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Journal d'Amélie Passion Vieux - 02 - Minette

Chapitre 1

Hétéro
    Bonjour, cher journal! C’est moi, Amélie. Je suis de retour...Il faut que je te dise que la fille du vieil homme de 85 ans a coupé court ; un matin, juste après ce dernier épisode orgasmique, elle m’a envoyé un SMS pour me dire qu’ils allaient changer de personne, prétextant des tarifs qui ne leur convenaient plus… je lui ai dit que je pouvais baisser les miens (il n’y a pas de prix pour se faire jouir, hein ?) mais elle préféra quand même changer. Etrange. Je me suis demandé si son père ne lui avait pas raconté "des choses" mais une idée avait germé en moi : je voulais partir en "mission", devenir en quelque sorte une bonne âme qui prendrait soin des autres, enfin, tu sais comme moi cher journal ce que ça signifie. L’épisode que je m’apprête à te raconter marque un certain tournant dans ma nouvelle passion. Tiens toi prêt.

     J’allai par curiosité sur un site internet de petites annonces dont je tairais le nom… Je regardai un peu tout ce qu’il y avait et très peu d’annonces d’hommes très mûres (il y en avait de 60-65 ans mais psychologiquement, ceux-là me paraissaient trop "verts"...) je décidai donc de poster la mienne : "Amélie, 18 ans, propose bonne compagnie à vieil homme seule, délaissé, qui en aurait bien besoin (80 ans et plus)"   Bien évidemment, les réponses arrivèrent en cascades ! Malheureusement, entre les simples dickpicks, les jeunes se faisant passer pour ce qu’ils n’étaient pas, j’étais un peu déçue...heureusement, quelques annonces semblaient être de véritables annonces. Je laissais de côté les hommes qui semblaient trop entreprenant, demandant tout de suite des faveurs sexuelles et me concentrai sur ceux qui étaient un peu plus modérés. L’un d’entre eux, Léon, m’envoya même une photo (il semblait en effet très âgé, et possédait de très beaux yeux clairs) et me racontait qu’il voulait m’inviter chez lui pour un café, sans en faire des tonnes, sans me parler de sa bite et puis tout ça. je connais les dangers du net et je savais que ça pouvait être un usurpateur mais j’acceptai de le rencontrer dans un lieu neutre avant d’aller chez lui. Il était d’accord.

     Nous nous vîmes au café d’une immense galerie marchande. Il était en effet très vieux ; marchant à l’aide d’une canne mais encore très alerte dans son doux regard. Il était très sympa et souriait beaucoup. Il avait une fluette de papy gâteux, ça aussi ça me plaisait ! Nous avons parlé de nous deux, il trouvait ma démarche de prendre du temps pour les personnes âgées très honorable et je lui ai parlé un peu de moi, de ma vie, de tout et de rien. Après ce charmant RDV, nous nous serrâmes la main en nous disant qu’il fallait remettre ça. Ce fût ce coup-ci dans un parc ; il faisait frais mais le soleil était de sortie ; c’était une belle journée d’hiver ! J’avais fait exprès sous ma veste d’avoir entrouvert ma chemise à carreaux sur un débardeur au décolleté bien plongeant mais il n’avait pas lorgné dessus un seul instant : il était resté très courtois et je sentais que nos rendez-vous lui faisaient beaucoup de bien ! Les fois suivantes, nous sommes allés nous promener, faire le marché, et je l’avais même emmené à un rendez-vous médical une fois. Même si rien de sexuel ne se déroulait, une certaine amitié commençait à naître doucement et il me dit que je lui faisais penser à sa petite fille qui habitait à 500 bornes d’ici. Il me parla un peu de lui, toujours à demi-mots, préférant que l’on parle de moi, de mes cours, de ma vie sentimentale (inexistante au passage) et de mes problèmes de gamines. Je fus émue quand il évoqua certains de ses amis déjà partis pour l’autre monde ou sa chatte qui avait décampée l’été dernier, sans jamais revenir...

      Au bout de trois semaines, il m’invita chez lui. Il habitait dans une petite maison de banlieue. J’arrivai ce jour-là vêtue d’une jupe très courte (la fameuse) sous laquelle je portais des bas de laine gris pour garder mes jambes au chaud avec ce froid polaire. Il m’a servi un café puis a proposé que nous mettions un peu la télévision, ce que nous fîmes. Nous allions dans son canapé nous installer pour regarder un film de Noël débile qui passait sur M6 ou W9. Rien de bien fou. L’ambiance était sombre, tamisée, une simple lampe à pied éclairait le salon avec l’écran de télé. Dehors, la neige commençait à tomber comme le poing et nous étions bien mieux dans sa petite maison, au chaud sous un plaid, que dehors je ne sais où. Au bout d’une heure de film, par envie naturelle car je me sentais bien, je me rapprochais de lui en me blottissant comme un chat, ce qui ne le dérangea pas du tout. Je frottai ma tête contre son épaule puis son bras et petit à petit, je m’allongeais et vint poser ma tête sur son pull en laine par dessus son ventre rond et tiède. Je pouvais sentir sa lessive sur ses vêtements tout en frottant mon visage sur contre lui. Au bout d’un moment, je pris une de ses mains à la peau flétrie dans la mienne ; elle était chaude, un peu moite, même, et je la posai sur ma tête. Instinctivement, il me caressa, passant ses doigts dans mes cheveux. Si j’avais été une chatte, sa "minette" en quelque sorte, je pense que j’en aurais ronronné de plaisir tellement c’était bon !

