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Le jour où je me suis tapé mon beau-frère.

Chapitre 2

Le poker.

Gay
Ça faisait bien deux minutes que j’étais planté là. Je n’avais toujours pas imprimé ce qui venait de se passer.
— À table !
C’était mon beau-frère qui revenait avec notre repas. Il avait noué autour de la taille la serviette qu’il m’avait dérobée un instant plus tôt. Je pouvais encore apercevoir son érection partielle. Il sortit du sac en plastique ce qu’on avait commandé et s’asseya pour manger.
— Bon appétit ! dit-il.— Toi aussi.
Je pris place à côté de lui. En m’essayant, je me rendis compte que j’avais toujours les fesses à l’air. Je décidai de ne pas faire attention. On mangea en silence, car, pour ma part, j’étais toujours sonné à cause de ce qu’il venait de se passer. En revanche, j’avais l’impression que, de son côté, ce n’était pas le cas. Il semblait parfaitement à l’aise. Il s’appliquait à dévorer son repas de la manière la plus écœurante possible. Cette scène, qui aurait rebuté n’importe qui, m’émoustillait.
— Alors, t’en penses quoi ? m’avait-il demandé.
A l’écoute de cette question, un sentiment de panique s’était propagé en moi. Était-il sérieusement en train de me demander ce que je pensais de son chibre ?
— Mais... euh... de quoi tu parles ? De la bouffe. Tu pensais que je parlais de quoi ?
A cet instant, je me sentis stupide, mais en même temps rassuré.
— Ah ! C’est excellent. A te regarder dévorer ton repas, j’ai l’impression que tu penses pareil. — Exact, répondit-il, la bouche pleine.
Mon regard fut soudain attiré par la serviette qui entourait sa taille. Elle semblait sur le point de se détacher. Et pour cause, il avait les jambes aussi écartées que pouvaient lui permettre les accoudoirs de la chaise. J’avais une jolie vue sur son service trois-pièces. Sa demi-molle avait disparu, mais l’engin n’en restait pas moins impressionnant. Alors qu’il s’engouffrait un morceau de poulet au caramel dans le gosier, de la sauce dégoulinante s’écrasa dans les poils de son torse.
— Oh merde ! s’était-il exclamé.

