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Le Jour où J'ai Réalisé Mon Fantasme Ultime : Le Gang-bang Insémination

Chapitre 1

Récit De Mon Entrée Dans le Monde De La Pluralité

Avec plusieurs hommes
Je suis une belle brunette mariée de 34 ans, mesure 1m68, pour 54 kilos.Je souhaitais assouvir un fantasme depuis une dizaine d’années : me retrouver l’actrice d’un gang-bang, à la manière du label GGG. L’idée du triolisme pour commencer en douceur m’avait bien effleuré l’esprit, mais je souhaitais vraiment faire de mon corps une cuve à sperme. Cette perspective faisait également beaucoup bander mon homme, mais entre le fantasme et la réalité, il y a une marche qui est souvent inatteignable, pour ne pas dire interdite !
Après en avoir longuement parlé, nous avions fini par passer, mon mari et moi, une annonce sans équivoque dans des sites spécialisés : " Brunette recherche un maximum de sperme pour nourrir mes orifices de salope : bonne bouche de pipeuse avec des lèvres englobantes, langue volumineuse avec une pointe fine et mobile, affublée de 2 obus fermes et siliconés de 90C, tétons saillants, clitoris rose et turgescent rompu jusque-là aux coups de glands de mon mari, chatte impeccablement toilettée (ticket de métro minimaliste) aux petites lèvres bien baveuses, constamment chaude et trempée par sa sécrétion vaginale abondante, gluante et odorante. Vagin extensible (déjà godé, double-pénétré artificiellement et fisté). Fesses bombées, cachant un trou du cul très difficilement extensible.
Tempérament de grosse salope à la chatte béante et la langue bien pendue, si je suis bien chauffée préalablement : J’adore par exemple les caresses et les massages sur toutes les parties de mon corps (et en particulier les pieds et le cuir chevelu...). Plus mon mari parcourt mon corps, plus je suis trempée. Très sécrétrice en fluides (bave, mouille abondante...), il m’est même arrivé d’en pisser de joie (!)... "
L’objectif pour moi était que je sois le réceptacle de la semence d’un maximum d’hommes, « sans en perdre une goutte ». Pour atteindre ce but, j’avais réussi à convaincre mon mari de ne pas limiter le nombre d’hommes recrutés. Je ne devais pas non plus être très regardante ni avoir d’exigences d’âge, d’origine, de corpulence ou de condition physique, le recrutement devant être le plus large possible. Outre la nécessité d’avoir des tests VIH VHB VHC récents (pas plus d’une semaine, et confrontés à une pièce d’identité) et une hygiène impeccable, le seul critère était que les participants aient un sperme abondant, dense et épais, et qu’ils n’aient pas éjaculé depuis 3 à 4 jours, dans la mesure du possible (!) : Le but était encore une fois que je sois vraiment remplie un maximum.
A l’approche du jour J, inutile de dire qu’un mélange croissant de stress et d’excitation m’envahissait... et bien plus que l’appréhension du gang-bang en lui-même, c’est surtout l’après qui m’angoissait : Comment mon mari me verrait ensuite ? Notre vie de couple serait-elle chamboulée ? Serais-je capable de retrouver une vie sexuelle normale ? Le jour venu, j’étais comme un zombie, ma tête complètement dissociée de mon corps... Mon mari était très excité. Quant à moi, j’étais intouchable ! Étant dans ma bulle, nous nous sommes presque ignorés jusqu’au soir venu.
Nous avions aménagé notre studio au cours de la journée, situé à Paris, avec un matelas surélevé central, et des chaises disposées en périphérie de la pièce principale. Selon notre scénario, les hommes devaient être installés nus, autour du lit. Mon époux, installé lui aussi sur une des chaises, ne bénéficierait pas d’un statut prioritaire par rapport aux autres participants, sauf à guider leurs faits et gestes selon une trame que nous avions préalablement élaborée.
En fin d’après-midi, je me suis enfermée dans la salle de bain pour prendre un bon bain chaud, me toiletter et me maquiller. Je ne devais alors plus en sortir jusqu’au soir. Lorsque les premières sonneries de l’interphone se firent entendre, j’eus le sentiment de rentrer dans une nouvelle dimension de moi-même. Même si j’écoutais des hommes rentrer peu à peu dans notre studio, il m’était difficile d’en déduire le nombre exact, certains arrivant à plusieurs ou en même temps... Je sentais ma chatte tambouriner, tel un compte à rebours.
