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Le jour où ma vie bascula.

Chapitre 4

Travesti / Trans
Je me réveillai au petit matin, nue contre le corps de Lucas. Nos mouvements nocturnes avaient évidemment fait glisser son pénis hors de moi, pénis qui reposait maintenant fièrement sur sa cuisse.
Pendant un instant, j’eus un moment de recul. Que se passait-il ? Qu’allais-je faire de ma vie ? Pourquoi ça m’arrivait à moi ? De multiples questions se bousculaient dans ma tête, comme si tout s’était embrouillé. Moi qui pensais avoir commencé à accepter ce changement d’état, les choses n’allaient pas être aussi simples...
À genoux sur le lit, je regardais le corps nu de Lucas. Il était très beau certes, mais était-ce vraiment cela que je voulais ? Sucer, me faire baiser, être excitée au point de ne pas arriver à me contrôler ? Hier j’avais sauté immédiatement sur sa queue sans même me poser de question, je l’avais fait me pénétrer sans protection et jouir en moi. À ce moment, j’avais l’impression que plus rien n’avait n’importance autour de moi, mais maintenant les choses étaient différentes...
Le shoot d’hormones que j’avais reçu était parti et je me retrouvais seule face à moi-même. En me levant, je me regardai dans le miroir. J’y voyais une belle femme, mais était-ce vraiment moi ? Une poitrine assez volumineuse, de longs cheveux, mais surtout un vagin vêtu d’un simple liseré de poils roux. Je ne sais pas ce qui s’était passé en moi durant cette nuit, mais le retour à la réalité était douloureux. Ces derniers jours, je m’étais enfermé dans le déni en essayant tant bien que mal de m’accepter, mais ça ne pouvait plus durer.
Sous la douche, mes pensées continuaient de me torturer et l’eau aussi chaude soit-elle ne parvenait pas à m’extirper de cette spirale infernale.
Après m’être lavée, je me dirigeai vers la commode pour attraper une culotte et un t-shirt, que j’enfilai immédiatement. Mes caleçons me manquaient, mon torse lisse de tout volume aussi. Je n’étais toujours pas habitué à sentir mes seins bouger au gré de mes mouvements.
En allant dans la cuisine, j’aperçus Amy qui avait dû rentrer plus tôt dans la matinée. J’aimais cette femme de tout mon cœur, mais un sentiment de colère et d’injustice traversa mon esprit. Elle avait chamboulé ma vie et plus rien ne serait comme avant. Elle me lança un grand sourire et ma colère s’estompa assez rapidement. Être en colère ne me ferait pas revenir en arrière de toute façon.
— Alors, la nuit s’est bien passée à ce que je vois Léa ! dit-elle en me lançant un clin d’œil.
Je n’avais pas vraiment la tête à ça et je me contentai de simplement hocher la tête. Amy me connaissait bien, et elle se rendit vite compte de mon désarroi. J’étais en train de préparer mon petit-déjeuner lorsque je sentis ses mains se poser sur mes hanches. Puis, sa bouche déposa un délicat baiser dans mon cou. Ce fut pour moi comme une décharge, je me sentis instantanément fondre sous ses caresses et sa bouche qui dévorait mon cou. Il m’était impossible de comprendre précisément ce que je ressentais, mais cela ressemblait plus à une amitié si puissante qu’elle me transcendait. Était-ce de l’amour ? Impossible de le savoir pour le moment. J’étais si déboussolée que je ne pouvais plus continuer à préparer mon petit-déjeuner. Je me retournai alors et croisai le regard d’Amy. Je sombrai dans l’océan de ses yeux bleus, comme si un courant irrésistible m’attirait au fond de son âme. Sans réfléchir, je posai mes lèvres sur les siennes.
Nous nous étions déjà embrassées par le passé, mais cette fois-ci les choses étaient différentes. Nous gémissions à chaque mouvement de nos corps et nous décoller était impossible. Moi qui m’étais réveillée perturbée, je ne pensais plus à rien et sentais petit à petit ma culotte s’humidifier. Nos seins s’écrasaient mutuellement et mes tétons durcissaient comme jamais ils ne l’avaient fait avant. Pour la première fois depuis mon changement, je me sentais véritablement excitée au point de ne plus rien contrôler. La veille, j’avais certes sauté sur Lucas, mais quelque chose était différent aujourd’hui.
Les mains d’Amy commencèrent à soulever mon t-shirt et je levai instinctivement les bras au ciel pour la laisser me défaire de ce tissu qui l’empêchait de me toucher. Ses mains douces coulissaient sur ma peau, passaient entre mes seins, sur mon dos, mon ventre... Toujours debout dans la cuisine, mes jambes ne parvenaient plus à me tenir debout alors j’incitai Amy à me suivre sur le canapé. Une fois allongée, Amy passa ses doigts sur ma culotte, envoyant une décharge tout droit dans mon intimité. J’étais complètement trempée et je n’attendais qu’une chose : qu’elle ôte cette culotte pour placer sa langue au fond de moi. Et elle ne se fit pas prier, quelques instants plus tard son visage était niché au creux de mes jambes, et sa langue chatouillait mon clitoris. Je caressais son crâne tout en ne pouvant retenir mes gémissements qui se faisaient de plus en plus bruyants.
Et c’est ce moment que Lucas choisit pour se réveiller et faire irruption dans le salon, simplement vêtu d’un caleçon. En l’entendant arriver, Amy releva sa tête de mon entrejambe et me regarda stupéfaite, elle aussi avait oublié qu’il était là.
Lucas ne savait pas vraiment comment réagir, mais son sexe le savait et grossissait à vue d’œil. La vue de son sexe durcissant à travers son caleçon ne fit qu’intensifier mon excitation : je voulais le sucer maintenant. D’un signe de main, je lui indiquai qu’il pouvait venir et nous rejoindre. Lucas était un peu mal à l’aise, mais une fois arrivé à notre niveau, je plaçai mes mains au-dessus de son caleçon, caressant son membre avec application. Amy qui s’était remise à me lécher, sa croupe bien rebondie en l’air se recula un instant et dit :
— Lucas, je suis toute mouillée, est-ce que tu pourrais retirer ma culotte s’il te plaît ? J’ai les mains prises.
Lucas hocha la tête, son sexe ne demandait qu’à sortir de son écrin de tissu et il baissa lentement la culotte d’Amy pour découvrir son sexe et son anus tout lisses. Il passa la main sur ses fesses et lorsqu’il était occupé à admirer le spectacle, j’attrapais son caleçon du bout de mes doigts pour le faire glisser à ses chevilles. Son sexe se dressa instantanément, heureux d’être libéré. En voyant mes lèvres s’ouvrir, Lucas approcha sa queue de ma bouche, et je commençai sans hésiter à le sucer avec attention, tout en me faisant lécher. La scène était orgasmique. Ma bouche sur son gland et une main sur ses boules, je lui prodiguai une fellation bruyante, mais qui semblait très agréable. Sans prévenir, il m’attrapa la tête et enfonça sa queue bien plus loin dans ma bouche, au point que je la sentis taper le fond de ma gorge. Je ne contrôlais plus rien, il commençait littéralement à me baiser la bouche...
La suite peut-être bientôt :)
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