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Le journal intime de Chloé

Chapitre 1

Mon premier job

SM / Fétichisme
Moi c’est Chloé, je suis une petite nana de 23 ans d’environ 1m60, je suis blonde avec des yeux de la couleur de l’automne. On dit de moi que je suis mignonne, les garçons vont jusqu’à dire “bonne”. J’aime la vie et suis avide de nouvelles découvertes ; faire la fête est une activité primordiale pour moi. Ah, j’ai oublié de dire que je suis assez coquette et aime me mettre en valeur sans tomber dans la vulgarité.Pour tout vous dire, les études ne m’ont jamais vraiment passionné, je souhaitais vite intégrer la vie active afin de devenir autonome financièrement. Avec mon bac en poche, je me lançais à la recherche d’un emploi, avec ce seul diplôme mes prétentions ne volaient pas haut vous l’imaginez bien. Cependant, mon minois d’ingénue inséré à mon CV me garantissait d’être appelée à coup sûr par les entreprises ou plutôt par leur représentant masculin. S’ensuivaient évidemment des entretiens pas toujours effectués dans les règles de la bienséance. Certains recruteurs ne se gênaient pas pour me faire des avances et me promettre un avancement facilité en échange de ma docilité. Il est clair que mon 90 C et mon petit cul échauffent rapidement les esprits mâles, pas que les esprits d’ailleurs.Mais j’étais encore jeune et pas prête à troquer si facilement ma vertu contre un travail. Je vivais encore dans l’espoir ou plutôt l’idée que ce monde abritait des hommes de qualité aux valeurs morales irréprochables. Finalement, j’échouais dans une boulangerie d’un petit village du sud de la France, l’ambiance y était familiale, l’enseigne indiquait “Chez Mella”. On recherche une vendeuse à ce qu’en disait l’annonce, elle spécifiait que la candidate devait se montrer avenante, avoir le sens du contact et surtout être flexible et polyvalente en toutes circonstances.Pour en revenir à la boulangerie, c’est une affaire qui se transmettait de père en fils, en clair ils travaillaient en famille. Pour présenter rapidement l’organigramme de la société, il y a en premier lieu le patriarche, c’est un vieil homme de 72 ans aux manières rustaudes, il est de la vieille école et mène son monde à la baguette. Pour lui, Serge de son prénom, les femmes doivent se soumettre aux volontés de leur mari, elles n’ont pas voix au chapitre comme on dit. Rien qu’avec cela, vous cernez rapidement la mentalité archaïque du personnage. Ses mains étaient rugueuses et son visage parcheminé, le temps avait fait son œuvre. Malgré cela, son organe vocal commandait toujours avec force et personne ne lui résistait. Jamais quelqu’un ne s’était opposé à lui. C’était un homme de forte corpulence, pas musclé, mais enrobé. Il dirigeait son entreprise de main de maître, et cela marchait, les affaires étaient florissantes.Avec lui ou plus exactement sous ses ordres travaillent ses deux fils, ses belles filles et ses petits-enfants aux périodes de vacances scolaires. En ce qui me concerne, j’ai la chance d’avoir une partenaire comme je la surnomme. Elle s’appelle Margaux, a dix ans de plus que moi, et est plus grande d’au moins dix centimètres. Mais surtout, ses cheveux sont dorés comme les miens, on dirait deux sœurs, à croire qu’ils embauchent leur personnel sur le même modèle. Sa poitrine est d’une taille plus modeste que la mienne, sa physionomie est de type longiligne, elle doit peser 50 kilos pour 1m70. Elle est sympa et très jolie avec ses yeux bleus aux nuances de l’océan. Ses