Lorsque tous furent installés, mon mari m’indiqua à travers la porte de la salle de bain que tout était prêt et que je pouvais à présent sortir lorsque je le souhaiterais. Mon impatience ne les fit pas attendre plus de 5 secondes ! Sans avoir rencontré les participants (bien que ces derniers eurent été sélectionnés sur internet par nos soins quelques jours auparavant), j’arrivai seule, muette et toute tremblante, complètement nue, toute cocotée, les tétons en pointe. A la vue de ces hommes en érection, se branlant déjà pour moi seule - certains avec des pénis dressés comme je n’en avais encore jamais vu ! - je pris soudainement conscience de la folie de la situation, mais aussi de l’impossibilité à ce stade de reculer (je saurais plus tard qu’ils avaient été 14 ce soir-là, mon mari compris). M’exécutant en mode automatique, je m’allongeai sans un mot sur le matelas, sur le ventre, bras et jambes écartées.
Dès lors, les hommes s’approchèrent : Aimant par-dessus tout qu’on s’occupe de moi en me massant, les hommes eurent la consigne de disposer leurs mains où bon leur semblait, mais sans me doigter.Les premières caresses devinrent rapidement des massages appuyés. Ces multiples palpations m’excitèrent particulièrement. Dès que ma fréquence respiratoire s’accéléra et que des petits gémissements se firent entendre, ils furent autorisés à me doigter afin de vérifier l’humidité de ma chatte. Il faut savoir que la mouille de ma chatte est particulièrement abondante (bien que je ne sois pas femme fontaine) et lubrifiante, si bien qu’il n’a jamais été nécessaire pour mon mari d’utiliser des produits quelconques. Il lui arrivait souvent à ce sujet de penser que j’avais été remplie quelques heures auparavant, tant mon vagin est systématiquement chaud, humide et visqueux dès que je suis excitée. C’est aussi une donnée qui a beaucoup compté lorsqu’il fallut le convaincre de me laisser être inséminée à la chaîne, tout persuadé qu’il était que je m’adonnais déjà à ce genre de pratique en cachette.
Pourtant il n’en était rien, et l’expérience que nous étions en train de vivre était bel et bien la première du type pour moi... ce que mes tremblements trahissaient sans équivoque !
Puis je fus ensuite retournée sur le dos, les mâles me prodiguant là encore des caresses massantes de la tête aux pieds, une stimulation des tétons, un massage appuyé des pieds -mon pêcher mignon-... La mise en scène, jusqu’ici millimétrée, commença à s’emballer doucement, mon mari étant peu à peu débordé par l’impatience et les pulsions de nos invités. Alors qu’on s’abouchait à mes mamelons, je reçus des baisers langoureux sur ma bouche pulpeuse, que mon mari tenta d’empêcher, mais sans grande conviction. Assez rapidement, ce furent les premiers sexes bandés qui vinrent tapoter mes joues, et lorsque j’ouvris la bouche en regardant mon mari, celui-ci comprit qu’il n’était plus maître de la situation. Alors que l’on s’introduisait tour à tour dans ma bouche, ma chatte fut à nouveau sondée par quelques doigts ou langues, à l’envi.
Puis les hostilités débutèrent véritablement : je commençai alors à réceptionner les premiers pénis dans mon vagin, à tour de rôle et à grands coups de bassin... L’objectif était de m’administrer une éjaculation la plus profonde et abondante qui soit, avant de se désinsérer de moi et que le suivant me pénètre immédiatement après. Les grands coups de glands inlassablement répétés devaient permettre aux éjaculations précédentes de demeurer au fond de mon vagin.
Lorsque du sperme commença à ruisseler sur mes petites et mes grandes lèvres, les divers pénis réinsérèrent les gouttes expulsées. Les participants ne se gênaient pas pour me saisir les fesses, m’écarter les cuisses et s’introduire dans ma chatte souillée. Certains devaient y revenir plusieurs fois parce qu’il arrivait qu’on soumette à ma bouche des demi-molles souillées et odorantes, pour qu’elles soient ensuite réintroduites dans mon vagin, où elles finissaient de durcir à nouveau. Alors qu’on maintenait mes jambes écartées en tenant fermement chacune de mes chevilles, je sentais des langues s’introduire entre mes doigts de pied...
Comme il fallait s’y attendre, mon vagin dégorgea bientôt de plus en plus, d’autant que mes muqueuses vaginales subissaient des doigtages intempestifs. Mon mari se souvint que dans le scénario que nous avions élaboré ensemble, le remplissage de deuxième intention serait réalisé dans les profondeurs de mon anus, dans l’éventualité où ma chatte ne serait plus capable d’absorber les assauts de foutre des participants.
