10 juillet : La nuit a été douce et bien reposante après ces fortes émotions. Je me réveille contre Angèle. Elle est nue et encore endormie. Quelques baisers dans le cou lui font ouvrir les yeux. L’une des première choses que nous faisons est de regarder le téléphone. Plusieurs messages ont été envoyés par Quentin mais aussi par le trio d’hier soir. Nous commençons par les textos des trois garçons. Angèle me fait la lecture : « Merci Angèle pour cette super soirée. On ne fait que de penser à toi et à ta bouche de suceuse. Et ta proposition nous a fait sérieusement bander. Tu étais sérieuse? En tout cas, nous sommes sur la côte tout le mois de juillet, et si c’est bon pour toi et ton mari on se fera un plaisir de venir te prendre par tous les trous. En attendant, passe de bonnes vacances. Biz »— Ils sont accrocs, dis-je. Qu’en penses-tu? Tu en as envie? — Ça m’excite, j’ai très envie de le faire. Mais passer de un à trois mecs, c’est un peu ambitieux je trouve. Je vais me donner un peu de temps. — À Quentin maintenant. Que dit-il? [SMS,Quentin,Charles]< Bonjour à vous deux, j’espère que vous allez bien. Encore merci pour le spectacle hier soir. Je vous écris parce que je suis officiellement en vacances ce soir. Et si ça vous tente, on pourrait se voir. C’est moi qui viendrais vous rejoindre, la durée que vous voudrez. Qu’en pensez-vous? Un large sourire se dessine sur le visage d’Angèle. De mon côté, je trouve ça parfait. Je prends alors les devants : — On lui répond que c’est bon?— Ça veut dire un plan à trois, tu es d’accord avec ça? — Moi ça me plaît qu’un autre homme soit de la partie. Mais la question est de savoir si tu te sens prête?— J’en ai très envie. Je trouve même son message un peu sage… On va lui répondre et le chauffer un peu, me dit-elle avec son air malicieux. Je sais ce qu’on va faire, tu réponds avec ton téléphone et tu discutes avec lui de ses envies. Je prends donc en charge la conversation, Angèle est à côté de moi, suivant la discussion. [SMS,Quentin,Charles]> Bonjour Quentin, c’est parfait. Angèle et moi sommes très contents de ta venue. Quand souhaites-tu venir? Sachant que nous sommes à Pornichet. À partir de demain ça serait en tout cas idéal. La réponse est presque immédiate. [SMS,Quentin,Charles]< Génial! Demain, ça me va. J’ai quelques heures de route pour vous rejoindre mais je pourrai être là pour 17 heures. Je préfère demander au cas où, mais vous acceptez que je reste dormir chez vous ?> Dormir? Je pensais que tu voulais baiser Angèle.< C’était façon de parler. Mais clairement, si je viens c’est pour la pilonner. > Tu ne seras pas déçu. On pourra se passer le relais et la baiser l’un après l’autre.
Du coin de l’œil je surveille Angèle. La discussion commence à l’échauffer. Ses doigts sont positionnés sur son entrejambe. [SMS,Quentin,Charles]< Et pourquoi pas en même temps? Je lui prends la bouche pendant que tu lui prends la chatte, et inversement. > Bonne idée. On va en faire notre petite pute. Elle va adorer. En lisant « petite pute », j’entends Angèle pousser un gémissement. [SMS,Quentin,Charles]< Hmm, je suis pressé de vivre ça. J’ai envie de la baiser dans toutes les positions. > Ma femme est une vraie chienne. Elle fera ce qu’on lui demandera. D’ailleurs, tu pourras l’enculer. Je ne vais pas me gêner en ce qui me concerne pour la sodomiser. Les gémissements d’Angèle sont plus forts. Elle se masturbe sans aucune discrétion, les jambes bien écartées. [SMS,Quentin,Charles]< Elle est vraiment chaude. Question importante : j’ai fait une prise de sang il y a un mois. Tous les tests sont revenus négatifs et je n’ai eu aucun rapport depuis. Est-ce que je peux envisager de baiser ta femme sans capote? Si c’est non, c’est non et je mettrai un préservatif. Cette fois-ci la réponse appartient à Angèle, toujours occupée à se toucher. Je lui demande ce qu’elle souhaite. La réponse est sans appel : « Je veux me faire baiser sans capote. » L’excitation est très haute, elle doit reprendre son souffle après ces quelques mots. [SMS,Quentin,Charles]> Pas besoin de préservatif. Tu pourras la prendre par tous les trous et jouir où tu veux. Je te prête mon vide couille avec grand plaisir.