traits sont fins et son visage parfaitement maquillé, une vraie poupée de porcelaine. Elle est tout en délicatesse. Dommage que l’on ne fait que se croiser, car nos plages horaires ne se chevauchent que rarement. Je lui suis très reconnaissante, elle m’a aidé à mes débuts à comprendre le fonctionnement de la boutique, c’est elle qui m’a pour ainsi dire formée. Un jour elle m’a parlé de droit de cuissage au sein de la boulangerie, cela m’a fait bien rire. Elle me confia aussi qu’elle désirait être soumise par un homme fort. Quelle blagueuse cette Margaux !À présent cela fait deux mois que je fais partie de la maison, on me confie plus de responsabilités, j’en suis heureuse et même assez fière à vrai dire. Ce qui me dérange un peu, c’est les petites tapes au cul que le vieux nous colle en passant près de nous comme si on faisait partie de son cheptel. Je n’ose rien dire, c’est mon premier emploi et je ne veux pas le perdre, il me permet d’aider un peu financièrement mes parents. J’accepte donc cette marque d’assujettissement, mettant cela sur le compte d’une éducation d’un autre temps, celui où les femmes n’étaient que des objets juste bons à obéir et à donner du plaisir aux mâles.Ce soir on est mardi, c’est moi qui fais la fermeture. Les derniers clients s’en sont allés, il y en a toujours qui veulent rester jusqu’au bout, histoire de me tenir compagnie. Mais moi, en fin de journée je ne trouve plus cela charmant, mais lourd. Je ferme la porte à clé, je baisse les rideaux et commence à remettre un peu d’ordre avant de partir. Après quelques coups de balai, j’entends du bruit provenant de l’arrière-boutique. Étrange, je suis censée être seule, cela m’inquiète, je suis une petite nana certes courageuse, mais pas très forte. Que faire ?Mon balai à la main, je me dirige vers l’origine du bruit, je replace mes cheveux derrière mes oreilles. Plus je m’en rapproche et plus j’entends distinctement ces sons. Je progresse lentement dans l’obscurité vers la réserve, la porte est entrebâillée, elle ferme mal, l’un des fils devait la réparer depuis longtemps. Un filet de lumière s’échappe de la pièce et se perd dans le noir en diminuant d’intensité. Je me rapproche sur la pointe des pieds sans faire le moindre bruit. Je suis inquiète de découvrir ce qui se trame à l’intérieur, je tremble un peu. Dorénavant, plus près, les sons prennent forme et laissent deviner des gémissements. Mais que se passe-t-il donc là-dedans ? On avait l’impression que l’on torturait quelqu’un. C’est peut-être un voleur ou pire encore, mon imagination galopait créant des scénarios sordides qui m’emplissaient d’effroi. Maintenant je suis à portée de vue, mais j’appréhende le moment où mes yeux vont découvrir la scène en déroulement.Je n’ose pas, puis je jette un coup d’œil circulaire et vois au fond de la salle la tête de Margaux qui dépasse derrière les caisses de marchandises. Ce qui est étonnant, c’est qu’elle se trouve à 40 centimètres du sol, elle semble en mauvaise posture, son visage décrit de la souffrance, ses joues sont luisantes et rougies. Quant à ses yeux, ils brillent du fruit du désespoir. Oubliant toute raison, je veux aller à son aide jusqu’au moment où une voix au timbre rocailleux s’exprime. Je me stoppe sur place et demeure dans l’ombre. Cette voix est forte et injurieuse :
— Tu es à moi p’tite salope, tu travailles pour moi, tu m’appartiens comme tout ce qui est dans cette boutique. La seule chose pour laquelle tu peux ouvrir ta gueule, c’est pour me sucer la queue !
