne !  
Ainsi, je sentais sous l’effet visuel qu’elle m’offrait de ses seins caressés par ses soins combiné à l’effet de sa bouche collé à mon pubis, en plus du plaisir de sentir sa langue caressé ma queue sur toute sa longueur, que mon éjaculation n’était plus lointaine.  
 - Corinne ! Dis-je dans un souffle, je vais jouir si tu continues. - Mmhhh.... !   
Je compris qu’elle n’avais pas l’intention d’arrêter et, accentuant sa caresse sur ses seins, me pompa avec une ardeur renouvelée, déclenchant un tsunami dans mon cerveau qui fit jaillir mon sperme au fond de sa gorge.  
Loin de l’écoeurer, je savais qu’elle raffolait de cet arrosage en règle de sa bouche. Elle n’en perdit pas une goutte et avala le fruit de son labeur avec une gourmandise évidente.  
C’est à cet instant qu’Arwen apparut à ses côtés, caressant son dos et passant vers ses seins pour remplacer ces mains qui avaient si bien su m’exciter.  
Lorsque le flot de mon plaisir se tarit, Corinne releva la tête et, contrairement à ce que j’avais imaginé, posa sa bouche sur celle d’Arwen pour lui procurer une partie de mon éjaculation. Elles s’échangèrent, gourmandes et partageuses en même temps, les filaments blancs de mon plaisir tout en se caressant mutuellement la poitrine, Corinne osant même déposer un doigt sur la chatte de sa nouvelle partenaire de sexe.  
 - Il est si délicieux que je n’ai pu résister à la récolte, dit Arwen. - Ce fut un plaisir de te nourrir, ma chérie ! Lui répondit Corinne. Tu recommences quand tu en as envie.   
Ce qui déclencha un nouveau baiser torride entre les deux femmes. Mais cette fois, Arwen pénétra sans préavis la chatte de Corinne de deux doigts, lui arrachant un soupir d’aise qui se perdit entre les lèvres de sa nouvelle maîtresse.
Elles se caressèrent quelques secondes puis se détachèrent l’une de l’autre, Corinne déclarant
 - Il nous reste encore tant de temps durant la soirée. Ne soyons pas pressées, tu veux bien ? - J’adore prendre mon temps lorsqu’il s’agit de plaisir, ma chérie ! Mais je te promets que tu jouiras sous mes assauts cette nuit.    - J’y compte bien !   
Nous nous retournèrent pour constater que Nathalie était en train de prodiguer une double fellation aux garçons. Elle alternaient entre la queue de Sylvain et celle de Pierre avec la régularité d’un métronome.  
Corinne, toujours gourmande, rejoignit le trio et, s’intégrant entre les garçons, s’empara de la queue de Pierre pour l’enfoncer dans sa bouche et lui octroyer le plaisir qu’elle venait de me donner.
Pierre était sucé par Corinne tandis que Nathalie engloutissait contre son palais la queue tendue d’un Sylvain aux anges.  
Les mains de Nathalie, placée aux côtés de Corinne, s’évadèrent sur la poitrine de son amie sans pour autant se déconcentrer sur le plaisir qu’elle donnait à son partenaire. Corinne, sentant les mains inquisitrices, émis de petits sons de contentement destinés à faire comprendre à Nathalie qu’elle appréciait cette initiative lui permettant de ressentir, par sa poitrine, les effets du plaisir.  
Tandis que je regardais ce magnifique tableau dans lequel mes amis se faisaient royalement sucer, Arwen, toujours en me masturbant et pressant ses seins dans mon dos me dit
 - Tu as joui, mon amour. Mais maintenant, je veux te voir baiser l’une d’entre elles. Je veux admirer ta queue prendre une chatte et lui donner du plaisir, je veux voir cette même chatte trempée par ton jus et le sien. Tu ferais cela pour moi ? Minauda-t-elle.   
Je me retournais vers elle en la dévisageant. Elle me semblait encore plus perverse que ma défunte épouse et, sur le moment, cela m’effraya un peu. Quelles étaient ses limites et jusqu’où pouvait-elle m’emmener ? Moi qui pensais, un peu stupidement, que les rôles seraient inversés, je constatais qu’elle possédait bien plus d’audace que moi. Je répondis
 - Cela t’exciterait que je baise Nath ou Corinne ? Devant toi ? Et que mon sperme s’écoule de leur chatte pour ton plaisir ? - Ouiiiiii.... ! Susurra-t-elle en baissant les yeux dans un mouvement de gêne absolument délicieux.    - Dis-le encore ! J’aime t’entendre me supplier.    - Mon amour, je t’en supplie, prends la chatte de l’une de ces traînées et baise-là jusqu’à l’éjaculation. Rempli sa chatte de ton sperme pour que cela m’excite comme une folle.    - Tout ce que tu veux ! Dis-je en l’embrassant.   
Je me dirigeais alors vers le quattuor. À cet instant, Nathalie fit décharger Sylvain dans sa gorge et n’en perdit pas une goutte. Elle posa, ensuite, ses lèvres sur celle de son amant pour un baiser torride dans lequel elle échangea quelques gouttes du plaisir qu’elle venait de récolter.  
