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Journal: Parlons de maman.

Chapitre 1

Inceste
Mardi 11
Bonjour cher journal... Je tiens à préciser à quel point je trouve stupide cette idée que maman a eue de m’offrir un journal pour mon 18ème anniversaire... heureusement que j’ai eu d’autres cadeaux, mais bon... Je ne suis pas une adolescente pour écrire dans un journal ! Mais bon, elle m’a dit d’essayer, que « je finirais par y prendre goût », alors je vais lui faire plaisir et profiter de ces vacances pour écrire.
Je m’appelle Lucas, j’ai donc eu 18 ans il y a quatre jours. Je suis un jeune homme comme les autres, j’aime sortir avec mes potes, jouer aux jeux vidéo, draguer les filles...D’ailleurs, je dois t’avouer, journal, que ça ne marche jamais vraiment avec ces dernières...Je ne comprends pas trop pourquoi, j’ai déjà eu des petites-amies, mais jamais très longtemps. Je plais beaucoup, je suis plutôt beau, brun aux yeux bleus, je suis sportif, bien foutu. Le problème n’est pas là. Je dois te l’avouer, je n’aime pas vraiment les filles de mon âge. Je préfère les femmes, les femmes mûres, et je ne saurais l’expliquer. Peut-être que c’est parce qu’elles ont plus d’expérience (bien que je n’ai pu tester, puisque je suis puceau, mais c’est ce que l’on dit). J’ai déjà avoué mes penchants à certains de mes amis, qui ont dit que je devais avoir un complexe d’Oedipe...
J’ai cherché sur internet ce que ça pouvait bien signifier et autant te dire qu’ils se trompent. J’ai été élevé par ma mère, seule, et jamais je n’aurais de pensées déplacées envers elle. Enfin, c’est ma mère quand même ! Enfin bref, je crois que c’est assez pour aujourd’hui. A plus, journal.
Mercredi 12
Salut journal. Je ne pensais pas vraiment t’utiliser, mais je crois que coucher par écrit mes pensées me fait du bien. A vrai dire, je ne pensais pas qu’écrire en toi (formule bizarre hahaha) me troublerait autant, car oui, j’ai beaucoup pensé à ce que j’ai pu te confier hier à propos de ma mère. Tu sais, je sors à peine de l’adolescence, et ma libido joue aux montagnes russes. Je dois calmer certaines pulsions via des plaisirs solitaires. Hier soir, lorsque je m’apprêtais à assouvir mes besoins devant un site porno, une idée me traversa l’esprit. Une idée qui me venait de ma « discussion » avec toi. J’étais dans mon lit, le caleçon sur les chevilles, mon pénis qui commençait à durcir dans la main, quand je me suis mis à penser à ma mère. Mon esprit balaya bien vite la notion d’interdit et l’excitation provoquée par le frottement de ma main sur mon gland prit le dessus. Je décidai donc de chercher, sur mon site préféré, une vidéo avec une femme qui pouvait ressembler à ma mère.
J’ai cherché pendant de longues minutes, tout en me caressant le sexe lorsque la pensée « ce n’est pas bien » venait me faire douter. Et là, j’ai trouvé. Une femme qui ressemblait vraiment beaucoup à ma mère se tenait droite, seins nus sur la miniature de la vidéo. J’hésitai un instant, puis cliquai. La femme, au début, était habillée. Elle ressemblait à ma mère, moins qu’il ne me semblait sur la miniature, mais c’était suffisant. Une femme brune, début quarantaine, dont le corps, mince, commençait à porter le poids des années. Elle avait la même forme de visage que la femme qui m’avait mis au monde, un visage fin et mignon, l’air presque innocent. Dans la vidéo, la jeune femme désirait tromper l’ennui de la routine en appelant un jeune homme vigoureux afin de passer du (très) bon temps. Je n’en pouvais plus, la simple idée que ma mère entame une démarche similaire avait rendu mon pénis dur comme le bois. Je commençai à vraiment me masturber.
L’homme venu soulager la femme devait avoir moins de trente ans. Je ne pouvais que m’imaginer à sa place. La femme se mit nue. Elle était encore très bien formée, et la comparaison avec le corps de ma mère, que je n’avais vu qu’habillée, était crédible. La femme commença à masturber l’homme, avant de prendre sa bite en bouche. Je me masturbais de plus en plus vite et fort, je commençais même à m’essouffler, j’imaginais ma mère prendre mon pénis en bouche et le sucer pendant que je lui tiendrai la tête pour l’enfoncer le plus loin possible. C’est à ce moment que j’ai joui. J’ai expédié ma semence jusque sur ma couverture, ainsi que le sol. J’étais exténué. Et c’est à ce moment précis que quelqu’un frappa à ma porte de chambre. Ce ne pouvait être que ma mère, puisque nous habitons seuls tous les deux. J’ai donc rabattu très vite ma couverture sur moi, juste avant qu’elle ne rentre. Elle me demanda si ça allait, qu’elle avait cru m’entendre mal respirer.
