Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 190 J'aime
  • 1 Commentaire

Journal intime d’un couple

Chapitre 3

Une belle balade

Hétéro
6 juillet : L’annonce d’Angèle m’a littéralement électrisé. Me demander si je souhaitais la sodomiser. Bien sûr que j’en ai envie ! L’année dernière, nous avons tenté de le faire, mais sans doute n’étions-nous pas prêts, quoi qu’il en soit, Angèle éprouvait une certaine douleur lors de la pratique. Nous avions donc abandonné. Mon sexe est assez large et long d’une vingtaine de centimètres : pour la pénétration vaginale, Angèle adore, mais pour l’anal, c’est un peu plus délicat. De fait, j’appréhende un peu le passage à l’acte qui est prévu pour la fin d’après-midi. La différence majeure par rapport à la dernière tentative est qu’Angèle a une libido d’enfer en ce moment. Elle qui ne se réveille jamais avant moi est aujourd’hui la première. Elle s’est glissée sous les couvertures et me taille une pipe généreuse. Les sensations sont tellement agréables. Je l’arrête pour ne pas jouir. Je préfère me préserver pour cet après-midi.
La matinée se passe tranquillement. Angèle est particulièrement joyeuse. Elle m’embrasse quand elle me croise dans l’appartement. La journée étant particulièrement belle et chaude, on programme une petite sortie au bord de la rivière. Cela nous donnera un peu de fraîcheur. Avant ça, nous prenons un bain tous les deux, c’est l’occasion pour se caresser et discuter un peu. Nous nous échangeons des mots d’amour, mais la conversation dévie à un moment sur le sexe. Tous les deux, nous sommes d’accord pour affirmer que cette décision d’ouverture fonctionne. On se sent mieux l’un l’autre. Et clairement, le désir s’est réaffirmé. Mais je préviens tout de même Angèle : « Tu sais, si jamais l’idée ne te plaît plus pour tout à l’heure, on peut oublier.
— Oh non, surtout pas. Je suis pressée d’y être. Il me faudra un petit temps de préparation par contre. Ce n’est pas très romantique, mais c’est une nécessité. — Je préparerai le salon, en étendant des couettes et des couvertures au sol. On aura une sorte de très grand lit. »
En discutant, je n’ai pas pu réfréner mon érection. Angèle le remarque.
— Ça te fait de l’effet ! Tu as envie de m’enculer, avoue.— Quand tu parles comme ça, c’est terrible pour moi. Ça me chauffe vraiment.
J’ai une femme particulièrement taquine. Elle change de position dans la baignoire, et vient appuyer sa poitrine trempée contre mon torse. Elle approche sa bouche de mon oreille et vient me murmurer : « Moi aussi je suis pressée, tu sais. J’ai envie de sentir ta grosse queue me défoncer le cul. » Je l’embrasse sauvagement, n’ayant rien à dire de plus érotique.
Je suis resté longtemps en érection après être sorti de la baignoire. Et alors que mon ardeur était à peine descendue, je vois Angèle franchir le seuil de la chambre dans une tenue qui a de nouveau gonflé mon entrejambe. Elle a choisi de porter des sandales dorées, un short écru, moulant certes, mais pas mini. Son haut, rouge, laisse les épaules et toute la gorge nues. C’est un tissu très fin, assez transparent, qui s’arrête au-dessus du nombril. Je ne vois pas de bretelles de soutien-gorge, je comprends qu’elle ne porte rien dessous. En fonction de la lumière, on peut distinguer plus ou moins nettement la poitrine de ma femme. La chambre étant assez sombre, je ne perçois pas tout de suite le pouvoir érotique de sa tenue. Mais une fois dans le salon qui est baigné de lumière, l’opacité du tissu s’estompe totalement, exposant le joli galbe de ses seins et ses tétons dressés. Pour parfaire l’ensemble, Angèle s’est fait une queue-de-cheval, libérant totalement sa nuque.
La balade ne sera pas reposante pour ma bite. « Tu me trouves belle ? » me demande-t-elle. Mes balbutiements et mon regard admiratif lui donnent la réponse. Elle ajoute : « Hier, Quentin a dit qu’il me trouvait bonne. Tu es d’accord avec lui ? » Là encore, j’acquiesce, et je lui exprime tout mon amour par un long baiser. Nous partons ensuite pour notre balade.
C’est la première fois que ma femme s’expose autant en public. Elle m’avoue être d’humeur aguicheuse. Nous marchons main dans la main, en amoureux. Nous parlons de choses et d’autres sans caractère sexuel. C’est tout à fait agréable. À mi-chemin, nous faisons une pause, juste avant d’emprunter le pont. Nous regardons les plaisanciers sur la rivière. J’en profite pour prendre quelques photos souvenirs. Angèle, adossée contre le muret en pierre, pose pour moi, un grand sourire illumine son visage. Je prends la photo et lui montre le rendu. Impossible de ne pas remarquer ses seins. « On voit vraiment tout, s’exclame Angèle, je ne pensais pas que ça serait à ce point ». Au même moment, un homme d’une cinquantaine d’années passe sur le chemin. On le voit tourner la tête vers ma femme, les yeux dirigés vers sa poitrine.
