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JOURNAL INTIME (et sexuel)

Chapitre 1

Inceste
PROLOGUE
Tout a commencé ce triste matin de février où l’on a enterré ton père. Il s’était suicidé quelques jours plus tôt, acculé et éclaboussé par un scandale politico-financier, et de plaintes d’agressions sexuelles sur des stagiaires de la société dont il était le directeur. L’assurance-vie qu’il avait contractée vous permit de survivre, ta petite sœur et toi. Le temps que votre mère trouvât un travail. Mais elle tomba malade quelques jours avant le Noël de la même année. Pour payer le médecin, les médicaments, l’infirmière pour la surveiller la nuit, l’assurance-vie fondit à vue d’œil. Votre baby-sitter, que vous adoriez, parce qu’elle vous avait initiés, ton meilleur ami Sébastien et toi, aux plaisirs homosexuels, vous quitta. Vous ne pouviez plus la payer.
UN - TANTE VERONIQUE
Quand vous recevez la visite de ta marraine, elle se désole de trouver sa sœur alitée et à bout de forces, l’appartement est à vau-l’eau, le frère et la sœur crasseux et sûrement pouilleux, et des assiettes sales entassées dans le lave-vaisselle. Elle décide de s’installer chez vous et de s’occuper de tout.
Tante Véronique (c’est ainsi qu’elle exige qu’on l’appelle) avait épousé un riche homme d’affaires allemand quelques années auparavant. N’ayant pas d’enfants, elle avait divorcé parce que son mari l’avait trompée. Preuve à l’appui, elle gagna le procès et obtint une pension alimentaire substantielle qui ne l’obligeait pas à travailler.
La mère ne veut pas de sa charité. Mais Tante Véronique (et non Tante Véro, ou Véronique, sinon elle se met à hurler) refuse d’entendre ce mot et prétend que cela n’a rien à voir. Elle vous met donc à contribution pour faire le ménage dans l’appartement. Mais avant toute chose, elle entreprend de vous décrasser. Depuis plusieurs mois, Lili et toi vous contentez d’une toilette de chat : le visage, les fesses, le sexe et les pieds. Ce n’est ni par paresse ni par goût, mais tu ne parviens pas à régler la température de l’eau. Elle est soit trop chaude, soit trop froide.
Tante Véronique fait couler un bon bain. Vous en rêvez ; toi, par pure malice pour reluquer ta sœur à poil, en douce. En pyjama, vous attendez les indications de ta marraine. Quand elle ferme les robinets, elle se fâche presque en vous voyant plantés, tout bêtes.
—─ Qu’est-ce que vous attendez pour enlever votre pyjama ?
Lili et toi vous tournez, sans oser vous montrer nus devant cette femme.
—─ Puisque vous ne voulez pas, je vais vous mettre, moi, dans le bain !
A genoux contre Lili, Tante Véronique lui déboutonne sa veste de pyjama des deux mains, dévoilant sa poitrine arrondie. Prestement, elle tire sur le bas de la culotte, et ta sœur se retrouve à poil. Tu vois ses fesses que tu as si souvent caressées, et sa petite vulve droite à peine dissimulée par un duvet clairsemé.
Ta frangine pousse un petit cri en entrant dans la baignoire, car l’eau doit être délicieusement chaude. Tu aurais voulu un bain, tout seul, avec beaucoup de mousse, mais ta marraine n’en a pas acheté. Lili barbote dans l’eau, nullement gênée d’exhiber sa nudité nubile. Tu vois Tante Véronique venir t’enlever ton pyjama. Elle ne porte qu’une robe d’été décolleté, avec rien dessous. Quand elle se penche pour te déshabiller, tu aperçois furtivement ses seins. Elle tire sur le bas du haut, le retourne, force pour le faire passer par ta tête et t’ordonne de lever les bras.
—─ Regardez le gros bébé qu’il faut déshabiller !