Cela m’aurait fait rire dans d’autres circonstances, mais j’espérais surtout qu’elle ne remarque pas les gouttes blanches de sperme sur le sol, près de mon lit. Je lui dis que tout allait bien, elle resta debout, me regardant l’air douteux. Mais mes pensées reprenaient le dessus, et je l’imaginai à nouveau en train de prendre ma queue dans sa bouche, qui ne m’avait jamais paru aussi sensuelle qu’à ce moment. Et mon pénis demandait le deuxième round en se redressant sous la couette. Cela commençait à faire beaucoup de choses qu’elle ne pouvait pas ne pas voir. Mais elle dit un banal « OK » et sortit. Autant te dire que je fus soulagé, et que je ne fis pas autant de bruit lorsque je recommençai à me masturber, deux minutes plus tard.
Jeudi 13
Hello journal ! Bon, c’est décidé, tu seras plus mon journal de fantasmes que mon journal tout court. Heureusement que tu as un cadenas pour t’ouvrir, sinon j’aurais trop peur que quelqu’un lise ces lignes. J’ai voulu retenter l’aventure de l’autre soir et j’ai repris la même vidéo, en pensant à ma mère. Je dois te l’avouer, c’était plaisant, mais moins que la première fois. J’ai eu un sentiment d’inachevé. J’ai donc décidé de passer au niveau supérieur, et j’assume désormais que ma mère, Louise, me fait bander. Je ne rêve plus que d’elle lorsque je me touche. Alors, hier soir, lorsque ma déception était à son comble quand je réalisai que la vidéo n’avait plus le même impact, j’ai décidé d’attendre. Attendre quoi ? Que ma mère dorme. J’ai attendu jusqu’à 1h du matin, pour être sûr. Je suis descendu dans la buanderie, et j’ai fouillé dans le linge sale. Une culotte et un soutien-gorge de ma mère, portés la journée même.
Je portai la culotte à mon visage, et la reniflai en me masturbant. J’étais en train de sentir la chatte de ma mère. Jamais je n’aurais pensé que des sous-vêtements me feraient cet effet. Je posai le soutien-gorge sur la machine à laver, enroulai la culotte autour de mon sexe en contact avec mon gland, crachai sur ce dernier et commençai à me branler doucement, puis de plus en plus vite. Je n’ai jamais été aussi dur. Jamais. Et c’était ma mère qui me faisait ressentir ça. L’idée de tabou était bien loin maintenant. Je me branlais et de temps en temps, j’agrippais le soutien-gorge ou frottai mon gland dessus, et je disais « oh oui, maman, t’aimes ça, t’aimes la bite de ton fils. » J’envoyai de grosses giclées de sperme sur le soutien-gorge, et il y en avait sur la culotte aussi. Le manège recommença à trois reprises. Je savais que ce n’était pas raisonnable, mais je m’imaginais en train de me faire sucer par ma propre mère, de la baiser. Je ne pouvais pas m’arrêter.
Je jouis une fois, puis deux, puis trois. Jusqu’à ce que mes jambes ne me portent presque plus. Il y avait du sperme partout sur les sous-vêtements et la machine. L’excitation est bonne conseillère en matière d’imagination pour assouvir ses plaisirs, mais pas pour le nettoyage. Je me suis donc juste contenté de passer un coup de serviette prise dans le linge sale pour essuyer tout ça. Et je commençai à aller me coucher. Mais en montant l’escalier qui descendait à la buanderie, je vis ma mère qui me fixait. « Avait-elle tout vu ? » Pensai-je. Je fus pris de panique, et ne pus rien dire. Elle me demanda « qu’est-ce que tu fais debout à cette heure ? » Je lui ai juste répondu « J’avais un truc à mettre au sale, c’est tout. » et je suis monté me coucher, en me demandant toute la nuit si elle avait vu quelque chose.
Je t’écris donc ces lignes à 11h ce matin, après cette folle nuit. Ma mère a dû me voir, ou alors trouvé des traces de spermes sur ses dessous, car j’ai eu droit à une de ces discussions que seules les mères maîtrisent si bien. Si tu veux un résumé rapide : je suis un jeune homme, c’est normal que j’ai des envies, des besoins. Elle ne m’a pas dit qu’elle m’avait vu, elle a fait comme si c’était une conversation aléatoire. Mais je sais que c’est faux. Je ne m’en veux pas d’avoir fait ce que j’ai fait, et je ne regrette pas le fait qu’elle m’ait vu. Journal, je te l’annonce, je ne vais pas m’arrêter là, et je vais aller bien plus loin avec ma mère.
Ceci est ma première histoire, n’hésitez pas à me contacter pour avoir des retours. Merci !
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