— Tu veux que nous fassions demi-tour ? — Non, ça ira. J’ai voulu jouer la fille coquine, je dois aller jusqu’au bout. — Rassure-toi, tu n’es pas du tout vulgaire Angèle. — Merci mon chéri. J’ai une idée. On peut envoyer la photo à Quentin, histoire de garder un peu le contact. Peut-être qu’il s’imagine qu’hier, c’était une folie passagère et qu’il ne se passera plus rien.
L’idée est effectivement très bonne. On ne sait pas ce qui se passera par la suite avec Quentin, mais le premier échange que nous avons eu était prometteur. J’envoie la photo, puis Angèle et moi nous mettons d’accord sur le message à joindre.
[SMS, Quentin, Angèle]> Coucou Quentin, Comment vas-tu ? Voici juste une petite photo pour te montrer que je pense à toi. J’espère que ça te fait plaisir. Bisous.
Alors que nous nous apprêtons à monter les marches pour atteindre le pont, une sonnerie retentit.
[SMS, Quentin, Angèle]< Waouh ! Tu es canon. Sincèrement, j’hésitais à renvoyer un message, ne sachant pas si toi et ton mari seriez encore d’humeur. Ça me fait très plaisir, c’est sûr. Tu es très sexy dans ce haut. > Merci ! On faisait une pause dans notre balade. Un mec m’a bien reluquée. Mais c’est la seule personne que nous avons croisée, donc je n’ai pas été trop dévisagée. < Je vais vous laisser continuer votre promenade, mais avant ça, est-ce que c’est trop demander, vu qu’il n’y a personne, que tu me montres tes seins ?
Il a le mérite de tenter. Personnellement, je trouve la demande très excitante. Je me rends compte que j’adore voir ma femme s’exhiber. Angèle regarde autour de nous, vérifiant plusieurs fois que personne n’approche. Elle se remet contre le muret et dévoile complètement sa poitrine en tirant sur son vêtement. Je prends la photo rapidement. Angèle est aussi rouge que son haut.
[SMS, Quentin, Angèle]> Et voici Monsieur. Mes jolis seins, pour vous ravir. À très vite.< Sublime. Merci beaucoup. Tu n’as pas froid aux yeux. Profitez bien de la journée. À bientôt.
Nous reprenons notre balade. Marcher nous permet de reprendre nos esprits. Angèle m’explique qu’elle ne s’imaginait pas prendre autant de plaisir à se dévoiler ainsi en public. Retirer ses vêtements à l’extérieur, pour contenter un homme, l’excite terriblement. Je lui confirme que l’excitation est partagée. Lancés dans notre discussion, nous oublions de reprendre le pont qui nous ramène directement dans notre quartier. Plutôt que de faire demi-jour, nous poursuivons vers le suivant. Cela nous oblige à passer devant le skate parc où se regroupent également les amateurs de musculation. Notre arrivée provoque son effet. Au moins une vingtaine d’hommes, pour la plupart torse nu, s’arrêtent pour regarder Angèle. Les regards sont bien appuyés. On entend quelques-uns parler entre eux : « Regarde cette fille, elle est super chaude », « Mate les seins », « Elle est carrément bonne » On continue notre route, sans pour autant être dans l’anxiété. Il n’y a pas de débordement.
L’un des jeunes stoppe sa série d’abdos pour regarder ma femme. Il n’hésite pas à l’interpeller sur un ton plaisantin : « Il fait trop chaud aujourd’hui, il faut retirer le haut. » Quelques rires et paroles d’acquiescements suivent la remarque. Angèle s’amuse de cette situation. Elle se retourne vers le groupe et descend sur sa taille son haut rouge, dévoilant à tous ses beaux seins. Elle reste ainsi au moins 15 secondes, le temps que tout le monde puisse bien l’admirer. Sans prononcer un mot, elle se rhabille et lance un baiser au groupe d’hommes. Nous continuons notre chemin sous les applaudissements.
Le reste du trajet s’est fait l’esprit embrumé. Angèle était vacillante. Arrivés à l’immeuble, nous cédons à la facilité et prenons l’ascenseur. Elle m’avoue alors être particulièrement excitée : « Ma culotte est trempée. J’ai trop aimé tout à l’heure. Je suis tellement contente que tu me baises en rentrant. » Et elle se jette sur moi pour engouffrer sa langue dans ma bouche. À peine arrivés dans l’appartement, je décide de la jeter sur le canapé. Je lui retire son short et sa culotte par la même occasion. Sa chatte est trempée. Sans hésiter, je la doigte avec mon index et mon majeur. Je fais des mouvements très rapides. Angèle ne peut pas étouffer ses cris. En deux minutes, elle jouit. « Oh mon amour, j’en avais trop besoin », me dit-elle entre deux respirations. Je lui rapporte un verre d’eau. Elle est toujours allongée sur le canapé, les jambes écartées. Elle saisit le verre et me dit ceci : « Installe le salon mon chéri, je vais me préparer pour la suite. »
Elle s’éloigne en direction de la salle de bain et s’enferme dedans. Étendre quelques couettes n’est pas très long, aussi j’en profite pour lire un peu. Mais je ne suis pas très assidu. L’idée de bientôt sodomiser ma femme m’empêche d’être attentif. Je relis plusieurs fois les mêmes phrases sans comprendre la moitié des mots. Finalement, j’abandonne. Ma chérie frappe à la porte du salon et entre vêtue d’une nuisette en dentelle noire. Elle tourne sur elle-même, faisant virevolter le bas de cette petite robe. Je vois au passage qu’elle n’a pas mis de culotte. Dans sa main, elle tient un petit sac. Elle s’approche de moi, se met à genoux, m’embrasse et me dévoile le contenu : un plug anal, un gode assez fin d’environ 15 centimètres et du lubrifiant.