Cette remarque fait rire Lili. Oui, tu es gros. Plus gros que la moyenne. Mais personne jusqu’ici n’a osé te le faire remarquer. Sa marraine et sa sœur portent un intérêt certain à ton déshabillage intégral. Chacun étant dans une chambre, il est rare de vous voir nus. Vous preniez des bains séparément, du temps où votre père était vivant, un jour sur deux, à tour de rôle.
Comme cela a l’air de te plaire, tu laisses Tante Véronique baisser ton pyjama jusqu’à tes pieds nus. Elle ne fait aucun commentaire à l’apparition de ton pénis. Tu enjambes ta culotte et entres dans la vasque, t’asseyant face à ta sœur. A travers l’eau chaude et limpide, on montre et l’on voit tout.
Ta marraine verse un peu de gel douche dans le creux de sa main et commence par savonner Lili, le visage, le cou, les épaules, la poitrine aguichante. Elle plonge sa main dans l’eau pour la rincer et demande à ta sœur de se mettre debout. Elle s’exécute sans vergogne ni complexes. Tu ne quittes pas des yeux sa vulve, à partir du moment où tu l’as devant les yeux. Tu n’y as jamais porté un si grand intérêt que cela parce que tu ne l’as jamais vue d’aussi près, et à demi cachée par des poils.
Tante Véronique savonne, en insistant bien, les hanches et les cuisses de ta sœur. Cette dernière les écarte instinctivement, en se laissant faire. La main glisse sur le pubis, atteint la vulve et semble la caresser. Tu vois clairement le bout d’un doigt écarter les deux petites peaux.
—─ Tu aimes, Lili ? demande-t-elle à ta frangine, sur le ton de la confidence, comme si tu n’étais pas là. Tu t’es déjà tripotée comme ça, toute seule ? Allons, tu peux me le dire.
Tu vois ta sœur piquer un fard et baisser la tête pour voir ce doigt lui triturer l’entrée du sexe. Elle se tortille suffisamment pour que votre tante sente qu’elle aime cela. Lili fait la grimace.
—─ Oui, un peu, finit-elle par répondre. Mais ce n’est pas si bon comme maintenant. Continue, continue ! J’aime bien !
Tu regardes la scène avec des yeux ronds comme des billes de loto. Tu fixes la main de Tante Véronique qui va, et qui vient de plus en plus vite. Elle s’assied sur le bord de la baignoire pour ne pas tomber et être à la bonne hauteur de ce sexe vierge. Au bout d’un moment elle abandonne sa masturbation puis glisse un doigt savonneux dans le trou de balle de ta sœur, carrément. Lili s’agrippe à ses épaules et éprouve du plaisir.
Ta sœur tremblote sur ses jambes, et elle laisse cette femme achever son savonnage. Tante Véronique la rince sans rien dire de plus. Tu restes bouche bée. Ta bite commence à s’affermir ; que va dire ta marraine ? Elle va forcément s’en apercevoir.
Elle se tourne vers toi, en te fixant de ses yeux verts. Elle te savonne, en commençant par le visage.
—─ Pourquoi n’utilises-tu pas un gant de toilette pour nous savonner ? —─ Parce que sont des nids à microbes, répond Tante Véronique en me savonnant les épaules. Il n’y a rien de plus propre que la main !
Les siennes sont blanches aux longs doigts, et les ongles sont coupés court. Tu pensais qu’une femme comme elle mettrait du vernis comme la mère de Sébastien. Cette dernière se rase même les aisselles.Tu te laisses savonner de bonne grâce, et tu dois reconnaître que c’est très agréable jusqu’à ce que tu sentes la main s’attaquer à ta verge tendue malgré toi. Tu as même un geste de recul.
—─ Je me laverai la pine moi-même !—─ Laisse-toi faire, voyons !—─ Non ! t’écries-tu d’une voix stridente.
Ta marraine te regarde d’un drôle d’air, comme si elle ne te reconnaissait pas.Elle referme tout de même sa main sur ton pénis qui n’a pas encore atteint le paroxysme de son érection, loin de là. Pour l’instant, il pointe à l’horizontale, à peine décalotté. Ta tante te savonne précautionneusement les couilles, puis elle épluche l’organe pour dénuder le gland. Elle le savonne, le rince abondamment avant de remettre la petite peau en place. En vain : tu bandes de manière un peu plus conséquente. Un peu trop fort pour pouvoir chapeauter ton pruneau du prépuce. Tante Véronique s’en rend compte, mais ne se formalise pas pour autant.
Le savonnage se transforme rapidement en une masturbation en bonne et due forme. Tu ressens un immense plaisir à sentir ton pénis vibrer, durcir, se redresser dans une irréversible gaule. Pour ne pas perdre les actions de la main de ta tante, tu t’accroches aux rebords de la vasque. Des sensations nouvelles commencent à envahir ton bas-ventre. Tu regardes cette main qui manœuvre si bien ta bite qui grossit encore.
Tante Véronique te fait te mettre debout, face à ta sœur.
—─ Tu vois, Lili, c’est comme ça qu’on sait qu’un garçon devient un homme ! Quand son zizi devient tout raide ! Tu l’as déjà eue comme ça, petit branleur ? te demande-t-elle.
Lili, pendant ce temps, s’en met plein les mirettes.
—─ Oui, fais-tu dans un souffle. Le matin, parfois dans la journée. Et aussi le soir, ça dépend ! Mais elle n’est pas aussi grosse. Oh, là là !
Tu te raidis, propulses ton ventre en avant, t’arc-boutant sur tes jambes écartées. Tu jouis en poussant un râle guttural puis tu tombes, épuisé, dans la baignoire. Le visage de Lili est défait. Elle n’en a pas perdu une miette.
Vous faites tourner le lave-linge et le lave-vaisselle, changez les draps des lits et jetez à la poubelle les bouteilles vides, emballages et restes de repas qui traînaient çà et là. La tante, la nièce et toi y passez tout un week-end. Vous avez même le temps d’aller faire des courses conséquentes chez Auchan.
Tout le monde est persuadé que cela ne durera qu’un temps, que la mère retrouvera la santé, que vous garderez votre confortable appartement parisien de la rue de la Huchette.
(A suivre...)
(A suivre...)
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