Sylvain débandait et sortit de l’eau pour reprendre contenance.  
J’en profitais pour tirer Nath hors de l’eau, la positionner sur le transat et, sur elle, pénétrer sa chatte trempée sans préavis.  
— OOOH....OUIIIIII...CONRAD ! Ooooh...ta queue dans ma chatte, il y a si longtemps ! Prends-moi !
Je souris mais je lui donnais ce qu’elle réclamait. J’entamais un mouvement de va-et-vient dans son vagin jusqu’à toucher son utérus. Je la pénétrais profondément dans cette position un peu acrobatique mais confortable. Ses jambes étaient nouées autour de mes hanches et mon pubis claquait contre le sien à chaque pénétration.  
Elle porta ses mains à ses seins et les malaxa tendrement tout en me fixant d’un regard de braises. Elle en voulait, c’était certain.  
Je souris puis, accélérant le rythme, je la pilonnais réellement. Elle était secouée à chaque passage mais je tenais bon. C’est elle qui commençait à rendre les armes. Elle le fit savoir, ce qui attira l’attention d’Arwen, occupée à parler avec Sylvain.  
— OOHH PUTAIN! OUIIIII....MERDE, JE VAIS JOUIIIIIR....CONNRRAAAAAD ! OOOH OUIII.
Arwen, qui s’était rapprochée pour assister au final, posa ses mains sur mes hanches comme pour me permettre de pénétrer son amie encore un peu plus loin. Elle ne perdit plus une miette du spectacle. Ses yeux étaient fixés sur la chatte béante de Nathalie qui ruisselait de sa cyprine jusqu’à inonder le haut de ses cuisses et son cul tandis que ma queue prenait possession de ce vagin inondé.  
Arwen, à cet instant, alors que Nathalie jouissait sous mes assauts et qu’elle sentit que je résistais, effectua un geste que je ne lui connaissais pas. Elle mouilla son index sur la chatte de Nathalie et me pénétra l’anus sans préavis, introduisant une phalange en moi.  
Cela me surprit et je me tendis en arrêtant un peu mon mouvement mais, simultanément, elle me dit
 - Continue, mon amour ! Je mouille comme une démente. Tu m’excites à la baiser ainsi. J’ai envie de te faire connaître un orgasme inédit. Laisse-toi aller, lâche prise, tu vas adorer que je te prenne un peu le cul pendant que tu la baises.
Un peu inquiet, car au contraire de mes amis, je n’étais pas un adepte de cette pratique, je la laissais faire.  Je sentis son doigt s’insinuer en moi tandis que ma queue grossissait à nouveau et reprenait son travail au fond de la chatte de Nathalie. Le plaisir envahit mon cortex et ma queue me sembla énorme. Je pouvais sentir chaque millimètre des parois du vagin de ma partenaire qui se serrait sur mon passage. Puis, Arwen posa son doigt sur un endroit de mon corps dont j’ignorais encore les vertus, ce qui me permit d’exploser à mon tour dans un orgasme ravageur qui me tétanisa.
 - OH PUTAAAINNNN....OUIIIIIIIII !
J’éjaculais plusieurs jets chauds dans la matrice de Nathalie qui jouit à nouveau à son tour, sentant mon sperme tapisser son utérus.
— OUIII ! ENCOOOORE....OH BORDEEEELL, QUE C’EST BOOOOOON !
Je m’écroulais alors, lessivé par cet orgasme inédit mais terriblement fort, dans le transat d’à côté. Arwen, elle, n’en resta pas là et se précipita sur la chatte ouverte et dégoulinante de Nathalie. De ma position, je vis sa langue pénétrer les lèvres de ce sexe bien trop rempli d’un mélange de sécrétions pour y recueillir mon sperme encore chaud mélangé à la cyprine abondante qui s’en dégageait. Nathalie, sous cet assaut impromptu, posa ses mains sur la tête d’Arwen en l’encourageant
 - OH MERDE ! QUELLE SALOPE ! OUIIII...LÈCHE-MOIIIII...OOOOHHHH OUIIIIII !
Elle partir, à nouveau, dans un orgasme dévastateur. Sa tête partit en arrière et ses yeux se révulsèrent sous l’effet du plaisir.  
Arwen, de son côté, récoltait l’ensemble de ce qui s’écoulait de la chatte ouverte et totalement offerte.  
Corinne, se souvenant probablement des paroles de son amie, se précipita auprès d’elle et, lorsqu’elle releva la tête, se jeta sur ses lèvres pour, bouches ouvertes, en récolter à nouveau sa part.  
Les deux femmes s’embrassaient en se partageant le sperme et la cyprine mélangée, caressant leurs seins respectifs et soupirants d’aise et d’un plaisir parfaitement audible dans cette séance d’une perversité inédite pour notre groupe.  
Pierre et Sylvain, ébahit par cette scène, reprirent vigueur et s’approchèrent du groupe, caressant leurs queues tendues. Pierre posa la main sur celle de Sylvain tandis que ce dernier posait des doigts dans la chatte de Corinne.  
La soirée ne faisait que commencer.
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