Je ne vois pas encore ce mystérieux interlocuteur, mais j’en devine l’identité. De la transpiration dégouline dans mes yeux, ça pique. Je suis terrifiée par les mots que je viens d’entendre, je tremble encore plus. C’est alors que ce sale type progresse jusqu’à se mouvoir dans mon champ de vision. Instinctivement, je fais un pas en arrière avant d’en découvrir l’identité, comme si cela me protégerait. Puis je décide de me rapprocher, je dois voir, il faut que je sache de qui il s’agit.C’est lui, l’allure rustaude et son faciès de vieux, Serge le grand patron. Il se met à déambuler dans la pièce. Je constate alors qu’il tient dans sa main gauche une laisse reliée à un collier qui enserre le cou de la jolie Margaux. Lorsqu’elle traîne à le suivre, il tire d’un coup sec pour la rappeler à l’ordre, lui rappeler qui est le maître. Comme une petite chienne, à quatre pattes, elle le suit pendant qu’il débite ses grossièretés. La pauvre est nue et n’a que pour seul vêtement un plug inséré dans son anus, celui-ci est personnalisé au thème en présence, l’accessoire anal est prolongé d’une fausse queue de chien. À chacun de ses déplacements, son balancement de hanche fait remuer ce faux appendice canin dévoilant sa vulve à la texture d’abricot. Elle est sa chienne obéissante, comme un maître tout puissant le vieux Serge en dispose à sa guise.Dissimulée en arrière-plan, je ne perds pas une miette de ce spectacle humiliant et dégradant que subit ma partenaire. Des bouffées de chaleur me gagnent, elles sont un mélange de peur et d’excitation, j’en ai presque honte. Je veux partir de ce lieu infâme, mais quelque chose me retient, je suis curieuse malgré moi de découvrir la suite des événements.Serge installe son gras séant sur une chaise en rotin, ses jambes sont écartées. En face de lui, au bout de sa laisse, se tient la jolie Margaux au teint de porcelaine. De sa main droite, il agite une baguette comme un chef d’orchestre signifiant à sa chienne de faire la belle. Celle-ci, toujours sur les genoux, s’exécute et se dresse tenant devant elle ses bras et ses mains comme le ferait un chien dans une posture identique. Mais cela ne suffit pas au vieux, pour que le spectacle soit parfait il manque quelque chose. Sa baguette s’approche alors du doux visage et en caresse les contours, elle s’insère subrepticement dans la bouche délicate et en écarte les lèvres. Le bout de bois mince et effilé avance et recule à l’intérieur pendant une longue minute, un réflexe de succion s’ensuit.
— T’aimes ça sucer ! À voir comment tu t’y prends, on voit tout de suite que t’es une bonne suceuse ! Lâche Serge avec mépris.
Ensuite il se mit à tapoter la langue de Margaux lui faisant comprendre qu’elle doit pendre à l’extérieur comme celle d’une chienne qui se respecte et qui désire la reconnaissance de son maître. Sa poitrine moyenne est tendue à son paroxysme, ses tétons pointent de cette soumission sévère, sa chatte s’exprime malgré elle rejetant en filets fins de la cyprine tout juste constituée. Ses fessiers sont rebondis et dessinent un creux sur les extérieurs, la queue de chien plantée dans son anus pendouille derrière. Tout ça ainsi que sa peau satinée la rendent incroyablement sexy. Ses yeux bleus sont baissés et soumis. Cette créature tout en délicatesse est dominée et à la merci de ce vieux porc gras à la bedaine qui tombe sur ses cuisses.Qu’est-ce qu’elle est bonne ! me dis-je l’espace d’un instant avant de me ressaisir et de reprendre mes esprits. Toujours dans l’ombre, ma culotte est mouillée sous l’effet que me procure cette scène. Mes doigts ont commencé à malaxer à travers le tissu mon bouton du plaisir sans que je m’en rende compte. Mes sens sont en exergue, je suis partagée entre le désir de m’enfuir ou de rester pour assister au dénouement de cette histoire.Le vieux se relève un moment et ouvre sa chemise dévoilant un bide énorme. Il défait sa ceinture, déboutonne son pantalon et le laisse tomber à terre. Il ne porte pas de slip, son sexe est donc libéré de toute emprise vestimentaire, il est encore en forme et dressé comme la proue d’un navire, il pointe dans la