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Le journal intime de Chloé

Chapitre 2

Marché conclu

SM / Fétichisme
Moi c’est Chloé, pour ceux qui me connaissent, passez au paragraphe suivant. Comme je disais, moi c’est Chloé, je suis une petite nana de 23 ans d’environ 1m60, je suis blonde avec des yeux de la couleur de l’automne. On dit de moi que je suis mignonne, les garçons vont jusqu’à dire “bonne”. J’aime la vie et suis avide de nouvelles découvertes ; faire la fête est une activité primordiale pour moi. Ah, j’ai oublié de dire que je suis assez coquette et aime me mettre en valeur sans tomber dans la vulgarité. Je travaille à la boulangerie “Chez Mella” dans un patelin du sud de la France. Pour ce qui est de ma physionomie, j’ai un 90 C et un beau petit cul qui échauffent pas mal les esprits mâles. Mes études se sont arrêtées au bac. Je bosse comme vendeuse avec Margaux, ma partenaire de boulot. Elle a dix ans de plus que moi et est plus grande d’au moins dix centimètres. Ses cheveux sont dorés comme les miens, on dirait deux sœurs.
Sa poitrine est d’une taille plus modeste que la mienne, sa physionomie est de type longiligne, elle doit peser 50 kilos pour 1m70. Elle est sympa et très jolie avec ses yeux bleus aux nuances de l’océan. Ses traits sont fins et son visage parfaitement maquillé, une vraie poupée de porcelaine. La boutique est dirigée par le vieux Serge, il a 72 ans et des manières rustaudes, son corps gras et obèse accuse les années. Ses fils, ses belles-filles et de temps en temps ses petits-enfants travaillent avec lui, ou plutôt sous ses ordres. Il ordonne et tout le monde obéit sans broncher, le patriarche nous tient tous sous sa coupe.
Deux semaines s’étaient écoulées depuis la séance de soumission de Margaux à laquelle j’avais assisté en coulisses. Ni ma partenaire ni son maître Serge au faciès ridé ne savaient que j’en avais été la spectatrice. J’en étais encore toute retournée. Je réussissais tant bien que mal à travailler en faisant comme si de rien n’était. Les regards du vieux à mon égard se faisaient de plus en plus insistants, ses tapes au cul aussi. Dès qu’il me côtoyait, j’y avais droit, une manière pour lui d’affirmer son emprise sur son cheptel dont je faisais partie intégrante. Je savais très bien que j’étais la prochaine sur sa liste, il espérait bien m’infliger le même traitement que Margaux. Je demeurais sur mes gardes et évitais de me retrouver seule avec lui dans la réserve. Il n’aurait pas mon p’tit cul, il pouvait toujours rêver le vioc !
Je serais bien partie de cet endroit de perdition, mais mon père pointait au chômage. Ma famille avait besoin de l’apport financier que constituait mon salaire pour vivre. Je n’avais que 23 ans et pour diplôme un bac littéraire, autrement dit, rien qui ne me laissait beaucoup d’autres options. Avec un tel bagage scolaire, les opportunités n’étaient pas légion. Trouver cet emploi fut déjà une bénédiction, j’en étais consciente, je n’avais donc d’autres choix que d’accepter le traitement si peu honorable qui m’était soumis. Par honte et pour ne pas culpabiliser mes parents, je ne leur avais rien dit et m’employais à toujours sourire à la maison.
Régulièrement, je discutais avec ma partenaire de boulot. Celle-ci me racontait sa rencontre avec un homme qui savait la rendre heureuse selon ses paroles. Bien évidemment, elle se gardait bien de dévoiler son identité. Pendant ce temps, je faisais mine de rien savoir tout en éprouvant des réserves au sujet de cette relation plus qu’atypique. Lorsque nos horaires se chevauchaient, je voyais bien comment Serge caressait le délicat fessier de Margaux, cette dernière lui répondait en lui offrant un sourire naïf. Ce vieux porc gras profitait d’elle à n’en point douter, ma vision édulcorée de l’amour m’empêchait d’y voir autre chose. J’étais écœurée par la bestialité avec laquelle il l’avait traitée lors de leur partie de sexe, même si j’avoue avoir été excitée bien malgré moi. Que lui avait-il donc bien promis pour bénéficier de ses faveurs, elle qui est jeune et magnifique lui était totalement soumise.
