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Le jour où je suis devenu bi

Chapitre unique

Gay
J’ai l’habitude de passer mes vacances en Charente-Maritime. Un lieu idyllique au bord de l’Atlantique dont je tairai volontairement le nom, de peur de vous y voir tous débarquer. Sans me prétendre naturiste, j’aime aller me baigner sur cette plage moins accessible. Elle est magnifique, sauvage, mais elle se mérite. En voiture, il faut arriver tôt, pour trouver une place sur le parking. La plage textile est tout de suite là, sur la droite. En prenant à gauche, dix bonnes minutes sont encore nécessaires pour atteindre la partie naturiste. Personnellement, j’y vais en vélo, et je l’atteins par le coté ouest, en coupant par la forêt. Mais il faut avoir de bons mollets pour la traverser par des chemins souvent trop sablonneux, et finir au pied des dunes. Je m’y rends seul ; ma femme est complexée alors que… Ok, elle a maintenant un petit ventre, mais son corps reste superbe. Elle n’aurait absolument pas à rougir de la comparaison de ce que j’y vois. Mainte fois j’ai tenté de la convaincre de juste venir se baigner, puis de repartir, sans s’exhiber plus. Maintenant, avec le recul, j’avoue que ça m’arrange d’y aller sans elle…
Un après-midi, alors que je retournais à mon vélo par les dunes, après une baignade, j’aperçus un type au loin, debout, de profil, les mains sur les hanches. En regardant mieux, il y en avait un autre devant lui, à genoux, caché par la végétation. J’eus un gros doute sur leur activité. Mais quand la tête du second se mit à bouger d’avant en arrière, j’en eus confirmation,  d’autant qu’un autre naturiste, plus proche d’eux, les observait aussi, la queue à la main. Dans mes habits, j’ai senti un début d’érection. Comment étais-ce possible ? J’aime les femmes, j’ai toujours aimé les femmes, la mienne par-dessus tout. Et voilà qu’un mec en suçait un autre au loin, et bizarrement, ça m’excitait.  J’y ai repensé toute la soirée. Etais-je en train de changer ? Une homosexualité jusque là refoulée sommeillait-elle en moi, prête à s’éveiller? Était-ce simplement la situation, les circonstances, ce troisième homme, voyeur ? Je devais me rendre à l’évidence : ce moment m’avait perturbé et excité. Peut-être était-ce juste de la curiosité ? Est-ce qu’un mec suce mieux qu’une femme ? Les gays en sont convaincus, mais ne sont forcement pas objectifs. 
Le soir, j’ai regardé ma femme se coucher à coté de moi, avec presque rien sur elle. Trop fatigués, trop accablés par la chaleur pour faire l’amour, nous avons tout de même échangé un long baiser de bonne nuit. J’en ai profité pour promener mes mains sur sa poitrine qui ne demandait qu’à s’échapper de sa fine nuisette. J’ai bandé immédiatement. Rassuré, je me suis endormi comme une bûche. Pendant deux jours, cette histoire m’a titillé l’esprit. Serais-je capable de me laisser… faire ? Est-ce qu’une pipe faite par un mec pourrait me satisfaire ? Peut-être en fermant les yeux ? Les vacances se terminaient, il fallait que j’y retourne, ne serait-ce que pour revoir ça de plus près. Au pire, je ferais quelques belles photos souvenirs de ces paysages, de cette plage, avec le fort Boyard en arrière plan. La veille du départ, n’y tenant plus, je trouvai le prétexte de faire une dernière grande balade en/à vélo pour y retourner. Une fois sur place, je ne constatai, hélas, rien d’intéressant. Cette avant-dernière semaine d’août avait déjà fait fuir un grand nombre de « baignasouts ». Les gens qui bronzaient encore avaient visiblement passé du temps sur cette plage, puisqu’au contraire de moi, ils n’avaient pas cette ridicule démarcation blanche qui commence à la taille et se termine en haut des cuisses. La petite brise me dissuada de me baigner et le ciel voilé ne donnait pas la lumière espérée à/pour mes photos. Qu’importe, je profiterais au maximum, une dernière fois, de ces parfums d’iode, de sable chaud et d’aiguilles de pins. C’est justement l’arrivée d’une nouvelle fragrance qui me sortit de ma rêverie.  