Pour la première fois, mon époux reprit le commandement du déroulé de la soirée, en me retournant sur le ventre et en bloquant ma tête entre ses cuisses. On se mit à saisir mes hanches pour m’inviter à pointer mon cul, la tête toujours plaquée contre le matelas. Mon mari écarta fermement mes fesses afin d’exposer mon anus. Je sentis un gros gland prélever le sperme régurgitant de ma chatte baveuse, en me raclant du clitoris jusqu’au pourtour de mon trou de balle. Après avoir délicatement caressé ma rondelle pour la tartiner de ce lubrifiant naturel, le chibre en question me tapota l’entre-fesses et m’infligeât la première pénétration anale de la soirée. Avec la même cadence de pénétration, on se mit à décharger à la chaîne dans ce nouveau terrain de jeu. Passive, bloquée par mon mari, mes gémissements étouffés dans le matelas, je fermais les yeux pour apprécier les spasmes de ces multitudes de pénis au moment où ceux-ci éjaculaient un à un dans mon antre intime.
Alors qu’on s’acheminait vers la fin de la partie (les participants s’étant peu à peu éclipsés pour aller se doucher et se rhabiller...), je faisais tout ce qui était en mon pouvoir pour recueillir le dernier don de mon ultime sodomisateur de la soirée. Tandis que je me faisais limer désespérément l’anus à cette fin, mon mari (qui en bon candauliste, avait été peu actif jusque-là, se contentant d’organiser et d’observer ma performance) dégagea soudainement ma tête et m’enfourna in extremis son sexe turgescent dans la bouche. Il éjacula alors puissamment au fond de ma gorge dans un cri de jouissance absolue : le pauvre s’était tellement retenu que ses bourses avaient fini par craquer... Mon mari n’avait pas terminé de se vider dans ma bouche que je sentis quasi simultanément l’autre cochon me gratifier d’une ultime éjaculation anale, dans un cri de soulagement tout aussi sauvage... 2 pénis enfoncés jusqu’à la garde et dégorgeant simultanément : Quel beau bouquet final...
Essorés, mes deux étalons m’abandonnèrent alors, gisante, mes trous béants dégoulinant de sperme... La poupée apprêtée que j’étais en arrivant avait fait l’objet d’un carnage : sale et puante, recouverte de fluides séchés des cheveux jusqu’aux ongles de mes orteils, la bouche usée, les tétons mâchouillés, le clitoris mordillé, j’étais lessivée... Ayant relâché mon périnée, mes petites lèvres écarquillées ne pouvaient à présent plus retenir le contenu vaginal, lequel se déversait inlassablement : je pissais littéralement du sperme (mais pas que...!) tandis que je commençais à m’assoupir. Le brouhaha résultant du débriefing de ces messieurs dans la salle de bain ne m’empêcha pas de me jeter dans les bras de Morphée.
Mon mari me confia qu’après le départ de mes inséminateurs, il n’osa pas me réveiller, et me recouvra simplement d’un drap propre avant d’éteindre la lumière.Le lendemain matin, il patienta jusqu’à mon réveil. Empreint d’une gaule matinale extrême, il me supplia de mettre à sa disposition mes trous, prétextant qu’il souhaitait marquer son territoire à l’intérieur de chacun de mes orifices souillés. J’accédai à sa demande et me laissai baiser une ultime fois. Par la chatte, et par le cul. Mes orifices souillés de la veille le firent fort heureusement éjaculer rapidement. Dès lors, je pus enfin faire ma toilette intime tandis que mes muqueuses devaient par la suite rentrer dans une période d’abstinence et de rééducation, après ces assauts multiples.
Pour une grande première, ce fut une expérience très réussie.Être le point de soulagement de tous ces mâles m’a prodigué un sentiment de bien-être infini. À cet instant précis, je me suis senti la reine de l’humanité tout entière. Jamais je n’avais ressenti ce sentiment d’utilité extrême, à concentrer les besoins et les pulsions de tous ces hommes. J’ai aimé ça à un point stratosphérique ! Moins de 24 heures après, le fait de ressasser mon gang-bang insémination me fit mouiller, maculant mon string de cet enduit blanchâtre tenace qui continuait vraisemblablement de tapisser mon vagin. C’est dire à quel point il était rapidement devenu naturel pour moi de renouveler tôt ou tard l’expérience, au grand dam de mon gynécologue... et de mon mari...!
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