Au lieu de prendre une des serviettes posées sur la table, il attrapa un des pans de la serviette qu’il portait autour de la taille pour se nettoyer laissant apparaître son gourdin. Il prit inutilement un long moment pour s’assurer qu’il n’y avait plus de sauce puis lâcha la serviette qui s’était dénouée de sa taille. A mon grand désarroi, je n’avais plus le plaisir d’admirer du coin de l’œil sa grosse queue. Cependant sa cuisse gauche ainsi que son pubis poilu n’étaient plus couverts.
— Je suis gavé, avait-il dit juste après avoir terminé son repas.
Il s’adossa au dossier de la chaise sans prendre la peine d’ajuster la serviette. Je savais que mon beau-frère n’était pas pudique, mais dans le cas présent, ça allait beaucoup plus loin. Il jouait avec moi. Il voulait que je le regarde, que je l’admire. C’était le cas, mais voulait-il plus ? Pour ma part, je le désirais ardemment. Je voulais le toucher, le caresser, le faire devenir dur. Je voulais le goûter, le sentir en moi. Je voulais qu’il me domine, être le fruit de sa jouissance et de son extase. Mon sens moral avait disparu. Je le voulais pour moi et peu importait si c’était mal.
— Je prendrais bien un dessert. Pas toi ? demanda-t-il, me tirant de mes pensées. — Comment peux-tu encore avaler quoi que ce soit ? — Je trouve toujours de la place. Et toi, tu veux encore avaler quelque chose ?
La tournure de sa phrase n’était clairement pas anodine. Il continuait son petit jeu et je décidai de jouer avec lui.
— J’avalerai avec plaisir ce que tu voudras bien me proposer. — Bien, répondit-il avec un sourire. Je reviens.
Il se leva et la serviette glissa sur le sol. Il ne prit pas la peine de la ramasser. Il était donc une nouvelle fois entièrement nu devant moi. Il prit le temps de finir le contenu de sa canette avant de retourner dans l’appartement. Il revint un instant plus tard avec deux glaces et une bombe de chantilly.
— C’est pourquoi faire la chantilly, demandai-je avec curiosité. — On lui trouvera bien une utilité.
Je ne comprenais pas vraiment le sens de sa réponse, mais je ne relevai pas.
— Bon, on fait quoi maintenant ? Un jeu ? — Oh ouais ! s’exclama-t-il, surexcité. On fait un strip-poker ! — Mais je te signale qu’on est déjà à poil, c’est quoi l’intérêt de jouer à ça ?
Son excitation disparut. Il resta un instant silencieux puis un instant plus tard, son engouement refit surface :
— On joue au poker et celui qui perd a un gage ! — D’accord.
Après avoir terminé de manger, on débarrassa la table.
— Pour les gages, on les prépare à l’avance ou on choisit en direct ? ai-je demandé. — C’est mieux de les choisir au moment venu, non ? — Comme tu veux. Tu sais jouer au poker ? me demanda-t-il.— Pas vraiment. J’ai déjà joué, mais je ne me souviens plus de toutes les règles.
Il m’expliqua donc les règles du jeu.
— ... donc quand t’as un brelan et une paire, ça fait un full. Si on a tous les deux un full, c’est celui qui a le plus haut brelan qui gagne. T’as compris ? — Euh... oui, je crois. — Je vais te laminer, dit-il tout sourire.
Il distribua les cartes et la partie put commencer. Après quelques minutes, il gagnait la première partie avec deux paires.
— Pour ton premier gage, on va rester dans le classique. Dix pompes.
Bien que l’idée de faire des pompes de m’enchantait pas, j’avais compris le but de la manœuvre. En me plaçant par terre, sur le ventre, j’exposai mon fessier. Je m’exécutai sans rechigner. Je me plaçai à côté de lui et m’accroupis. Il tourna la chaise pour être face moi. Il avait toujours la bite l’air, les jambes bien écartées, les bras posés sur les accoudoirs. Il compta à voix haute à chaque pompe. A bout de souffle, je me relevai et me retournai vers lui.
— Content ? — J’avoue que je suis assez satisfait, répondit-il.
La deuxième partie fut un peu plus longue, mais elle se solda par le même résultat : ma défaite. Il prit longtemps pour réfléchir à mon prochain gage, mais il finit par trouver :
— Il faut que tu me fasses un massage des pieds.
Cette idée me plut beaucoup. Je n’étais pas particulièrement attiré par cette partie du corps, mais je ne disais pas non à des pieds sexy. Ceux de mon beau-frère en faisaient partie. On s’installa un à côté de l’autre et il posa ses jambes sur mes cuisses. Il croisa les bas sur son ventre et ferma les yeux. Je pus commencer mon massage. On ne parlait pas. Il gardait les yeux fermés et j’en profitai pour regarder son corps plus attentivement.
Avant le confinement, mon beau-frère arborait un corps fin et musclé. Depuis, il avait pris du poids et je trouvais que ça lui allait extrêmement bien. Cependant, ses abdos avaient disparu pour laisser place à une légère bedaine. Ses pectoraux étaient un peu pendants, mais toujours présents. Ses bras étaient toujours aussi musclés ainsi que ses cuisses et ses mollets. Son visage à l’époque si fin était un chouïa plus joufflu. Il était caché sous une barbe fournie, mais bien taillée. On aurait dit un jeune daddy. À côté de lui, j’avais un corps d’enfant bien que je sois de deux ans son aîné. J’étais petit et mince, mais pas imberbe. Je n’avais pas beaucoup de poils, mais j’y tenais. Ça faisait bien vingt minutes que je lui massais les pieds. Il ne bougeait plus.
— Tu dors ? avais-je demandé.— Non, dit-il en ouvrant les yeux comme s’il sortait d’un sommeil profond. Mais c’était pas loin. C’était trop bon. — Ah, on m’a toujours dit que j’étais doué pour les massages. — Je confirme. D’ailleurs, on devrait arrêter de jouer pour que tu puisses continuer de me masser. — Dans tes rêves. J’ai bien l’intention de gagner au moins une partie. Distribue les cartes, je vais allumer la lumière de la terrasse. On voit presque plus rien. — Tu peux me ramener une bière ?
J’allai donc lui chercher sa bière dans le frigo.
— Si c’est pas beau ça. Je suis chez moi et je me fais servir.
On entamai une nouvelle partie que je perdis encore une fois.
— OK pour ton nouveau gage, tu vas te raser. — Me raser ? Me raser quoi ? — La barbe, les aisselles et si y a des poils là-dessous (il pointait mon jockstrap du doigt), tu les rases aussi. T’as la tondeuse dans la salle de bain. — Bon, d’accord.
Je me levai pour me rendre dans la salle de bain quand il dit :
— Appelle-moi quand t’as fini, je viens vérifier. — OK.
Je voulais lui obéir sans résister. Une demi-heure plus tard, j’étais totalement imberbe. Plus de barbe ou de poils sous bras ou au pubis. Bien que je n’avais pas de poils au cul, j’avais quand même passé un coup de tondeuse au cas où.
— Tu peux venir !