Alors que j’allais me rhabiller, je vis un type, pas très loin, qui s’enduisait le corps. J’adore cette odeur d’huile de coco. Il était seul, nu sur sa serviette, en retrait de la plage, et à l’abri du vent, installé près du sentier des Hibiscus qui serpente en lisière de la forêt. C’est mon chemin de retour pour retrouver mon vélo, laissé derrière la plage des Délices. Donc fatalement j’allais m’approcher.  La quarantaine, plutôt fin, sec même, il était maintenant allongé et m’avait vu. J’ignorais s’il avait choisi cet emplacement pour être abrité de la brise, ou pour être vu des promeneurs. Je marchais plus lentement, le cœur battant, en espérant passer au ralenti à coté de lui, sans que ça ne lui paraisse douteux. Bien que le sable assourdisse mes pas, il ne pouvait maintenant ignorer mon approche. Il s’était lascivement allongé sur le dos et se caressait la queue. Pas une branle à pleine main, non. Juste de petits mouvements, comme pour enlever des grains de sables imaginaires. J’arrivai à sa hauteur en essayant d’être le plus naturel possible. Difficile pour un naturiste d’être naturel en pleine nature sans être redondant. Malgré moi, j’ai ralenti, puis me suis arrêté. Je le regardais faire. Lui, les yeux fermés, promenait sa main désinvoltement sur son torse, ses cuisses, puis tripotait ses bourses et plus longuement ensuite sa verge molle mais décalottée, pour revenir à nouveau son torse. J’avais très envie de me faire pareil.  Quand il ouvrit enfin les yeux, j’étais toujours sur le chemin, à deux mètres de sa serviette, et sans m’en rendre compte, j’avais ma bite à la main. C’était évident, la situation m’excitait. Pourtant, je ne connaissais pas ce type. Il ne m’intéressait pas, seul son sexe m’attirait. J’avais très envie de le toucher, de le sentir dans ma main. Est-ce qu’il est chaud ? Est-ce qu’il est doux ? Est-ce qu’il est déjà un peu dur ? A son tour, il saisit son manche à pleine main, et se branla lentement en me regardant. C’était plus fort que moi, ma curiosité l’emportait. Je quittai le chemin pour m’approcher doucement de lui. L’odeur de coco supplanta toutes les autres. Je bandais aussi, sans m’en rendre compte. Il a lâché sa queue et m’a regardé, puis a posé la main sur sa serviette. En fait, il semblait me l’offrir. Vas-y, à ton tour, paraissait me dire son langage corporel. Elle était belle, plutôt fine et longue, tout à son image, et totalement épilée. Alors, j’ai posé mon sac et ma serviette, je me suis agenouillé à coté de lui. Puis j’ai demandé timidement  —         Je peux toucher ? 
Il n’a pas répondu, mais s’est redressé sur les coudes. Il est peut-être étranger, n’a pas compris. C’est peut-être mieux ainsi. En fait, il attendait. Alors j’ai regardé autour de moi pour vérifier que nous étions seuls et ma main droite s’est approchée fébrilement de son sexe. A cet instant, je me suis dit qu’enfin, j’allais assouvir un désir certainement refoulé depuis longtemps, mais qui ne s’était révélé qu’il y a trois jours. Ca y est je la touchais. Elle a avait frémi au premier contact. Maintenant elle était bien callée dans ma main, et j’adorais cette sensation. Lui m’avait souri et se laissait faire. J’entendais même des « Hummmm ». Peu importe la langue parlée, je comprenais qu’il appréciait. Tant mieux. Je ne voulais pas être maladroit, je ne voulais pas qu’il sache que c’était une première pour moi. L’huile de coco rendait sa verge glissante et agréable à branler. J’avais maintenant une terrible envie qu’il en fasse autant avec la mienne. Pour varier un peu, je descendis jouer avec ses couilles, aventura même un doigt au-delà.  J’entendis : —         Oui, c’est bon aussi, ça ! ».  Ah, il était français ! Tant mieux, tant pis, je ne savais plus quoi en penser. Fatigué d’être en appui sur ses avant-bras, il s’allongea à nouveau, et me laissa faire sans bouger, tout juste en écartant un peu les jambes. Il bandait franchement maintenant, et je me rendis compte que moi aussi, encore plus que lui. C’était dingue. C’est là que tout bascula. Je ne sais pas si c’est l’odeur de coco qui me tentait, ou le fait qu’il ne me regardait plus, mais j’ai eu une grave envie de le sucer. Il avait  l’air complètement offert, donc je ne lui ai rien demandé cette fois. J’ai approché lentement mon visage. Il n’y eut aucune réaction de sa part. Alors tout en maintenant sa bite droite, j’ai donné mes