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Le journal intime d'Alexandra

Chapitre 2

Inceste
16 août
Le réveille-matin, posé sur mon chevet, indiquait 9 h 23, je me levai péniblement et je mis un long moment pour me remémorer des évènements de la veille. J’étais confuse et je me sentis trahie, humiliée et profondément fautive pour ce qui s’était passé avec le père de Charlotte. Je ne reconnaissais plus la fille que je voyais dans le miroir. J’avais bel et bien franchi un cap dans ma vie. Moi qui avais toujours été une fille exemplaire, prude et qui croyait en des valeurs honorables, j’étais devenue le temps d’une après-midi, le vulgaire jouet d’un homme qui n’avait cessé de fantasmer sur mon corps depuis mes premières formes. Mon jugement était tiraillé entre deux visions, la première était celle une adolescente, trop naïve qui a assouvit les besoins primaires d’un homme peu scrupuleux sur ce qu’elle ressentait et voulait. Et la seconde vision était celle d’une jeune femme en quête d’excitabilité sexuelle qui n’a pas su dire stop au déferlement bestial d’un homme avide de sexe.
Dévêtue et entourée de ma serviette, je me dirigeai vers la salle de bain. Aussi loin que je m’en souvienne, je ne fermais jamais le store de la fenêtre, j’aimais assez bien l’idée que quelqu’un puisse m’épier dans ma salle de bain. Des pas dans le couloir attirèrent mon attention. Thierry apparut dans l’encadrement de la porte, entièrement nu. Je cédai à la panique, non car il était tout nu, mais, car maman pouvait toujours être là et nous surprendre, machinalement je me pressai à fermer le store.
— Ne t’inquiète pas, elle est déjà partie travailler. Me dit-il d’une voix suave et rassurante.— Et toi, tu ne vas pas travailler ?
Me yeux ne purent se détacher de son sexe. Comment un sexe de sa taille à la limite du risible pouvait-il produire autant de sperme ? Même le sexe du père de Charlotte qui était largement plus grand en produisait que très peu. Sans même me prêter attention, il se brossa les dents et se contempla dans le miroir. J’ôtai ma serviette et me mise à mon tour à me brosser les dents. Du coin de l’œil, je l’observai, son sexe n’avait pas pris de l’ampleur. Cette situation quelque peu inopportune suscitait ma libido. Ses vinrent croiser les miens, il me regarda avec concupiscence et une envie qu’il eut du mal à dissimuler. La vision de mes seins, des mes hanches et de mon bas ventre lui fît un effet instantané et son regard fulgurant me mît mal à l’aise. Avais-je malgré moi, déclenché en lui le côté bestial qui sommeille en chaque homme ? Des milliers de pensées fusèrent dans mon esprit. Je me rendis compte que ce qu’il m’avait le plus plu chez Thierry, c’était justement ce respect et cette distance affective et paternelle qu’il avait toujours su instaurer. Allait-il céder et m’obliger étancher son désir de plus en plus croissant. D’une voix qui sortit du plus profond de son être, il me dit :
— Prends ta douche, excuse-moi de mon intrusion.
Sans que j’aie eu le temps de répondre quoi que ce soit, il partit. J’étais reconnaissante de son respect envers moi et rien que pour cela, je savais que c’était à lui que je devais donner ma virginité. Je me regardai dans le miroir et je me mis à sourire. Il passa dans le couloir, je sortie nue et l’interpella dans le couloir, je vins me coller à lui et le pressa contre moi en signe de gratitude. Son sexe s’endurcit, je pus le sentir à travers le boxer qui venait d’enfiler. D’un regard malicieux, je le pris par la main et l’emmena dans la salle de bain et referma la porte. Il fut dépassé par les évènements, lui qui à contrecœur avait quitté la salle de bain afin de refouler ses pulsions. Le revoilà en train de vivre ce qu’il avait probablement fantasmer quelques minutes plus tôt. Docile et beaucoup moins imposant que le sexe du père de Charlotte, je pris possession de son sexe avec assurance. C’était comme une revanche par rapport à hier et au fonds de moi, je voulais lui procurer un maximum de plaisir, car lui, par rapport au père de Charlotte, le méritait. J’eus moins de dégout que lors de ma première fois à la vue de son sexe et sans réfléchir, j’ouvris ma bouche et engloutis son sexe. Je m’appliquai du mieux que je pouvais, m’efforçais à ne rien omettre jusqu’à lécher ses testicules fripés. Mais cet instant fut écourté par une giclée de sperme, je dirigeai sa lance vers ma bouche, un afflux soutenu et régulier de sperme vint maculer mon visage. Devant cette scène fantasmagorique, il m’empoigna violemment la tête et m’enfourna son sexe qui continuait à éjaculer sa semence. Je faillis suffoquer, mais d’un effort surhumain, je ne laissai rien transparaitre pour ne pas gâcher son plaisir. Je restai quelque instant sans bouger, une fois sorti de ma bouche. J’avalai ce qui se trouvait, il passa son doigt sur mon visage pour l’enduire de sperme qu’il dirigeait ensuite vers ma bouche pour que j’avale. Je finis par me relever et je me précipitai hors de la salle de bain, le voyant relever la lunette des WC. Je voulais préserver une once de pudeur. Je me dirigeai vers ma chambre, essayant tant bien que mal, à contenir le sperme sur moi. Je m’arrêtai nette, paralysée, pétrifiée ...
en bas de l’escalier se tenait Charlotte. Elle du enlevé ses lunettes de soleil pour être certaine qu’elle n’était pas en train de rêver. Elle examina depuis sa position, en fronçant ses yeux pour mieux voir, mes cheveux qui étaient parsemé de sperme. Elle se mit à ouvrir la bouche et plaça sa main devant pour atténuer son cri de stupéfaction. Je repris mes esprits et courus dans ma chambre.
Suite …
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