< Dingue! J’ai trop envie de lui remplir le cul. C’est le message qui fait atteindre l’orgasme à Angèle. J’en profite pour la filmer. Les jambes bien écartées, sa poitrine bien visible ; on voit trois doigts disparaître dans sa chatte. Mais c’est surtout la bande son qui met en émoi. Angèle jouit et c’est juste beau à entendre et à voir. J’envoie la vidéo à Quentin, accompagnée d’un petit message. [SMS,Quentin,Charles]> Regarde ce que ça lui fait comme effet de savoir que tu vas l’enculer! Elle attend de recevoir ton foutre avec impatience.< Elle est à fond ta salope. Je vais essayer de ne pas me branler. Vivement demain! On va la défoncer. Amusez-vous bien d’ici là. Je vous écris dès que j’arrive. À peine le téléphone posé, je me débarrasse de mes vêtements et je dirige ma queue vers la chatte d’Angèle. Elle est parfaitement lubrifiée si bien que je peux la pénétrer complètement en deux coups de reins. Angèle est sur le dos, je lui saisit les seins et j’accélère mes mouvements. En même temps, je continue à l’exciter : — Ça te plaît de te faire baiser par plein de mecs, dis-moi?— Han, oui, j’aime ça, me dit Angèle l’esprit embrumé par le plaisir.— Tu veux te faire enculer par Quentin?— Oui, han, et je veux aussi que tu m’encules… sous ses yeux. — Tu aimes ça être regardée!— Je veux le voir se branler pendant que tu me défonces le cul. C’est trop pour moi. Je jouis instantanément dans la chatte d’Angèle. Le sperme s’écoule au moment où je me retire. Je le récupère avec mes doigts et lui mets dans la bouche. Aussitôt, j’engouffre ma bite recouverte de foutre dans sa petite bouche de salope. « Suce-moi, je sais que tu aimes faire ta pute. » En m’entendant prononcer ces paroles, Angèle plante ses yeux dans les miens et lèche soigneusement mon gland. Je la libère en retirant mon sexe. Le contour de de sa bouche est luisant. — Tu aimes ça être traitée de pute. — Han, oui, ça me fait de l’effet. Je me sens comme un objet. Ça m’a excité en un rien de temps la discussion avec Quentin. — Tu vas tenir jusqu’à demain?— Tout dépend... Si tu me baises encore aujourd’hui, ça ira. — Il faudra me chauffer alors. Va t’habiller et mets une tenue sexy pour sortir. Je veux que les mecs se retournent sur ton passage.Angèle se lève et me dépose au passage un bisou sur le gland. Une heure passe. Angèle prend son temps semble-t-il. Elle ressort enfin et je découvre avec un grand plaisir, une vraie bombe se planter devant moi. Je vois d’abord ses pieds, dans des sandales à talon. La boucle dorée est très fine. Ses ongles portent un vernis translucide. Mon regard remonte le long de ses très belles jambes parfaitement épilées. Il me faut remonter haut tant son short en toile jaune est mini. Il lui moule parfaitement les fesses qui sont tout juste dissimulées par le tissu. Au dessus, apparaît son nombril. En effet le haut qu’elle porte est lui aussi très court. C’est un jersey très fin, écru, à manche courte et au col échancré. Cependant, Angèle a pris soins de boutonner trois boutons sur quatre. Ce haut est lui aussi très moulant au point d’épouser le galbe de ses seins. Les tétons se devinent sous le tissus. Le maquillage reste épuré. Un peu de gloss sur les lèvres. Un peu de mascara aux yeux. Rien de plus. Sa chevelure est incroyable, grâce à sa queue de cheval. Ce qui offre un joli aperçu de sa nuque dégagée. Elle est sexy en diable. Je lui fais part de mon admiration : « Chérie, tu es canon! C’est au-delà de ce que j’imaginais. »— Merci mon amour. J’avais prévu cette tenue avant de partir. Je me doutais que tu aimerais. Je suis habillée comme une chaudasse. — C’est parfait. Dans la rue, tu vas faire un malheur. Je vois que mes compliments plaisent à ma femme. Elle se complaît dans cette image de femme extravertie. C’est sans doute l’esprit vacancier qui agit. En tout cas cette libération me ravit. Angèle me questionne : « Bien, Monsieur, quel est le programme? » — Je pensais à une promenade vers La Baule. Il y aura pas mal de monde. On s’arrêtera à un moment pour manger. Et puis ensuite, pourquoi