Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 43 J'aime
  • 3 Commentaires

Le jour où ma vie bascula.

Chapitre 2

Travesti / Trans
Je touchais fébrilement ma nouvelle poitrine, toujours sous le choc, je descendais les mains à mon entrejambe, ici aussi je n’étais plus le même. Je bondis hors du lit allume la lumière et me regarde dans le miroir. J’y vois une jeune femme ravissante, des cheveux roux mi-longs descendants jusqu’aux épaules. Je baisse les yeux, regarde mon corps, nu. Je vois une poitrine très agréable à regarder ; un 95 C à vue d’œil. Je regardais mon pubis, étrangement tous mes poils avaient disparu. La sensation la plus étrange est sans aucun doute la disparition de mon pénis, je ne sens plus rien « pendre ». Je n’arrive pas à y croire, c’est forcément un rêve. Perdu dans mes pensées je ne remarque pas qu’Amy s’est assise sur le bord du lit. Elle me regarde, l’air satisfaite :
— C’est incroyable comment ton corps a réagi, tu es magnifique Léa.
Je me retourne, chancelant… Ou devrais-je dire chancelante ?
— Explique-moi tout Amy je t’en prie ! Implorais-je— Tu te souviens de la pilule que je t’ai donnée hier soir ?
J’hochais la tête en signe d’approbation.
— Et bien c’est à cause, ou plutôt grâce à elle que tu te retrouves dans ce corps. Me dit-elle en souriant.— Mais c’est impossible ! Comment une simple pilule pourrait me transformer en ça ? Plus je parlais, plus je sentais ma voix se féminiser, j’étais désemparée.— Habille-toi et suis-moi. Par contre désolé, mais je n’avais pas prévu que tes seins soient aussi gros, tu va devoir te passer de soutien-gorge, désolée ma chérie, me dit-elle avec un clin d’œil.
Elle me jeta le débardeur blanc de la veille, le même mini-short et un string extrêmement vulgaire. Je l’enfilais à contrecœur, mais au fond de moi, j’appréciais vraiment sentir ce doux tissu glisser contre ma peau. Sans vouloir vraiment me l’admettre, une petite partie de la situation m’excitait, j’avais vraiment envie de me caresser et de découvrir de nouvelles sensations.Je montais dans la voiture, gênée par mes tétons apparents, elle ne disait toujours rien.
— Où tu m’emmènes ? — À ta nouvelle vie, je suis certaine que ça va te plaire !— Non mais attends, il n’y a pas de nouvelle vie ou quoi, je dois aller en cours, voir mes amis, j’ai une vie, et et… — Je t’expliquerai ça sous peu, ne t’en fais pas.
Trop de questions se bousculaient dans ma tête. Comment vais-je faire avec ma famille, mes amis, ma vie est foutue, personne ne me croira..
Nous arrivâmes devant une grande bâtisse blanche, Amy signe d’entrer.J’entrais d’un pas hésitant, toujours chancelant et découvrais avec stupeur qu’il n’y avait que des hommes à l’intérieur. On me dit de rentrer dans une salle qui paraissait être une salle de réunion et de m’y asseoir. J’étais là, sur ma chaise, attendant je ne sais quoi.Après quelques minutes, 4 hommes rentrèrent accompagnés d’Amy et d’une autre femme que je n’avais pas vu auparavant.
— Il est temps de tout t’expliquer, dit la femme.— Oui, si tu ne vois que des hommes ici, il faut que je te dise qu’ils étaient autrefois des femmes. — Et les gens comme moi ? rétorquais-je— Et bien justement, tu es le seul homme à être devenu une femme, les autres ne sont devenus que transsexuels, ils ont un pénis mais aussi des seins et une surproduction d’œstrogènes. En ayant vu ton excitation quand tu as enfilé mes vêtements hier je me suis dit qu’il était possible que ton corps ne rejette pas la pilule, et en effet j’avais raison.
J’étais déboussolé, je suis unique ? Mais pourquoi sur moi et pas sur les autres ? Et surtout comment une pilule peut transformer quelqu’un ?
— Comment une pilule peut faire ça ? demandais-je— Je pense que tu as vu que l’architecture du bâtiment était quelque peu… Originale ? Et bien tu vas avoir du mal à le croire, mais nous ne venons pas de cette époque. Je ne te demande pas de me croire, mais je dois juste t’avertir que nous ne n’irons pas ou du moins plus dans le futur. Faire les tests des pilules sur un homme non consentant et qui plus est du 21ème siècle est strictement interdit, impossible de retourner dans notre époque sans être exilé. Je suis désolée.
Amy qui vient du futur, des pilules qui changent le genre, une organisation du futur, ça fait trop de choses nouvelles pour moi, ma vie ne sera plus jamais la même.
— Léa ? m’appela la dame
Je grimaçais à l’entente de mon nouveau nom.
— Je suis sincèrement désolée mais nous devons vérifier tes capacités… Sexuelles, tu vas devoir avoir un rapport sexuel avec l’un des quatre garçons présents ici. Je pense qu’Alexandre fera l’affaire.
On m’ordonna de me lever et de me rendre dans une pièce sombre située à l’étage du dessus, j’y rentrais, accompagnée d’Alexandre. Il me dit :