Il entra dans la salle de bain et avança lentement vers moi. Il saisit mon visage d’une main, le balançant de gauche à droite en l’inspectant attentivement. Il souleva ensuite mon bras et passa son pouce sur mon aisselle. Il exécuta la même action avec l’autre bras. Après ça, il tira l’élastique de mon jockstrap et inspecta mon pubis. Il se plaça ensuite derrière moi. Je pouvais voir dans le miroir son visage à côté du mien au-dessus de mon épaule. Il posa sa main sur ma taille et descendit jusqu’à ma hanche. Lentement, sa main se glissa mes fesses. Il s’accroupit. Avec son autre main, il écarta les fesses et étudia ma rondelle. Il se releva et approcha ses lèvres de mon oreille gauche. Sa demi-molle était revenue. Je le savais, car sa tige était collée à mon dos.
— T’as bien travaillé, je suis fier de toi, murmura-t-il. Bon, comme on sait l’un comme l’autre que tu vas perdre la prochaine partie, que dirais-tu de réaliser ton prochain gage dès maintenant ? — D’accord. — Très bien. Faut que je fasse pleurer le colosse. Tu vas m’aider.
Nos regards se croisèrent dans la glace et je hochai la tête pour toute réponse.
— Bon garçon.
Il se plaça devant la toilette qui se trouvait dans la pièce. Les jambes écartées, il m’attendait sans dire un mot. Une fois derrière lui, je n’osais pas le toucher.
— C’est pas en restant planté là que ma citerne va se vider. Attrape le manche.
La dernière phrase fut prononcée sur un ton autoritaire. Ses expressions de beaufs avaient un certain charme dans cette situation. Je m’approchai de lui et saisis l’énorme membre. Sa peau était chaude, brûlante. Je tentais de viser le centre de la cuvette et j’attendis. Soudain, un jet puissant jaillit de sa tige. Je fus surpris de la puissance du jet. De la pisse s’écrasa sur le sol. Je rectifiai rapidement le tir pour viser correctement la cuvette. L’odeur de pisse était forte, certainement due à la quantité impressionnante de bière qu’il s’était envoyé. Je m’enivrai de cette odeur grisante. La puissance d’un jet diminua puis cessa.
— Bordel, ça fait du bien. Ça fait une heure que je me retiens. Allez, nettoie ça et viens te prendre une nouvelle raclée au poker.

Il me laissa là. La scène que je venais de vivre avait été tellement intense. Ma peau était brûlante. Je pris quelques instants pour digérer ce qui venait de se passer. L’odeur de la pisse étalée sur le sol me ramena à la raison. Il y en avait plus que je ne le pensais. Je retournai sur la terrasse. Il était avachi sur sa chaise en train de siroter une autre bière. Les cartes étaient déjà distribuées. Je pris place à côté de lui et le jeu reprit. Après quelques minutes, mon beau-frère misa tous ses jetons. J’étais persuadé qu’il bluffait. Et pour me prouver que j’avais tort, il remporta la partie avec une quinte flush royale.
— Je t’avais dit que t’allais te prendre une raclée, dit-il avec suffisance. — Je m’incline. Alors, ce dernier gage ?
Pour toute réponse, il se saisit de la bombe de chantilly et recula sa chaise de la table. Son énorme chibre, un instant plus tôt caché sous la table, était au garde-à-vous. L’engin entre ses jambes était massif et imposant. De légères veines torsadaient autour de la verge et son énorme gland trônait en haut de cette tour interminable telle la couronne d’un roi. A sa base, sa grosse paire de couilles bien pleines pendait lourdement. Je n’avais qu’une envie, c’était de les traire et d’en récolter tout le nectar.
Il secoua la bombe et aspergea un long trait de chantilly sur sa cuisse gauche. Il ne dit rien. Il se contenta de montrer d’un coup de menton sa cuisse. Je me pris position à genoux devant lui. La tension qui régnait dans l’air était palpable et l’odeur de sa queue qui arrivait à mes narines décupla mon excitation. J’approchai mon visage de sa cuisse et léchai la crème savoureuse qui s’était mélangée à ses poils. Alors que je m’appliquais à nettoyer les dernières traces de crème, il actionna à nouveau la bombe. Cette fois, il en avait appliqué sur sa poitrine poilue. J’allais m’exécuter, mais il m’arrêta en faisant non du doigt. Avec ce même doigt, il étala la chantilly en prenant bien soin de la mélanger à ses poils. Ensuite, il me présenta son doigt plein de crème qu’il m’enfonça dans la bouche. Je suçai son doigt sans le quitter des yeux et d’après l’expression sur son visage, je devais bien faire mon travail. A présent, je m’attaquai à sa poitrine.
Cette tâche était plus fastidieuse, mais je ne me laissais pas abattre. Je sentais sa queue toute dure sur mon ventre. Après quelques longues minutes, je terminai ma tâche. Il examina sa toison et sembla satisfait.
Je sentais qu’il commençait à faire frais, mais j’étais tellement en feu que je n’avais pas froid. Il s’accroupit et badigeonna son pied droit de crème. Je voulais soulever sa jambe pour amener son pied à la hauteur de ma bouche, mais il le bloqua sur le sol. Je compris que je devrais accomplir ma tâche à quatre pattes et je m’exécutai aussitôt, car je ne pouvais résister à ces pieds qui puaient la virilité. Alors que j’introduisais ma langue entre ses orteils, j’entendis la bombe de chantilly s’actionner une dernière fois puis le bruit de l’objet posé sur le sol, à côté de la chaise.
Je me redressai et pris un instant pour admirer mon amant. Il avait les bras derrière la tête laissant apparaître ses aisselles poilues. Au creux de ses cuisses bien écartées se dressait son énorme tige au garde-à-vous et sur son gland, une noisette de crème fouettée. C’était le moment que j’attendais. J’allais enfin le goûter.
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