direction de sa chienne. Il se rassoit sans un mot, puis il tire lentement sur la laisse. La tête guidée par le collier qui l’emprisonne se rapproche de cette verge en érection. Il tire encore et encore jusqu’à ce que la bouche de Margaux tel un fourreau absorbe complètement ce pieu de chair. Lorsqu’elle en ingère la moitié, la chienne arrête sa progression. Mais le vieux en veut plus, c’est lui qui commande. Il place sa main derrière la nuque recouverte de cheveux blonds et l’appuie vers lui au maximum. Sa queue pénètre jusqu’à la gorge de Margaux qu’il maintient un moment, presque jusqu’à l’étouffement. Puis il relâche la pression et lui fait exécuter des va-et-vient à une allure crescendo. La tête blonde au visage fin rebondit à intervalles réguliers sur le gros ventre parsemé de vergetures, le corps jeune et nu à quatre pattes oscille d’avant en arrière dans le même mouvement.Pendant ce temps, je continue à malaxer mon bouton du plaisir au même rythme que ma partenaire astique le manche du vieux, toujours de manière inconsciente ceci étant. Mon plaisir l’a emporté sur la cruelle réalité de la situation. Je me surprends même à caresser ma poitrine qui a gonflé. J’ai une vue imprenable sur le cul en forme de cœur qui s’agite d’avant en arrière ainsi que sur sa chatte, je reluque presque avec désir les lèvres qui s’écartent puis se referment à chaque oscillation du bassin. La chaleur monte à l’intérieur de moi sans que je ne puisse rien y faire, elle m’envahit et me submerge complètement jusqu’à perdre tout contrôle. J’ai chaud, je me frotte le visage du revers de la main tellement mon plaisir est fort, je me sens partir et ne peux plus me retenir tellement cet orgasme qui monte en moi est puissant. Puis d’un coup la jouissance, de part et d’autre. Je jouis dans ma petite culotte et en imbibe jusqu’à la plus petite fibre du tissu. J’en perds presque connaissance.Quant au vieux, il a éjaculé au même moment dans la bouche de sa chienne, c’est si abondant que le liquide blanc et épais s’en échappe par les commissures et coule le long du menton. La bouche de Margaux tente de s’ouvrir pour en libérer l’excédent, mais la baguette de bois claquant sa tête la rappelle à l’ordre.
— Avale tout p’tite salope ! gueule son maître au faciès usé par les années, quasi décomposé.
Après un court instant à me remettre de mes émotions, j’en ai assez vu, le temps est venu de quitter les lieux sans me faire remarquer. Mes esprits retrouvés, mon corps commence à effectuer une rotation pour quitter cet endroit. Mais des bruits de fouets m’interpellent et m’incitent à reprendre mon poste d’observation.Le vieux est debout au-dessus de Margaux toujours en position de chienne, il lui assène à répétition des coups de baguette sur son petit cul de cœur. La peau est rougie par tant de violence. La partenaire de Chloé pousse des gémissements de douleur à chaque fois.
— J’ai pas assez joui p’tite salope, t’es décidément bonne à rien ! invective Serge la matraquant sans retenue.
Margaux gémit et s’excuse, mais rien n’y fait. Les coups de baguette continuent à fouetter son fessier aux formes arrondies. Le vieux se place alors derrière elle, d’un coup brusque il lui arrache le plug anal en le tirant par la queue. Margaux expulse un cri tant la sensation qu’on lui déchire quelque chose fut forte. Juste après, il s’agenouille et pose son gros bide sur elle. Sans ménagement, il la fourre à sec en lui enfonçant son pieu au plus profond de son petit cul. Pour accentuer cette violente domination, il tire simultanément vers lui la laisse accrochée à son cou. Il encule cette chienne comme un mâle saillit sa femelle. Il la brutalise à chaque assaut bestial, sa main gauche tire sur la laisse pendant que sa main droite fait claquer la baguette sur son corps. Il continue en augmentant la cadence, avec vigueur il l’encule de plus en plus fort la malmenant comme une bête. Il émet des râles de plaisir pendant qu’elle gémit de douleur. Au bout de dix minutes, il finit par jouir au plus profond d’elle. Il se retire sans aucune douceur et oblige Margaux à prendre sa queue en bouche pour la nettoyer.