     J’avais envie qu’il me caresse autre part...J’étais allongé sur lui, de profil, tournée vers la télévision. Son autre main était posée derrière moi sous le plaid, au niveau de mes fesses et je reculais pour me frotter, qu’il comprenne ce que je désirais réellement. Et il comprit : il leva sa main et vint la poster sur ma hanche qui était à nue. Les frissons me parcoururent et décuplèrent quand il commença à bouger à caresser tout doucement, sans brusquerie. J’étais à la limite de ronronner pour de vrai, cher journal ! La chaire de poule s’empara de chaque portion de ma peau. En me mouvant vers le haut, je lui montrais la direction à prendre (mon cul) et il posa sa main dessus mais par-dessus ma jupe. Mais j’en voulais plus, alors je la remontai jusqu’en haut de mes cuisses. Léon comprit : hésitant l’espace d’un instant, il passa sa main bien chaude en dessous. Le contact de ses doigts avec la peau de mes fesses me fit ressentir encore un intense frisson. Je commençais à avoir des bouffées de chaleur et sous ce plaid, je n’allais pas tarder à me liquéfier de plaisir ! Il tâta doucement mes deux fesses en épousant leur fausse rondeur de sa main, habilement et avec précaution, comme s’il ne voulait pas profaner une pierre précieuse sur laquelle il mettait enfin la main. Cette pensée me flatta, cher journal, mais revenons sous le plaid : Léon poursuivit ses caresses et je suais par tous les pores (et que dire de ma jeune chatte?), tandis que mes yeux regardaient l’écran de télévision sans vraiment le voir, sans réel intérêt pour ce qui passait dessus. Léon alternait entre sa paume et le dos de sa main veineuse et striée de rides sur mon cul lisse. Pour lui montrer mon plaisir, je bombais mes fesses vers l’arrière et ça l’encourageait. Cette drôle d’amitié prenait un tournant…
      Après les longues caresses, Léon, un peu plus en confiance peut-être, m’agrippa le gras du cul, ce qui me fit un effet monstre, tellement plus que quand des mecs plus jeunes l’avaient fait cher journal, tellement plus ! Tel un animal, (un chat peut-être?) je me laissais faire par Léon, je voulais qu’il pose ses doigts, ses mains, là où il en avait envie. Sa main gauche était toujours dans mes cheveux et la seconde suivait son itinéraire sous le plaid et elle remontait dangereusement. Il l’ôta de sous ma jupe et vint la placer au niveau de mon ventre, par-dessus mon débardeur dans un premier temps puis très vite en dessous et toucha mon ventre brûlant de fièvre. Il remonta, rencontra mon soutien-gorge et je passai ma main dans mon dos pour le dégrafer. Cet obstacle en moins, il tata ma poitrine doucement et dessina de petits mouvements par dessus, sa paume rencontrant mes tétons tout durs. Il s’empara d’un de mes seins, le malaxa, passa à l’autre et revint sur le premier, en alternance. Je l’entendais respirer, preuve qu’il prenait énormément de plaisir et la tension fut à son comble quand du bout de ses doigts (entre le pouce et l’index), il prit mes tétons et les fit rouler entre eux. Avec ma main, j’allais sous ma jupe pour pour me caresser par-dessus mon string. Haletante, je le laissais faire: je me sentais au bord de l’orgasme!    L’après midi passa, dans cette espèce de bulle à la fois remplie de tendresse et de quelque chose de plus torride. Par moments, il s’arrêtait, gardant son bras en travers de mon corps comme si je lui appartenais, puis il reprenait ses caresses langoureuses par la suite mais sans jamais aller jusqu’à mon entrejambe. Lorsqu’arriva le début de soirée, c’est moi qui pris les devants : avec ma main, j’allais chercher son pantalon, entre ses cuisses et je la passais au niveau de son entrejambe ; je sentais une petite bosse, comme s’il bandait mou (peut-être l’âge?) mais je me mis à le frotter, à l’image de ses caresses et il reprit les siennes sur mes fesses avec le dos et la paume de sa main.   J’avais envie de venir, d’imploser, et toujours à l’image d’un animal, je baissais la tête en étant sous le plaid et je pris sa main qui dépassait de mon débardeur par le décolleté : je portais un de ses doigts jusqu’à mes lèvres, déposais dessus de petits baisers innocents et enfin, je sortis la langue pour le lécher avant de le prendre en bouche et le sucer légèrement, comme je l’aurais fait avec son gland. Portant de nouveau ma main jusqu’à mon sexe mouillé (à l’intérieur de mon string cette fois-ci), je sentis l’implosion dans ma tête qui arrivait urgemment et enfin, en me frottant de plus en plus fort et vite, des milliers d’étoiles explosèrent sous mon crâne et je me mis à vibrer, trembler dans tout mon corps ! Léon le sentit et dans un geste encore emplit de tendresse, il repassa sa main dans ma chevelure et me caressa en murmurant : "Là, Minette, oui, comme ça, voilà."

    Lorsque je m’apprêtais à partir, rassasiée, il m’adressa un de ses beaux sourires ; il avait l’air comblé ! Ce qui signifiait que j’avais rempli ma mission, ma première véritable mission !    - Tu reviens me voir bientôt, minette ? Demanda-t-il.    - Oh oui ! J’y compte bien ! Répondis je avec un sourire.    - C’était...extra, confia-t-il.    - Pour moi aussi, Léon.    En partant de chez lui et en allant jusqu’à ma voiture, je me sentis tout chose. L’orgasme, oui, mais aussi le souvenir de ce moment, de cet après-midi là avec lui et ce doux moment passé ensemble. Je désirais revenir. Plus que tout. Mais ça, ce sera pour la prochaine fois, cher journal.
    A suivre… 
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