pas marcher jusqu’au Pouliguen. C’est déjà une belle balade. — D’accord. Mais c’est très bon chic bon genre ton idée. — On s’arrêtera de temps en temps… pour se faire du bien. Le sourire d’Angèle revient. — Et pour pimenter un peu les choses, je te propose d’envoyer des photos de toi à ton petit fan club. Donc les trois garçons et Quentin. Ils auront l’autorisation de se faire plaisir dans les commentaires. — Ça me plaît. On peut commencer tout de suite avec la première photo. Je saisis mon téléphone et envoie la première image de la journée. Angèle fait un petit coucou avec la main. On la voit intégralement. Aussitôt des « Salut beauté » nous parviennent. À peine sortis dans la rue, les regards se posent sur ma femme. Il faut dire que sa tenue est sexy et dévoile un corps magnifique. Nous marchons, main dans la main. Avec ses lunettes de soleil, Angèle semble indifférente mais je me doute qu’elle observe les hommes, curieuse de croiser leurs regards et les surprendre en train de mater. Un quarantenaire se fait d’ailleurs prendre en flagrant délit par sa compagne. Il a droit à une tape sur le bras pour ce coup d’œil insistant. Passés quelques mètres, nous rions tous les deux de l’incident. À proximité du marché, je propose à Angèle d’acheter quelques fruits. Je prends des bananes et mets au défi ma femme d’en manger une en public. Elle accepte de se prêter au jeu. Assise sur un banc, elle commence à peler sa banane puis la porte à ses lèvres. J’en profite pour la prendre en photo. Elle s’amuse parfois à mettre en bouche un plus gros morceau. Certains hommes ont repéré la scène. Ils se cognent du coude pour signaler qu’une petite coquine se donne en spectacle. Angèle s’en amuse. Ayant terminé sa banane, elle se lève, se dirige vers la poubelle mais fait tomber la pelure à côté du container. Elle s’accroupit lentement, les fesses bien en vue du groupe d’hommes. Puis elle revient vers moi d’un pas très chaloupé, pour m’embrasser en plaçant ses mains autour de mon cou. Nous partons du marché laissant sans nul doute des voyeurs avec une gaule d’enfer. La scène m’a moi-aussi bien allumé. Nous avons regagné la plage, marchant pieds nus sur le sable. Mon sexe reste dur et nos embrassades ponctuelles n’arrangent rien. Tous les hommes seuls se retournent sur notre passage. Angèle est reluquée tous les 10 mètres. Ne tenant plus, je saisis la main de ma femme pour rejoindre les toilettes publiques du bord de plage. Les trois cabines sont libres, je choisis les toilettes handicapées qui sont les plus propres, nous offrant aussi plus d’espace. L’intimité est toute relative puisque les parois de la cabine ne vont pas jusqu’au plafond. Je l’embrasse et glisse directement ma main dans son entrejambe. « Mets-toi accroupie maintenant! Et suce-moi. » Je vois que le ton injonctif plaît de plus en plus à Angèle. Elle s’exécute, mon short et mon caleçon sont maintenant à mes pieds. Et ma bite bien au chaud dans la bouche de ma femme. Elle prend soin aussi de me masser les couilles. Ça me fait un bien fou. Au bout de 5 minutes, je l’interromps. « Relève-toi et mets-toi dos au mur. Je veux que tu poses pour tes fans. » — Tu veux que je les excite? Me demande Angèle.— Exactement, déboutonne ton haut pour bien montrer ton décolleté. Angèle obéit, son haut se détend, permettant de voir un bon tiers de sa poitrine. Je poursuis les ordres : — Très bien ma chérie, cambre toi en avant maintenant. Ça fera une photo bien sexy. La photo est prise et directement envoyée. Au tour du short maintenant : — Enlève ton short et tourne-toi. Je veux que tu montres tes fesses.