Décidément, je ne comprends pas son obsession ou plutôt sa dévotion pour ce vieux tout décrépi.Alors que les deux filles papotaient tranquillement, la porte de la boulangerie s’ouvrit, déclenchant la sonnette. Un client aux motivations encore insondables pénétra à l’intérieur. La quarantaine installée, il se déplaçait d’une démarche assurée et sereine. Cet homme costumé à la dernière mode affichait un style distingué, sa coupe de cheveux était impeccable tout autant que ses habits étaient repassés. Son visage était gracieux et plaisant à regarder, son sourire charmeur n’était pas pour déplaire à nos deux vendeuses. C’était à savoir laquelle des deux allait le servir en premier. Mais ce fut lui qui brisa ce suspense en demandant à voir Serge Mella. Apparemment, il s’agissait d’un rendez-vous d’affaires assez important, d’ailleurs on l’attendait.
Immédiatement, la jolie Margaux se précipita dans l’arrière-boutique pour prévenir le grand patron que son rendez-vous était arrivé. Tout était prétexte pour aller retrouver son maître telle une petite chienne en chaleur. D’ailleurs, il ne manquait pas de la remercier en lui tripotant les seins au passage, ses doigts rugueux lui pincèrent les tétons jusqu’à ce qu’ils pointent au travers de son haut serré. Elle appréciait ce genre de caresses furtives, c’était comme des petites décharges électriques qui la faisaient vibrer de tout son être. Elle en mouillait même sa petite culotte au point d’en changer plusieurs fois par jour. Après tout, il était son maître et elle sa soumise, elle se devait donc d’apprécier tout ce qui venait de lui. Mais ce que la poupée de porcelaine aimait le plus, c’est quand il se montrait grossier avec elle en l’appelant sa p’tite salope.
Le vieux de 72 ans la panse en avant se présenta à son interlocuteur, il l’invita à le suivre dans son bureau, ses hanches se balançaient de droite à gauche à chacun de ses pas. Ce monsieur au costume bien propre s’appelait Clément Carton, il vivait dans une maison cossue en périphérie du village. Mais ce qui était le plus important, c’était sa fonction au sein de la communauté. Il était le premier adjoint au maire. En ce moment, la commune retravaillait complètement le plan de l’urbanisme plus simplement nommé PLU.
Si Serge l’avait fait venir, c’était pour lui demander d’intercéder en sa faveur au conseil municipal. Il souhaitait agrandir son affaire, mais pour cela, certaines parcelles de terrain devaient devenir constructibles à destinations commerciales. Il savait que la voix de Carton était entendue et respectée, sa famille occupait le village depuis la révolution. Le maire s’en remettait toujours à son avis. Il fallait donc convaincre ce monsieur et même le soudoyer si cela s’avérait nécessaire.
Les discussions entre les deux hommes duraient plus d’une heure sans qu’un accord soit conclu. Malgré tous les arguments apportés par le vieux quant aux bienfaits qu’en retirerait la commune à avoir une boulangerie plus grande, il n’avait pas fait mouche comme on dit. En tant que représentant de la mairie, Clément Carton préférait que son établissement conserve une allure artisanale. Mais rien n’arrêtait le patriarche qui lui proposa un marché en s’adressant à lui sur un ton paternaliste :
— Écoutez mon ami, on peut certainement s’arranger, je suis sûr qu’une petite avance de trésorerie serait appréciée.
C’est ainsi que le vieux appelait un pot-de-vin, une avance de trésorerie. Il joignit le geste à la parole et sortit du tiroir une enveloppe brune assez épaisse qu’il tendit à son interlocuteur. Mais celui-ci la rejeta sans ménagement avec une attitude presque outrée, mais pas surprise. Il connaissait la réputation du vieil homme. Il lâcha même ceci :
— Je ne suis pas à vendre monsieur Mella, vous n’avez rien qui m’intéresse d’ailleurs.— Vous en êtes sûr ? Je vous ai vu lorgner mes deux vendeuses en arrivant, j’ai bien compris qu’elles ne vous laissaient pas de marbre, rétorqua le vieux d’un air suffisant.