— Fais ça bien, elle doit être propre comme un sou neuf, lui ordonne-t-il.
Sa chienne obéissante ne dit rien et se contente d’astiquer le manche ridé de son maître jusqu’à entière satisfaction. La bouche délicate s’active pendant plusieurs minutes, à chaque coup de langue ses cheveux dorés balbutient de droite à gauche. Ensuite, le vieux la prend dans ses bras et fait presque preuve de tendresse et d’intérêt.
— Tu vois quand tu veux ma p’tite salope, t’arrives à me donner du plaisir, tu n’es pas si inutile que ça ! dit Serge à sa femelle blottie sur son ventre gras aux vergetures rougeâtres.
Il en profite pour lui caresser les tétons et plonger dans sa petite chatte fine plusieurs de ses doigts rugueux. Il s’active à l’intérieur et la malmène à lui faire mal. Soumise, elle ne proteste pas, elle esquisse même un sourire dans sa direction. Pour ma part, je me maintiens toujours derrière la porte, j’ai assisté à toute cette scène et ne sais pas quoi en penser du haut de mes 23 ans.
— Tu sais ce qui me ferait plaisir Margaux, ce serait de convertir Chloé à nos petites séances, qu’en dis-tu ? Interpelle le vieux en employant à son endroit un langage plus tendre et plus respectueux.
— Pourquoi pas ? lui répondit-elle avec timidité.
— J’aimerais tant lui bouffer les seins et la baiser comme une chienne, avec vous deux, ce serait comme si j’avais un chenil.
À ces mots, mon sang ne fit qu’un tour. Résolue à quitter cet enfer, je partis et pris la route vers chez moi. Je ne pouvais pas continuer à travailler dans cet endroit malfaisant, je le dirais à mes parents dès que je serais rentrée à la maison. C’est décidé, rien ne me ferait changer d’avis. Ma maison est en vue, je me gare sur le trottoir d’en face. Je prends un instant pour me ressaisir, je suis encore traumatisée de ce que j’ai vu. Je respire à fond et rentre à l’intérieur.
— C’est moi, je suis rentrée !
La maison semble vide, personne ne me répond, cela ne présage rien de bon. Je me dirige vers la cuisine où la lumière allumée éclaire partiellement le couloir, je trouve mon père avachi sur une chaise la mine défaite. Ma mère le tient par les épaules et me regarde avec tristesse. C’est mon père qui parle le premier.
— J’ai perdu mon travail, heureusement que tu es là et que tu nous aides financièrement grâce à l’argent que tu gagnes à la boulangerie, sinon je ne sais pas comment on ferait ma petite puce. Merci. Rajouta-t-il en me jetant un regard reconnaissant, loin d’imaginer le dilemme qu’il venait de m’opposer.
Le lendemain, c’est le cœur serré que je retournai à la boulangerie “Chez Mella”. Pour la première fois depuis que j’y travaillais, ce fut le vieux Serge qui m’accueillit avec un grand sourire. Sur un ton mielleux, il me dit :
— Je suis tellement content que tu travailles pour nous. Tu sais, nous sommes une famille, j’ai de grands projets pour toi. Tu verras, tu seras heureuse ici, je te le promets, je vais prendre soin de toi.
Margaux se tenait à côté de lui pendant qu’il déblatérait, sa frimousse délicate était semi-baissée, ses yeux bleus d’océan me regardaient à peine. Sous le col de son chemisier, on pouvait deviner qu’un collier de velours noir enlaçait son cou comme une marque de servitude acceptée. Le vieux me prit alors par les épaules afin de m’accompagner à l’intérieur et la porte se referma sur moi.
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