premiers coups de langue. Ce fût bien sûr le goût de son huile qui me parvint aux papilles. Je léchais du bas vers le haut en m’appliquant. J’essayais d’en faire le tour pour tout récupérer. Puis délicatement j’ai fini par prendre le gland du bout des lèvres, pour le faire glisser dans ma bouche. C’était irréel. J’étais, là, dehors, le cul en l’air, à la vue de tous, même si à priori, il n’y avait personne, en train de sucer un mec comme une pute ! C’était trop tard, j’aimais ça. Je l’ai sucé pendant une bonne minute peut-être. Je pensais à Aline, la directrice de l’école primaire de mes enfants. Jamais fellation ne fut aussi bonne qu’entre ses lèvres expertes. Aline, l’instit qui aimait la bite, la reine de la gâterie mondaine, dont la turlutte me mettait en rut… Je rassemblais mes souvenirs pour imiter sa technique si efficace : Je variais les coups de langue, les tétages de gland, les gobages de couilles et les gorges profondes. Je donnais tout, récitant toute la partition dont je me souvenais.Alors que ma mâchoire commençait à se lasser, il me dit : —         Allonge-toi, prends ma place.  J’en avais tellement envie que j’ai tout de suite obéi. Mais au lieu de rester à côté pour me pomper aussi, il s’est mis tête-bêche sur moi. Il y a quelques secondes encore, je n’avais jamais touché une queue à part la mienne, et me voilà maintenant en 69 comme un grand pervers. Mais quel pied ! Sucer et être sucé en même temps était un véritable régal. D’ailleurs, c’était tellement bon, que je n’ai pas tenu longtemps. Je l’ai prévenu deux fois que j’allais jouir. Il n’a pas souhaité stopper sa pompe, au contraire, il a accéléré. Fatalement, j’ai fini par exploser dans sa bouche. Il a recraché aussitôt tout mon foutre dans le sable. Aline aurait tout avalé. En revenant s’asseoir sur sa serviette, il a sorti une bouteille d’eau de son sac et a bu, puis avec un grand sourire, m’a remercié. Je n’ai pas tout de suite compris que c’était fini. Moi, j’avais joui, pas lui. —         J’aime les rencontres comme celle-là, sans bla-bla, sans prise de tête, avec des mecs comme toi, qui ne sont pas farouches, qui ont de l’expérience et du savoir faire. Tu es du coin ? Tu viens souvent ici ? Je me suis, un instant, demandé s’il ne se moquait pas de moi. —         Je viens de temps en temps, mais mes vacances sont finies, je repars demain.—         Dommage. Moi, c’est Patrice.—         Moi, Gérald.—         A une prochaine fois, alors, Gérald. Et merci encore. Je me suis levé, j’ai repris mon sac et ma serviette, puis j’ai continué mon chemin sans me retourner. Je me suis rhabillé avant d’enfourcher mon vélo et en pédalant sur les pistes du retour, pourtant encore imprégné de son odeur, j’ai dû me pincer dix fois pour me persuader que je n’avais pas rêvé.  J’avais juste voulu revoir deux mecs se sucer, pourquoi pas m’en approcher, peut-être me branler à coté d’eux, à la limite même, toucher une queue, du bout des doigts. Mais là, pour une première, j’avais eu la totale ! Et cerise sur le gâteau, j’avais eu des compliments. Merci Aline ! Voilà. C’était simple, facile, et terriblement chaud. Je ne regrette pas d’avoir osé m’approcher et d’être allé au bout de mon envie. Je n’oublierai jamais cette première fois.  Je n’ai pas changé. Je ne suis pas devenu maniéré ou précieux. J’aime toujours les femmes, et la mienne en particulier, mais je sais que j’ai maintenant un coté Bi.  Depuis, j’ai fait d’autres rencontres. Chaque été, dans ces mêmes dunes, ou pas loin, si l’occasion se présente, je suce ou me fais sucer, selon les envies de chacun. Il m’est même arrivé de m’occuper d’un couple : Le broute-minou pour Madame, puis la pompe à deux pour Monsieur. Ce fut topissime !

Si vous avez reconnu l’endroit, Vous pourrez m’y trouvez parfoisCertains après-midis d’août.Pour m’identifier sans un doute :Petit tribal en haut du bras,T-shirt en haut, mais rien en bas,Tête couverte d’une casquette noire,Et bracelet libertin rouge et noir.Ne soyez pas timidesJe serais votre guidePour vous faire découvrirCes nouveaux plaisirs. A bientôt, le pervers Fouras…

Merci à DouceAmande pour ces corrections et améliorations
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