Il connaissait les hommes comme Carton ; si distingués soient-ils, ceux-ci n’étaient pas de bois. Les gens comme lui ne refusent jamais une partie de jambes en l’air, surtout si c’est offert de bonne grâce. Son silence en disait long, le vieux savait qu’il avait touché le point faible du conseiller municipal. Sans attendre, il appela :
— Margaux mon enfant, viens nous rejoindre dans le bureau, j’ai besoin de toi pour expliquer à monsieur ce que tu peux lui offrir comme pâtisseries. Si cela vient de ta bouche, il en comprendra mieux la saveur.
À l’appel de son maître, la soumise regarda Chloé en lui faisant une mimique faciale, signifiant son incompréhension face à cette drôle de demande. Puis elle s’exécuta et se dirigea vers le bureau. Serge l’y attendait avec un grand sourire et ferma la porte derrière elle. Comme il le lui avait ordonné, la jeune femme s’habillait de façon attirante presque aguicheuse. Aujourd’hui, elle portait une jupe courte, des bas nylon et un petit haut très serré, son nombril orné d’un piercing mettait en valeur son ventre plat exposé à la vue de tous. Elle devait être excitante en toute occasion.
Comme un père bienveillant, le vieux l’assit sur ses genoux et lui expliqua combien c’était important pour lui qu’elle se montre gentille avec ce monsieur, que les enjeux financiers revêtaient une importance capitale pour la boulangerie. Il attendait de Margaux qu’elle aide le conseiller tiraillé par sa conscience à se détendre afin de prendre la bonne décision. Durant sa brève allocution, il ne manqua pas de caresser ses jambes fines afin de placer son invité dans une ambiance chaleureuse. De concert, la poupée de porcelaine jetait des regards plus qu’enflammés à destination du conseiller, elle mordillait sa lèvre inférieure à de multiples reprises comme le ferait une bonne allumeuse. Elle ferait tout pour satisfaire les désirs de son maître, même se prostituer.
— Tu sais quoi faire ma p’tite salope ! Je vous laisse à présent tous les deux.— Je ne te décevrai pas, répondit-elle avec une voix timide.— Je le sais bien, lui dit-il en lui massant la bouche de ses doigts rugueux.
À peine le vieux sorti du local que Margaux s’affaira à la tâche. Cette mission n’était pas désagréable, le monsieur en question avait belle allure et était soigné d’apparence. Elle s’agenouilla devant lui comme une femme soumise et lui déboutonna son pantalon, lui qui était assis sur une chaise. Il aurait bien voulu protester, mais la vue de cette belle jeune femme l’en dissuada. De la transpiration perlait à la surface de son front et commençait à dévaler son visage. Il reluquait sa poitrine de taille moyenne à travers son petit haut moulant, cela l’excitait énormément. La jeune femme s’en rendit bien vite compte et libéra ses seins de tous vêtements. La tête blonde fit un mouvement de balancier et remit ses cheveux en place. Les deux tétons campés sur cette poitrine d’adolescente étaient dorénavant à l’air libre, ce qui n’était pas pour déplaire à monsieur Carton, la bosse sous sa ceinture en témoignait.
— Je vois que je fais de l’effet à monsieur le conseiller, c’est bien, je suis flattée. Serge m’a demandé de vous faire plaisir et c’est ce que je vais faire, dit-elle d’une voix suave légèrement excitée.
Elle finit par sortir le sexe en érection qui affichait une taille correcte, ses deux petites mains commencèrent à l’envelopper et à faire des allers-retours dessus afin de stimuler son propriétaire. Une réaction de celui-ci ne se fit pas attendre. Il émettait des gémissements de bonheur et y joignait la parole :
— Oh oui, continue, c’est bon, continue, fais-moi du bien, j’aime ça...
Autant dire qu’il était aux anges, et son plaisir montait de plus en plus en lui, sa verge à la couleur violacée en attestait. Pendant ce temps-là, moi qui ne voyais pas revenir ma partenaire, je me rendis dans l’arrière-boutique. Les bruits de plaisir de Clément Carton interpellèrent mon attention. Je m’approchais du bureau et regardais à l’intérieur, je pouvais le faire, car des fenêtres le parcouraient alentour et les stores baissés étaient abîmés par endroit, permettant l’intrusion de regards.