— Écoute, je sais que c’est difficile à accepter, mais je suis aussi passé par là et pour tout te dire changer de sexe est quelque chose de magique. Ça va peut-être faire un peu mal au début, le temps que je perce ton hymen mais tout ira bien après.— Attends attends, je suis pas gay ! je vais pas coucher avec un mec !— Tu sais maintenant si tu couches avec moi tu seras hétéro, pas gay. Laisse-toi faire ça va aller, déshabille-toi.
J’enlevais mon débardeur, mon short et je restais avec une simple culotte devant Alexandre. Il baissa son caleçon et je fis de même, j’étais nue, devant cet homme qui devait me dépuceler. Il s’approcha de moi et m’embrassa tendrement, à ma grande surprise, embrasser un homme n’était pas si désagréable. Je sentais sa langue forcer le passage et s’insérer dans ma bouche, nos langues tournoyaient l’une autour de l’autre, et je prenais petit à petit goût à cette situation.Je sentis sa main glisser le long de mon corps pour finalement s’arrêter au niveau de ma poitrine, il me pinçait les tétons, les faisant rouler entre ses doigts. J’y prenais un immense plaisir, mais ce n’était rien comparé à ce qui m’attendait. Il me souleva et m’allongea sur le lit. Il baissa sa tête au niveau de mon vagin et commença de long mouvement de langue, descendant et remontant, léchant d’abord mon clitoris puis enfonçant sa langue plus profondément dans ma fente. Mon corps était parcouru de centaines de décharges électriques, je sentais la douceur de sa langue sur mes lèvres, je dégoulinais de cyprine. La sensation était très étrange, j’avais l’impression d’avoir une érection mais je n’avais pas de pénis, je ne me sentais plus réellement moi-même. Au bout d’un certain temps, il approcha sa main et inséra tout doucement un premier doigt dans mon intimité, c’était divin, jamais je n’aurais cru ressentir de telles sensations. Être une femme n’allait peut-être pas me déplaire. Après quelques minutes, il me dit de m’asseoir au bord du lit et de le sucer. J’appréhendais énormément, avoir un rapport avec un homme était quelque chose que je n’avais jamais imaginé auparavant. J’approchais timidement mes lèvres de ce membre odorant, bien plus gros que mon ancien pénis, et je faisais coulisser doucement son gland dans ma bouche. Ce n’était pas désagréable, et j’avais envie de plus, je prenais son pénis le faisant entrer de plus en plus dans ma bouche, je le léchais, gobais ses bourses, et je sentais un peut de liquide séminal couler au fond de ma gorge. J’astiquais son manche avec une telle application, me voir ainsi à l’oeuvre était très étrange, je léchais tantôt son frein tantôt la base de son pénis, et je prenais un malin plaisir à arrêter de le masturber quand il était sur le point de jouir.
Sucer m’avait procuré une explosion de saveur, et j’adorais la sensation de contrôler le plaisir de quelqu’un à ce point. Au bout d’une dizaine de minutes, il m’ordonna de me mettre à quatre pattes, et sans savoir pourquoi j’obéissais à la lettre sans poser de question. En position de levrette, je sentais le bout de son gland frotter contre mes lèvres, j’étais extrêmement sensible et la seule idée d’insérer son pénis en moi me faisait frissonner. Il cracha sur sa main et enduisit son pénis de salive avant de le positionner à l’entrée de ma vulve. Mon cœur n’avait jamais battu aussi vite, et je sentis délicatement mes lèvres s’écarter, comme comblées par ce phallus. En quelques secondes, il buta au milieu de mon vagin. Il me demanda si tout allait bien, et avant même que je puisse répondre il appuya d’un coup puissant, déchirant au passage mon hymen. Ça y est, il m’avait dépucelée, je raffolais de ça, le sentir coulisser au fond de moi était une sensation indescriptible. Il butait parfois dans mon antre, j’aimais me sentir soumise à cet homme, j’étais contrainte de me laisser faire, et plus l’acte durait, plus je me sentais fondre. Des gouttes de cyprine tombaient sur les draps et je poussais des petits cris aigus. J’avais beau ne pas vraiment aimer ce mot, je me sentais chienne, et cela me convenait parfaitement.
Soudain, il accéléra considérablement le rythme, il allait jouir, et moi aussi. Je senti d’un coup un liquide chaud me remplir et Alexandre se retira, s’affalant sur le lit, épuisé. Je tombais sur le ventre, mais douleur ! Je n’étais toujours pas habituée avec mes seins ! Je me retournais et sentais son sperme sortir en petite quantité de mon vagin. Je passais mes doigts à mon entrejambe, et récoltais ce mélange de cyprine et de sperme, que j’apportais à ma bouche. C’était délicieux.
Même si le sexe avait été magique, étais-je vraiment censé devenir une femme ? Je n’avais encore décidé de rien.À suivre.
Diffuse en direct !
Regarder son live