— Avec plaisir. Regarde, j’ai un nouveau string. Tu aimes? Un string jaune apparaît. Je prends la photo, la messagerie commence à chauffer. Les notifications affluent au point que le téléphone se transforme en carillon. Dans l’excitation du moment, nous n’avons pas fait attention aux autres bruits environnants. Pourtant, il est évident que la cabine à côté est occupée. Qu’as entendu cette personne? Je fais signe à Angèle que quelqu’un est entré. Elle sourit et ne semble pas du tout mal à l’aise de la situation. Elle assume d’ailleurs pleinement au point de parler à haute voix : — Tu veux que j’enlève le haut?Je n’ai plus le choix, il me faut me prendre au jeu. Celui-ci est d’ailleurs trop excitant. — Non pas tout de suite, je veux te voir te doigter. Ma demande a fait mouche. Angèle est surprise. D’autant plus que j’ai parlé avec clarté pour que le mystérieux visiteur entende parfaitement. Ma jolie femme s’exécute. Je continue à prendre des photos sans avoir pris la peine de mettre en silencieux. Il n’y a plus de bruit en revanche dans la cabine d’à côté. Or je suis sûr que personne n’est sorti. Je continue mon petit jeu.— Mets-toi un doigt dans le cul maintenant. Aucun problème pour Angèle qui s’exécute. À ce moment, je sens une présence. Le visiteur observe la scène par dessus la paroi. Impossible de faire comme si de rien n’était. Angèle et moi le regardons mais il prend directement la parole : « Ça vous ennuie si je regarde? » Le ton est poli, nous répondons qu’il peut savourer ce moment. Il peut ainsi admirer Angèle en train de s’enfoncer l’index dans l’anus. L’occasion est vraiment belle. Je prends les devants et j’invite cet homme, d’une trentaine d’années à descendre de son perchoir et à venir s’amuser avec nous. Il accepte volontiers. Je fais les présentations : — Voici Angèle, ma femme. Et comme vous le voyez, c’est une vraie chienne. Vous pouvez la caresser. — Tu es vraiment belle, s’exclame le nouveau venu.— Belle et bonne, dis-je. Angèle, enlève-tes vêtements. Elle retire son haut et fait tomber son string. La voilà intégralement nue. Le nouveau ne se fait pas prier pour la toucher. Il lui saisit à pleine main les seins. Il la retourne contre le mur et lui touche les fesses. Je continue à prendre des photos. Angèle a les mains plaquées contre le mur, les fesses bien cambrées. Elle se laisse caresser. J’ai remis le téléphone dans ma poche pour me joindre à l’action. Angèle est entre nous. Notre compagnon laisse glisser ses doigts entre les cuisses de ma femmes. Il s’y attarde et je le regarde la doigter. Deux doigts de sa main gauche disparaissent dans sa chatte. Angèle aime ça, elle se trémousse à mesure que les doigts la pénètrent. Elle pousse une petite exclamation de surprise quand à mon tour je lui insère deux doigts dans le cul. Au bout de cinq minutes, Angèle est à point. Je fais une proposition à notre ami : — Si tu as un préservatif, tu peux la baiser. — Je n’ai rien sur moi. Je n’avais pas prévu ça. Je sens une déception dans son regard. Dans celui d’Angèle également. Mais il y a des principes qu’on ne peut pas enfreindre. — Angèle va te soulager avec sa bouche. Tu pourra jouir seulement sur ses seins, lui dis-je.— Ça me va me, répond-il avec le sourire aux lèvres.Je me tourne vers Angèle : — Mets-toi à genoux. Tu vas être une gentille pute et sucer ce Monsieur. Angèle est toute obéissante, elle s’accroupit, les jambes bien écartées. Les photos que je prends sont superbes. On y voit ma femme, une queue dans la bouche, les deux mains agrippées aux hanches de cet inconnu. Ce dernier se laisse faire, complimentant ma jolie femme pour ses talents. À mon goût, elle peut faire mieux. Je me positionne derrière elle et place mes mains autour de sa tête. Ainsi, elle ne peut plus effectuer de mouvements. « Vas-y baise lui la bouche, elle adore ça ». Un peu hésitant au début, l’homme accélère finalement les mouvements. Sa bite, de taille moyenne, disparaît totalement dans la bouche et la gorge d’Angèle. Un flot de salive lui coule sur le menton et les seins lorsque le type se retire. Angèle reprend son souffle. Je relève ma femme, pour qui la position accroupie devenait difficilement supportable et avec fermeté, je lui intime l’ordre de se baisser sans plier les genoux. Elle comprend que je vais m’occuper de sa chatte pendant que le deuxième lui limera la bouche. Lui et moi réussissons à être en rythme. En même temps qu’il s’enfonce dans sa gorge, je m’enfonce dans sa chatte parfaitement humide. Je la pilonne aussi fort que je peux. Quelques claques sur les fesses s’ajoutent à la partition. Je suis excité comme jamais. Le mec aussi est