— J’ai très envie de toi, me dit-elle. Je te laisse prendre les choses en main. Tu me diras quoi faire. Je suis à toi.
Sur ces paroles, nous nous embrassons. Je lui retire ensuite sa nuisette. Je reste quant à moi habillé. Je lui donne mon premier ordre.
— Mets-toi à quatre pattes.
Je lui écarte les jambes. Puis je place mes mains sur ses fesses. Son petit trou est un peu dilaté. Je l’effleure avec le bout de la langue. Je deviens plus insistant. Et à mesure que je lui lèche l’anus, j’entends des gémissements plus prononcés. Elle semble aimer cette sensation. J’introduis cette fois-ci un doigt tout en léchant les bords de l’orifice. Mon index s’enfonce facilement. Angèle a toujours les fesses relevées, mais sa poitrine est désormais contre le sol. Je tente un deuxième doigt. Je les introduis doucement en ajoutant du lubrifiant. J’entre vraiment facilement. Je n’utilise pas le plug et passe directement au gode. Centimètre par centimètre, je le vois disparaître. Je le retire et montre à Angèle la démarcation laissée par le lubrifiant. Elle est stupéfaite. C’est à mon tour. Je me déshabille rapidement.
— Retourne-toi. Et allonge-toi sur le dos.
Angèle est très obéissante.
— Maintenant, écarte bien les jambes et maintiens-les avec tes mains.
Je dépose du lubrifiant sur mon gland et sur l’anus de ma femme. Elle ne me quitte pas des yeux. Le contact entre ma verge et sa peau provoque une décharge électrique. Je pénètre doucement son anus. Mon gland s’introduit assez facilement. Je débute ensuite des allers-retours. Chaque mouvement me permet d’aller plus loin. Angèle souffle entre chaque mouvement, mais elle me confirme qu’elle n’a pas mal. Au bout de cinq minutes, j’entreprends d’accélérer un peu le mouvement. Je peux maintenant introduire la totalité de mon sexe. C’est vraiment trop bon. Angèle gémit très fort. Moi-même je me fais entendre. Ses seins sont bercés par les mouvements de va-et-vient. Je les empoigne et continue à la sodomiser. Une crise de sauvagerie s’empare de moi.
— Tu aimes ça, dis-moi ?— Han, oui, j’aime ça.— Tu aimes te faire enculer, dis-le !— J’aime me faire enculer !... C’est trop bon.— Mets-toi à quatre pattes, je vais te défoncer.
Angèle se place suivant mes ordres. Je l’encule aussitôt. Elle ne peut plus réfréner son plaisir. Les voisins, c’est sûr entendent toute la scène.
— C’est trop bon de te prendre comme ça.— Oui ! Défonce-moi. J’aime trop !
J’ai bien agrippé ses hanches. Mes cuisses font un bruit assourdissant contre ses fesses.
— Je viens ! Je vais jouir dans ton cul !
Chaque décharge de foutre nous fait atteindre un sommet de plaisir. J’ai le sentiment de n’avoir jamais autant éjaculé. Je me retire, lessivé. Angèle s’allonge sur le côté. Je vois mon sperme couler sur sa cuisse. Elle en recueille un peu avec les doigts pour m’exciter. Je m’allonge derrière elle et l’enveloppe avec mes bras. Nous nous embrassons quelques minutes. Comme à mon habitude, je lui propose un thé. Elle adore en boire, en toute occasion, et surtout après l’amour. Je reviens au bout de cinq minutes avec nos deux tasses. C’est Angèle qui la première prend la parole.
— J’ai adoré, tu sais. Te sentir entièrement en moi. Hmmm... le paradis. Et aussi, je me répétais : « Je suis vraiment une chienne ce soir. Je me fais enculer par une bite énorme. » Et ça m’excitait encore plus.— Tu me rends fou. C’est comme si tu étais devenue... ma chose. — Oui, voilà ! C’est ça. J’étais ta chose et ça m’a plu. Le fait que tu me parles mal, c’était trop bon. Et bien sûr, éjaculer en moi, ça m’a provoqué un bel orgasme.
Nous passons toute la nuit, endormis l’un contre l’autre, heureux d’avoir vécu ce moment. Nous savons déjà que nous recommencerons.
Diffuse en direct !
Regarder son live