Je n’en croyais pas mes yeux. Mon amie les seins à l’air était en train de branler l’homme en costume pour le compte du vieux Serge. Mais la séance de masturbation monta d’un cran lorsqu’après avoir jeté un regard coquin au conseiller, Margaux goba sa queue d’un coup. Tellement c’était bon, il s’étira de tout son long sur sa chaise comme pour dresser encore plus en avant son sexe dans la bouche de la p’tite salope. Il ahanait de plus en plus fort au rythme des assauts de cette bouche délicate qui lui dévorait le sexe, il en devenait même grossier, lui à l’allure si distinguée. Ça donnait à peu près ça :
— Hummm, c’est bon, hummmm, continue ma salope, bouffe-moi tout !
Je demeurais statique ou presque, ma main droite s’était frayé un chemin jusque dans ma culotte et commençait un massage de mes parties intimes. Cela chauffait en moi à la même vitesse que ma partenaire suçait goulûment cette queue. Lorsque j’étais dans cet état de transe, j’en oubliais ce qui m’environnait, plus rien n’existait autour de moi. Tout mon corps était en émoi, je me touchais partout, ma poitrine généreuse était malaxée et cela m’excitait encore plus.
De l’autre côté de la paroi, Margaux continuait sa fellation. De temps en temps, elle frottait le gland du conseiller contre ses tétons afin de faire monter la température encore plus haute. Elle s’acharnait sur cette queue qui voulait toujours plus d’attention. Elle faisait des va-et-vient à une vitesse stupéfiante, ses mains douces et agiles caressaient les bijoux de famille comme pour en décupler son excitation. Lui, contemplait de plaisir cette petite salope en train de lui lustrer le membre, cette tête blonde aux yeux couleur océan n’en finissait pas de s’affairer. Quand son regard malicieux se plongeait dans le sien, cela redoublait l’intensité de son plaisir. Ses intonations en étaient devenues plus fortes au regard de l’acharnement de la poupée de porcelaine à le sucer.
— Oh oui c’est bon, j’en veux plus, continue, plus vite, suce-moi à fond ma salope !
Encouragée par ces vulgarités, la tête blonde s’empala profondément sur ce sexe à la limite de la jouissance, elle l’engloutit jusque dans sa gorge avec vigueur. Après ce dernier assaut, il ne put se retenir plus longtemps et éjacula à plusieurs reprises dans la bouche de Margaux qui n’en finissait pas de déglutir tellement le flot était conséquent. Pour être sûr qu’elle avale tout, cet homme distingué lui maintenait son membre collé au palais jusqu’à ce que ses testicules soient vidés complètement. L’objet sexuel de Serge avait bien rempli sa mission.
Moi en revanche, je n’avais pas atteint mon seuil de délivrance orgasmique, j’en étais presque déçue. Je repris progressivement mes esprits. Je tenais devant moi mes deux mains et pourtant mes seins continuaient à être malaxés. Avec une certaine appréhension, je me retournais et vis le vieux qui me pelotait de ses paluches rustaudes. Il avait profité de mon état de transe pour s’immiscer dans mes caresses corporelles, un filet de bave coulait à l’intersection de ses lèvres crapies, il me baisait de son regard pervers. À sa vue, je le rejetai d’un coup et m’en éloignai, l’air dégoûté. La sonnette du magasin retentit alors, me permettant de m’esquiver. Je regagnai la boutique afin de servir les clients qui désiraient des éclairs. Mes seins ballottaient du fait que mon soutien-gorge était dégrafé. Le vieux porc en a bien profité, pensais-je.
Juste après, Margaux reparut à mes côtés, sa langue continuait à balayer les alentours de sa bouche afin de nettoyer toutes les sécrétions de sperme qui restaient.Le vieux était satisfait de la prestation de sa soumise, son plaisir était accru d’avoir caressé la poitrine de la convoitée Chloé. Sans attendre, il pénétra le bureau comme un vainqueur, le conseiller terminait tout juste de se rhabiller. Sa ceinture n’était pas complètement rattachée et son sexe dépassait encore de sa braguette. Il demanda alors en tendant la main :
— Marché conclu ?
Mais le conseiller Carton s’était remis de ses émotions, il comprenait qu’il pouvait obtenir plus encore. Il avait d’autres fantasmes à assouvir et Serge détenait les moyens de l’aider à y parvenir.
— Samedi prochain, j’organise une réception avec des amis. Vous en serez le traiteur et vos deux vendeuses assureront le service, vêtues comme des soubrettes. En échange de la pleine collaboration de Margaux durant cette soirée, je vous assure de mon appui complet pour votre projet. Vous avez ma parole. Je prends ce que vous m’avez offert aujourd’hui en guise d’acompte.