aux anges, et ce qu’il dit me le confirme : « Elle suce comme une reine. Je vais jouir dans pas longtemps à ce rythme. »Je lui propose de faire durer un peu le plaisir, en se reposant quelques minutes. Je rapproche du mur Angèle qui reprend sa position de tout à l’heure, les deux mains contre la paroi, les jambes légèrement écartées, prête pour la fouille. Je place mes deux mains sur son postérieur de manière à pouvoir lui écarter les fesses. « Doigte-lui le cul. »Aussitôt, l’homme vient placer son index à l’entrée de son anus. Celui-ci a déjà accueilli deux doigts de ma main. Aussi, je motive notre invité : « Ne crains rien, enfonce deux doigts. » Le résultat escompté se produit. Les deux doigts disparaissent facilement. Au bout de quelques minutes, notre invité doigte à fond le cul d’Angèle qui ne peut réprimer son plaisir. Je m’asseois alors sur le bord de la cuvette et j’attire Angèle à moi. Je fais la proposition suivante à cet homme encore ébahi d’avoir visiter le cul de ma femme avec ses doigts : « Angèle va venir sur moi en te regardant. Je veux que tu la filmes un peu avec mon téléphone. Ensuite, tu pourras te soulager sur elle. C’est d’accord? — Avec plaisir. — Parfait, viens par là, petite pute. Empale-toi sur ma bite. Angèle est ravie. Mon sexe la pénètre en profondeur. Je lui caresse en même temps le clitoris. Angèle fixe l’objectif et caresse ses beaux seins gonflés de désir. La pression monte en ce qui me concerne. Mais je veux aller plus loin. « Maintenant, donne-moi ton cul. Montre à ce Monsieur que tu aimes te faire enculer. »— Oh oui… j’en ai envie. Angèle déplace un peu ma bite, parfaitement lubrifiée pour la placer à l’entrée de son anus. Les premiers centimètres se font lentement, avec précaution. Enfin le gland est aspiré. Le reste de ma verge s’enfonce petit à petit. Angèle améliore sa position pour pouvoir faire des va-et-vient sur ma queue. Le caméraman improvisé ne cligne pas d’un seul œil tellement le spectacle le saisit. Angèle est au comble de l’orgasme, elle se fait mater pendant que je la sodomise. En plus de ça, le fan club aura une petite vidéo bien excitante à regarder. J’autorise le gars à stopper l’enregistrement et à se soulager. Angèle lui saisit la queue pour l’amener ver sa bouche. Le chanceux ne tient pas longtemps. Il se retire et explose tout son foutre sur les seins d’Angèle. La récolte est copieuse. Angèle étale le sperme sur sa poitrine. Quant à moi, toujours en train de m’activer dans son petit trou, je jouis peu de temps après. J’inonde le cul de ma femme qui a pu jouir une deuxième fois. Mon foutre se déverse le long de ses cuisses. Après s’être essuyée sommairement, elle se rhabille, laissant son haut déboutonné et indécent. L’homme part en premier après nous avoir remercié, accentuant ses gentillesses pour Angèle qui lui roule une pelle torride. Notre ami en profite pour lui mettre la main au cul une dernière fois. Nous attendons cinq minutes puis à notre tour nous partons direction l’appartement. Il nous manque des forces, si bien que marcher dans le sable devient difficile. Nous parvenons à monter dans une navette qui l’été longe le front de mer pour permettre aux touristes de se déplacer facilement. Dans le mini bus qui nous conduit à Pornichet, j’ai le temps d’envoyer une série de photos à Quentin et à la bande des trois, avec pour message « Aujourd’hui, Angèle était déchaînée. Une vraie nympho. J’ai dû la calmer avec une bonne sodomie! » En dernier envoi : la vidéo si bandante d’Angèle se faisant défoncer la chatte puis le cul. L’escalier parait interminable. Directement, nous nous vautrons sur le lit pour nous réveiller quelques heures plus tard, la faim au ventre. Le téléphone affiche une dizaine de notifications : sans doute les réactions des admirateurs d’Angèle. Nous convenons de garder la soirée pour nous, sans se laisser distraire, et de garder la lecture des textos pour le lendemain au réveil. Une bonne douche s’impose également. Le programme de cette fin de journée est simple : un film, une pizza et nous deux entrelacés.
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