Clément Carton n’était pas un homme politique pour rien, il savait mener sa barque. Les négociations n’avaient pas de secrets pour lui, il savait sur quel bouton appuyer pour obtenir ce qu’il voulait. Il serra la main du patriarche avec vigueur en déclarant à son tour :
— Marché conclu !
Le conseiller municipal quitta les lieux sans tarder, il avait obtenu de son rendez-vous bien plus qu’il en attendait. Quant au vieux briscard, il ne l’avait pas vu venir, mais il n’avait pas le choix. Cependant, il n’avait pas tout perdu puisque sa boulangerie assurerait le service traiteur pour cette soirée. Finalement, le cul de Margaux lui rapportait plus qu’il ne l’imaginait, surtout qu’elle ne rechignait pas à la besogne cette p’tite salope. Cela lui avait mis l’eau à la bouche, Serge la convoqua séance tenante afin d’exercer son droit seigneurial. Ses bourses étaient pleines, il aimait se servir d’elle comme de réceptacle.
Dès qu’elle franchit la porte, le vieux porc la saisit par la nuque juste après avoir claqué la porte après elle. Il aimait se montrer brutal dans sa manière de faire. Son sexe était déjà déballé et érigé, il lui fourra avec force dans la gorge bien à fond jusqu’à la garde, il aimait lui remplir le gosier de son chibre. Mais ce qu’il appréciait d’autant plus, c’était de la voir suffoquer un peu avant de relâcher son emprise. Son excitation était si forte d’avoir caressé les nichons de Chloé, comme il se plaisait à les nommer, qu’il éjacula très vite d’une semence épaisse et abondante. Il prenait bien soin de tenir la frimousse de poupée collée à son gros bide flasque parsemé de vergetures rougeâtres. Il avait empoigné ses cheveux blonds fermement dans sa main droite. Ainsi, il donnait des petits coups de boutoir afin de se décharger complètement en elle. Pour que son plaisir soit complet, il devint grossier avec sa chienne :
— T’as intérêt à tout avaler ma p’tite salope, ne m’oblige pas à sortir la baguette !
Margaux marqua son approbation en clignant deux fois des paupières. La bouche pleine, elle était agenouillée et le regardait avec des yeux soumis, lui qui était debout et qui la regardait d’en haut tel un seigneur. Elle déglutissait tout ce qu’elle pouvait afin de satisfaire son maître. On pouvait deviner sa gorge s’activer afin d’engloutir toute la semence du vieux Serge. Elle ne voulait pas le décevoir, sinon elle finirait dans la Boîte. Lorsqu’il en eût assez, il la dégagea avec violence et lui gueula :
— Va travailler, les clients attendent, je ne te paie pas à rien foutre feignasse !!!
Tout en soumission, elle se leva et commença à s’en aller jusqu’à ce que la paluche rustaude l’attrape et la fit s’installer à plat ventre sur les genoux de son maître à présent assis sur une chaise. Son petit cul en forme de cœur était relevé comme pour recevoir une fessée. Les doigts rugueux du vieux levèrent sa jupe et envahirent sa culotte. Ils glissèrent le long de sa raie s’attardant un peu sur son œillet, puis s’infiltrèrent légèrement à l’intérieur juste assez pour la faire mouiller du cul. Ensuite, ses gros doigts s’immiscèrent sans concession dans sa petite chatte fine et soyeuse, bien humide d’ailleurs. Ils firent quelques va-et-vient brusques jusqu’à déclencher chez la soumise des petits gémissements. Serge aimait la rudoyer ainsi afin de lui rappeler qu’il avait tous pouvoirs sur elle. Son seul devoir envers lui, c’était de se montrer obéissante. Maintenant, la poupée de porcelaine pouvait partir et rejoindre sa partenaire Chloé.
De la cyprine ruisselait le long de ses jambes fines et gracieuses, témoin luisant de son excitation intense. Durant le reste de la journée, les deux filles installées derrière leur comptoir affichèrent une mine songeuse. L’une se demandait encore pendant combien de temps elle arriverait à échapper aux griffes du vieux porc, et l’autre s’interrogeait sur ce qui l’attendait durant la soirée du conseiller Clément Carton. Cependant, elle se rassurait en se disant que cela ne pouvait pas être pire que la Boîte.
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